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Vacances sexuelles pour des soignants partie 2

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Lue : 1287 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2020

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Je crois qu’on s’attendait pas vraiment à ça.
Ils sont arrivés à bord d’un véhicule familial, même s’ils n’étaient que deux. Les deux places arrière et la malle étaient truffés d’affaires. Ils tenaient à leur confort, apparemment.
C’était elle qui conduisait.
Ils sont descendus l’un après l’autre, et ils ont avancé vers nous. Tout souriants.
Je crois bien qu’on a été remués tous les deux. Moi, bien sûr, mais aussi mon épouse, que j’ai observé du coin de l’oeil.
Dans la vie, on croise tous les jours des personnes qu’on trouve attirantes. Ca ne tient pas forcément à leur beauté d’ailleurs, mais à un quelque chose qu’une personne dégage, et qui fait qu’on va être attiré, essentiellement sexuellement, par elle.
Elle n’était pas très grande, j’aurais dit un mètre soixante-cinq, mais elle avait un visage joliment dessiné, rond, une bouche charnue qui semblait vouloir mordre dans la vie, un nez sans doute trop gros, mais ça n’était pas redhibitoire, et surtout de magnifiques yeux bleus, assortis à une chevelure blonde, qui pour le moment était encagée dans dans un assemblage qui tenait grâce à une dizaine d’épingles. Regard dans lequel il était difficile de lire, et dans lequel tout le temps qu’ils ont été là, j’ai capturé des nuances, qui pouvaient être contradictoires, reflet d’une personnalité complexe.
Ce visage vraiment séduisant était complété par un corps qui ne l’était pas moins. Elle était tout en courbes, tout en rondeurs, sans aucun excès, et ça lui donnait vraiment du charme d’avoir des seins, des hanches, des cuisses, des fesses. C’était sans doute ce que pas mal d’hommes attendaient d’une femme. Ca n’avait jamais été une obsession pour moi. Mon épouse était plutôt menue, et elle me plaisait comme cela. Mais je devais bien admettre que la jolie blonde m’a plu.
Avoir des formes, c’était bien, mais sans doute qu’il fallait savoir se mettre en valeur, et les mettre en valeur. Et sans aucun doute, j’ai pu le constater tout le temps où elle a été là, la blonde s’en sortait plutôt bien sur ce plan. Ce jour-là, elle portait un short, collant jusqu’à l’obscénité, qui cambrait ses fesses charnues, et son sexe avec plus de précision que si elle avait été nue, en le sublimant, un double bourrelet avec, en son centre, une fente qui semblait vouloir avaler le tissu, et dans laquelle le jean rentrait profondément. En haut, sous une veste en jean, elle avait un débardeur fuschia, sans soutien-gorge dessous, sous lequel ses seins flottaient librement, lourds et fermes, les aréoles et les tétons se dessinant sous le tissu.
Son mari, lui était bien plus grand qu’elle. Pas loin d’un mètre quatre-vingt-dix. Il avait un corps particulièrement bien découpé. On voyait qu’il avait fait, et qu’il faisait encore de la musculation, sans excès, mais cela lui donnait pas mal de charme. Short et débardeur pour lui aussi, mais pas aussi collants. Il était souriant et chaleureux. Je me suis dit que les malades, avec lui, devaient se sentir en sécurité.
J’ai regardé ma femme du coin de l’oeil. Difficile de ne pas voir une lueur d’intérêt dans son regard. Mais sans doute qu’elle pouvait en dire autant de moi quand je regardais la jolie blonde.
On les a accueillis, on leur a montré la maison. Ils ont paru ravis. On avait prévu un apéritif suivi d’un déjeuner On a discuté longtemps, de nos métiers respectifs, eux de leurs difficultés de tous les jours, dans un univers avec peu d’argent et beaucoup d’heures supplémentaires, et où il y avait eu un stress énorme pendant la crise, ma femme et moi de nos métiers dans l’édition, nous travaillions essentiellement en télé-travail depuis deux ans, avec des montées à Paris tous les deux mois.
On est restés ensemble jusqu’à treize heures dans une bonne ambiance.
On leur a demandé s’ils souhaitaient qu’on les aide pour déménager tout leur barda jusqu’à la maison, mais ils nous ont assurés qu’ils se débrouilleraient tous seuls. On les a laissés partir pour faire la vaisselle.
C’est en sortant pour aller fumer ma cigarette de l’après-midi que je me suis rendu compte qu’ils avaient laissé un grand sac vert et noir près du véhicule. Ce genre d’étourderie qui m’arrivait très souvent aussi. Je me suis dit que j’allais leur apporter.
Je ne m’attendais pas à ce que j’ai trouvé.
La petite maison était grande ouverte, fenêtres ouvertes, et porte d’entrée entrouverte. Pour aérer, laisser rentrer la lumière?
Je ne voulais pas déranger, alors j’ai poussé très délicatement la porte d’entrée. J’allais appeler, dire quelque chose, du style ‘Il y a quelqu’un?’ , je ne voulais pas troubler leur intimité.
Ils avaient commencé de s’installer, même pour l’instant, il n’y avait pas grand chose de rangé.
C’est à ce moment que j’ai entendu cette espèce de… Un couinement.. J’ai pensé que c’était un animal, avant de comprendre que ça venait certainement d’un être humain. C’étaient des gémissements, mais dans un mode particulier. On aurait dit un cri animal.
J’ai toujours été curieux. Trop sans doute.
Je ne m’attendais en tout cas pas à la scène que j’ai découverte.
J’ai avancé jusqu’à l’endroit d’où provenait cette sorte de couinement. La grande pièce donnait sur un petit couloir qui ouvrait sur la cuisine à gauche, et sur une chambre à droite.
Je me suis avancé sans faire de bruit. Le couloir était plongé dans une semi-pénombre. C’est peut-être ce qui m’a permis de rester discret.
Je ne m’attendais pas à ce que j’ai vu. J’avais bien deviné que le couple faisait l’amour. Je n’étais pas expert en couples, mais j’avais bien senti, dès le départ, qu’il existait entre eux une complicité, qui passait par le sexualité. Je n’avais pas par contre perçu qu’il s’agissait d’une sexualité…Décalée…
Ils avaient en tout cas l’habitude d’inverser les règles.
Frank était installé à quatre pattes sur le lit, nu, et il se faisait sodomiser. Il était suffisamment au bord du lit pour que son épouse ait accès à ses parties intimes. Elle était équipée d’un magnifique gode, que je pouvais bien distinguer d’ici, une queue en plastique bleu ciel, très longue, légèrement recourbée, et, malgré sa taille, elle arrivait à la rentrer quasi totalement dans le fondement de son mari. Ce n’était d’ailleurs sans doute pas la première fois qu’ils agissaient ainsi. Elle se tenait debout devant lui, nue elle aussi, son corps luisant de transpiration, et elle faisait aller et venir la queue de plastique dans son ventre, avec toute l’énergie qu’elle avait. C’était un peu comme si elle avait vraiment une queue, pas un harnachement avec une bite en plastique. Mais sans doute que dans son esprit, c’était le cas.
C’était extrêmement troublant, à la fois à cause de l’acte inversé, mais aussi parce qu’ils avaient deux corps désirables, elle avec ses rondeurs exposées, charnues, mais fermes, et lui avec ce corps musclé. Sa verge était collée contre son ventre, une queue à la dimension de son corps, vraiment très raide et très épaisse.
Je suis resté là, hypnotisé pendant quelques minutes, troublé d’évidence. Ce qui m’a sorti de ma fascination, ça a été qu’il a joui, sa queue crachant de multiples jets de sperme qui ont éclaboussé son ventre de trainées blanches.
Je me suis retiré. J’avais laissé les deux sacs de voyage dans l’entrée. Penseraient-ils que j’avais surpris quelque chose? Je ne me sentais pas de toute façon de les ramener à leur point de départ.
—Ca y est, tu leur as ramené leurs sacs?
—C’est fait.
Ma femme faisait des mots croisés sur la table de la cuisine. Elle avait relevé la tête quand je suis arrivé.
—Tu les as surpris entrain de faire l’amour?
Je n’ai pas vraiment été étonné qu’elle me dise ça. Ma femme savait tout et comprenait tout.
—Tu as l’air troublé, elle a rajouté. Tu les as surpris entrain de faire l’amour, c’est bien ça?
J’ai fait un petit signe de tête.
—C’est leur manière de marquer le début des vacances. Allez, ne dois pas jaloux, viens, approche.
On avait pas mal de rituels, tous les deux. C’était vrai qu’on aimait le sexe, on avait la chance d’être complices, sur ce plan, et quand on avait des journées ensemble, le week-end ou les vacances, on faisait souvent des pauses sexe, dans la journée. Une manière de surprendre l’autre, de se faire plaisir, mais aussi de lui faire plaisir, et de repartir du bon pied après. Deux jours plus tôt, alors qu’elle faisait du repassage, j’étais arrivé derrière elle, j’avais descendu son caleçon, sa petite culotte, et j’avais approché ma queue dilatée de désir de sa vulve, pour frotter mon gland contre ses lèvres. Son sexe, d’abord passif, s’était ouvert et humidifié, et je m’étais glissé en elle, la fouillant alors qu’elle continuait, de plus en plus difficilement de repasser. Elle avait fini par poser son fer et se plier en deux sur la planche à repasser, le T-shirt posé à plat, semi-repassé, devant attendre qu’elle ait joui. J’avais eu envie de sexe, pensant qu’elle s’accorderait à mon envie. Des fois, c’était en sens inverse. Le plaisir d’avoir ma queue fichée dans sa muqueuse, chaude et mouillée était quelque chose dont je ne m’étais pas encore lassé. Pas plus que de jouir en elle, de sentir mon sperme jaillir, et de savoir qu’elle jouissait elle aussi.
Elle a baissé mon pantalon de survêtement. Je bandais à moitié, et ma queue tendait mon caleçon.
—Hé bien ce que tu as vu t’a troublé, dis donc, elle a dit en baissant mon caleçon. Voilà une queue qui a besoin de caresses. C’était si excitant que ça? C’est vrai qu’ils sont vraiment bien gaulés tous les deux.
Je ne me sentais pas de lui raconter ce que j’avais vu. Je n’étais même pas sûr, d’ailleurs, qu’elle me croie. Cette inversion était tellement…Improbable…Je me demandais même si j’avais bien vu ce que j’avais vu…Avec un rien de recul, je me disais que ça n’était pas possible…
La seule chose qui était sûre, c’était que ça m’avait donné envie de sexe.
Elle s’est mise à me masturber doucement. Ses caresses sur ma queue, chaque fois qu’elle me masturbait, c’était…Vraiment très bon…Elle avait vraiment une technique…Des caresses lentes, d’autres plus rapides, couvrir différentes zones de ma queue, descendre jusqu’à mes couilles…Elle m’a fait durcir.
—Tu veux que je te fasse jouir comme ça?
—Tu sais bien que j’adore que tu me masturbes.
Et c’était vrai. S’il m’avait fallu me contenter de ça, ça n’aurait pas forcément été une punition.
J’ai très vite été long et épais, bien dilaté. Je pensais qu’elle allait me faire jouir en me masturbant, mais elle a attaqué autrement. Elle aimait bien rompre les rythmes, Elle a dardé sa jolie langue rose, et elle est venue la balader sur mon gland, dilaté à l’extrême, des liquides pré-sécrétifs coulant d’abondance de mon méat. Elle est venue tourner sur mon gland. C’était la partie la plus sensible de ma queue.
—Retiens-toi autant que tu peux. C’est dans ces moments-là que c’est bon, quand on se retient.
Je lui ai obéi, alors qu’elle me torturait avec sa langue, jusqu’au moment où j’ai explosé. Un premier jet de sperme, épais, a atterri dans dans ses cheveux. Elle a ri.
—Vas-y, mon chéri, arrose-moi de ton sperme, elle a dit, en maintenant ma queue près de son visage.
C’est bien ce qui s’est passé. Je lui ai maculé le visage de semence. Quand je jouissais, j’éjaculais toujours énormément. Elle en a pris plein le visage.
—Avec toi, on n’est jamais déçu.
Elle a ramassé le sperme du bout des doigts, et elle l’a avalé.
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