2. Une garde de jour au poste medical

A la suite d’« Une nuit au poste médical de garde : »
Notre retour et la fin de nuit c’était très bien passé, nous n’avions pas parlé de ce qui c’était passé. Je m’imaginais que rien d’autre ne se reproduirait et que Jennifer, « D'Jen », ne voudra pas réitérer l’expérience.
Je prend mon service un samedi matin sans savoir quels sont les médecins de garde, un fixe et un qui se déplace chez les patients dans l’impossibilité de rejoindre le Poste Médical de Garde. Je suis occupé à changer le lit du médecin qui vient de finir sa nuit de garde (hé oui parfois on peut se reposer). La porte de la chambre s’ouvre dans mon dos, je suis penché sur le lit occupé à border les draps, je sens soudain un bassin qui se colle au mien, deux mains se posent sur mes hanches et m’attirent sèchement.
La voix douce de D’Jen m’enveloppe en me disant : « je suis heureuse d’être de garde fixe avec toi. ». Puis d’ajouter : « J’ai rêvé de notre dernière nuit. ».
Je me redresse, me retourne et ses bras autour de mon cou m’attirent à elle, sa bouche s’écrase sur la mienne, nos lèvres s’entre-ouvrent et nos langues entament une sarabande langoureuse.
Elle s’écarte un peu, ses yeux dans les miens et me dit : « Depuis que je t’ai offert mon anus à déflorer, je me le suis déjà masturber plusieurs fois sous la douche en pensant que c’était toi qui me prenais. Et j’ai envie de toi. Je lui rappelle que la secrétaire n’est pas bien loin, elle me rétorque qu’elle est bien occupée et que ce lit ne demande qu’à être défait.
Elle commence à ôter mon t-shirt, défait prestement ma ceinture, de déboutonne le pantalon et le fait descendre.
Elle s’agenouille en même temps qu’elle fait subir le même sort à mon boxer.
Sa bouche s’empare de mon sexe déjà bien dressé, elle l’enfourne complètement et entoure de ses bras mon bassin pour enfoncer mon membre entièrement. La sensation est sublime, je sens sa langue bouger comme elle peut le long de ma hampe. Elle va et vient et des fils de salive coulent de sa bouche sur mes couilles. D’un coup elle récupère celle-ci d’un coup de langue, se relève, je la déshabille, elle me regarde et me dis : « Tu vas me la mettre dans mon cul, bien à fond dans ma rosette, j’en ai rêvé. Et ce n’est pas une question. ». J’acquiesce. Elle se retourne, à genou par terre, le buste sur le lit, j’approche ma bouche de son anus, commence à lui lécher la rosette qui trépigne, je pousse ma langue pointue et là surprise, elle rentre un peu, son anus se décontracte et se dilate tout seul, je peux déjà y glisser un doigt puis directement un deuxième, il n’y a pas à dire, cette femme est faite pour la sodomie.
« Prends-moi vite », le geste qui se joint à la parole, de ses deux mains elle écarte le plus qu’elle peut ses jolie fesses.
J’admire quelques secondes sont anus qui s’ouvre délicatement mais déjà tellement dilaté. Puis je me redresse et obtempère. Je présente mon sexe à l’entrée de son cul, mon gland contre son anus, sentant la pression de ce dernier, d’un mouvement elle se pousse en arrière, mon bout force un peu l’entrée, franchi les muscles en lui arrachant un petit cri plutôt de surprise.
Mon gland passé il se trouvait dans un fourreau souple et chaud, mon sexe s’enfonce en elle en douceur et sans aucune résistance. Arrivé au fond tu te mets à gémir, immédiatement tu mets ta mains pour les étouffer. Tu me regardes et tu me dis de te prendre fort et de vite jouir en toi, j’obtempère et commence des va et vient en sortant quasiment mon manche de ton boyau anal pour replonger vigoureusement tréfonds de toi. Apparemment tes séances de branlette anale t’ont appris à contrôler tes muscles et ceux-ci presse ma queue très fort, à ce train là je ne vais pas pouvoir me retenir, ce n’est d’ailleurs pas ce que tu veux. Je m’accroche à tes hanches et te besogne vigoureusement, tu me dis que tu veux me sentir jouir en toi, ce qui ne tardera pas, encore deux ou trois allers-retours et je m’épanche en toi, tu pousses un long gémissement en sentant mon sexe tressauter dans ton cul sublime.
Nous nous réajustons rapidement et reprenons notre travail. Moi je ne travail que la matinée, mais D’Jen fait toute la journée.

La suite dans « D’Jen me mène en bateau ».