ACCUEIL > Divers > Récit : 17 ième siècle

17 ième siècle

+84

Lue : 11431 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/01/2014

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je rentre de la messe. Toute la famille est en conversation avec un vague voisin plus âgé que moi : il m’écœure un peu quand il me regarde avec des yeux envieux. Quand il part, mon père m’explique que je dois me marier avec lui : nos terres seront ainsi plus grandes, nous serions plus prospères. Ils ne s’intéressent qu’à l’argent. Je n’ai pas mon mot à dire. Je dois me marier avec lui. Et dire que nous sommes au XVII° siècle.

Je ne suis pas sotte, je sais comment font les animaux, les taureaux et les vaches, les chevaux et les juments. Je suis une fille, je sais comment il va faire avec moi, Pouah ! Il va me monter dessus, me mettre par derrière son machin ? Je n’en veux à aucun prix, ce que je dis à mon vénéré père qui m’ordonne d’accepter cette union. J’ai encore de la chance dans mon malheur, je suis encore une fille à 19 ans : c’est tard pour un mariage, même arrangé.

C’est comme ça que je me trouve dans la même chambre que lui. Il me force à rester nue. Je suis une bête sur le foirail, il me regarde dans tous les sens. Je dois lever les bras : il veut voir si mes mamelles sont belles. Il me force à écarter les jambes pour venir y mettre sa main. Il fouille mon minou. Il va bien plus bas sur mon petit trou ; Il y met difficilement un doigt sec. Il me fait mal. Il me laisse ainsi au milieu de la chambre quand il se déshabille ; je vois un homme nu pour la première fois. J’en suis émue quand je remarque son sexe droit. Il fait comme un cheval, il bande. J’ai peur de son engin, j’ai peur qu’il veuille me la mettre rapidement. S’il pouvait attendre un peu, demain soir par exemple.

Il sait que j’ai peur : il me demande de lui prendre le sexe dans la main. Uniquement pour lui faire plaisir, j’empoigne cette queue : c’est dur et souple à la fois La peau est lâche, elle laisse sortir le bout violet. Je le lâche apeurée. Je dois le reprendre dans la main. Il remet sa main sur mon minou. Il y est doux, elle caresse comme il ferait avec un agneau. Mes poils se lissent sous ses doigts.

Il a tous les droits sur moi, je suis sa servante. Ma mère m’a bien dit de lui obéir. Voir ce qui se passe chez moi entre mon père et ma mère, je sais que je ferais comme elle : ce que je veux. En attendant je dois y passer.

Mon mari me fait coucher sur la paillasse. Elle est neuve, je m’y enfonce trop. Et ses mains encore sur moi, plus câlines qu’au début. Il me caresse les seins : je ne voulais pas au début, mais il insiste tellement. Finalement c’est agréable ces caresses douces sur mes seins. Je les sens gonfler doucement. Ce qui l’étonne est de sentir mon entre jambes se mouiller seule. Je sens une envie d’autre chose de plus concret.

Il est contre moi, il me serre dans ses bras : il montre sa force. Je lui montrerai plus tard mes capacités à le dresser comme mon père. Il veut me pénétrer : je le laisse faire : je sens son engin entrer dans mon sexe. Il en sort pour entrer à nouveau : je comprends qu’il cherche son plaisir, uniquement son plaisir. Je vais lui en donner, même si je n’en prends pas.

Mais je sens mon minou se serrer contre sa queue. C‘est involontaire. Je suis autour de lui, de son sexe, il grossit encore en moi. Mon Dieu il ne va pas me faire une enfant ? Si, je sens un jet puissant de sa semence dans le con. Je sens surtout un plaisir nommé orgasme qui s’étend dans mon corps. Que c’est bon, qu’il recommence. Il ne peut plus, le sagouin.

Je prends sa bite quand il sort de moi, je le caresse comme j’ai vu faire ma mère une fois. Je monte et descend ma main le long de sa queue. Il est à nouveau en l’air, dur comme il faut. Maintenant je veux tout connaitre, même ce qu’il ne connait pas encore. S’il le faut je demanderais à d’autre de m’apprendre. Il me met sur le ventre. Je sens sa queue contre mes fesses. Mon Dieu, il va me défoncer le cul. Je m’y attendais un peu.

Non, il est très doux, il a mis pas mal de salive sur le petit trou. Je sens le bout de sa queue juste sur l’anus. J’attends à la fois inquiète et impatiente. Il écarte mes chairs en entrant en moi : il va m’ouvrir en deux. J’ai mal. Je le sens bien glisser en moi, j’ai encore mal ; Il arrête quand ces poils sont sur mes fesses. J’ai moins mal. Il me demande une chose incorrecte : me faire moi-même du bien. Je ne sais pas ce qu’il veut. Je sais que certaine, pour se faire bien voir le font, pas moi, je ne sais pas tout simplement.

Il est toujours dans mon petit trou qu’il a élargi. Il y bouge doucement : je sens une drôle d’impression, un nouveau plaisir qui s’avance lentement à mon insu. Brusquement mon trou de ferme, s’ouvre, se ferme, s’ouvre encore une fois : il me fait jouir du cul. C’est aussi bon derrière que devant. Dommage, il débande encore. Décidément il ne tient pas le coup. Il me faudra faire comme maman : un amant qui me prendra dans les champs.

Il s’endort comme uns souche. Je réfléchis à ce qu’il demandait tout à l’heure : me caresser. Je mouille encore, je pose ma main sur le minou, j’ai envie de me toucher pour voir, comme ça par curiosité. Je trouve un morceau de chair très sensible. Je le caresse doucement puis plus vite. Mes deux doigts suffisent juste pour me calmer quand je jouis encore plus fort qu’avec mon mari. Je recommence encore pendant qu’il dort.

Je me lève bien avant lui pour préparer la soupe du matin. Devant la cheminée j’ai encore envie de me faire du bien. C’est simple, je n’ai qu’à lever le jupon pour me trouver cul nu. Ma main est vite sur le bout de viande, je caresse jusqu’à jouir encore. Je change d’endroit en me touchant le petit trou, j’y entre un peu un doigt. Je suis dégoutante, mais c’est bon, je le fais aller et venir dans le cul. Ca y est je jouis encore.

Il me surprend en se levant plus vite que prévu : j’ai encore ma main entre mes jambes. Il n’est pas sot, il sait que je me donne du plaisir. Sans rien dire, il s’assoit sur le banc à côté de moi, passe sa tête sous mon jupon, cherche mon sexe. Sa langue fouille et je me laisse faire, c’est si bon. Son nez est blotti dans mes poils, sa bouche sur toute ma moule, sa langue est fixée sur le bout de viande. Il me lèche sans cesse. Le plaisir m’envahit. Je suis jambes écartées le bas ventre contre lui, le corps en arrière, ma tête renversée. J’attends le plaisir sans impatience : je sens venir des spasmes partout : je jouis encore. Il me fait tourner, passe sa langue dans la raie des fesses. Il va là où je ne le pensais pas, il est sur mon cul. Il lèche comme fait le chien à la chienne. Je suis sa chienne, je m’ouvre. Il entre sa langue. Il me tient par les cuisses. En me penchant complètement je vois sa queue droite. Il a envie de moi. Non, il prend la queue dans sa main, il fait monter et descendre la peau qui montre son bout. Il va vite, très vite, je vois le jet de semence partir vers mes fesses puis par terre. Il me dit que la prochaine fois il jouira dans ma bouche. Pourquoi pas, j’apprends tout ce qu’il faut pour être un jour, qui sait la favorite du roi.

Je dois livrer des légumes au palais, sans doute que le roi ou un noble me verra et me demandera de coucher avec lui. C’est ma fortune assurée.
84 vote(s)


Histoire de fabrissa

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : 17 ième siècle


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :