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18 ans après

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Lue : 3953 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 29/08/2020

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18 ANS APRES

Partie 1

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais le matin, les mots clef, pour moi, c’est confusion et rapidité. Je me lève tôt, mais il y a des moments, je traine, et après, je me rends tout d’un coup compte qu’il faut partir. Alors c’est le rush. Une pause très rapide pour vérifier que je n’ai rien oublié, et je fonce à la voiture.
Et donc ce matin-là, je suis sorti de chez moi, et je me suis précipité jusqu’à la voiture, garée devant chez moi.
Et au bout de quelques mètres, je me suis figé, devant le spectacle.
J’ai sans doute été ridicule. Mais ce que je voyais aurait mis n’importe quel homme en transes.
Une paire de jambes longues, bien dessinées, mises en valeur par un collant, perchées sur des escarpins avec des talons de 7,8 cm.
En temps normal, la partie la plus charnue de son anatomie devait être masquée par le tissu de ce que je supposais être une jupe, mini, voire micro. Mais comme elle était pliée en deux pour poser plusieurs sacs sur son siège arrière, la jupe était remontée. Mais largement. En même temps c’était logique, dans la mesure où le tissu semblait vraiment très court.
Le collant était transparent, il n’y avait pas, comme c’est parfois le cas, d’empiècement pour masquer les parties intimes, donc, on pouvait tout voir.
J’avais sous les yeux une belle croupe, rebondie, dont les talons accentuaient la cambrure, coupée en deux par un sillon profond. Et je voyais aussi très bien son sexe, niché en haut de ses cuisses, une bosse bien charnue elle aussi coupée en deux pas un sillon. La différence, c’était qu’un gros bout de lèvre en dépassait, qui pendouillait là.
J’ai été saisi par une double envie. D’une part le désir de regarder, et d’en prendre plein les mirettes, l’homme est fondamentalement voyeur, et d’autre part une certaine gêne, et le souhait de ne pas m’attarder, pour ne pas passer pour un voyeur. Une fille sent toujours quand on la regarde. Surtout quand il y a quelque chose de sexuel.
C’est certainement parce que je me suis attardé un brin trop longtemps qu’elle s’est retournée.
J’avais devant moi une fille magnifique. Une grande brune, plus grande que moi avec ses talons, en tailleur jupe, la jupe étant enfin redescendue, qui m’a fait un beau sourire. Une fille qui, contrairement à pas mal d’autres qu’elle, qui avaient sans doute autant, sinon plus de charme, savait se mettre en valeur, en jouant sur quelques détails. Un maquillage discret, qui soulignait le charme de son visage sans trop en faire, une coupe au carré qui dégageait bien son visage, sous la veste du tailleur un débardeur orange qui laissait voir une partie de peau, et qu’elle portait à même la chair, ses seins, ronds et fermes évoluant librement dessous, ça se voyait nettement.Le tailleur bien coupé contribuait à la mettre en valeur, la jupe dégageant de jolies jambes.
—Bonjour, tu ne me reconnais pas?
Je me suis senti totalement stupide. Si en fait, elle me disait quelque chose, faisait remonter des souvenirs, mais…Je n’arrivais pas à connecter le passé et le présent.
—Tu sais….
—Carole…
Carole…Tout mon passé est remonté.
J’étais né dans la région parisienne, mais mon père, parce qu’il avait obtenu un poste important dans la région, directeur des services d’une communauté de communes, était descendu dans le Sud avec sa famille. Sa femme et son fils, c’est-à-dire moi. J’avais cinq ans à l’époque. On connaissait déjà la région, j’avais une tante qui habitait ici, on venait la voir pour les vacances, en restant quelques jours.
On a passé deux semaines chez elle, avant que mon père ne trouve une maison qui lui plaise. Celle dans laquelle j’habite aujourd’hui. On était à un quart d’heure de son travail, et vingt minutes de chez ma tante, dans un petit village en pleine nature, composé de plusieurs hameaux, qui s’étalaient sur une vingtaine de kilomètres. Me retrouver en pleine nature m’a radicalement changé de la région parisienne.
J’avais six ans quand je suis arrivé. J’ai logiquement commencé par l’école primaire. L’école était juste en bas de la maison, située en hauteur. 3 minutes en voiture. Tous les enfants du village venaient étudier là.
J’ai fait la connaissance de Carole à l’école, à cette époque Et elle n’avait pas grand chose à voir avec la fille qui se tenait devant moi. Elle n’était pas très grande avec une masse de cheveux qui tendait vers l’hirsutisme, et une expression butée et teigneuse.
Elle ne parlait pas beaucoup, et son occupation favorite était de casser la gueule aux garçons, que, semble-t-il elle n’aimait pas beaucoup, puisqu’elle ne cherchait même pas un prétexte. Elle leur tombait dessus et elle les tabassait, point à la ligne.
Au sortir de l’école, comme tout le monde, je suis parti au collège. On vivait vraiment dans un petit département, et on allait soit à l’un des deux collèges de la sous-préfecture, soit au collège de la préfecture.
Je m’étais retrouvée dans une classe de sixième. Avec elle.
Assez curieusement, elle m’avait toujours laissé tranquille. Parce qu’on habitait dans le même village? Sans doute pas. Elle avait massacré d’autres qui étaient eux aussi de ce même village.
Dans son passage entre le primaire et le collège, elle avait changé, et on l’ avait aidée à changer. On avait taillé dans sa chevelure abondante, ce qui dégageait réellement son visage, et mettait en valeurs ses jolis yeux bleus, marquant une certaine beauté qui s’est affirmée au fil du temps.
A l’école primaire, elle avait été une bonne élève, et ça s’était nettement renforcé au collège. Elle avait une position dans la salle, toujours devant, moi plutôt derrière, et curieusement, jamais, pas une seule fois, on n’a été sur le même axe. Si j’étais dans la première rangée, elle était dans la deuxième, et ainsi de suite…Il n’y avait rien de volontaire de ma part. De la sienne peut-être?
Ce qui n’avait pas changé non plus, c’était qu’elle aimait toujours autant la baston. On était venu la chercher un jour en cours, la CPE, parce qu’elle avait, la veille, sévèrement dérouillé un garçon qui lui avait mal parlé.
J’habitais, dans ce petit village, un hameau d’une dizaine de maisons en haut d’une colline. Elle, elle était en bas, un autre groupement de demeures. Mais on ne se voyait jamais. Parfois, quand je sortais avec mes parents, ou elle avec les siens, on s’apercevait, sans se saluer. Et on ne se parlait pas plus au collège. Ca a d’ailleurs été le cas pendant quatre ans.
Puis la ligne de front a nettement bougé quand elle est moi nous sommes rentrés en seconde, au lycée juste à côté.
Le premier jour, celui de l’accueil par le prof principal, elle est arrivée deux minutes en retard. Moi j’étais calé au fond, comme à mon habitude.
Dans la salle, il y avait douze garçons, et quatorze filles, et je crois bien que, lorsqu’elle a pénétré dans la salle, toutes les queues de garçons se sont durcies, et peut-être même que quelques filles ont mouillé leur petite culotte.
Je ne l’avais pas vue, pas même aperçue pendant deux mois, et ces deux mois avaient radicalement changé la donne. Elle était jusqu’à présent plate comme une limande, mais la Nature, en peu de temps, avait radicalement changé la donne, en la formant de manière spectaculaire. Elle revenait toute bronzée, et avec des seins, des hanches, des fesses; Il y avait aussi quelque chose d’autre sur son visage, de moins hargneux, de nettement plus apaisé.
Ce jour-là, comme les autres, je l’ai regardée, et j’ai été troublé. Sa garde-robe avait nettement évolué, et s’était nettement féminisée, en accord avec son évolution physique.
Les jeans informes et les T-shirts trop larges, et j’en ai eu la confirmation dans les jours qui ont suivi, avaient définitivement disparu, pour laisser place à des jupes courtes, voire très courtes, des talons, des pantalons très moulants, des petits hauts collants, transparents, décolletés, voire les trois. Elle se maquillait aussi, un maquillage léger, mais qui soulignait la beauté de son visage.
Un changement radical.
Sauf dans nos relations.
Ca a été au milieu de l’année que s’est produit l’incident.
Mes parents m’avaient offert une 125cm3 et je faisais du cross le samedi après-midi.
Je rentrais de mon entrainement, un samedi, en fin d’après-midi, sur le coup de 17 heures. J’étais juste en bas de chez moi, en bas de la pente.
J’ai traversé le hameau où elle vivait.
Elle était en plein milieu de la route. Elle faisait un signe de la main, tournée vers elle, à une femme de chez qui elle sortait.
Elle était en plein milieu de la route. J’ai braqué sur le côté droit, contrôlant parfaitement la situation, et je suis passé. Il y avait de la marge.
Juste après être passé, et malgré mon casque, j’ai entendu une bordée d’injures.
Je croyais en avoir fini avec Carole pour la journée. Je me trompais. Une heure plus tard, j’étais devant la maison, je vois arriver une fille en furie. Carole.
—Espèce de crétin, tu as failli m’écraser.
Même le samedi en fin d’après-midi, elle était sexy. Elle portait une robe à fleurs, longue, qui mettait en valeur ses formes, très moulante, avec des boots avec des talons de plusieurs centimètres qui lui donnaient une cambrure intéressante.
Elle s’est avancée vers moi. Me rappelant ses exploits, je me suis mis légèrement en garde. Je faisais un peu de boxe une fois par semaine.
—Tu es un imbécile, mais…
—Mais quoi?
Avant que j’aie pu faire quoi que ce soit, m’attrapant par les épaules, elle a plongé sur ma bouche.
Décidément, ses méthodes d’agression avaient radicalement changé.
Passé le premier moment de surprise, j’ai répondu à son baiser; Ca a été un moment vraiment délicieux.
—Je…Je m’attendais pas vraiment à ça.
—Ca faisait longtemps que j’en avais envie. Tu m’as toujours plu.
—Ca ne se voyait pas vraiment.
—Je cachais mon jeu.
On a replongé pour un baiser, puis encore un autre.
Par chance, mes parents n’étaient pas à la maison.
Je l’ai faite rentrer.
On s’est embrassés à nouveau. Chaque nouveau baiser était différent du précédent. On a compris, surtout, à quel point ce pouvait être bon d’embrasser quelqu’un avec qui on se sentait en harmonie. On a été un peu plus loin, je l’ai caressée à travers ses vêtements, et elle à travers les miens. On s’est arrêtés là.
—Il va falloir que tu partes. Mes parents vont rentrer, je crois.
—Tu as envie qu’on se revoie?
Comment aurais-je pu dire non? J’étais totalement chamboulé par ces baisers, ce contact physique.
—Il vaut mieux qu’on se revoie ici, mais qu’on reste neutres au lycée. Je ne tiens pas à ce qu’on sache qu’il y a un rapprochement entre nous. Je ne veux pas qu’on parle de nous et qu’on nous salisse. Demain après-midi, mes parents ne sont pas là. Chacun son tour. Tu peux passer.
J’ai été vraiment très surpris par ce rapprochement. Ce n’était pas quelque chose que j’aurais pu imaginer. Ca m’a donné une bonne leçon. On ne sait jamais ce que celui qui est en face peut penser…J’ai compris ce jour-là que la nature humaine pouvait être imprévisible.
C’est le lendemain que je me suis donc rendu chez elle un peu après 14 heures. Le matin, j’étais sorti, et j’avais acheté des fleurs, un bouquet de pivoines, sur le marché. Je l’avais caché dans la buanderie. Je tenais à éviter les quolibets de mes parents.
J’ai sonné après avoir examiné les alentours de la maison. Mais il n’y avait apparemment personne.
Elle est venue m’ouvrir. J’ai entendu qu’elle traversait la maison, qu’elle arrivait. Elle m’a ouvert, avec un immense sourire, et sa présence m’a rempli.
Pour une fois, elle ne portait pas de jupe, ou de robe, mais un jean. Rien à voir avec les jeans qu’elles avait pu porter autrefois. Celui-ci était extrêmement moulant. Et rempli avec des courbes typiquement féminines. Le tissu collait à ses cuisses, à ses hanches, à son pubis, et dessinait son sexe avec une certaine précision.
J’ai senti mon pénis se durcir. Elle avait un corps vraiment bien dessiné, ça sautait aux yeux maintenant qu’elle se mettait en valeur.
Le jean était accompagné par un T-shirt blanc, tendu par ses seins. Seins que j’ai nettement perçus visuellement, et contre moi, mieux que la veille en tout cas, quand elle avait un blouson, ronds, et fermes…Dire qu’un an plus tôt, ils étaient inexistants…Nos bouches se sont attrapées.
—Viens, on va se caler au living. Ils sont partis à une foire expo. Ils ne seront pas là avant 18 heures…
La pièce était grande, lumineuse, et nous nous sommes posés sur le canapé au milieu de la pièce.
—Ecoute, elle m’a dit, je tiens à ce que les choses soient claires tout de suite. On peut faire plein de choses ensemble, mais je ne souhaites pas que tu me pénètres. Je prends la pilule, mais j’ai terriblement peur d’un accident. Après, on peut envisager plein de possibilités.
—Comme quoi?
—Comme ça.
Avec un petit sourire sur le visage, elle a défait mon pantalon pour mettre ma queue à nu. J’étais vraiment raide de désir. Elle s’est laissée tomber sur le canapé, moi debout, et elle a commencé à donner de petits coups de langue sur ma queue.
C’était la première fois qu’une fille me faisait une fellation. C’était quelque chose que je n’avais jamais vu que dans des films porno. Ma seule expérience du sexe jusqu’à présent remontait à mon année de troisième, l’année d’avant, quand j’avais fait la connaissance de la soeur d’un copain chez qui je me rendais régulièrement. C’était une petite blonde pétillante, et il y avait eu un rapprochement. On s’était embrassés une après-midi où j’étais passé chez lui et qu’il n’y était pas. On y avait passé une bonne heure. L’amour peut prendre diverses formes, et les plus simples ne sont pas celles qui procurent le moins de plaisir. Je m’étais mis à passer chez eux plus régulièrement, une fois pour le voir lui, une fois pour la voir elle, sachant qu’il ne serait pas là. On avait rapidement eu envie d’aller plus loin, dans des moments très softs sans doute, et cependant très bons. Elle avait offert ses seins, volumineux, que j’avais caressés de la bouche et des doigts, sans doute maladroitement, puis la fois suivante, elle m’avait dit:
—Tu veux que je te caresse?
J’avais fait oui de la tête. Elle m’avait défait, et elle m’avait masturbé. Elle avait fait ça bien, douce et efficace, jusqu’à ce que je jouisse. Ce n’était sans doute pas la première fois pour elle. Je lui avais proposé de la caresser en retour, mais elle m’avait répondu, avec un rien de panique ‘Juste mes seins. De toute façon, c’est important que toi tu aies du plaisir, non? C’est ça qui est l’essentiel.’
On avait tourné autour de ça, jusqu’à ce qu’elle déménage fin juin. Elle me masturbait très bien, je jouissais, et en même temps, j’avais envie d’autre chose, et donc j’étais plutôt frustré.
Avec Carole, c’était déjà autre chose. J’ai éprouvé un plaisir très fort à ce qu’elle me caresse ainsi, tournant sur ma queue, sur mes couilles. Ce n’était sans doute pas sa première fellation. Je me suis demandé où et comment elle avait pratiqué. Les vacances peut-être? Elle avait changé dans son look, mais sans doute aussi sur le plan de la sexualité. Je ne la voyais pas, avant, faire une fellation à un gars.
Un liquide translucide s’est mis à couler d’abondance de mon méat, qu’elle a lapé.
—Viens, on va aller dans ma chambre, on sera plus à l’aise.
Elle avait une belle chambre, simplement meublée, avec au milieu un lit grand format. Elle m’y a entrainé.
—Enlève-moi mon jean et ma culotte.
Je me suis exécuté, les mains tremblantes. J’ai défait le bouton qui tenait le jean serré à sa taille, j’ai descendu la fermeture éclair, apercevant le blanc d’une culotte toute simple. Elle m’a laissé faire, les yeux baissés sur moi, souriante.
Même si le jean était très moulant , j’ai pu le descendre sans mal. Une odeur forte, celle de ses sécrétions vaginales, est montée à mes narines, une fois le jean descendu. J’ai fini par l’enlever, comme elle m’y incitait en levant les jambes. La culotte blanche était marquée, au niveau de son sexe, par une large tâche d’humidité, sombre.
Je suis remonté à sa taille, j’ai passé deux doigts dans l’élastique de sa culotte, et j’ai descendu celle-ci, lentement, ému de découvrir son sexe. C’était le deuxième sexe de fille que je voyais, autrement que sur des photos ou dans des films. Une grosse bosse, coupée en deux par une fente profonde, dont sortaient deux bouts de lèvre. Elle mouillait pas mal, et ses sécrétions, qui sortaient d’elle, rendaient luisantes non seulement ses lèvres, mais aussi toute la surface de son sexe, jusqu’à ses aines.
J’ai aussi découvert, mais ça je n’en doutais pas, que c’était une vraie brune. Elle avait un triangle de la même couleur de ses cheveux, domestiqué d’évidence, taillé, je ne savais comment, réduit pour sa taille, sur son pubis.
Elle m’a fait basculer sur le lit, m’entrainant dans une position qui était idéale, de telle sorte que nos visages soient à portée du sexe de l’autre. Nous n’étions pas l’un sur l’autre, mais dans un arc-de-cercle, allongés, face à l’autre, quelque chose de confortable.
C’est tout naturellement que nos bouches sont venues sur le sexe de l’autre, la sienne sans doute moins timide que la mienne. Mais, malgré mon hésitation, au début, je me suis vite enhardi, pour parcourir le pourtour de son sexe, ses lèvres, glisser ma langue dans la fente qui s’ouvrait,enivré par la saveur de ses sécrétions vaginales. Elle a prolongé sa fellation, baladant sa langue sur ma queue avant de me prendre dans sa bouche, très chaude, et de faire aller et venir celle-ci sur moi. Ce que je vivais, c’était autre chose que ce j’avais connu l’année précédente, même si cela m’avait procuré énormément de plaisir. Quelque chose qui se rapprochait plus d’un rapport sexuel, sans doute. Carole était beaucoup plus délurée, et elle m’entrainait avec elle vers des chemins plus audacieux. Je découvrais vraiment un sexe de fille pour la première fois, avec une immense fascination. J’ai vu ses lèvres gonfler, son sexe s’ouvrir, et son clitoris se décalotter pour pointer son museau.
—Je vais jouir!
Elle m’a annoncé ça au bout d’un moment. Elle s’est tendue, elle a fermé les yeux, poussé un petit cri. Du liquide est sorti d’elle d’abondance, qui a éclaboussé nos chairs, mon visage, et les draps. Ca a déclenché ma jouissance. Elle avait une partie de mon sexe dans sa bouche, bloqué, qu’elle caressait de sa langue, tout en jouant avec mes couilles de la pointe des doigts. Ma semence est sortie dans sa bouche, jet après jet. Elle a tout avalé, à ma grande surprise.
Des moments comme celui-là, à la fois semblables et différents, il y en a eu plein d’autres dans les mois qui ont suivi.
Au lycée, nous étions totalement neutres, et je reste convaincu que personne n’a jamais su que nous étions ensemble. On se voyait les mercredis après-midi, le soir quand on pouvait, les week-ends. On n’a plus vraiment cherché à cacher notre relation. On avait la chance d’avoir des parents très discrets, qui n’ont jamais fait des commentaires déplacés ou désagréables…
Il y avait quelque chose d’intime et de passionnel entre nous. Pourquoi deux êtres sont attirés l’un par l’autre, s’entendent? Difficile à savoir. Mais une chose était sûre, nous nous entendions.
Indéniablement, même si le sexe constituait un vecteur primordial dans cette entente, il n’y avait pas que cela.
Mais on ne se posait pas trop de questions, on vivait au jour le jour, sans penser au lendemain. Pourtant, le lendemain nous a rattrapés. Un mercredi après-midi de février.
On était ensemble, et Carole me faisait une fellation. Elle aimait jouer avec ma queue. Elle se débrouillait vraiment bien, changeant de technique à chaque fois. Je m’estimais vraiment privilégié. Je n’étais pas sûre que toutes les filles soient comme elles.
Là, elle travaillait uniquement mon gland, faisant tourner sa langue dessus, le mordillant… La meilleure preuve de mon excitation, c’était qu’il avait énormément gonflé depuis qu’elle avait commencé à s’en occuper, il avait pris un tiers de volume. Et du liquide pré-sécrétif en ruisselait, dont elle se nourrissait.
Tout en continuant de jouer avec mon gland, elle s’est mise à caresser doucement mes couilles. La conjonction des deux a été totalement irrésistible, et j’ai explosé. Elle l’avait senti venir, resserrant sa bouche autour de moi, et me buvant jusqu’à la dernière goutte.
On était sur son lit, et elle avait enlevé sa jupe et sa culotte, pour se masturber en même temps qu’elle me donnait du plaisir. Elle s’est basculée en arrière, la bouche pleine de sperme, et elle a accéléré le mouvement circulaire qu’elle imprimait à sa main, au niveau de son clitoris. Voir son sexe ouvert sur son intérieur, son clitoris dardé, et assister à sa jouissance, corps tendu, visage exprimant une félicité sans pareille, aussi marquée par un petit cri m’a fait jouir une deuxième fois sans que ni elle, ni moi nous ne nous touchions. J’ai balancé plusieurs traits de sperme qui ont atterri sur elle. J’adorais la voir se masturber, ça m’excitait terriblement.
Une fois qu’on a repris nos esprits, elle m’a dit:
—Tu as pensé à ton orientation?
C’était un sujet délicat qu’on avait évité jusqu’à présent, car on savait trop bien ce qu’il signifiait. Une séparation.
—Ecoute, moi je pense toujours à une école de commerce… Et toi?
Elle a glissé hors du lit pour aller chercher une petite culotte propre dans le tiroir de sa commode. Elle a attrapé un slip de dentelle rouge dont elle a enveloppé ses parties intimes. Ses fesses la tendaient, avec un creux au milieu de son sillon. Elle s’est retournée. La culotte collait aussi à son sexe, en dessinant le relief et la fente.
—Tu irais où?, elle m’a demandé, son regard planté dans le mien.
—Dans le Sud-Est…
J’étais mal à l’aise en disant cela. Je ne savais que trop bien ce que cela signifiait.
—Et toi?
—Moi je n’ai pas changé d’avis. Je suis toujours intéressée par la compta…J’ai trouvé une école, mais pas loin d’ici, à T… Dommage, je pensais qu’on pourrait encore se voir l’an prochain.
Elle semblait très déçue.
—Et il n’y a pas une école de commerce plus près?
—C’est celle-là que je veux absolument faire. Je suis déjà pris de toute façon.
Je m’en suis rendu compte plus tard, je faisais preuve d’un incroyable égoïsme. J’avais fait le choix d’aller dans une école réputée en la sacrifiant. Elle m’a jeté un regard noir, gardant ses pleurs pour plus tard. A partir de ce jour, il y a eu une distance entre elle et moi qui, même si on était encore proches, et si on faisait l’amour très souvent ensemble, s’est amplifiée. J’ai bien senti qu’elle m’en voulait. Elle aurait d’ailleurs du me tourner le dos, vu ce que je lui avais fait, mais elle n’en avait certainement pas le courage.
On s’est vus jusqu’au 20 août, au moment où je suis parti pour le Sud-Est.
On ne devait d’ailleurs jamais se revoir. Quand je suis revenu pour les vacances de Toussaint, j’ai été lui rendre visite. Sa famille avait déménagé, et personne ne savait où ils étaient partis.
C’est à ce moment-là que j’ai compris que je tenais vraiment à elle. Mais les jeux étaient faits.
Et la vie m’a emporté dans son tourbillon. Les études, le travail, et d’autres filles que j’ai rencontré, laissant Carole derrière moi, avec ma vie d’adolescent.
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Histoire de JamesB

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