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12 ans après

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Lue : 64529 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/09/2007

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Milena travaillait dans la même boîte que maman. Aussi, je la voyais souvent à la maison, invitée avec son mari à de longues soirées durant lesquelles j'essayais de percer son mystère. J'avais alors 13 ans et dès que l'obscurité envahissait ma chambre d'adolescent, des images obscènes de Miléna nue, cuisses ouvertes, croupe offerte en levrette et fente nue s'imposaient à mon esprit. Ma jeune verge raidissait alors et j'étais contraint de me masturber jusqu'à l'orgasme 2 ou 3 fois d'affilée pour parvenir au sommeil. C'était d'épuisement que je tombais alors, la verge douloureuse et poisseuse, avec une dizaine de kleenex répandus autour de mon lit car, dans le noir, je ratais une fois sur deux la corbeille à papier.

Le fantasme aide à se construire, moi, pourtant, je me sentais esclave de mes désirs et je maudissais le pouvoir que cette fille de dix ans mon aînée développait à son insu sur ma personne.
Il faut dire que Milena savait jouer de son pouvoir de séduction ; très ingénue, à la limite même d'une stupidité feinte, elle jouait constamment un rôle d'innocente, voire de vierge effarouchée fût-ce lorsque les hommes l'abordaient dans la rue pour lui demander du feu. Immanquablement habillée comme pour faire le trottoir : bas noirs, longue robe fendue jusqu'au slip, talons hauts, collier en sautoir, sac à main verni, tout dans sa tenue, au travail comme à la ville, incitait les mâles à se retourner sur son passage, à lui adresser un sifflement ou un compliment, marques d'intérêt dont elle semblait toujours fière.
Pour moi nul doute : cette fille élancée et tout en douceur était en fait un volcan et j'imaginais même qu'elle devait participer à des soirées échangistes où, sexe rasé et nichons annelés, elle s'offrait aux coups de boutoir de ses rencontres de passage tandis que son compagnon, satisfaisait ses penchants (qui étaient en fait les miens !) pour le voyeurisme.

Puis les années passèrent et je perdis Milena de vue car je quittai le foyer parental pour l'université et là, je retrouvais une vieille connaissance, une fille hyper allumeuse aux gros seins, une vraie bimbo qui avait été ma condisciple de collège à l'époque où je me masturbais en pensant aux cuisses fuselées de Milena.

(La vie ne semble qu'un faisceau de hasards mais la boucle se refermait imperceptiblement sur moi ; peu de personnages suffisent, en définitive, pour écrire un épisode de notre histoire et celui-ci, sans être rocambolesque, continue d'habiter mes pensées par son goût de risque et d'interdit, c'est d'ailleurs pourquoi je tiens à vous le faire partager.)

Ma bimbo, je l'aimais d'un véritable amour, mais elle était, elle, pour de bon, nymphomane et je commençais ma vie sentimentale en acceptant de la partager avec d'autres mecs. J'en souffrais terriblement mais elle était tellement "bandante" que je lui pardonnais bien des choses. Elle me déniaisa (sans le savoir) dans son studio d'étudiante, à cheval sur mon zeb, barre à mine qui fouillait les tissus veloutés de son minou que je gratifiais chaque jour de plusieurs éjaculations crémeuses dans le balancement incessant de ses gros seins blancs aux bouts rosés que je pinçais et tétais plus que de raison.
Elle avait exactement mon âge mais aucun tabou car ses amants l'avaient déjà initiée depuis longtemps à la fellation complète et à la sodomie, pénétration dont elle raffolait et qu'elle me réclamait parfois.

Moi qui avait été élevé par une mère plutôt prude qui me laissait entendre que les femmes n'aimaient pas "ça" et qu'un homme à poil c'est "moche", j'assistais au chamboulement de tout un système de valeur. Ma bimbo, visiblement, pensait bien plus à "ça" qu'à ses études et ne ratait pas une occasion, lorsque nous allions ensemble au sex-shop, pour visionner une cassette de cul en faisant crac-crac dans la cabine, de me réclamer un film d'homos. Agenouillé devant elle, je léchais son minou blond pendant qu'elle matait de jeunes mecs aux bites de taureaux en train de se tripoter, de se sucer et de répandre de crémeuses rasades de spermes sur leurs torses glabres et musclés. Moi, je préférais alors concentrer mes coups de langue sur le coquillage entrebâillé au sommet duquel son clitoris luisait comme la plus jolie perle rose que Nature eût créée. "Salaud ! - me disait-elle -Tu as dû être une nana dans une vie antérieure !"
Je ne suis pas un Apollon et ma verge et de dimension raisonnable mais, il est vrai : j'ai toujours adoré lécher et sucer vulves et clitos.

Je passai mes examens, année après année tandis que ma bimbo collectionnait les échecs à ses partiels. Le soir, elle me laissait pour aller "valdinguer", comme elle disait, en boîte "avec des copines" et revenait parfois complètement bourrée, les nichons certainement longuement manipulés par quelque main virile au cours de slows plus que langoureux. Ces nuits de solitude, la rage de la jalousie m'interdisait tout recours à la masturbation et je pleurais plus d'une fois amèrement sur les liens de cette dépendance. Une fois, je subis même l'humiliation de voir arriver dans le studio où je dormais un mec qui l'avait draguée dans la rue et qu'elle ramenait chez elle, le sourire aux lèvres. Que d'humiliations ai-je subi malgré moi, simplement parce que je refusais de rompre ce lien cruel et délicieux qui me rattachait à ma splendide copine ?!

C'est à ce moment-là que réapparut Miléna. Nous nous retrouvâmes lors d'un stage professionnel, un vendredi alors que ma copine était (en théorie) chez sa mère. Le stage terminé, je lui proposais de passer à mon studio. Là, je lui avouais tout : la fascination qu'elle avait exercé sur moi dix années auparavant, mes masturbations alors que je rêvais de la sauter,,etc. A 35 ans, Milena était encore de toute splendeur et je laissais mes mains errer sur ses cuisses fermes, longues et blanches, prisonnières de ses résilles noires. Je ne bandais pas. J'étais trop troublé. Elle retira sa jupe pour me permettre de glisser ma main droite sous l'élastique de son slip bleu clair.

Pour moi, je le comprends aujourd'hui, ce que je faisais ressemblait à une double vengeance : une contre ma copine, l'autre contre moi-même ; je touchai enfin au fruit défendu. Milena n'était pas rasée ainsi que je le pensais : son pubis fauve était même très fourni et son vagin dégoulinait de mouille. J'y glissai trois doigts puis quatre sans trop de problème : elle haletait. Je me mis nu, mais j'avais honte de me retrouver le membre flaccide devant une telle beauté qui était, en plus, une amie de ma mère et qui m'avait connu gamin. Elle me suça comme une experte ce qui me permit de la prendre (avec préservatif bien sûr !). Je montai sur elle, ses cuisses étaient grandes ouvertes, mes bras bloquant la jointure de ses jarrets. Elle refusa catégoriquement de retirer le haut ; je déduisis qu'elle était sans doute complexée par ses petits seins car elle m'avait déjà vu avec ma bimbo aux gros lolos. Tant pis ! Mon membre à demi dur retrouva un semblant de virilité dans ce vagin tant convoité. J'allai et vins en elle tandis qu'elle gémissait et que mes yeux demeuraient accrochés au spectacle de nos membres se confondant. Je la trouvais bien gentille de feindre le plaisir comme une prostituée car, même si cette saillie dura quelques minutes, ma bite semblait nager dans son con de femme mariée, certainement habituée à des coïts plus consistants, mais, bien que j'eusse 25 ans, l'émotion me coupait malheureusement la moitié de mes moyens.

Après que j'eus joui, elle me confia à ma très grande surprise qu'elle avait pris beaucoup de plaisir à cette étreinte volée à nos deux conjoints car son mari, éjaculateur précoce, ne pouvait la satisfaire.

C'est ainsi, 12 ans après, que je perçai le mystère de Miléna. Cette fille fragile (et souvent adultère) n'était pas la perverse, l'aguicheuse ni le volcan que j'avais imaginé : elle cherchait seulement un plaisir sexuel légitime que son homme ne pouvait lui apporter !

***

PS : Pour ne blesser personne (car tous ces faits sont véridiques), j'ai modifié le prénom de l'héroïne de mon témoignage
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Histoire de Heinrich

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