Rééducation nécessaire 2

La bouche d'Huguette, avance lentement vers la toison qui s'humidifie de plus en plus, elle se pose délicatement sur la fente en sueur. La langue commence à œuvrer dans le sillon des grandes lèvres. Sandra cambre son bassin, c'est sa première relation lesbienne, elle geint en s'agrippant à la table. Antoine est ravi de la tournure des choses, sa femme ne rechigne pas au contact de la langue sur son intimidé, au contraire, elle ouvre largement les cuisses pour faciliter l'accès de l'intruse.
Amadou avance vers le duo, sa queue est tendue, il la pose sur les lèvres de Sandra, qui ouvre la bouche, en saisissant d'une main l'engin colossale. Elle se déboite presque la mâchoire, en gobant le gland monstrueux. Elle suce, tète tant bien que mal, l'engin est si important qu'elle bave abondamment. Les succions font geindre Amadou comme une bête blessée.


La langue d'Huguette s'enfonce dans le vagin de Sandra, et le fouille profondément sans omettre un recoin. Pour Sandra, c'est le délire. Elle gémit tout en suçant la queue d'Amadou. Sa mâchoire devient douloureuse, elle recrache le gland pour récupérer, ses yeux sont larmoyants. C'est à cet instant qu'Huguette lui aspire le clito, Sandra reçoit comme une décharge électrique, une brûlure intense lui traverse le ventre. Elle se cabre en gémissant terriblement. Huguette, en bonne amante, sait comment faire jouir une femme, elle suce avec un acharnement bien calculé, la protubérance de chair, qui ne cesse de prendre du volume. Les râles de Sandra sont terrifiants. Soudain, elle se cabre et jouit en poussant un cri d'agonisante. Antoine sursaute, ses yeux sont illuminés, il dit :

-Jouis, jouis, ma chérie, enfin, je te retrouve !


Huguette se redresse, sa bouche est couverte de cyprine, elle est souriante. Jacques profite de l'occasion pour prendre place entre les cuisses de Sandra. Il place sa queue contre la fente ruisselante. S'accroche aux hanches et pousse doucement. La verge qui s'enfonce progressivement dans la gaine détrempée, fait gémir Sandra, elle s'accroche à son amant en soufflant longuement. Une fois bien planté en elle, Jacques commence un va-et-vient d'enfer. Sandra s'agite, rue comme un cheval, en poussant des :

-Oui, oui, encore !

Antoine est aux anges, elle l'encourage :

-Donne-toi à fond ma chérie, oui, oui, prends ton pied !

Il s'approche d'elle et lui offre sa queue à sucer. C'est en geignant que Sandra saisit la queue de son mari et se met à la sucer avec gourmandise. Ses hum prouvent qu'elle y prend du plaisir. Pour Antoine, c'est merveilleux, sa femme reprend goût au sexe. Jacques augmente la cadence, ses coups de bélier deviennent plus violents. Il grogne comme une bête sur sa proie. Soudain Sandra, recrache la queue de son mari, se tend comme un arc et explose de jouissance. Elle s'accroche en gémissant à son amant, qui accélère le rythme. Il donne un violent coup de reins, se bloque et remplit le ventre de Sandra avec sa semence épaisse.


Huguette saisit la queue d'Amadou et se met à la sucer comme une forcenée, elle s'acharne avec férocité sur le gland qui lui dilate la bouche au maximum. Jacques reste un instant planté dans le ventre de Sandra avant de se retirer. Huguette délaisse la queue d'Amadou et lui dit :

-Baisse-la fort mon chéri, baise-la fort !

Amadou regarde la chatte de Sandra rejeter le surplus de semence. Il frotte son gland contre et saisit les hanches de la soumise qui va connaitre une défonce mémorable. Il pousse, les grandes lèvres cèdent le passage, le gland s'engage doucement dans la gaine qui semble étroite. Sandra se cabre en grinçant des dents. Elle s'agrippe à son amant de couleur, en grimaçant. Amadou, regarde Sandra en souriant, il sait qu'elle va subir un ramonage terrible et au final, elle va avoir une jouissance terrible.
Huguette empoigne Antoine, le bascule sur le canapé et s'empale sur sa queue. Elle s'agite en faisant de son corps un ascenseur. Antoine, chauffé à blanc par le spectacle que lui donne sa femme, jouit rapidement. Huguette veut aussi son plaisir, elle s'agite comme une hystérique sur la queue qui est plantée en elle. Ses râles prouvent que l'échéance n'est pas loin. Elle pousse un grognement et explose de jouissance. Elle donne encore quelques coups de reins avant de ce dés-empaler.

Lentement, la queue hors norme s'enfonce dans le ventre de Sandra, qui croit que son corps va s'ouvrir en deux. Elle geint de douleur, en soufflant comme un bœuf. Enfin, les couilles d'Amadou viennent frapper la chatte douloureuse. Il reste un moment sans faire de mouvement, puis commence un très lent va-et-vient. La bite coulisse difficilement dans la gaine qu'elle distend. Sandra s'accroche à son amant qui progressivement augmente le rythme. Sa queue racle les parois de la gaine en frottant fortement sur mes muqueuses qui sont de plus en plus sensibles. Petit à petit, le vagin s'adapte au calibre hors norme de la bite, et se lubrifie de mieux en mieux. Amadou augmente la cadence, Sandra geint non plus de douleur, car elle s'estampe peu à peu, mais de plaisir. Amadou lance les chevaux, sa queue voyage dans le ventre de Sandra en la faisant couiner comme une bête malade.

Les coups de reins, même retenus, sont si violents, que son gland martel le col de l'utérus de Sandra comme pour le pénétrer. Antoine, regarde en écarquillant les yeux la colonne monstrueuse de chair défoncer le ventre de sa femme. Sandra change de tonalité, ses gémissements de plaisir excitent son amant qui ne retient plus ses coups, le pilonnage est très violent. Sandra se cambre, elle est dans un état comateux, elle halète fortement, un rictus affreux déforme son visage, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres. Elle pousse des :

-Oh putain, Antoine, regarde comme il me défonce, mon Dieu, je vais jouir, il est terrible ce mec ! !

Sandra se cabre, pousse un rugissement de fauve et explose de jouissance, sous le regard hébété de son mari. Amadou avait raison, Sandra a joui comme il l'avait prédit. Il continue de lui ramoner les entrailles un bon moment avant de déverser sa semence abondante dans le ventre de Sandra qui sous la douce chaleur du sperme re-jouit encore une fois. Enfin, le baiseur retire son monstre du ventre qui a été très sollicité. Antoine regarde le trou béant en disant :

-Oh la vache comme il t'a arrangé la chatte ma chérie, c'est monstrueux !


Antoine caresse la chatte un instant, avant de saisir le clito, et de le branler énergiquement, jusqu'à ce que sa femme jouisse encore une fois. Il regarde sa femme amoureusement et lui demande :

-Alors ma chérie, comment c'était ?



Elle l'enlace, le serre très fort contre elle, et répond :

-Oh mon chéri, c'était merveilleux, je te remercie pour ce cadeau, prends-moi, je suis chaude comme un volcan !


Antoine est heureux, que sa femme est retrouvée le plaisir du sexe. Il se place entre ses cuisses et la défonce jusqu'à ce que les deux jouissent.