Lettre d'après amour

Je préfère t’écrire notre amour.

Hier, nous avons fait l’amour pour notre première fois. J’en étais toutes retournée des multitudes de plaisirs que tu m’as donné, de ceux que je t’ai donnés. Depuis notre rencontre, il y a une quinzaine de jours j’espérais ces moments. Et tu as enfin osé me demander de me faire l’amour. Je ne te l’ai pas avoué, mais je le fais là : je me suis masturbée plusieurs fois, même en présence de mon mari en ne pensant qu’à notre union espérée.

Je t’attends dans cet hôtel en bas de Montmartre. La chambre est pleine de soleil quand tu arrives. Tu m’as dit combien tu me désirais. Je n’ai rien dit, je t’embrasse simplement sur la bouche. Je me serre contre toi : je te sens durcir. Tu as envie de moi et moi de toi. Pourtant nous sommes comme des ados qui connaissent l’amour pour leur première fois.

Tes mains sont venues sur mes hanches, sont remontées un peu pour prendre le bas de mon t-shirt et le remonter pour l’enlever. J’étais pratiquement décoiffée quand tu l’as enlevé. Je reste un peu godiche sans trop oser te toucher. Tu as heureusement continué : ta main a monté ma jupe plissée. Je la sens tomber quand tu as défait la fermeture. Je suis presque nue et toi encore habillé. Je n’ose pas, bête que je suis, te toucher encore. Ta bouche est sur mon cou, va sur ma gorge. Tu défais le soutien-gorge. Mes seins sont à toi. Tu embrasses le gauche d’abord, tu le suce un peu avant de me prendre l’autre dans tes lèvres. Je te regarde. Je suis excitée.

Maintenant je prends le premier bouton de ta chemise, je le défais, tu me laisse faire en souriant. J’adore ton petit sourire. Je ne peux finir ce que j’ai commencé, c’est toi qui enlève ma culotte en dentelle. J’ai envie de toi, mon pubis se tend vers toi. Si je force un peu je vais toucher ta queue à travers ton pantalon que tu enlèves enfin. Un nuage cache le soleil, il doit avoir honte de nous voir aussi impudiques avec un ou une finalement presque inconnu.

Le nuage s’en va, le soleil nous voit encore. Nous sommes nus attirés par le corps de l’autre. Que tu me plaises avec ta bite relevée qui bande qui me vise qui me veut. Que je veux aussi.

Le lit derrière moi me tente, je t’y attire : tu ne résiste même pas un peu. Oh, comme je te désire. Que je veux ton sexe, que le mien t’appelle. Je te veux en moi vite, vite. Et toi tu lambine, tu cherches le moyen de m’oublier quand tu m’allonge que tu me fais écarter les jambes.

Bien sur ta tête se loge juste sous ma chatte. Je l’ai senti quand tu embrassais mon genou puis en montant le long de la cuisse. J’étais contactée, je ne veux mon chéri, vite prend moi. Non pas là, Oui, ta langue sur ma chatte, oui lèche moi, un peu plus haut. Oui, le petit bout, lèche, lèche, aspire le.

Sens comme mon bas ventre se lève à ta rencontre. Je suis trop mouillée, je vais salir tout ton visage avec mon jus. Que tu me fais du bien, n’arrête surtout pas oui, encore, oui continue. Tourne toi, donne-moi ta queue dans ma bouche, que je te goûte avant, avant quoi……. Oui, lèches moi encore. Oui met ta langue sur le petit trou. C’est bon, entre là un peu.

Tu sais je refuse toujours que mon mari me touche le cul, toi tu peux, tu le fais si bien. J’y veux ta queue tout à l’heure, oui, tu m’enculeras pour la première fois. Tu me dépucéleras le trou de derrière.

Oui, continue à me sucer, je vais jouir. Oui, je jouis………..Encore une fois mon chérie, lèche moi le con……..je jouis.

Viens sur moi, pèse de tout ton poids sur mon corps, il est à toi, baises moi, n’attends plus.
Oui mets-toi en 69 sur moi, je sens ta queue avec sa magnifique odeur : tu sens le sperme, tu as du te branler ce matin. Tu as jouis sans moi, tant mieux. Prends tout mon con dans ta bouche, je te mange ta queue…………

Oui, j’ai encore jouis. Tu as bien senti ma langue et ma joue ? Je n’ai pas été au bout pour que tu me baise.

Oui, mets tes jambes entre les miennes, je sens ton corps sur moi. Je mets mes talons sur tes fesses dures. Je sens que tu viens sur ma chatte. N’hésite pas entre franchement. Donnes-moi ta langue dans la bouche, je veux la sucer comme ton nœud.
………oui…………encore……oui……….oui……..mmmmmmm. Je jouis, te me fais jouir. Et toi ? Pourquoi te me tourne ? Oui c’est vrai, ma pastille, tu veux m’enculer pour la première fois. Tu vas me faire mal. J’ai un peu peur.

Tu écartes beaucoup mes fesses, je sens ta queue entre mes globes. Elle arrive là où il ne faudrait pas. Oui mets moi là. J’ai mal, arrête. Non continue, je sens tes couilles sur ma chatte. J’ai ma..non tu me fais du bien. Que c’est bon de t’avoir dans mon cul. Je ne pensais jamais jouir par là. Je jouis encore. Oui, reste. Je sens ton jet de foutre dans mon ventre. C’est bon de sentir ton plaisir. Reste en moi.

Quand nous recommençons ?