COLLECTION ESCORTE GIRL. Rencontre inattendue (1/6)

Toute ma vie bascule dans ce beau mois de mai où je me promène au Quartier latin.
Je fais des études à la Sorbonne et j’habite dans un petit deux-pièces que mes parents louent pour moi.
Mon père a une entreprise de travaux publics en Haute-Savoie, intervenant aussi en Savoie et surtout en Suisse.
Le climat l’hiver lui permet de gagner énormément d’argent, car son entreprise est spécialiste dans les affaissements de routes et chutes de rocher.
Il a une équipe tous des alpinistes.
Nombres d’entre eux réalisent encore des premières.
Ce sont eux qui l’été ou en cas d’urgence travaillent avec des cordes de rappel sur les parois abruptes.
Ils vérifient si des rochers sont fragilisés risquant de se détacher et tomber sur les voitures, à cause du ruissellement et du gel d’hiver.
Un seul point noir pour lui, il m’a élevé seul.
Maman étant tombé dans une crevasse quand j’avais six ans dans la cordillère des Andes.
Ils tentaient en hiver, avec une expédition internationale, d’atteindre le sommet du Pirinacota, volcan culminant à 6 348 mètres.
Il avait tout fait pour la sauver sans y réussir et malgré bien des entourages le soutenant ça avait été vain, cette crevasse est devenue sa tombe.
Un jour j’irais au moins à son pied pour lui rendre un hommage.

J’ai soif, je m’installe à la terrasse d’un café près du bord de Seine.
Je vois un couple se lever, je m’avance pour m’installer, deux jeunes hommes me bousculent pour s’asseoir.
Je vais pour passer mon chemin quand je suis interpellée.

• Mademoiselle, venez-vous asseoir à ma table, laissez ces malotrus.
• Qu’est-ce que tu as, ferme ta gueule, on va s’occuper de toi, sale pute ?
• Laisser tomber, Madame, ce sont de pauvres mecs, ils ont oublié d’être des hommes bien élevés.
• V’là l’autre qui s’en mêle, une pute brune et une pute blonde.
• Messieurs, ce sont des manières inconvenables de parler à des dames, vous avez de la chance que je suis âgée, si j’avais vingt ans.
• Et ça continue, voilà l’autre fossile qui ramène sa gueule, il joue les importants, car il a une rosette à sa boutonnière.
Il a dû la trouver dans une pochette-surprise, viens Paulo, laissons les cons entre eux, allons boire un coup ailleurs.

C’est comme cela qu’ils se lèvent, ils ont dû voir qu’un black type champion de judo commence à vouloir venir leur parler.
Je vais pour m’assoir à la table libérée.

• Asseyez-vous tout de même à ma table, cela laissera la place à d’autres plus sympathiques que ces deux énergumènes.
Je m’appelle Ange, et toi comment ta maman t’a appellé ?

La jolie brune me tend la main, je la serre délicatement comme papa m’a appris à le faire en même temps que je m’assoie.
Pout maman, c’est plus délicat et surtout trop long à lui expliquer.

• Gladys, j’ai vingt ans et je fais des études de droit à la Sorbonne.
• Le monde est petit, je suis avocate, j’ai fait moi aussi des études à la Sorbonne, mais il y a quelques années.
• Vous êtes très jeune !
• Trente ans, l’âge de raison, vous profitez du beau temps pour vous promener avec ces premiers beaux jours, c’est agréable de retrouver le soleil après cet hiver bien rude.

Nous parlons de choses et d’autres, le temps passant Ange prend son petit sac posé sur la table et en sort une carte de visite.

• Voici ma carte, venez prendre le thé demain dimanche, je serais chez moi, si cela vous fait plaisir bien sûr.
• Merci, j’ai un cours à réviser, je vais rentrer et travailler dessus toute la soirée, je serais disponible demain.
• Arrête de me fatiguer quand je vois ces très jolis yeux, ce sont eux qui font ton charme, bien que ton corps soit très agréable aussi à regarder.
Adieu, à très bientôt.

Après avoir passé sa main sur ma joue, m’électrisant, elle passe près du serveur, règles nos deux consommations, coupe de champagne pour elle, jus de fruits pour moi.

Dans la nuit, je me réveille en eau, ma main qui le fait rarement s’est portée sur ma chatte qui est plus mouillée que mon corps.
Je me masturbe, mon cerveau amenant à mes yeux la silhouette d’Ange, je suis malade, je jouis et finis par trouver le sommeil.
Dans la matinée, je suis sur mon canapé à finir de travailler mon cours.
Je suis nue, j’ai du mal à me concentrer surtout que je suis allongée la chatte sur les poils qui le recouvrent, insidieusement, je me déporte afin que l’arrête se trouve au contact de ma minette.
Je pose une jambe au sol, c’est dans cette position que je me frotte.
Rapidement, les poils me caressent mieux que mes doigts, je sens le plaisir monter en moi.
Heureusement, que j’ai gardé les principes que mon père m’a inculqués en restant vierge.
Si je devais aller à confesse, j’aurais honte d’être obligé d’avouer au curé que c’est sur un angle de canapé que j’ai eu ma plus grosse jouissance depuis que je me masturbe, ça me fait éclater de rire.

Après un repas léger, je suis à l’heure.
J’ai mis une autre tenue légère.
Grâce à Corinne, ma copine, qui est très coquette, j’ai appris à m’habiller avec goût et surtout des affaires assez hors de prix, peu importe, papa assume.

• Bonjour Gladys, je t’attendais, j’ai fait sauter le bouchon d’une bouteille de champagne.
J’espère que tu aimes, hier, tu as pris un jus de fruits.
• Mon père en boit à la maison pour les fêtes, moi jamais, mais pour te faire plaisir, je veux bien essayer quelques gouttes.
• Tu verras, c’est le nectar des dieux.

L’appartement sur le boulevard Saint-Germain est ancien, comme l’immeuble, mais meublé avec du mobilier moderne entièrement blanc, même les murs.

• Aimes-tu ma déco, toute autre couleur me déprime ?
• C’est surprenant, j’aime beaucoup, j’ai deux pièces, une chambre et une salle à manger, salon ou j’ai un canapé.

À l’évocation de mon canapé, je me mets à rougir.

• J’ignore à quoi te fait penser lorsque tu évoques ton canapé, mais à ce nom, tu es devenue toute rouge.
Explique-moi, un garçon t’a fait l’amour dessus.
• Non, tu te trompes, je dois t’avouer que je suis vierge.

Je me rends compte quand disant cela, elle m’a conduit à m’assoir sur le sien.

• Mets ta tête sur mon épaule, raconte-moi tout.

Pourquoi je m’épanche sur l’épaule de cette femme ?
Je lui explique ce que j’ai fait cette nuit et ce matin sur l’arête de mon canapé en faux poils synthétique.

• Sur le mien, tu te chaufferais la chatte, mais tu tacherais son cuir blanc par cette pratique.
Il faudra que j’aille chez toi essayer.
Mais, dis-moi, veux-tu que je te débarrasse de ton pucelage, viens que je te déshabille.

Je me laisse faire.
Heureusement, le vin de Champagne est encore dans ma coupe.
Mais quand elle m’entraine dans sa chambre d’un blanc immaculé comme le reste de l’appartement, moi qui pensais garder mon pucelage pour celui qui m’épouserait, je me laisse guider.
Elle me place sur le dos, elle est agenouillée sur la peau d’ours blanc servant de descente de lit, me titillant le clitoris.
Rapidement je jouis.

• Peux-tu me répondre !
Veux-tu que je te débarrasse de ton pucelage ?
C’est incongru à Paris de rester vierge, s’y rester vierge est pur !
Surtout quand on est une jeune et jolie fille comme toi, tu te prives d’un grand nombre de plaisirs et d’évolutions dans ta vie.
Pour moi, c’est con, à ton âge, il y a longtemps que j’avais connu le loup.
Tu étudies à la Sorbonne, lieu mythique ou de nombreux jeunes en mai 68 gueulaient « faite l’amour non la guerre. »
Qu’est-ce que j’aurais aimé faire mes études à ce moment-là, de nombreuses jeunes filles ont perdu leur pucelage dans ce lieu et ce moment unique en France ?
• Comment veux-tu me dépuceler, avec ta main ?
• Non, avec mes mains, ce serait barbare, il arrive que je me fasse fister, mais pour la première fois, en levrette, un bon gode ceinture fera très bien notre affaire.
• Un gode ceinture, de quoi tu me parles !
• Attends, je vais le chercher.

Je suis toute pensive, mais il est vrai que cette nuit et ce matin, ma chatte me démange fréquemment, ce qui me trouble pour étudier.
Mon pucelage disparu, j’arrêterais de fantasmer sur le sexe des hommes comme je le faisais depuis quelques semaines étant seule à Paris.
Une chose m’interpelle « fist » et « levrette », je vais passer pour une gourde, mais ces mots me sont inconnus.

• Regarde, le voilà, je l’avais oublié, je place ce harnais autour de mes hanches.
Préalablement tu dois choisir la grosseur que tu veux en toi, trois tailles, moyen, ces moyens, gros, pour toi, c’est trop gros !
Moi avec mon expérience, je le supporterais facilement.
Et voici le troisième taille à la moyenne des hommes français, commençons par celui-là.

Elle le place dans le harnais et s’approche du lit et de moi.
J’ai envie d’éclater de rire, j’ai vu des verges en dessin et même celle de mon père une nuit ou ayant soif, je me suis levée boire un coup.
Il venait certainement de finir de sauter maman quand je l’ai croisé dans la cuisine, sa verge était encore à moitié tendue.
Ce souvenir me revient et quand j’analyse, c’est la dernière fois que papa a dû s’occuper de la chatte de maman quelques jours plus tard, ils partaient en expédition lui revenant seul.
Le lendemain, pas un mot, nous avons toujours tu cet incident.

• Allez, tu tiens toujours tes cuisses écartées, comme je te l’ai dit, je vais te prendre en levrette.
Mets-toi à quatre pattes la tête dans les bras, cela dégagera ton vagin.
Je te pénétrerai plus facilement et voyant tes réactions, je pourrais moduler mes coups de bassin.

Qui m’aurait dit quand j’ai quitté mon massif des Bauges que c’est un morceau de silicone qui aurait raison de mon adolescence, me plongeant dans le monde des femmes et des adultes…