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3 filles

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Lue : 7877 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/09/2018

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C’était une de ces soirées, je ne me souviens plus si c’était un jeudi, un vendredi, un samedi soir, précisément, où on se perd dans la ville en souhaitant se changer les idées, en espérant au minimum un moment de détente, et, dans ses rêves les plus fous, rencontrer quelqu’un avec qui passer quelques heures, sans oser attendre beaucoup plus.

Je suis venu me caler, comme souvent, au Harry’s bar. C’était un établissement que j’aimais, en centre ville, une friche industrielle rénovée, parce que le bâtiment, qui s’étendait sur plusieurs étages, et offrait, boisson, nourriture, et spectacles, était blanc, clair, lumineux, et parce qu’il y avait une bonne ambiance. Et le personnel était toujours accueillant et chaleureux.

Je me suis posé à une table avec une boisson à la main. Ils faisaient des cocktails magnifiques, le barman avait eu plusieurs prix, tout en couleurs, et pas forcément avec de l’alcool.

Dès le jeudi soir, il y avait pas mal de monde. Les jeunes, comme moi, ceux qui avaient de la vingtaine à la trentaine, aimaient venir ici et c’était bondé, sauf le dimanche, parce que c’était fermé.
Ca faisait cinq minutes que j’étais là quand je l’ai vue traverser la salle. Son regard planté dans le mien, elle venait clairement vers moi. Je me suis dit que j’avais tiré le bon numéro. C’était la première fois que je la voyais ici, et elle était magnifique. Une grande brune, qui, parce qu’elle avait des cuissardes à talons, devait approcher les deux mètres. Elle avait d’immenses yeux noirs, qui, posés sur moi, ne m’ont pas lâché une seule seconde, tout le temps qu’elle a mis pour traverser la salle, dans lesquels il y avait pas mal d’ironie, un visage rond, une chevelure brune, aussi longue qu’épaisse, et un corps aux formes bien affirmées, que la courte robe noire qu’elle portait mettait en valeur, en le collant, mais aussi en s’arrêtant très haut de ses jambes pour dévoiler des cuisses charnues, gainées par le nylon d’un collant, avant qu’elles ne soient prises par les cuissardes couleur marron glacé, qui d’abord larges, se resserraient pour venir gainer sa jambe.
Je me suis mis à bander. Certains soirs je partais du Harry’s bar avec quelqu’un. D’autres, je rentrais seul. Ce soir j’avais peut-être l’espoir de passer la nuit et quelques bons moments avec une fille. Evidemment, je ne me doutais pas de ce qui m’attendait.

Elle n’a pas dévié sa route, et elle est bien venue se positionner quelques centimètres devant moi. Elle m’a fait un grand sourire, dévoilant une dentition impeccable.
—Salut, je peux m’asseoir ?
Il aurait fallu être fou pour lui dire non. De toute façon, elle posait déjà ses fesses sur une chaise.
On a commencé à discuter. Le serveur s’est approché, elle a pris la même boisson que moi, parce que le jeu des couleurs lui plaisait. Il y avait toujours des rituels, quant bien même on avait la même idée en tête, et on les respectait forcément. On a évoqué nos professions, je travaille en cabinet d’assurances, elle était graphiste. Ironiquement, on habitait pas très bien loin l’un de l’autre, même si on ne s’était jamais croisé dans les rues.
On s’est vraiment rapprochés quand elle s’est mise à appuyer sa cuissarde, au niveau de sa cheville, contre ma jambe, remontant contre celle-ci. A travers le tissu de mon pantalon, j’ai eu la sensation du cuir, froid et lisse contre moi. Elle a fini par appuyer son pied sur mon entrejambes gonflé, la partie supérieure du pied pliée, plaquée contre mon sexe .
—On pourrait aller finir la soirée chez moi, ça te dit ?
Une phrase banale, mais la réalité qu’elle laissait entrevoir me semblait prometteuse. Elle était belle, mais aussi sensuelle, on voyait bien qu’elle aimait le sexe, et la caresse inédite qu’elle m’appliquait, me plaisait énormément, promettant une soirée pleine de surprises.
—Je ne suis pas contre.

C’est à ce moment-là que ça s’est joué.
—Je ne suis pas seule, j’ai deux copines avec moi… Mais je suppose que ça ne te pose pas problème…
Je les ai vues arriver vers moi. Une petite blonde plutôt menue, avec d’épaisses lunettes qui lui mangeaient le visage, et une autre brune, moins grande que Bettina, très charnue.
—On ne se sépare jamais…
C’était sans doute un argument imparable. Je m’attendais à tout sauf à ça. Et puis je me suis dit ‘Pourquoi pas ?’ même si je n’arrivais pas vraiment à imaginer comment ça pourrait être à quatre, avec trois filles d’un côté, et un mec de l’autre.
On est partis dans la rue. La nuit était bien établie à présent. Elles étaient toutes les trois autour de moi, parlant et riant. Je me suis dit que ça allait être l’une des nuits les plus particulières que j’allais connaître.
L’immeuble dans lequel elle habitait était un ancien bâtiment industriel qui avait été reconverti en loft.
Dès qu’on a franchi la porte, laissant le monde derrière nous, ça a explosé. Bettina s’est tournée et a penché son visage vers moi. Sa bouche était trop tentante. Nos lèvres se sont d’abord accrochées, nos langues ensuite, pendant que je pétrissais son corps à travers le tissu de sa robe. J’observais les deux filles du coin de l’œil. Elles s’embrassaient à pleine bouche. Sans doute que venir ne signifiait pas participer. Enfin, on verrait bien.
—Tu peux soulever ma robe, si tu as envie, a proposé Bettina.
Je me suis reculé, et je l’ai attrapée à l’ourlet. Je l’ai remontée lentement, dévoilant son corps, et découvrant ce qu’elle portait dessous. Ce n’était pas un collant, mais des bas stay-up, et son bas-ventre était couvert par une simple culotte blanche, marquée par des tâches d’humidité autour de son sexe, qui disaient son excitation. J’ai monté la robe plus haut, découvrant un soutien-gorge noir, pas assorti, qui contenait une poitrine lourde. J’ai fini par faire passer la robe par delà ses épaules. Elle m’a attrapé par la main et entrainé vers la large couche, aux draps défaits. On pourrait sans problème être quatre dessus.
Je m’y suis assis. Elle est venue se positionner devant moi.
—Enlève ma culotte et lèche-moi.

J’ai passé mes doigts dans l’élastique de la culotte, et je l’ai tirée le long de ses jambes. Les filles nous avaient rejoints, et la petite blonde, à l’autre bout du lit, a entrepris de déshabiller la brune. Elle a dézippé sa jupe sur le côté, avant de la tirer vers le bas. La brune avait fait le choix de ne rien porter sous sa jupe, et de garder ses poils, taillés en un triangle qui surplombait un sexe ouvert d’excitation, laissant voir un intérieur rouge. Mais la chatte de Bettina, bien que présentant différemment, marquait tout autant d’excitation. Elle avait des lèvres très longues, qui sortaient d’elle, luisantes des sécrétions vaginales qui coulaient d’elle d’abondance, la meilleure preuve en étant sans doute le filet qui pendait, accroché à sa lèvre gauche. Sans hésitation, je suis venu sur elle de la langue, la faisant gémir. Elle a accroché mes cheveux pendant que moi, je prenais ses fesses bien pleines au creux de mes mains.
Après la jupe, la petite blonde a enlevé le T-shirt et le soutien-gorge de la brune, qui s’est retrouvée entièrement nue. Elle avait des seins hauts et fermes, bien que lourds, avec des aréoles larges. Apparemment, la blonde lui vouait une certaine passion, et elle s’est mise à pétrir sa chair avec énergie. Ce qui plaisait à la brune qui se pâmait.
Bettina coulait dans ma bouche. Son clitoris est sorti, en haut de ses lèvres, plutôt imposant, assorti en tout cas au reste de son corps. C’était en tout cas l’un des plus gros que j’aie jamais eu à ma disposition. C’est pour cela que, sans hésiter, je suis venu poser mes lèvres dessus. J’ai poussé ma langue dessus. Elle s’est mise à gémir, en me disant :
—Oh, oui, continue, là c’est très bon…
Je ne me suis pas fait prier, et j’ai lentement frotté la tête du clitoris de la pointe de ma langue, le sentant gonfler sous ma caresse. Je ne pensais pas qu’un clitoris puisse gonfler et s’allonger autant, mais après tout, ce n’était pas si surprenant que ça, si on pensait qu’il était aussi érectile qu’un sexe d’homme. C’est parce qu’il a envahi ma bouche que j’ai modifié la teneur de ma caresse, pour venir le sucer, allant et venant dessus. J’ai senti l’orgasme monter sur elle, la prendre et la tordre. Elle a crié, c’en était sans doute la meilleure preuve.

A côté de nous, la situation avait évolué. La brune avait entrepris de déshabiller la blonde, qui, allongé sur le lit, se laissait faire. Elle a défait la ceinture qui tenait son jean à sa taille, puis entrepris de descendre celui-ci, emportant une culotte noire avec. S’il était fin, son corps était en tout cas bien dessiné. Son sexe était rasé, et on voyait bien sa muqueuse, toute rose, qui contrastait avec sa peau blanche, parce que elle était elle aussi ouverte d’excitation.
Bettina s’est laissée tomber près de moi. J’ai jeté un œil sur ses seins. Ils étaient pleins, lourds, avec des tétons tout dressés, longs, qui semblaient très durs. J’ai pensé à tout ce qu’on pourrait faire avec. Les caresser de la main, de la bouche, ou du sexe. Elle m’a fait penser à la très belle phrase de je ne sais plus qui ‘Mes seins rentrent dans la pièce dix minutes avant moi.’ Sans aucun doute, c’était vrai pour elle.
Elle les a amenés devant ma bouche. Si son clitoris, épais et long, m’avait rempli la bouche, ça a aussi été le cas pour le téton que j’ai gobé avec envie. J’ai suivi à peu près la même tactique qu’avec son clitoris, promener la langue dessus, aller et venir dessus. Je connaissais suffisamment l’anatomie féminine pour savoir que c’était une zone érogène pour la plupart des filles. Elle ne faisait pas exception à la règle, et elle s’est mise à gémir pendant que je travaillais son téton gauche, caressant le droit du bout de ses doigts, l’effleurant et le pinçant. Ensuite, on a inversé, j’ai attaqué le téton droit, tandis qu’elle travaillait le gauche. J’ai glissé la main entre ses cuisses, pour masser ses lèvres et son clitoris. Son clito s’était encore allongé pendant que je caressais ses seins.
La blonde était maintenant allongée sur le lit, totalement nue. Elle avait de petits seins, mais ils étaient bien dessinés, dans un autre format. La brune était sur elle, la parcourant de la bouche et de la main, avec avidité.
Bettina s’est dégagée, et a défait mon pantalon me libérant enfin. J’étais comprimé et c’était douloureux.
—Hé bé, tu en as une bonne, elle s’est exclamée, une fois qu’elle m’a eu tiré de mon caleçon.
Et c’était vrai, j’avais rarement été aussi long et aussi dur. Ca tenait à plusieurs facteurs, le fait qu’elle me plaisait énormément, mais aussi parce que j’appréciais la plastique de ses deux copines, ainsi que leurs jeux saphiques.

Elle s’est penchée sur moi et a engagé une cravate de notaire, possibilité que je n’avais pas eu le temps d’envisager avant qu’elle ne l’amorce. Ce n’était d’évidence pas la première fois qu’elle caressait ainsi un garçon, elle savait d’évidence comment faire. Elle m’a avalé entre ses deux énormes loches. Ma queue a totalement disparu. La sensation entre ses seins était douce et délicate, très différente de celle qu’on pouvait ressentir dans un sexe de fille, mais tout aussi excitante. Elle s’est mise à me masser avec une extrême lenteur, qui permettait de savourer sa caresse. A côté de moi, les filles s’étaient allongées sur le côté, et avaient enfoui leur visage dans le sexe de l’autre, pour le caresser de la bouche et des doigts. J’ai pourtant remarqué que la blonde regardait ma queue avec envie. C’était donc qu’elle au moins, était bi.
Bettina a changé légèrement de tactique, faisant sortir mon gland tout rouge et très dilaté dans son décolleté, gainant le reste de ma queue de ses seins, et, baissant la tête, elle a baladé la pointe de sa langue sur mon gland. C’était aussi excitant d’éprouver cette caresse que de la voir faire, yeux mi-clos, avec une expression de contentement, langue sortie. Un instant, j’ai cru que j’allais jouir, mais je me suis contenu au dernier moment.
C’est à ce moment que tout a basculé. Les deux filles se sont détaché l’une de l’autre, et elles nous ont rejoints. Une de chaque côté, elles ont sorti leur langue, et sont venues rejoindre Bettina, frottant mon gland… C’était… Une caresse démultipliée par trois, trois fois plus d’excitation, et j’ai du me maitriser pour ne pas jouir sur le champ. Des pré-sécrétions ont commencé à couler, d’abondance, de mon méat, et ça n’a plus arrêté. Elles se sont aussi réparties sur les seins et les tétons de Bettina.
Cette dernière a fini par me délivrer. Elle a roulé sur le lit, pour attraper sur la table de nuit une grosse boite de préservatifs. Elle en a pris un, a déchiré l’emballage. La blonde lui a pris des mains, et c’est elle qui m’a gainé de latex. J’étais paré.
Bettina avait une priorité sur ses deux copines, c’était elle qui dominait. C’est elle qui, la première, est venue s’installer sur moi. Elle s’est accroupie au dessus de ma queue dressée, et s’est laissée descendre jusqu’à ce que mon gland touche ses lèvres. Ses deux copines regardaient, fascinées, et moi aussi, je l’étais, fasciné. C’est toujours un moment magique, quand deux sexes se rencontrent. Elle a attrapé ma queue, l’a guidée vers ses lèvres, la queue a ripé, mais la deuxième fois, elle est parvenue à la faire rentrer. Elle s’est laissée remplir, en fermant les yeux et en gémissant. Elle a totalement englouti mon sexe, sous les yeux de ses copines qui regardaient, fascinées, en se caressant mutuellement. Posant ses mains de part et d’autre de moi, elle s’est faite monter et descendre sur moi, ma queue apparaissant et disparaissant, le latex se souillant des sécrétions qui coulaient d’elle, et qui devenaient plus épaisses.

J’ai été un peu surpris quand elle s’est arrachée de moi, pour laisser la place à ses copines. Je pensais qu’elles se contenteraient de regarder. Mais la petite blonde, la première, est venue se placer dans une position identique, et, attrapant ma queue, s’est empalée dessus avec détermination, pendant que Bettina venait lécher le sexe de la brune dodue.
Je l’ai attrapé par les hanches, et je l’ai faite monter et descendre sur moi. Elle était en plein trip. Elle est restée quelques minutes sur moi, avant de laisser la brune prendre la place.
Je n’étais pas au bout de mes surprises, je l’ai compris quand, au lieu d’amener ma queue sur la déchirure de son sexe, elle l’a faite glisser quelques centimètres plus bas, contre les plissements de son anus. J’ai du paraitre un rien surpris, parce qu’elle m’a dit :
—Pour moi, c’est cent fois meilleur par là !
Ce n’était en tout cas certainement pas la première fois qu’elle prenait un sexe d’homme par le cul, vu la facilité avec laquelle je suis rentré en elle. Elle a paru éprouver une extrême félicité à se faire ainsi sodomiser. Quand elle a été plantée sur moi, ses deux copines sont venues sur ses seins, chacune en léchant un.
Ca n’était que le début, et ça a duré très longtemps sans doute, même si j’ai perdu rapidement toute notion du temps, pris dans ce moment, bien meilleur que je n’aurais pu l’imaginer. Elles se sont succédé sur ma queue, la plantant dans leur vagin, dans leur anus, changeant plusieurs fois le préservatif, se donnant du plaisir entre elles. On s’est enfoncés comme ça loin dans la nuit, jusqu’au moment où on a joui, dans une quasi synchronicité.

Je me suis réveillé le premier. Elles dormaient encore, accrochées les unes aux autres.
C’est au moment où j’allais franchir la porte que j’ai senti que quelqu’un derrière moi était réveillé. J’ai tourné la tête. Bettina s’était redressée. Elle m’a souri. Un sourire qui disait qu’on avait passé un bon moment ensemble.
C’était aussi ce que je pensais. Je lui ai souri, et je me suis éclipsé.
Nos chemins se recroiseraient peut-être un autre soir, au Harry’s bar.
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Histoire de JamesB

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