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Le petit short noir

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Lue : 48884 fois - Commentaire(s) : 5 - Histoire postée le 28/12/2008

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Nous étions un groupe de copains, rassemblés chaque soir pour faire de la gym dans une salle mise à disposition par une petite ville de campagne. C’est un des membres du groupe qui travaillait pour l’association sportive de la mairie qui avait équipé un jour cette salle et nous avait ramené là pour passer le temps pas trop loin de nos lieux d’habitation. Ca marchait bien, car notre groupe se composait d’une dizaine d’assidus qui passait une heure ou deux tous les soirs à soulever de la fonte, courir sur un tapis roulant ou frapper dans un sac de boxe. Une certaine rivalité existait entre certain d’entre nous mais cela ne dépassait jamais les défis d’un soir.

Nous n’étions que des hommes, adultes pour la plupart, mais un soir, le plus jeune d’entre nous amena sa sœur pour une séance. Elle avait juste 18 ans et resta à l’écart dès son arrivée, intimidée visiblement par la présence de tous ces hommes ; de tous ces mâles devrais-je dire, car la demoiselle s’avérait d’une beauté rare, sexy et envoûtante même. Je m’aperçus vite dès qu’elle fut présentée par son frère que tous les regards se posèrent lourdement sur elle ; un silence gêné s’était même installé au sein du groupe alors que nos retrouvailles s’accompagnaient souvent de plaisanteries légères.

Elle nous fut présentée sous le nom de Cathy. Elle avait un visage fin et bronzé et des yeux d’un vert émeraude absolument magnifiques. Ses cheveux courts à la garçonne et son regard sauvage lui donnaient un aspect animal et presque androgyne. Elle portait alors un jean moulant qui laissait deviner des fesses très cambrées et anormalement développées pour la minceur de son corps.

Elle serra tour à tour la main de tous les garçons du groupe sans dire un mot et entra à la suite de son frère dans le vestiaire commun. Nous lui proposâmes de lui laisser les toilettes pour se changer, un peu à contre cœur il faut bien l’avouer, car nous aurions aimé partager le même vestiaire sans aucun doute.

Elle arriva la dernière dans la salle. Les gars avaient commencé leurs exercices dans le même silence qui avait sanctionné son arrivée. Lorsqu’elle se positionna au centre de la salle, dix pairs d’yeux la fixèrent de nouveau. Elle avait un petit bandeau rouge dans les cheveux et portait un débardeur blanc qui laissait deviner le haut de ses seins fermes et surtout un short noir en coton qui me sembla à première vue beaucoup trop petit pour elle. Je me trouvai de trois quart derrière elle à ce moment, m’échauffant sur le tapis de course à pied et mon regard s’hypnotisa sur ses fesses dépassant de plusieurs centimètres du bas de son mini short. J’en eus une érection immédiate, ce qui me gêna très vite pour courir, mais je continuai comme si de rien n’était, ne sachant trop que faire. Je me concentrai sur le miroir en face de moi en espérant que ma réaction s’estompe au plus vite, mais ma queue était dure comme du béton, ce qu’amplifiait mon pas de course. J’étais vraiment mal à l’aise car je portais ce soir là un cuissard de course plutôt moulant et juste un string en dessous pour éviter les frottements de ma chatte sur le tissu.

Cathy regarda les différents appareils puis se dirigea à mon grand désappointement vers moi. Je vis son regard se poser immédiatement vers mon entrejambe tant mon érection était visible. Elle me regarda, un peu surprise, mais visiblement amusée car un léger sourire égaya son visage. Je voyais les autres la regarder de dos et se lancer des clins d’œil en désignant son postérieur en partie découvert. Cela m’excita encore plus et je sentis ma bite se rigidifier plus encore. Je me sentais ridicule et ne voulais pas que les autres me voient dans cet état. Cathy resta devant moi pendant ce qui me sembla une éternité, puis finalement m’adressa la parole d’une voix douce :

- « Tu cours longtemps sur le tapis ? »
- « Euh non ! Tu le veux ? Je courrai après si tu veux. » Je me mettais soudain au pas de marche pour couper le bruit de l’appareil et ne pas prendre le risque d’éjaculer dans mon cuissard.
- « Nan vas-y continue, j’te regarde ! »

Je ne savais quoi répondre. Ma queue pointait maintenant vers le côté et déformait complètement mon vêtement.

- « Ca à l’air de faire de l’effet en tout cas le tapis… » me lança t-elle en se mordant la lèvre. « Normalement, ça fait maigrir, non ? » ajouta t-elle en fixant mon érection, tout sourire. « Quand t’auras… maigri un peu, tu me montreras ?

Je fus interloqué par sa remarque.
- « T.. Te montrer… » bafouillais-je
- « Mais nan, pas ton gros machin ! T’es bête… Tu me montreras comme on court la d’sus ? Faut qu’je perde du poids ! »
- « Perdre du poids, t’es folle ou quoi ? »
- « Si, j’ai un gros cul ! J’le sais ! »
- « Arrête, il est magnifique au contraire. Regarde, tous les mecs te matent depuis que tu es arrivée. C’est parce que t’es très jolie. » avouais-je d’un ton sincère.
- « Merci… » Elle baissa un peu les yeux et je la sentis rougir légèrement. « Toi aussi, tu m’as matée ? »
- « Ben…Comment tu crois qu’c’est arrivé la tempête dans mon caleçon ? J’suis pas pédé, tu sais ? »
- « Ahahaha ! » Elle se mit à rire assez fort pour que tout le monde nous regarde. Je me sentis sur un nuage tout à coup par l’intérêt qu’on me portait à me faire draguer par cette gamine de 18 ans, moi qui en avait 27. « Bon alors, ça passe ? » me demanda t-elle en regardant encore ma grosse bosse. « On dirait pas hein ? Va falloir que tu soignes ça dans les toilettes si tu veux continuer à faire du sport… »
- « Bon tant pis, allez monte lad’sus ! Sur le tapis, j’veux dire »
- « Hehe ! » Elle rit cette fois légèrement à ma plaisanterie en faisant des manières. Ma drague lui plaisait assurément. « Bon ben tant pis, j’vais me contenter du tapis alors… » elle passa devant moi en roulant légèrement des fesses.

Je fis mine de descendre mais elle me retint par la main.
- « Non, reste avec moi s’il te plaît, je suis pas à l’aise sur ces trucs là. « Ca t’gêne pas, dis ? »
- « Non, non » J’étais dans un total état de surexcitation. Je vis subrepticement que tout le monde nous regardait depuis chaque poste d’exercice et m’enviait de toute évidence. « Tu veux faire quoi exactement ? Courir à deux, ça va être difficile tu sais.. »
- « Au début, on va marcher. J’appuie sur quel bouton ? »

Je m’approchai d’elle et mon cuissard vint frôler son mini short mais je remarquai qu’elle ne bougeait pas. L’appareil se mit en marche et j’essayai de calquer mon pas au sien. J’étais obligé de regarder mes pieds et j’en profitai pour me rincer l’œil à plusieurs reprises, d’autant plus qu’elle roulait beaucoup des fesses pour une marche athlétique. Son petit short semblait remonter encore un peu plus et je me mis à rebander de plus belle. A un moment elle appuya sur le bouton d’accélération et poussa un petit cri quand elle fut obligée de courir. Je me cognai contre elle et pressai ma queue involontairement contre le haut de son cul, ce qui la fait rire d’aise.
Elle courrait de façon très cambrée avec une belle allure mais assez lentement et je ne pouvais m’empêcher de remarquer que son short se transformait peu à peu en string, ce que virent mes premiers camarades en passant devant le tapis pour regagner la sortie.

- « Tu fais du tandem ou de la course, Pat ? Eh fais gaffe à la brigade des mineurs en sortant. T’es pris en flag’ là ! » Et ils se marrèrent comme des baleines.

Cathy leur lança un regard noir en continuant à courir au même rythme.

- « Attends, je vais descendre, ils ont raison, je te gêne là ! Et puis, ça devient gênant mon état, ils vont te prendre pour une fille facile. »
- « Et alors ? « me répondit-elle méchamment aussi. « j’suis majeure, si j’en ai envie, j’me fais baiser par qui j’veux ! Laisse-moi si ça te plaît pas de m’apprendre ! J’demanderai à un autre pour avoir du sexe !!! »
- « Oh là doucement ! T’as du caractère toi hein ? J’suis désolé, j’voulais pas être désagréable. En fait, j’ai jamais passé un moment aussi sympa depuis que je viens dans cette salle ! Promis ! »

Son visage s’adoucit, puis elle me sourit de nouveau.
- « Beh alors reviens et dis moi comment j’dois courir pour perdre des fesses ! »
Je me mis à sourire à cette remarque.
- « Et si j’ai envie que tes fesses restent comme ça ! Elles sont tellement craquantes ! »
Elle me fit un autre sourire en coin et haussa les épaules. « Juste un peu, d’accord ? Fais-moi courir comme il faut ! Montre-moi ce qui va pas. »
- « En fait, tu dois être un peu moins cambrée des fesses justement. Sors les un peu moins » Tu permets ? » demandai-je en posant ma main sur son cul pour redresser un peu son bassin vers l’avant.

Elle ne réagit pas, mais notre petit manège lui plaisait de toute évidence. J’avais laissé ma main traîner sur sa fesse lorsque soudain, une subite panne de courant nous mit dans le noir presque complet, la nuit étant tombée à l’extérieur. Cela eut pour effet de nous faire heurter le pupitre du tapis roulant et de nous faire tomber de côté. Heureusement, je la tenais et notre chute fut amortie, mais je me retrouvais affaler sur elle. Elle était ventre contre le tapis mais malgré son cri de surprise, je vis qu’elle n’avait rien. Je sentis ma queue presser fort entre son entrejambe et ne fis rien pour me relever. Elle non plus d’ailleurs.

- « Ca va ma puce ? demandais-je tendrement.
- « Oui. » Sa voix était douce. Elle posa sa main délicatement sur la mienne appuyée sur son épaule et je sentis ses jambes s’ouvrir un peu sous moi visiblement pour mieux sentir mon érection contre sa chatte.

J’appuyais un peu plus mon membre érigé contre son minou.
- « J’t’ais pas fais mal dis en tombant sur toi ? »
- « Non » souffla t-elle. « Mais reste un peu comme ça s’il te plait… » ajouta t-elle en pressant ma main un peu plus fort.

Mon gland palpitait et je poussais franchement contre elle. Les autres s’activaient à trouver le disjoncteur et nous étions seuls je crois à ce moment. Je sentis son autre main écarter son short à hauteur de son minou et un renflement humide se coller contre mon cuissard. Puis sa main essaya de retirer mon shorty mais la lumière revint à ce moment et nous dûmes nous lever précipitamment pour ne pas être découvert dans cette situation.
Un silence lourd se posa entre les 4 potes qui venaient de revenir dans la salle et nous deux car il était évident que nos attouchements finaux avaient été surpris.

- « Euh Cathy, ton frère est parti chez toi pour trouver des outils. Je crois qu’on pourra pas continuer la séance ce soir. »
- « C’est pas grave ! Pat me ramènera chez mes parents » Elle me fixa pour attendre mon assentiment
- « Euh, oui… Bien sûr, si tu veux, pas d’problèmes »
- « Viens on y va ! »lança t-elle aussitôt. « Faut que j’rentre maintenant »
- « Tu te changes pas ? »
- « Non, viens, j’me doucherai chez moi ! »

Je partis embarrassé sans vraiment saluer mes potes et la suivis en remarquant que son short lui rentrai dans le cul complètement.
Nous montâmes dans ma voiture et je démarrai le moteur, en montant un peu le chauffage, car elle ne s’était pas rhabillée du tout.
- « Tu veux rentrer maintenant ? » demanda t-elle en me regardant sans sourire.
- « Ben, non, comme tu veux ! J’suis pas pressé ! »
- « Tu connais la carrière de Gurémy ?
- « Pas vraiment ! »
- « C’est à vingt minutes d’ici ! J’vais t’dire comment on y va »

Pendant les 15 minutes qui suivirent, nous n’échangeâmes que des informations relatives à la route sans même nous regarder. La voie se rétrécit à un moment et un chemin de campagne sombre nous amena vers une petite carrière abandonnée.
J’arrêtai le moteur, pas très sûr de moi à cause du silence qui avait ponctué notre route.
Elle alluma le plafonnier et regarda le pare brise pendant quelques secondes, comme moi.

- « Bon, on fait quoi ? » demanda t-elle, amusée visiblement par la situation.
- « T’as envie de quoi, toi ? » répondis-je en me forçant à lui sourire pour briser la glace
- « J’sais pas. T’as envie que j’te suce ? »
Je ne pus m’empêcher de rire à la spontanéité de sa proposition.
- « Eh ben, toi dis donc, tu perds pas de temps ? »
- « Beh quoi ? T’as envie ou pas ? »
- « Euh… « je sentis ma queue se dresser en la regardant se mordre les lèvres. « A ton avis ? » demandais-je en cambrant mon bassin vers le haut pour montrer mon état.

Sans aucune hésitation, elle baissa mon cuissard. Ma queue jaillit littéralement sous son nez, ce qui la fit rire. Elle fixa mon membre et se pencha sans le prendre en main. Comme dans une scène de cinéma au ralenti, je vis sa tête descendre vers mon entrejambe et sentis bientôt une langue chaude se coller délicatement sur ma verge. Elle entreprit de me laper la queue doucement de bas en haut, puis gourmanda mes testicules. Ce manège dura une bonne minute et lorsqu’elle se releva pour me sourire, ma bite était dressée totalement.

- « Tu veux pas qu’on aille derrière, parce que là, j’ai la barre du levier de vitesse dans le ventre. Ou alors, je m’assois d’sus… » Elle rit de façon espiègle à sa plaisanterie.

Cette fille me plaisait énormément par sa simplicité, sans que je ne m’en rende totalement compte. Je sortis de la voiture, le shorty aux genoux et sautais à pieds joints vers la porte arrière. Je m’assis sur la banquette, prenant soin de lui laisser la place nécessaire à son merveilleux exercice et elle se mit à 4 pattes, le cul dressé bien haut avant de replonger la tête vers mes couilles. Son léchage dura encore un moment, puis elle me regarda en souriant :

- « Bon, ta grosse quéquette est bien dure, j’vais pouvoir passer aux choses sérieuses… »

Je sentis alors mon gland s’engouffrer dans sa bouche et heurter le fond de sa gorge, puis remonter vers ses lèvres si douces. Une dizaine d’aller-retour de la sorte faillirent avoir raison de mes capacités de retenue et je dus lui presser la tête fort sur mon gland pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Elle se laissa faire, puis me regarda avant de continuer à me sucer. Pendant les minutes qui suivirent, le rythme changea plusieurs fois, alternant du rapide bien bruyant au doux et gouleyant. J’étais aux anges, lui caressant alternativement la nuque, puis pressant sa tête pour lui montrer un semblant de domination et lui baiser la bouche au rythme voulu. A part quelques injonctions légèrement coquines et des bruits de succions ensalivées, ma pipe se faisait dans le plus grand silence.

A un moment, je regardai son cul cambré et pus me régaler de nouveau à la vue de son mini short rentré dans le creux de ses fesses. Je lui attrapai alors l’arrière du short et tirai le plus haut possible pour le lui rentrer dans la chatte et la raie.

Elle gloussa de surprise, mais se mit à faire bouger ses fesses, que je claquai de plusieurs fessées brutales. Puis ma main glissa vers son entrejambe et je réussis à lui rentrer deux doigts dans la chatte. Ma main s’activa peu à peu et elle se mit à miauler d’aise sous mon attention, tandis que je lui pressai ma queue au bord de la gorge. Mon éjaculation fut aussi soudaine que violente. Elle en fut surprise et me mordit légèrement à la première giclée mais je lui tenais la tête, oublieux de mon désir égoïste. Je lui branlai fortement la moule qu’elle avait soudain totalement souillée de cyprine et je la sentis déglutir fortement en lui maintenant la tête. Je pensais soudain, un peu honteux que j’avais du balancer une quantité impressionnante de sperme, tant je m’étais senti jouir. Elle resta en position quelques secondes encore, puis se releva vers moi, souriante et la bouche totalement maculée de sperme.

- « Putain la dose ! R’garde, tu m’as mis du foutre partout ! J’te plais comme ça ? » demanda t-elle en prenant la pose.

J’étais électrisé par sa remarque et tombais amoureux sur l’instant, je le savais.

- « tu veux m’rouler un patin ? »
- « Euh non, ça va ! » répondis-je en souriant d’aise.
- « Bon tant pis ! » Elle passa alors trois doigts sur ses lèvres et ramena le sperme gluant vers sa langue et avala sans ambages le restant de ma semence. « hummm. Y’en a plus ! » conclut-elle en tirant la langue. « On remet ça demain ? »

Avant que je puisse répondre, elle regarda sa montre et poussa un cri.
- « Han ! 8 heures ! faut que je rentre ! mes parents vont m’tuer si je rentre après mon frère. Ramènes-moi !

Dix minutes plus tard, j’arrivai dans sa rue, mais elle me demanda de stopper à cent mètres de chez elle, sous un arbre sombre. Elle me regarda et je lui posais un petit baiser sur les lèvres. Elle sembla hésiter.
- « Attends, pas comme ça ! » Puis elle se pencha de nouveau sur mon cuissard, qu’elle baissa une nouvelle fois et me lécha encore le gland et la queue, qui ne devait pas sentir la rose pourtant.

Elle continua une dizaine de secondes puis se releva enfin en me laissant la bite à l’air
- « Maint’nant, j’te dirai toujours au revoir de cette façon là ! Comme ça, tu pourras pas m’oublier… » puis elle sortit sans un mot de plus avant de rentrer chez elle en remettant son jean sur son merveilleux petit short noir.
Quant à moi, je savais, comme elle l’avait souhaité, que je ne l’oublierai pas de si tôt….

Le lendemain, mes pensées furent totalement happées par la séance de sport du soir. J’espérais qu’elle soit là et pour tout dire, je craignais son absence. Cela me mettait mal à l’aise, mais avec beaucoup de persuasion, je pus finalement me convaincre que cette fille n’était qu’une passade et qu’elle était venue pour s’amuser et tester sa séduction, et qu’en définitive, elle ne serait pas là le soir même, ni les autres soirs. Je trouvais à cette déduction une sorte de sérénité, mais à mon arrivée à la salle, elle était déjà là, sans son frère cette fois. Il y avait juste avec elle, Eric, un copain assez timide et qui se tenait à l’écart, mal à l’aise sans doute de se retrouver avec une beauté aussi brute et assez sauvage. Cathy elle-même ne semblait pas apprécier cette présence et à mon arrivée, elle me désigna tout de suite la salle d’un regard impatient :
- « Tu viens, on y va ? »
- « On n’attend pas les a… ! Bon c’est pas grave, ok, on y va ! »

Je me sentais mal à l’aise de changer mes habitudes avec les copains, mais mon cœur s’était mis à battre la chamade et cette nana m’attirait comme un aimant dans son monde de brusquerie un peu naïve, si loin des conventions d’usage. Ca me plaisait finalement de remettre tout cela en question.
Une fois que nous fûmes rentrés, je me dirigeai vers les toilettes :

- « ca te gène pas si je pisse un coup avant de te laisser la place ? Avec ce froid j’ai une envie à mourir. »
- « Non, mais je rentre aussi ! J’ai pas envie que tu me laisses avec l’aut’ pingouin là ! »

Puis elle entra dans les toilettes et referma à clé derrière elle.
Enfermée avec elle dans ce cabinet intime, je savais que mon compte était bon vis-à-vis des autres. J’en haussais les épaules et vidai ma vessie, qui était l’urgence prioritaire à régler. Je la vis se changer derrière moi, enfiler un mini string blanc sur sa chatte fraichement rasée, puis son merveilleux petit short noir.
Lorsque je tirai la chasse d’eau, et m’apprêtai à refermer ma braguette, elle me prit par les épaules, me retourna vers elle et lança une œillade rapide vers mon membre.
- « J’t’ai pas encore dit bonjour aujourd’hui, mon chéri… » puis elle s’accroupit, sentit mon dard.
- « Elle sent pas aussi fort qu’hier soir, ta bite… »
- « j’me lave de temps en temps tu sais ! mais si tu veux après la séance, on peut aller chez moi ; j’te ramènerai après. »
- « Non, j’reste chez toi ! j’ai dit à mes parents que je dormais chez une copine. T’as envie que j’dorme avec toi ? » Puis elle engouffra ma queue jusqu’à la garde.

Une nouvelle fois, elle me prenait de court (contrairement à ma queue, je sais…). J’étais aux anges qu’elle m’accorde les mêmes attentions que la veille dès son arrivée ; mais elle allait vite, continuant de piétiner tous les tabous sociaux.
Je la regardais se gaver de ma queue sous un sourire animal et ne pus que lui répondre :
- « Oui… J’en ai envie ! »
- « Hehehe ! » Contente de ma réponse, elle laissa alors ma queue rigide et attrapa dans mon sac mon cuissard de la veille.
- « Tiens, mets le maintenant ! »
- « Non, j’ai pris un short ! Celui-là est pas lavé. »

Elle porta mon cuissard à ses narines et aspira un grand coup.
- « Hummm ! Ca j’aime bien ! Ca sent le foutre et la bave d’hier… Tu vas pas débander de la soirée avec ça ! Et puis tiens, r’garde bien mon gros cul puisqu’il te plait ! » elle remonta alors son short coton à mi-fesses. « j’en envie qu’tu m’baises toute la nuit !!! » Puis elle m’enfila mon cuissard sur ma queue rigide et sortit des toilettes en me tirant vers la salle par la main.
A ma grande crainte, bite totalement dressée, je vis que tout le monde était là…

Comme cela devenait une habitude maintenant, tout le monde nous regarda, elle d’abord, sûre de son fait et totalement insouciante à l’idée de montrer une bonne moitié de son cul à l’assistance alors qu’elle était si timide la veille à son arrivée dans le groupe, puis moi, pauvre victime de cette lolita, presque ridicule avec ce cuissard déformé par mon envie insatiable de baiser cette coquine au plus vite et qui se comportait comme un compagnon docile alors que j’avais 9 neuf ans de plus qu’elle.
Elle s’installa sur le seul équipement libre, un stepper, sorte de machine archaïque en ferraille avec des emplacements de pieds pour géants ; mais elle était décidée et rien ne la ferait changer d’avis je le savais.

- « Génial, je vais pouvoir perdre des fesses cette fois ! Allez, j’commence, après c’est à toi !»

Je ne savais plus quoi dire, d’autant plus que le miroir qui faisait face à la machine me renvoyait le regard amusé de mes copains de sport, qui trouvait là une vengeance légitime au soudain désintérêt que j’accordai à leur groupe pour des plaisirs peu avouables.
Cathy ne s’en offusqua pas et commença à pousser sur le step qui faisait un bruit épouvantable et accroissait l’attention des autres acteurs de la salle.
Ils n’en perdaient pas une miette d’ailleurs. Les fesses de Cathy leur étaient livrées sur un plateau, d’autant plus que son exercice la forçait à se déhancher et que son short ridiculement petit s’était vite enfoncé dans sa raie magnifique.
Elle en fut consciente, car elle ne put s’empêcher de sourire en voyant dans la glace le regard insistant des autres, mais accentua plus encore son mouvement de fesses.
Ce qui me restait d’honneur étant bafoué, j’en profitai pour l’encourager d’une claque vigoureuse.

- « Allez pousse plus fort si tu veux vraiment un cul d’athlète. Clac !!! »
- « Hé, tu vas m’faire une marque ! » mais elle roula des fesses plus encore en se penchant en avant et en me glissant une œillade d’envie.
- « Tu veux que j’te prenne là tout suite ? » dis-je en caressant discrètement ma queue dressée.
- « T’es fou ! » chuchota t-elle. « On va t’entendre. Y vont s’douter de quelque chose… »
- « Mais non ! » ironisai-je. « J’vois vraiment pas pourquoi ! Bon alors, t’es sûre ? »
- « Arrête ! Attends ce soir… Tu vas voir, j’vais être bien musclée ! Tu pourras pas résister »
- « Ecoute… » dis-je en me rapprochant d’elle, sérieux, « viens, on s’en va, j’ai trop envie d’toi. »
- « Humm, c’est vrai ? » elle continuait à accentuer son déhanchement de fesses.
- « Faut qu’j’te baise, j’en peux plus ! »
- « Et si j’venais plus finalement… » demanda t-elle espiègle.

Je la fixai incrédule et rouge d’une colère soudaine.
- « Va te faire foutre ! J’en ai marre de ton cinéma, j’me casse ! » Puis je partis prendre mes affaires dans les toilettes.
- « Attends ! » J’entendis derrière moi la machine s’arrêter d’un coup et elle m’appela.

Mais je sortais de la salle, énervé. Au moment où j’arrivai à ma voiture, je l’entendis courir vers moi.

- « He, tu fais chier, tu vas m’laisser toute seule avec tous ces cons ! »

Je la fixai l’air méchant sans répondre. Son expression changea, puis elle vint se coller contre moi et mit ses bras autour de mon cou.
- « Tu me pardonnes dis ? »

Je ne répondais toujours pas, mais mon regard s’était adouci un peu malgré moi.

- « j’aime bien quand tu t’mets en colère… Ca me donne encore plus envie, tu sais ? Bon tu m’emmènes, parce que moi aussi, j’ai vachement envie maint’nant ! »

Baratin ou pas, je lui ouvris la portière et nous partîmes en silence vers mon appartement de célibataire.
Une fois sur place, elle porta un regard circulaire à mon logement, fit la moue, puis partit finalement dans la salle de bain.

Une bonne demi-heure plus tard, après que je me fus douché moi aussi et eut enfilé un peignoir, je la trouvai affalée dans le canapé, resplendissante, avec un paquet de chips dans les mains et une bouteille de coca. Elle était en string avec juste un tee shirt qui la couvrait à peine.

- « Tu veux perdre des kilos et t’avales ces cochonneries ? »
- « Pourquoi, t’as autre chose à me faire avaler ? »

Je ris en hochant la tête à sa plaisanterie, puis vint me coller à elle.
- « Tu m’fais un massage ? J’ai des courbatures dans les fesses. J’ai trop forcé, j’crois »

Puis sans attendre ma réponse, elle se mit sur le ventre et retira son tee shirt. Je pouvais voir la petite ficelle de son string s’enfoncer entre les rondeurs de son fessier.
Je fis mine de lui masser le dos quelques secondes, puis très vite descendit vers ses reins.
Je faisais des grands mouvements circulaires pour me permettre de lui presser les globes fessiers à pleines mains dans un massage plus érotique que récupérateur. Elle grognait d’aise, visiblement peu déçue que j’abandonne le massage du dos et des épaules, tant prisée pourtant par les femmes.

- « Ouais là, vas-y c’est là que j’ai mal ! »

J’en profitai pour lui retirer son string et je pris ses fesses une à une, à pleines mains, les écartant pour bien voir son petit trou culier. Son anus était foncé et bien rasé. Sa chatte, elle, était rose et légèrement humide, mais c’est son cul qui m’envoutait. Plusieurs fois, je passai un doigt puis deux sur sa petite rosette ; j’en profitai aussi pour masser ses grandes lèvres sous ses gémissements étouffés.

- « Ah, cochon, t’en profites ! »
- « Tu veux qu’j’arrête ? »
- « Nan ! Non, surtout pas ! Tu fais ça bien… »

J’appliquai un baiser sur ses fesses en les mordillant tendrement, puis commençai à les lécher en me rapprochant peu à peu de sa vulve. Elle écarta un peu les cuisses pour me faciliter le passage et je me mis à aspirer ses lèvres juteuses entre les miennes, avant de lui titiller le clitoris. Je continuai pendant une trentaine de secondes en pressant ma langue de plus en plus.

- « Ooooh ! Oh oui… » Elle gémissait en se mordant une de ses mains.

Puis lentement, je me rapprochai de son petit trou. Je sentais son odeur musquée et commençai à écarter ses fesses à fond pour rentrer ma langue dans son anus. Puis ma langue s’activa pour lui humidifier la rondelle d’un gros paquet de salive. J’avais envie de la prendre tout de go et je m’aperçus que ma queue était sortie de mon peignoir.
Comme la veille sur le tapis roulant à la panne d’électricité, je me retrouvai bien vite affalée sur elle, la queue cherchant à la pénétrer. Cela ne prit pas plus de deux ou trois secondes car elle cherchait de toute évidence en même temps que moi à faciliter une pénétration rapide. Très vite, la sensation fut merveilleuse ; pour elle aussi car elle se mit à bouger frénétiquement en quête d’un coït violent.

- « Ouais, vas-y ! Oh oui, plus fort ! »
Je la saisis par les épaules et me mis à la bourrer à fond. Elle était bien humide car sa chatte fit des bruits de clapotis bruyants. Elle tournait la tête vers moi en grimaçant mais n’en continuait pas moins à s’offrir sans retenue.
Cet accouplement bestial aurait pu continuer ainsi jusqu’à la libération rapide de mes testicules, mais il se passa alors un incident qui resterait graver à jamais dans nos mémoires. A un moment que je la pistonnai si fort que ma queue sortait et entrait dans son vagin en un rythme effréné, je sentis soudainement une résistance anodine le temps d’une micro seconde. Je recalai alors ma position, pensant avoir frappé l’entrée de son vagin moins précisément qu’à l’habitude et reprenais mon mouvement de piston. Je la vis alors grimacer franchement et tourner sa tête vers moi, comme si elle était surprise. Je regardai vers son entrejambe pour voir si je ne lui avais pas fait mal malencontreusement et quelle ne fut pas ma surprise de retrouver ma bite plantée dans son anus…
Ce merveilleux petit cul que je chérissais du regard depuis deux jours se faisait pilonner littéralement sous mes coups de butoir sans que je ne l’eus provoqué. J’en arrêtai mon mouvement de surprise, mais elle me regarda en tournant la tête et me lança :

- Nan ,allez continue maintenant qu’t’es rentré ! Encule-moi fort ! »

Cet encouragement fit tomber mes derniers remparts. Je la saisis par la nuque cette fois et me mis à la défoncer sans aucune retenue décidant d’ignorer ses halètements jusqu’à l’issue qui me conduirait au plaisir suprême. Cette fois encore, ma bite entrait et sortait de son petit trou dans une série de bruits obscènes. Mais à un moment, ma queue heurta sa fesse et rata l’entrée de son fondement. Je m’apprêtai à la saisir à pleine main pour la replanter dans son trou sacré, lorsque mon cœur se souleva. Ma queue était pleine d’excréments… Son trou du cul béant laissait échapper les mêmes salissures. Elle se demanda pourquoi je ne continuai pas à la baiser et lorsqu’elle tourna la tête, elle ne put retenir un cri de surprise.

- « Han ! »

Puis elle s’affala sur le lit et éclata d’un rire libérateur. Je me mis à rire moi aussi et me collais contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire, me rendit mon baiser passionné avant de se lever pour aller dans la salle de bain.
Lorsque nous nous fûmes nettoyés de nos ébats trop intimes, elle m’entraîna dans ma chambre et se colla contre moi, tendre et féline à la fois. Elle se mit à me parler d’elle, puis à me confier ses secrets de jeune femme, me livrant ses rêves enfouis au plus profond de son cœur. A mon tour, elle m’interrogea sans retenue sur ma propre vie par des questions toujours simples et directes.
Elle me plaisait énormément, mais l’heure passait et il fut bientôt trois heures du matin. Nous grignotâmes un petit casse croûte et nous couchâmes amoureusement dans les bras l’un de l’autre. J’allai fermer la lumière lorsqu’elle m’embrassa et me déclara en souriant :

- « Au fait, t’as pas joui toi… Ca t’fait rien ? »
- « Ben si… »
- « Attends, je vais résoudre ce petit problème. Tu m’as bien baisée ce soir ; tu mérites bien quelque chose… » Puis, comme la veille, je vis sa tête disparaître sous les couvertures avant de s’emparer de ma verge. Sa pipe fut une nouvelle fois formidable, mais courte, car je ne fis rien pour retenir mon éjaculation. De nouveau, elle avala tout, puis lorsque ma queue fut bien propre, elle revint se coller contre moi sans rien dire et me demanda de fermer la lumière.

Notre relation dura deux ans. Deux années de rendez vous ponctués de baise ou de jeux érotiques, deux années merveilleuses de complicité où nous nous livrâmes cœur et corps confondus, prenant pourtant conscience au fil du temps que nos vies se sépareraient un jour par le fait d’une raison qui sait toujours attendre patiemment son heure pour mettre fin aux passions les plus fortes lorsqu’elles s’essoufflent sous l’effet de quelques matins trop tranquilles…

Et un jour, elle partit… Moi aussi d’ailleurs ; nous partîmes tout simplement vers une vie différente faite de normalité et d’équilibre. Elle eut un enfant avec un homme qui disparut de sa vie comme bien d’autres avant lui ; j’en eus un avec une femme qui réussit à rester plus longtemps que les autres.

Dix années s’écoulèrent sans que j’eus de nouvelles d’elle, ni que je cherche à lui en donner d’ailleurs, ne sachant même pas où la joindre. Je faisais toujours du sport, courant le plus souvent sur les grandes plages du Nord, qui me renvoyait un horizon moins morne que mon tapis roulant de jadis.

Et puis un jour d’été, ayant opté pour un footing sur une plage peu fréquentée sous un soleil de plomb, je passai en courant près d’une naïade très bronzée allongée sur une serviette de bain ; Elle était quasiment nue, ce n’était un string léopard qui lui scindait les fesses en un sillon trop visible ; je ralentis juste pour le plaisir honnête d’un coup d’œil prononcé sur ses formes généreuses avant de m’arrêter tout à coup. Ce cul magnifique et offert aux caresses du soleil sur cette plage quasi déserte, je le reconnaissais sans aucun doute ; cette cambrure animale et ce fessier si rond pour un corps aussi svelte, je n’en connaissais pas d’autre. La belle semblait endormie sous l’effet du soleil. Je tentai un appel timide ; mon cœur battait à tout rompre.

- « Cathy ? »

Elle bougea légèrement la tête, puis les fesses en un mouvement félin qui livrait sa vulve à mon regard d’envie. Je me mis à bander immédiatement.
Puis elle tourna la tête, les paupières chargées d’un sommeil léger de fin d’après midi et se cacha les yeux du soleil avant de montrer son étonnement :

- « Pat ? C’est toi ? »

Je lui adressai un grand sourire ; cette rencontre me comblait de joie. Elle était toujours aussi belle et plus mature assurément ; ses attitudes semblaient plus posées, mais elle avait toujours ce corps explosif et totalement épanoui maintenant. Je remarquai en outre, quand elle se leva sans rien cacher de son corps dénudé, que ses seins étaient siliconés. Ils étaient très gros et ronds. C’était véritablement excitant.

- « T’as pas changé » lui lançai-je naturellement. « Toujours aussi magnifique… et
craquante ! »

Elle baissa le regard et regarda mon short.

- « Toi non plus, t’as pas changé ! » répondit-elle en riant. « Toujours aussi… bandant ! »

Je fus gêné par sa remarque après ces dix ans de silence mais je finis par sourire et m’assis à ses côtés, oubliant mon érection. Nous discutâmes de nos vies respectives, comblant toutes ces années d’ignorance de petits riens et de grands évènements.
Une heure plus tard, le soleil était bas et elle voulut se rhabiller. J’en profitai pour détailler son corps et la désirer plus encore. Elle le sut et ne fit rien pour presser son geste malgré le vent frais qui montait. Puis vint l’heure de la séparation. Nous tardions à nous dire un au revoir peut-être ultime, et comme souvent par le passé, c’est elle qui prit les devants :

- « Ecoute, je suis seule cette semaine ! Peut-être on pourrait… enfin si tu as du temps… Tu pourrais passer chez moi. J’habite face à la carrière maintenant. Tu te rappelles ? »

Elle sourit, mais ses yeux étaient tristes, d’une nostalgie qui appartient à un passé trop lointain.

- « Oui ! » dis-je sans hésitation. « Quand ? »
- « Demain soir ? »
- « Ok, je serai là ! » Puis je lui fis un petit bisou sur le coin des lèvres. Elle ne bougea pas.

Le lendemain, à l’heure dite, j’étais là avec un bouquet de fleurs. Elle ouvrit la porte de sa maison pieds nus et avec une petite robe d’été échancrée sur ses seins.
Elle respira mon bouquet avec un plaisir confondu, puis m’entraîna dans son salon. Une bouteille de champagne nous attendait sur un guéridon et une petite musique renforçait l’impression d’érotisme qui planait tout autour de la pièce.

- « Il faut qu’on fête nos retrouvailles, tu ne crois pas ? »

Quatre coupes et quelques slows plus tard, nous étions dans les bras l’un de l’autre. Sous l’effet de l’alcool rapide, nos pas de danse étaient moins harmonieux et Cathy parlait exagérément fort, riant à chacune de mes réponses, même quand mon humour manquait d’originalité.
Mes mains devenaient franchement baladeuses, passant de ses hanches à ses fesses, puis de son cou à ses seins qui débordaient de plus en plus de son corsage, et à un moment, elle saisit ma queue à pleine main en riant une fois de plus.

- « Si tu continues à m’tripoter comme ça, moi aussi j’vais t’attraper ta grosse bite ! »

Puis elle colla ses lèvres contre les miennes sans vraiment m’embrasser. « Au fait, j’t’ai pas dit bonjour aujourd’hui.

- « C’est vrai, ça ! « répondis-je en lui saisissant les deux fesses à pleines mains sous sa
robe. « J’t’ai connu plus polie dans le passé… »

Elle me lança une oeillade coquine, puis se laissa glisser sur les genoux sans me quitter des yeux. Elle attrapa ma ceinture et commença à me le retirer en bougeant frénétiquement son cul. Lorsque mon pantalon fut à mes chevilles, toujours sans me quitter des yeux, elle remonta d’un grand mouvement de langue le long de ma verge à moitié dressée. Elle accentua peu à peu son rythme et donna de gros baisers bruyants sur mes couilles que j’avais rasées au cas où pour l’occasion.
Puis comme je l’avais espéré toute la journée, elle me suça avec l’avidité que je lui connaissais jeune fille. Je réussis à dégager ses deux grosses mamelles de sa robe et me mis à les presser sans retenue. J’étais dans un état second, mais c’est le moment qu’elle choisit pour arrêter sa pipe majestueuse et quitter le salon.

- « Attends-moi, je reviens… J’ai une surprise pour toi ! »

Je restai là comme un idiot la bite dressée et le gland rouge d’envie, mais je pris mon mal en patience, espérant que mon supplice serait récompensé en double à son retour.

Lorsqu’elle revint, elle était nue à l’exception du petit short noir qu’elle portait lorsque je l’avais rencontrée la première fois. Je restai ébahi qu’elle eût conservé ce vêtement du passé, mais j’avoue que la voir enfiler cette pièce du musée de nos mémoires me fit un énorme plaisir. En outre, son corps épanoui, ses seins démesurés et son fessier toujours aussi fabuleux renforçaient mon envie de la posséder toute entière et sans tabous. Elle avait remonté le short très haut sur ses hanches et quand elle fit un demi-tour rapide pour me montrer ses fesses, elle me demanda non sans un plaisir certain :

- « Alors, il me va toujours aussi bien ? »
- « Il est un peu usé, mais je dois avouer que… ma bite me fait toujours aussi mal ! »

Elle répondit en gloussant à ma remarque et se mit à marcher en roulant des fesses dans la maison pour m’exciter plus encore.

- « Tu sais, je l’ai jamais remis depuis la première fois où on s’est vu chez toi et que… tu te souviens ? »
- « Tu veux parler de… ton petit relâchement anal ? »
- « La honte… quelle aventure merdique, non ? »

Elle était aux anges de réveiller ces merveilleux souvenirs que nous avions gardés enfouis en nous si longtemps. Elle batifolait autour de moi, mais je n’en pouvais plus ; j’étais totalement excité et j’avais envie de la prendre fort sur l’instant. Il le fallait absolument. A un moment, alors qu’elle venait me frôler en me présentant son short rentré dans les fesses, je l’attrapai et me collai à elle dans son dos. Je lui pressai les seins comme un forcené, tandis que ma queue toujours libre et pleine pressait contre le dos de son short.
Elle dansait contre moi et de ses mains, se mit à me presser les couilles fortement aussi.

- « Et ben dis donc, tu vas quand même pas m’enculer encore une fois, gros cochon ? »

J’étais dans un état second et ses paroles m’électrisèrent. D’un coup, je lâchai sa poitrine et mis mes mains en opposition sur son petit short, avant de tirer violemment sur le tissu d’un coup sec. Son mini short explosa sous la pression et libéra son cul déjà largement offert. Puis ignorant son cri de surprise, je m’agenouillai et passai ma bouche entre son sillon fessier pour lui lécher l’anus goulument. En moins de trente secondes, je lui avais bouffé le cul et inséré deux puis trois doigts injectés de bave dans la rondelle. Elle s’offrait sans retenue et je la doigtai violemment sous ses gémissements. Puis n’y tenant plus, je me remis debout et la sodomisai d’un cou sec et profond.

Elle grimaça, aussi la besognai-je doucement pour lui laisser le temps de s’ouvrir pleinement et de prendre le plaisir que je voulais lui donner pour renforcer la magie de cette soirée. La sensation de la pénétrer debout par les fesses et de voir mon pieu disparaître entre les lambeaux de ce petit short fétiche était grandiose et peu à peu je lui rentrai l’intégralité de mon membre dans sa rosette qui se transformait peu à peu en chou fleur. Lorsque je fus certain qu’elle commençait à prendre du plaisir à ma pénétration, je la penchai légèrement en avant et me mis à la pistonner plus violemment. Elle bougeait les fesses en mouvement comme pour m’inciter à aller plus fort et plus loin. J’alternai mon mouvement de reins, tantôt lent et dansant, laissant ma verge la pénétrer tout son long pour mieux planter mon gland au fond de son fondement, tantôt animal et brutal, la bourrant sans retenue jusqu’à la voir vaciller sur ses jambes.

Puis je sentis la jouissance arriver et la pris dans mes bras, serrant son dos fin et voluptueux contre mon torse sans plus bouger, ma queue totalement fichée dans le fond de ses entrailles. La sensation d’éjaculer dans son cul sans bouger fut inouïe et elle eut un orgasme elle-même en sentant ma semence lui remplir l’anus. Nous restâmes quelques secondes immobiles laissant nos sueurs se mélanger corps contre corps, puis sentant ma queue toujours droite, je continuai un mouvement léger dans ses fesses, guettant sa réaction au cas où elle aurait un peu mal après notre coït brutal, mais elle continua à se livrer, sa tête contre mon épaule et sa main dans la mienne. Mon mouvement s’accéléra peu à peu et je la mis à quatre pattes sur le sol pour l’enculer de plus belle. J’en voulais encore de son cul, je voulais le chérir, je voulais le meurtrir jusqu’à l’abandon de mes forces et de ma virilité.

Notre second accouplement anal dura beaucoup plus longtemps dans une succession d’images merveilleuses et de luttes sensuelles. A un moment, alors que nous étions face à un long miroir, je la soulevai par les cuisses pour la porter vers le haut. Ma queue était toujours fichée dans ses fesses et je buvais son image de poupée désarticulée renvoyée par le reflet du miroir. Je pouvais voir, entre ses jambes écartelées par mes mains et ses pieds qui dansaient de bas en haut, sa chatte bien ouverte sous une pellicule de cyprine baveuse et surtout sa rondelle totalement dilatée se faire lapider par ma queue qui ne cessait de la marteler au plus profond de ses entrailles. Ses gros seins rebondissaient en une danse merveilleusement obscène tout comme son regard qui abandonnait toute sa beauté au plaisir pur de se faire baiser jusqu’à l’excès.

Quelques bruits de pets incongrus provoqués par l’écoulement de son jus intime sur ma queue tendue eurent raison finalement de mon restant d’humanité et je balançai pour la seconde fois sous un cri de hyène en rut ma semence impure dans son trou béant. A bout de forces, je sentis ma queue ramollir et mon sperme s’écouler le long de ma verge, rejeté comme un filet de jus trop gras de son oignon béant pour finalement s’échouer sur les restes de son minuscule vêtement écartelé.
Nous tombâmes sur le sol sans nous regarder pendant une bonne minute, puis nos mains s’attrapèrent et nous finirent dans les bras l’un de l’autre.

Je me relevai le premier, la contemplant allongée sur le sol, s’abandonnant à ses premières réminiscences pour mieux rejeter la conscience du présent dérisoire.
Je ne pus m’empêcher de contempler les dégâts de mon désir d’un soir sur ce mini short que j’avais tant chéri. Déchiré, meurtri, souillé de plaisirs impies, ce dérisoire objet de désir portait en son linceul les secrets de ma plus belle conquête, mais aussi de mon plus grand amour.
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Histoire de Sparte

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Commentaires du récit : Le petit short noir

Le 09/02/2018 - 09:04 par gailuron69
Très belle histoire qui mériterait une suite.
Le 07/04/2010 - 21:30 par Paradise Kiss
Super histoire ,vraiment bravoo !!
Le 04/06/2009 - 16:55 par shana
J'ai adoré ton histoire, et la façon dont tu l'as racontée. Merci pour ce petit moment très agréable.
Le 03/01/2009 - 00:00 par SeXyGirl27
Très bonne histoire ! Bien écrite ! Bravoo !!

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