Une réeductaion nécessaire 1

Antoine et Sandra mènent une vie harmonieuse sans accros depuis de nombreuses années. Mais au fur et à mesure que le temps passe, le sexe ce n'est plus ce qu'il était, Sandra et de moins en moins demandeuse, sa libido baisse constamment. Les ébats durent de moins en moins longtemps, voire bâclés. Pour y remédier, Antoine prend une décision qui lui coûte. Il propose à Sandra, pour qu'elle reprenne goût au sexe, et pour épicer leurs ébats, c'est d'y faire participer d'autres personnes.

Sandra sursaute, fronce les sourcils et dit :

-Antoine, tu es sérieux, cela n'étonne de ta part, toi si jaloux, tu veux vraiment, que je me fasse prendre Par d'autres, mais c'est insensé comme proposition, tu deviens fou ma parole !

Antoine répond sans élever le ton :

-Écoute ma chérie, tu n'es pas sans savoir que le sexe entre nous, ce n'est plus ce qu'il était, et cela se détériore de jour en jour. Toi qui étais si active, voire très gourmande, eh bien, je souhaite que tu redeviennes la femme d'autrefois qui jouissait terriblement, et qui m'excitait à mort pendant nos relations !


Sandra baisse la tête en poussant un profond soupir, et dit :

-C'est vrai qu'il y a une baise de régime, mais delà à faire intervenir un tiers, il y a une marge !


Antoine lui dit :

- Je te laisse réfléchir ma chérie, ne laisse pas notre couple sombrer par un manque de libido !


Le soir au lit, c'est un rapport très rapide, Dès qu'Antoine a envoyé dans le ventre de sa femme une giclée de sperme. Aussitôt Sandra se met sur le flanc sans chercher sa jouissance. Antoine, déçu, se penche sur elle et lui dit :

-Ma chérie, pense à ce que je t'ai demandé !

La nuit de Sandra fût agitée. Elle se lève le lendemain matin, ses yeux sont cernés, ses traits sont tirés, le manque de sommeil lui marque le visage. Antoine a déjà préparé le petit déjeuner, Sandra n'a qu'assoir à table. Elle reste muette un long moment, puis en prenant une grande inspiration, elle dit :

-Antoine mon chéri, j'ai longuement réfléchi. Bien que cela me paraisse insensé, j'accepte ta proposition !


Antoine est ravi de la décision de sa femme, il lui répond :

-Je vais prendre les dispositions nécessaires ma chérie, tu préférerais un homme ou deux, une femme ?



Sandra le regarde en écarquillant les yeux et réplique en hochant la tête :

- Du n'importe quoi, Eh pourquoi pas les trois tant que tu y es mon cochon !


Antoine éclate de rire, s'approche de sa femme et dépose un baiser bruyant sur ses lèvres. La journée d'Antoine ce passe en grande partie sur son ordi, celle de Sandra, n'est que stresse et angoisse. Enfin, Antoine, souriant, lui annonce que samedi après-midi, ils ne seront pas seuls. Sandra nerveuse ne pose pas de questions. Enfin le jour fatidique arrive, Sandra passe la majeure partie de la matinée dans sa salle de bain. Elle fait la navette entre la salle d'eau et sa coiffeuse. Plus l'heure approche, plus elle panique. Elle est encore das la salle de bain, lorsque l'on sonne à la porte d'entrée, elle sursaute, son cœur se met à battre fortement, sa gorge se noue. Elle a juste le temps de passer un peignoir sur son corps nu.


Antoine reçoit les invités, ils sont trois. Une femme d'une femme qui approche la soixantaine et deux hommes plus jeunes dont un homme de couleur. Antoine serre une boisson, expose la situation et dit ce qu'il attend d'eux. Sandra reste dans la salle de bain, elle n'ose se montrer. Antoine doit aller la chercher. Emmitouflée dans son peignoir qu'elle tient bien fermé contre son corps, qu'Antoine fait les présentations. La femme Huguette est une femme d'une certaine expérience, les deux hommes, Jacques et Amadou, ne le sont pas moins.

Sandra est surprise de voir trois personnes, elle regarde son mari en se pinçant les lèvres. Antoine s'approche d'elle, lui donne un baiser sur les lèvres et lui dit :

-Tout va bien se passer ma chérie, ce ne sont pas des amateurs crois-moi, ils sont souvent sollicités par des couples en détresse sexuelles !

Sandra ravale sa salive, croise les doigts en les serrant très fort. Rouge de honte, elle ne peut cacher sa nervosité. Antoine lui serre un verre d'alcool fort qu'elle avale d'un trait, elle en redemande un qu'elle avale aussi rapidement. Elle s'agite dans son fauteuil en dévisageant les trois inconnus. Il est temps de passer à l'action. Pour mettre Sandra en confiance, Huguette s'approche des deux hommes en leur demandant de se dévêtir. Les trois commence un effeuillage, en agitant lestement leurs bassins. Sandra regarde les corps qui se dénudent lentement.


Amadou, habilement, fait sauter le soutien-gorge d'Huguette. Ses seins lourds tombent sur son torse. Les lobes sont fortement auréolés avec des mamelons larges et très épais. Sandra écarquille les yeux, son souffle s'accélère. La culotte de la femme rejoint le reste de ses vêtements sur une chaise prévue à cet effet. La toison fortement poilue cerne la fente aux lèvres pendantes, Sandra serre les poings. Huguette se frotte la chatte en regardant Sandra qui blêmit. Les deux hommes sont enfin entièrement nus. Sandra déglutie en voyant les verges des deux hommes. Même au repos, elles sont impressionnantes. celle d'Amadou, lui, arrive à mi-cuisses.

Huguette se laisse tomber à genoux devant eux, et saisit les attributs encore en sommeils. Elle suce en changeant souvent d'homme, les membres endormis. Les succions d'Huguette sont très efficaces, les verges se dressent comme des mâts de cocagne un jour de fête. Elle s'amuse à décalotter les glands pour mieux les savourer. Antoine comme Sandra sont hypnotisés par ce qu'ils voient. Huguette frappe vigoureusement les bites tendues, les deux hommes grimaces, mais cela fait partie de l'excitation. Huguette est vite basculée sur la petite table du salon, sans aucun préliminaires, la bite de Jacques, s'enfonce dans le ventre d'Huguette qui s'ouvre davantage. Amadou lui offre sa bite à sucer. Huguette s'avère être une bonne fellatrice, tout en se faisant défoncer, elle suce comme une diablesse la queue d'Amadou, qui a un diamètre et une longueur impressionnante.

Antoine se penche sur sa femme et lui souffle à l'oreille :

-Ça t'excite ma chérie ?


Sandra répond faiblement :

-Il faut être en bois pour ne pas être excité, je suis trempée !


Huguette recrache la bite d'Amadou, et tourne la tête vers Sandra, elle se doute qu'elle est à point. Elle repousse les deux hommes et se relève, il prend Sandra par la main et l'oblige à se lever du fauteuil. Elle lui ouvre les pans du peignoir, et en sifflant d'admiration le fait tomber au sol. Elle l'enlace, frotte son corps contre celui de Sandra. Avec des ondulations bien calculées, les chattes se frottent, les toisons s'humidifient à grande vitesse. Huguette regarde Sandra dans les yeux et lui dit :

-Tu vas passer une journée inoubliable ma chérie !

Elle pose ses lèvres sur les siennes, Sandra a un geste de recul, Huguette insiste, Sandra entrouvre la bouche, la langue de la femme se noue à la sienne pour un long baiser. Sandra est surprise par la douceur du baiser, c'est la première fois qu'une femme l'embrasse sur la bouche, elle n'est plus réticente, au contraire cela ne semble pas lui déplaire. Elle répond au baiser en serrant fortement Huguette contre elle. Antoine et enchanté par a tournure de choses, sa queue commence à prendre du volume dans son pantalon. Le baiser est interminable, les salive se mêlent. Enfin, Huguette sonne la fin de la récréation. Elle regarde les deux hommes en pleines érections et dit :

-Je vais bien vous la préparer, je crois qu'elle est très bonne !


Huguette, bascule Sandra sur la petite table et s'agenouille à côté d'elle, elle lui caresse les seins, titille les mamelons avant de malaxer les lobes charnus. Elle pétrit comme une boulangère le fait avec son pain. Ensuite, jugeant que les seins sont assez fermes, elle gobe un à un les petits mâts, et les suce à en faire gémir Sandra. La bouche experte descend sur le torse, donne des coups de langue sur la peau laiteuse. Avant d'arriver sur le nombril, l'appendice râpeux, fouille le petit cratère un court instant, avant de reprendre sa progression vers le point le plus sensible du corps.