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6 heures 15

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 03/01/2023

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6 heures 15

Je fais partie de ces gens qui se lèvent très tôt le matin pour partir travailler, avec l'avantage que je profite du monde sous un autre angle.
J'accomplis les rituels du matin. Ceux que vous accomplissez aussi. Et puis je pars.
J'habite dans un département rural. Je vais d'un point A à un point B, je pars d'une ville moyenne et j'arrive à une ville moyenne, en passant, à travers le département, fendant des zones de nature, entre champs, collines, et montagnes, des villages, ou des blocs de quelques maisons isolées.
Chacun d'entre nous a un fonctionnement qui lui est propre. Le matin, quand je me lève, j'ai souvent le feu aux reins. Le matin et pas le soir.
Une faim qui trouve son apaisement de diverses façons. Ca dépend si je suis accompagné ou pas. Quand je suis accompagné, et que je trouve une copine qui partage mes goûts, ce qui n'est pas évident, le matin, on partage des moments sympathiques. Deux corps qui rentrent en contact, un sexe qui vient au contact d'un autre, une bouche qui s'accroche à une verge bien dure et l'agace jusqu'à ce que l'orgasme vienne, bouche goulue qui boit le sperme jusqu'à la dernière goutte, une autre bouche qui vient caresser un sexe féminin qui s'ouvre et se met à couler, tout en se frottant contre les draps jusqu'à éjaculer...
Si l'envie me prend et que je suis seul...Il y a mille manières de se donner du plaisir, sa main, se frotter contre un oreiller, dans le lit, sous la douche, en se savonnant, en amenant la chaleur du jet d'eau sur sa queue gonflée de désir...Le week-end, c'est royal, parce que je peux prendre le temps, et faire durer le plaisir, qui est aussi, sinon plus important que la jouissance...
Si je dois travailler...Je n'ai pas forcément le temps...Alors, bien sûr, je peux faire très vite, mais j'ai toujours un sentiment de gâchis...Et puis j'aime bien laisser mes pensées divaguer, et un univers s'installer, souvent construit sur des souvenirs de femmes...Quand je dois faire rapidement, il y a juste une image, qui me fait jouir...La main d'une fille sur ma queue, un sourire, une bouche m'enveloppant, une fille ouvrant son sexe avec ses doigts et me disant de bien regarder...
Parfois, je me retiens...Et je n'ai plus envie le soir...Mais c'est bien...Ca donne plus de force à mon orgasme du matin suivant...
C'est comme ça qu'un matin, je m'étais levé en ayant envie, mais en retard, et poursuivi par cette envie, je m'étais arrêté au dessus du village de L...6 heures 15 au compteur lumineux de la voiture. Je ne me voyais pas tenir toute la journée avec le ventre en feu, et je me suis dit que, comme j'avais largement rattrapé mon retard, certains matins la route était vraument déserte, je pouvais prendre quelques minutes pour me donner du plaisir.
Un moment de calme. Le monde était encore endormi. Hors de la vie et hors de la réalité qui était encore noyée dans la pénombre.
Je me suis défait. La main sur mon sexe, j'ai commencé à me caresser, laissant mes souvenirs de rapports avec des femmes m'envahir.
Une pulsion. Une envie et un besoin à la fois. Rien de très glorieux, mais je n'avais pas honte. Comme on dit souvent, c'est humain.
Ma dernière copine s'appellait Catherine, on avait passé six mois ensemble. Elle était grande et opulente et on s'entendait bien. J'avais par contre été surpris, pour ne pas dire sidéré, par la raison pour laquelle elle m'avait quitté. Elle m'avait expliqué qu'après plusieurs années d'hésitation, elle renonçait définitivement aux hommes pour se consacrer uniquement aux filles. Ne me restaient que des souvenirs des moments de plaisir ensemble, durant lesquels elle avait été imaginative, et ne m'avait jamais laissé deviner, vu son ardeur, que les moments qu'on passait ensemble ne la comblaient pas totalement.
J'étais là, dans la voiture, sur le bas-côté, une zone nue, un parking sans vraiment en être un, faisant aller ma main sur ma queue, mon membre très dilaté, gorgé de sang, montant les derniers paliers vers la jouissance, repensant à la fois où dans le train, et alors qu'il y avait des passagers dans le wagon, elle était venue s'asseoir sur moi, après m'avoir masturbé pour me faire durcir. Elle avait une jupe, un accès facile, d'autant plus qu'elle n'avait pas mis de culotte. Elle m'avait fait rentrer en elle, avant de se faire monter et descendre sur moi pour nous faire jouir.
J'avais vu le contrôleur arriver au bout de la rame au moment où je commençaIs à jouir en elle, mon sperme jaillissant par saccades dans le préservatif, venant cogner contre ses muqueuses et la faisant jouir à son tour.
Il était à deux banquettes de nous quand elle s'était remise à sa place. J'avais rentré ma queue encore gainée du préservatif dans mon pantalon.
Tout se dissolvait dans ce moment, ce début de matinée, le passé, l'avenir, j'étais à deux doigts de jouir.
Tout cela a été brusquement réduit à des dizaines de petits fragments quand quelqu'un a tapé à la vitre de la portière, côté conducteur.
Un visage et une silhouette de l'autre côté de la vitre, qui nous séparait moins sans doute que le fait que je sois plongé dans un autre monde, et sur le point de jouir.
Bien que ce soit encore la nuit noire, son visage se dessinait parfaitement. Éclairé par la lumière de l'intérieur de la voiture.
Un joli visage. Rond, bien dessiné. Des tâches de rousseur, et une chevelure rousse, d'un roux que la nuit n'empêchait pas de flamboyer, rassemblée en un gros chignon sur le sommet de son crane, qui laissait deviner que, libre, sa chevelure devait être longue, épaisse et voluptueuse. Elle avait des yeux verts, et des paupières légèrement tombantes qui lui donnaient quelque chose de sexy. Même sans ça, elle aurait quand même été sexy...
J'ai baissé la vitre. Elle avait un crop top qui laissait un ventre plat et sans défaut à nu, le tissu tendu par une poitrine bien pleine, et un short qui collait à ses hanches, dessinait très nettement sa moule gonflée, y compris dans la fente qui la coupait en deux, et laissait à nu deux jambes que j'ai trouvées bien dessinées.
--Ce n'est pas prudent que de se caresser comme ça en pleine nature. Imaginez que quelqu'un vous voie et vous dénonce aux gendarmes.
--C'est un risque à prendre, et j'ai perdu.
En tout cas, j'avais le sentiment que ce n'était pas elle qui prendrait le chemin du commissariat. Son expression ne le disait pas en tout cas. Elle ne semblait en rien choquée. Amusée sans doute, mais aussi un rien troublée. C'est la raison pour laquelle je n'ai pas interrompu mon geste, continuant de faire aller et venir ma main sur ma queue plutôt que de la cacher.
--Tu penses à quoi en te caressant ?, elle m'a demandé, curieuse. Des filles que tu croises et qui te font fantasmer ? D'anciennes copines ? Des pornos que tu as vu ? On pense toujours à quelque chose en se branlant...Mais la réalité, c'est mieux...Tiens, regarde...
Ca a été très vite. Elle a relevé son crop top, d'un mouvement aussi rapide qu'efficace. Dessous elle avait une brassière, spéciale sport, qui soutenait efficacement les seins pendant l'effort, sans trop les comprimer. Et là, hop, elle a aussi soulevé la brassière, dévoilant sa chair. Un beau cadeau qu'elle m'a sans doute fait parce qu'on ne se connaissait pas. C'était plus facile, comme une confession intime à un inconnu.
En tout cas elle avait une belle poitrine, et ça n'est pas donné à tout le monde. Ses seins étaient ronds, mais pas tombants, ils avaient un bel ovale, ils étaient bien fermes, bien suspendus, sans pour autant s'affaisser. Ce qui était sympa aussi, c'était qu'ils étaient marqués à leur extrême par deux belles aréoles larges et très roses, et par deux tétons épais, que le froid, a fait, sous mes yeux, durcir en quelques secondes. Ma queue a apprécié aussi, qui a eu un spasme d'approbation même si je l'avais délaissée, figé par le spectacle offert, la tenant sans plus aller et venir dessus.
La jolie rousse m'a laissé le temps de bien profiter du spectacle, ne rabaissant pas tout de suite soutien-gorge et crop top.
Elle a eu un sourire qui a permis de sceller un pacte entre nous.
--Tous les matins, je passe par là, à la même heure, pour faire un petit jogging avant d'aller travailler. Je suppose que tu en fais autant, non ? A deux ou trois minutes près...
Déjà très proche de jouir, encore plus excité par cette chair à quelques centimètres de moi, spectacle troublant, j'ai repris mon mouvement en sachant que j'allais exploser d'ici une poignée de secondes.
--Je te propose un pacte, elle m'a dit, ne rengainant toujours pas ses seins. Aujourd'hui tu te fais jouir devant moi. Tu sais que ça faisait déjà cinq minutes que je te regardais quand j'ai tapé à la vitre. Mais tu étais dans ton monde.
Il paraît qu'il y a plein de choses que vous aimez voir une fille faire, et surtout se caresser, devant vous ou dans un film. Moi je n'avais jamais encore eu l'occasion de voir un mec jouer avec sa queue, et je trouve ça hyper excitant.
A cette heure-ci, généralement, je termine mon entrainement. Demain, si tu passes par là, on pourrait basculer sur d'autres jeux. Et les autres jours aussi. Qu'est-ce que tu en dis? J'imagine que tu es sur la route du travail et que tu passes par là du lundi au vendredi, mais cinq jours, ce serait déjà bien. Je pourrais te regarder mais j'aimerais aussi poser ma main sur ta queue, la sentir chaude et dure, frémissante, et que tu arroses ma main de ta semence chaude...
J'ai tenté d'analyser par la suite. Ce qui a pu déclencher ma jouissance. Une accumulation sans aucun doute. Le fait que j'étais monté dans le plaisir déjà avant qu'elle n'arrive. Sa beauté. Ses seins. Mais le déclencheur, ça aura été sans aucun doute ses paroles, et cette image de sa main sur ma queue, me caressant, arrosée de sperme, ce même sperme qui a jailli de moi, et s'est éparpillé dans les airs, sur moi, sur le tableau de bord. Elle a eu un petit rire joyeux en me voyant jouir, a finalement dit :
--Tu as des réserves de sperme inépuisables ! Un véritable geyser !
--Je ne m'étais pas vidé depuis plusieurs jours, je lui ai répondu,
Elle a enfin rabaissé son soutien-gorge, puis son crop top, et elle m'a dit :
--A demain.
Et c'est vrai que j'avais totalement oublié qu'elle courrait. Elle s'est élancée, et, aussi gracieuse que rapide, elle a disparu en quelques secondes.
Même si c'était pour une fois unique, le hasard avait bien fait les choses. Il y avait pas mal de lieux où s'arrêter. Mais ça avait été là, et j'avais ainsi fait sa connaissance.
Cette rencontre avait coloré ma journée. J'ai pensé à sa beauté, son impertinence, sa légèreté jusqu'au soir. Dans la fin de la nuit, et les premières lueurs de l'aube, il pouvait se passer des choses sympathiques, au final.
J'avoue que le lendemain matin, quand je suis reparti, même s'il y avait ce rendez-vous informel, je ne pensais pas la revoir. Parfois, il y a un moment comme ça, unique, dont l'occurence est souvent due au hasard, qui n'est pas amené à se répéter. Et le 'A demain' qu'elle avait prononcé, même s'il était sincère sur le moment, se dissolvait dans le temps. Et puis notre rencontre était due à la conjonction d'un ensemble de paramètres dont je n'étais pas sûr qu'ils puissent coincider à nouveau. Même si je passais toujours par là, et elle aussi, selon ses propres dires. Surtout, je n'étais pas certain que son envie ne se soit pas dissipée. Pas toujours évident que les envies des hommes et des femmes coincident.
Chaque jour est différent. Je suis arrivé pourtant, le lendemain de notre rencontre, quasiment à la même heure. Je me suis garé sur cette zone de terre battue. Juste en dessous, on voyait certains éléments du village, la route qui le traversait, des bâtiments, une cour, les maisons alignées les unes contre les autres qui faisaient front face à l'adversité et un moulin qui était soigneusement entretenu, survivance du passé même s'il avait perdu sa fonction initiale.
Je me suis garé. M'interrogeant sur ce qui m'attendait. J'allais sans doute être déçu.
Ca a été une surprise, et une bonne surprise, quand la portière à ma droite s'est ouverte. Elle s'est glissée à l'intérieur. Souriante. Reprenant son souffle,
Je suis vraiment tombé sous le charme. Encore plus que la veille. Elle resplendissait, pleine de joie de vivre. Elle portait ce jour-là un survêtement blanc avec des raies bleues. Elle a tiré sur le zip de la veste. Dessous, elle avait juste un soutien-gorge de sport, qu'elle a relevé, faisant jaillir ses seins :
--Tiens, ils avaient l'air de te plaire hier...
Et c'est vrai que retrouver leur ovale et leur charnu m'a mis en joie. Elle s'est mise à les caresser, d'abord avec des mouvements circulaires sur sa chair, puis en pinçant les tétons qui ont durci naturellement.
--Allez, viens, j'ai envie de voir ta queue et de la caresser.
Elle a tendu la main vers mon pantalon, et m'a défait pour me mettre à nu.
--Je vois que tu es en pleine forme...
De la pulpe de son index, elle est venue tourner sur mon gland. Ma peau encore sèche s'est vite saturée du liquide pré-séminal qui a commencé à sortir. L'efficacité de cette simple caresse disait clairement son habileté. Ca m'a ramené quelques années en arrière, à ma première petite copine, une adorable petite blonde avec qui on avait partagé l'envie de sexualité et la peur d'aller trop loin, en arrivant à des flirts poussés où on se caressait mutuellement. Une main sur une queue, qui la masturbe, même maladroite, c'est très bon.
Elle est descendue des ongles le long de ma tige...
--Ca va, je te caresse bien ?, elle m'a demandé.
--C'est parfait. J'ai bien fait de m'arrêter hier.
En fait, je m'étais déjà arrêté là, parfois, pour vérifier si je n'avais pas oublié quelque chose, avaler une gorgée d'eau...On s'était peut-être même croisés, sans qu'elle me regarde, sans que je l'aperçoive...Et puis il y avait eu cette envie de sexe...FInalement positive...
--Ca commence à me chauffer le ventre...Je crois que je vais me caresser aussi...
--C'est le principe de l'arroseur arrosé, je lui ai dit...
--Hmm, c'est un peu ça, elle a répondu, en tirant d'une main, l'autre continuant à me caresser, son pantalon de survêtement. Dessous, elle avait une simple culotte en coton blanc, qui a suivi le même chemin et elle m'a dévoilé pour la première fois sa chatte, ornée d'une pilosité foisonnante qui donnait du relief à l'ouverture dont jaillissaient deux morceaux de lèvre qui m'ont semblé gonfler sous les yeux. En accord sans doute avec le premier jailissement de liquide qui était sorti de mon méat, et qui se prolongeait, elle s'est mise à mouiller, une première coulure en bas de ses lèvres qui s'est prolongée sur ses chairs, et est devenu régulier. Elle a réuni deux doigts pour venir tourner sur ses lèvres, remontant ensuite pour décalotter son gland clitoridien qu'elle s'est mise à frotter en gémissant. Elle n'en négligeait pas pour autant ma queue, caressant mes couilles avec ardeur...
--Je crois qu'on va jouir ensemble, elle m'a dit...Je pensais te donner du plaisir en boudant le mien, mais je me suis laissée emporter.
On a été, fallait-il y voir un signe, à l'unisson dans la jouissance. Nos orgasmes ont explosé en nous quasiment au même moment, et ils se sont accompagnés, pour elle comme pour moi, mais c'était plus surprenant pour elle, de jaillissements de liquide. J'ai craché des jets de sperme copieux, mais elle a éjaculé elle aussi des jets de liquide, qui sont venus maculer le tableau de bord et même le pare-brise.
On est restés immobiles, englués dans notre jouissance, avant qu'elle ne me dise :
--Ca faisait un moment que je n'avais pas joui...Toute seule, pas forcément envie de prendre du plaisir...C'était bon...
Elle s'est rajustée. Je crois qu'on était un peu perdus, elle et moi, surpris sans doute non pas tant du plaisir, que de l'avoir partagé et que ça ait tissé une sorte de lien entre nous.
Pour casser le trouble, elle s'est rajustée, et m'a dit :
--Je te retrouve demain ici, je ne te lâcherai pas.
Et elle est partie en courant dans la nuit.
A une rencontre improbable a succédé un rendez-vous régulier tout aussi improbable. Chaque matin, du lundi au vendredi, je me garais sur cette zone de parking, et elle arrivait. J'ai compris le troisième jour qu'il y avait un challenge, de sa part, elle s'efforçait de me donner du plaisir d'une manière différente. Ce troisième jour, donc, elle est arrivé avec des gadgets, un simple vibro mauve pour elle et une gaine de masturbation pour moi. Elle y a engouffré ma queue, pendant qu'elle se fouillait avec le vibro. Une sensation surprenante, je n'avais jamais utilisé de gadgets, et le plaisir de la voir se caresser avec un vibro...Le lendemain, on est parti sur quelque chose qui m'a vraiment emballé.
Elle est arrivée en me disant :
--J'ai des seins, mais je sais aussi m'en servir.
Elle les a dénudés une fois de plus. Les regarder, c'était déjà un plaisir. Qui a pris une autre dimension quand elle s'est approchée de moi, en une reptation, pour dénuder ma queue,puis, en basculant plus sur sa droite, l'envelopper de ses seins. Un contact doux, chaud, soyeux même. Ma queue était entièrement prise au milieu de cette chair chaude et souple. Aucune fille ne m'avait jamais fait ainsi une cravate de notaire. Je m'étais toujours dit qu'en ce qui concernait la sexualité, on découvrait jusqu'à sa mort, et c'en était encore la preuve. Un plaisir très fort, et je me retenais pour ne pas jouir.
--C'est bon de sentir ta queue au milieu de mes seins. Ca fait trop longtemps que je n'ai pas caressé un garçon comme ça. J'adore ça...Tu sais que j'arrive à jouir juste en me touchant les seins ?
J'en ai eu la démonstration dans les minutes qui ont suivi, quand, au summum de mon plaisir, j'ai explosé, crachant mon sperme au cœur de ses seins. J'ai compris qu'elle ne me mentait pas quand je l'ai vue, alors que la semence jaillissait, et qu'elle amenait son bras autour de ses seins pour les maintenir serrés autour de ma queue, elle se pinçait les tétons de la main gauche, et elle partait dans la jouissance.
Il y a un très beau proverbe en langue américaine, qui n'a aucun équivalent en langue française. Time and tide wait for no man. Le temps et la marée n'attendent personne...Et effectivement, si le premier moment avait eu lieu à la mi-janvier, les semaines ont glissé, insidieusement, jusqu'à arriver au mois de mai. On avait vu peu à peu la nuit reculer, et le jour avancer, la grignotant petit à petit.
Ce qui était possible la nuit ne l'était pas le jour. Car il y avait du monde qui passait le long de cette route. Ceux qui partaient travailler, dans un sens ou dans l'autre. Ceux qui joggaient aussi. Plus quelques retraités qui se baladaient très tôt. Sans parler des maisons très proches.
Elle s'est glissée dans la voiture. S'est penchée sur moi. Nos bouches se sont jointes. Ce qui au départ était un simple moment de sexe avait pris une autre dimension au fil du temps. Quelque chose, à travers le sexe, mais n'était-ce pas au final la meilleure manière de se rapprocher, s'était tissé entre nous. Un lien intense et fort. Une réelle complicité. Je n'aurais pas cru que ce soit possible lorsqu'au mois de janvier, elle avait tapé à la vitre.
Elle a fait descendre son short et sa culotte, se retrouvant le ventre nu, avant d'ensuite tirer de la poche de son blouson un préservatif. Elle a dégagé ma queue, l'a caressée, avant de glisser le préservatif dessus, d'une main assurée. Elle s'est posée à califourchon sur moi et s'est laissée descendre, avalant ma queue dure. C'était la première fois qu'elle me laissait la pénétrer.
J'ai senti sa chaleur autour de moi et la manière dont la gaine de sa muqueuse m'enveloppait et me prenait. Avec une expression de ravissement sur le visage, elle s'est mise à bouger sur moi, dans des mouvements de va-et-vient courts, puis plus longs...
--Tu sais qu'on ne va plus pouvoir continuer comme ça ?
Le moment que je redoutais tant était arrivé.
--Tu es lassée ?
--Le jour se lève...On ne peut pas continuer à se voir comme ça.
Elle a resserré les muscles de son vagin, les relâchant ensuite, avant de répéter la même caresse plusieurs fois. C'était la première fois qu'une fille me faisait ça, et c'était tellement excitant que j'ai du me contrôler pour ne pas jouir.
--Tu as envie de te faire arrêter ?
--Pour exhibitionnisme ? Pas vraiment...
--Si on déplaçait notre rendez-vous...
Se relâchant, elle s'est mise à monter et descendre sur ma queue, qui apparaissait et disparaissait, et semblait à chaque fois plus dilatée, jusqu'à exploser.
--Tu fini à quelle heure le travail ?
--16 heures.
--15 heures pour moi. Si tu passais chez moi ? On pourrait profiter l'un de l'autre en toute tranquillité.
Elle a éjecté ma queue de son ventre, a fait coulisser le latex le long de ma tige. Elle m'a collé contre son ventre, et a caressé doucement la partie supérieure de ma queue. Mon sperme a jailli, venant maculer sa peau, le soutien-gorge, jusqu'à son cou.
Elle a amené ses doigts sur son gland clitoridien, dilaté, dans des proportions autres, tout autant que ma queue. Le frotter quelques secondes a suffi pour la faire jouir.
--On pourrait se voir dès ce soir. Deux fois dans la même journée, ce serait sympa. Et demain...On recommence sur de nouvelles bases...
Elle s'est rajustée, moi aussi.
--Tu as de quoi écrire?
Je lui ai tendu un carnet et un stylo. Elle y a griffonné une adresse et un numéro de portable.
--Si je suis pas là quand tu sonnes, tu m'appelles. Mais je t'attendrai. Viens avec une queue bien dure. On pourra en profiter avec plus de confort.
Elle a pris ma bouche pour un long baiser puis elle est rentrée chez elle en courant.



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Histoire de JamesB

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