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Le confinement coquin de Max

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/01/2023

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Le confinement a été pour tous une période difficile à vivre. La situation nouvelle, inattendue et tellement restrictive a été éprouvante pour tous. Cependant, certains ont su en tirer avantage, et cela a été le cas pour moi, par le plus grand des hasards.
Je m’appelle Max et j’ai 31 ans. Je travaille dans une petite PME informatique dans la Région Parisienne. Célibataire depuis plusieurs années, je profite de ma liberté pour réaliser mes phantasmes, avant de trouver ma moitié et de m’assagir pour de bon.
Mais bon, comme vous pouvez l’imaginer, le confinement c’est pas top pour les plans drague. Alors je passais le temps comme je pouvais.
J’habite dans un petit 2 pièces d’un immeuble de 4 étages. Si du côté de la cuisine et de la salle à manger je donne sur une rue très passante, la fenêtre de ma chambre, de l’autre côté, et en face d’un pavillon que je suis le seul à pouvoir voir, car mon appartement est en bout de l’immeuble. Ce pavillon est habité par Sandrine, une belle quadragénaire, blonde et divorcée, qui vit avec ses deux filles Samantha et Sabrina, respectivement 20 et 18 ans. Deux superbes jeunes filles, aux formes parfaites, elles aussi blondes comme les blés.
Alors quand 20h sonnait, je courais à la fenêtre ouverte de ma chambre pour applaudir le corps médical qui s’occupait de Covidés jours et nuits. C’était mon petit plaisir de la journée. Voir les visages rayonnants de mes trois voisines, de discuter quelques instants avec elles. Au fur et à mesure que les beaux jours avançaient, nos discussions se prolongeaient, surtout avec Sabrina, la plus jeune, qui était aussi la moins sauvage. Nous sommes devenus des amis, des confidents.
Un soir, Sabrina laissa sa fenêtre ouverte. Cela m’intrigua. Je jetai un regard au hasard et ce que je vis me laissa sans voix. Elle enlevait se vêtements, un à un. D’abord son sweat, puis son chemisier, dévoilant un joli soutient gorge à cœur, qu’elle fit sauter rapidement et glisser le long de ses épaules, libérant deux petits seins blancs comme du lait. J’étais subjugué par sa beauté. Elle ne s’arrêta pas là, elle déboutonna son pantalon et le fit tomber jusqu’à ses pieds. Elle se pencha pour l’enlever complètement et je pu admirer sa petite culotte, assortie au soutient gorge qui gisait par terre. Enfin se fut le tour de son dernier vêtement. Comme elle était de dos, je pus voir ses fesses. Deux belles fesses, toutes tendres offertes à mes yeux ébahis. L’érection qui s’était amorcée dès le début de son déshabillage était maintenant à son comble. Sabrina était entièrement nue sous mes yeux, ne sachant peut-être pas que je la regardais. Je pensais qu’elle allait mettre un pyjama ou une chemise de nuit, mais elle resta nue. Elle s’assit sur le fauteuil en face de sa table de toilette, et je pu entrevoir l’espace d’un instant son entrejambe couvert d’un fin duvet blond. Devant son miroir, elle enleva une à une chacune de ses bagues. Je n’étais pas du genre voyeur, mais là je ne pouvais détourner les yeux de ses seins, dont les tétons pointaient fièrement droit devant eux. J’aurai donné mon âme au diable pour pouvoir les toucher. Ensuite elle se démaquilla et se brossa les cheveux. Mon regard suivait chacun des mouvements de sa douce poitrine qui bougeait au rythme de ses coups de peigne. Enfin elle se leva et se glissa toujours en tenue d’Eve hors de portée de ma vue, certainement dans son lit. Cependant mon imagination continua de galoper dans ma tête, et j’imaginais la nuit agitée que nous pourrions passer ensemble si je pouvais la rejoindre dans sa chambre.
Le lendemain matin, je reçu un SMS : « Bonjour, c’est moi Sabrina, j’ai eu ton tel par ta voisine qui est une bonne amie de ma mère. Est-ce que ça te dérange si on tchat ? » Je lui répondis bien sûr que non et que j’étais ravi de pouvoir discuter avec elle en privé. Elle comprit le message, et très vite notre conversation devint plus intime. Elle me demanda : « Est-ce que le spectacle d’hier soir t’a plus ? ». J’étais abasourdi ! Elle avait parfaitement joué la comédie. Moi qui la prenais pour une jeune fille innocente, en fait j’étais bien loin du compte, comme j’ai pu le constater par la suite. Je lui répondis simplement par un « Oui » laconique, préférant rester prudent. « Est-ce que tu me trouves belle ? Est-ce que je te plais ? » Le ton était donné. Elle attendait des compliments et des encouragements de ma part. N’ayant rien à perdre, je rentrai dans son jeu : « Tu as un corps superbe ! C’est effectivement dommage de le cacher. » Elle me répondit : « Tu en auras plus ce soir, si tu es gentil avec moi. ». Notre conversation coquine démarra ainsi. De fil en aiguille nos propos devinrent de plus en plus sexuels, puis carrément obscènes. A ma grande surprise, elle était plus entreprenante que moi, me posant une multitude de questions intimes, auxquelles je répondais en toute franchise. Je compris qu’elle ne cherchait pas seulement à me chauffer, mais qu’elle était clairement en manque de sexe, et qu’elle était prête à aller jusqu’au bout. Elle avait trouvé en moi le partenaire en qui elle pouvait avoir confiance, le seul qui était à sa portée, enfermée dans sa maison.
Elle me demanda si je m’étais masturbé pendant la nuit en pensant à elle. Je répondis que oui. Elle me demanda tous les détails, si je le faisais souvent, etc. Je répondais à ses questions, sentant monter en moi l’excitation. Elle m’avoua qu’elle aussi s’était masturbée, toute nue sous sa couette, et qu’elle avait eu plusieurs orgasmes d’affilé en pensant à tout ce qu’elle voulait que je lui fasse. La petite jeune fille innocente que j’imaginais étais en fait une sacrée cochonne. Elle voulait que je la prenne par les 3 orifices, et dans toutes les positions ! Elle me confia qu’elle n’était plus vierge depuis quelques mois, mais le copain qui l’avait « défleurée » l’avait délaissé pour une autre fille qui était soi-disant plus mignonne qu’elle. Depuis il y avait eu le confinement et je devinais qu’elle cherchait à se rassurer sur son physique et son pouvoir de séduction auprès des garçons.
La journée passa à une vitesse incroyable. Nous étions tellement occupés à échanger par SMS que je ne vis par l’heure fatidique des applaudissements arriver. A la fenêtre, je fus accueilli par mes 3 voisines, et surtout le magnifique sourire de Sabrina qui me dévorait du regard. J’étais gêné et lançait un sourire poli à sa Maman Sandrine, qui ne se doutait pas le moins du monde des échanges lubriques que sa fille et moi avions entretenu toute la journée. Sandrine me parla, les bras entourant les épaules de ses filles. Nous échangeâmes les banalités habituelles, alors que Sabrina me faisait des clins d’œil et des regards de biche. Visiblement, mon embarras l’amusait beaucoup. Je décidai de prendre congés de mes voisines en prétextant un plat sur le feu. Lorsque je revins à la fenêtre quelques minutes plus tard, Sabrina était en sous-vêtements, assise devant sa coiffeuse. Ce n’étaient pas du tout les sous-vêtements de petite fille de la veille, mais un beau soutien-gorge noir et un string en dentelle qui mettaient ses formes en valeur. Elle tourna la tête vers moi et me sourit lorsque nos regards se croisèrent. Puis lentement, d’un geste élégant et sensuel, elle fit glisser la bretelle de son soutien-gorge, libérant le sein qui était de mon côté. Puis elle fit de même avec le second, et descendis son soutien-gorge pour libérer complètement sa poitrine. Elle était visiblement très excitée car ses tétons semblaient tout dur, tout comme mon sexe dans mon pantalon. Avec un sourire malicieux et son regard effronté toujours dirigé vers moi, elle prit ses petits seins dans ses deux mains, et commença à les malaxer doucement. Ses pouces titillaient ses tétons durcis et un soupir s’échappa de sa bouche. Elle s’arrêta pour saisir son téléphone. Je reçu le SMS suivant : « Tu aimes me regarder en train de me ploter les seins ? Tu bandes ? ». Je lui répondis : « Oui, tu es super bandante et tes seins sont magnifiques. » « Tu as sorti ta queue ? Est-ce que tu te branles ? ». Je n’avais pas encore osé déballer mes affaires, mais je le fis et commença à m’astiquer doucement en même temps qui je lui répondais. Alors je vis une main se glisser entre ses cuisses, cachée par les bras de l’énorme fauteuil. Ses soupirs se firent plus forts. De son autre main, elle continuait de m’écrire « Moi aussi je me masturbe, j’ai tellement envie de toi. » Je voyais sa main faire des vas-et-viens de plus en plus rapides. Elle tapait de plus en plus vite sur son téléphone, avec des fautes de frappe. « Branle-toi, maintenant, je vais jouir ! Je veux que tu jouisses en même temps que moi, mon amour ! » Je lui répondis : « Tu m’excites ! je vais jouir aussi !! Vas-y fais-moi signe lorsque tu jouis ! »
Elle se tourna alors vers moi, ferma les yeux et poussa des petits cris qui ne laissaient aucun doute ! Je laissais le plaisir monter en moi et le sperme s’écouler en de longues saccades sur le mur dessous la fenêtre. Lorsque je relevai la tête, Sabrina était debout, devant sa fenêtre, me souriant. Elle me montra sa main, et je compris qu’elle était pleine de son jus que son sexe avait dû expulser lors de son orgasme. Je compris ce qu’elle me demandait, et je pris de mon sperme collé sur le mur pour le lui montrer. Elle sourit, visiblement satisfaite. Puis elle disparut de mon champ de vision et je reçu le texto suivant : « trop contente d’avoir joui en même temps que toi. Dors bien mon amour ». Touché par son message, je lui répondis par 3 petits cœurs. A mon tour je me couchai dans mon lit, épuisé par l’émotion qui m’avait submergé. Un message me réveilla plus tard dans la nuit. C’était Sabrina : « Je n’arrête pas de penser à toi mon amour. Je me suis encore masturbée comme une folle. Je t’aime… » « Moi aussi je t’aime, bonne nuit mon ange… » qui en fait n’était pas si innocente que ça pour une ange !!
Le lendemain notre conversation par SMS repris de plus belle. Encore plus coquine et avec des mots de plus en plus crus ! Si elle avait été dépucelée par devant, elle était toujours vierge de son petit trou, et elle me demanda si j’étais d’accord pour y remédier dès que le confinement serait levé, ce à quoi je répondis favorablement. Le soir venu, Sabrina se montra beaucoup moins timide de que la veille et me dévoila l’intégralité de son anatomie. Son corps de jeune adulte était absolument époustouflant, et je pu admirer chaque partie de son intimité qu’elle me fit découvrir à travers la fenêtre sans aucune pudeur, puisque j’étais le seul à pouvoir la voir. Nous renouvelâmes nos jeux de masturbation, mais cette fois-ci Sabrina le fit en face de moi, jambes écartées. Elle prenait un malin plaisir à montrer ses doigts s’insinuer dans son sexe et lui procurer du plaisir. J’en étais ravi, mais c’était aussi une torture pour moi de ne pas pouvoir la toucher. Elle le savait pertinemment et en jouait, ce qui rendait notre jeux encore plus érotique et savoureux. Cette fois-ci je pu voir son orgasme en directe, et toute la cyprine couler de son tendre minou lorsque le plaisir la submergea. Je la rejoignis immédiatement en éjaculant, mais cette fois-ci j’avais mis un préservatif, que je lui montrai une fois rempli. Sabrina était aux anges et toutes excitée. Elle voulut que je le lui lance par la fenêtre pour pouvoir boire mon jus mais c’était trop risqué. Je lui fis entendre raison en lui expliquant que bientôt peut-être, elle pourrait venir elle-même le boire à la source, enfin dès que l’on pourra enfin sortir.
Au fil des jours, notre relation à distance se fit de plus en plus torride et osée. Sabrina allait de plus en plus loin dans sa masturbation, jouant impudiquement avec son anus ouvert à ma vue. Elle m’envoyait aussi des photos de son anatomie en pleine action, et m’en demanda en retour, ce que je fis. N’ayant rien d’autre à faire ou penser, notre relation devint fusionnelle.
Les jours qui suivirent furent plus calme, car Sabrina avait ses règles. Alors nous échangions toujours des messages coquins, mais sans masturbation le soir. Je la voyais discuter fréquemment avec sa sœur, et elles ricanaient nerveusement à chaque fois qu’elles me voyaient à la fenêtre. Que lui avait-elle dit ? Est-ce qu’elle était au courant de notre relation amoureuse ?
Lorsque ses règles furent finies, Sabrina m’annonça une surprise pour le soir. Je m’attendais encore à un strip tease des plus torrides après ces jours d’abstinence, mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque Samantha entra dans la chambre de sa sœur en petite tenue des plus sexy. Il était plus qu’évident qu’elle était au courant de notre manège et que ce soir elle allait y participer pour la première fois. Samantha était plus grande et un peu plus forte que sa sœur. Sa poitrine était plus volumineuse aussi et beaucoup plus excitante avec de larges auréoles comme je les aime. Elles commencèrent par danser ensemble, en ricanant nerveusement. Visiblement c’était la première fois qu’elle se livraient à ce petit jeu. Petit à petit, elles s’échauffèrent par de petits effleurements des mains, puis la cadette dégrafa son soutien-gorge et montra à moi et à sa sœur fièrement sa poitrine. Elle semblait heureuse d’être la première à prendre l’initiative et à se dévêtir. Sa sœur était plus sur la réserve, ce qui était compréhensible, alors ce fut Sabrina qui la retourna et lui dégrafa son soutien-gorge. Elle le fit délicatement glisser le long des bras de sa sœur et me le brandi triomphalement. Puis elle fit pivoter Samantha pour qu’elle me fasse face et que je puisse observer ses seins lourds. Samantha commença à rougir, n’osant me regarder, alors Sabrina le tourna vers elle et la pris tendrement dans ses bras. Elles dansèrent quelques instants enlacées l’une contre l’autre, poitrine contre poitrine, et elles échangèrent des petits baisers sur la bouche timidement. Mon érection était une nouvelle fois à son comble. Elles se serrèrent un peu plus, et cette fois leurs baisers se firent plus langoureux, leurs langues se mêlant l’une à l’autre. Je remarquais que leurs cuisses s’entrecroisaient. Elles se frottaient l’une contre l’autre, se procurant mutuellement du plaisir. Au fur et à mesure que son plaisir montait, Samantha s’enhardissait. Ses mains étaient descendues au niveau des fesses de sa petite sœur, qu’elle malaxait énergiquement. Elle avait aussi baissé sa tête pour gober les tétons pointus que sa sœur lui offrait généreusement. Elles étaient maintenant toutes les deux quasiment accroupies, assises sur la cuisse de l’autre, se frottant énergiquement le bassin. Leur plaisir était visible et je les entendais couiner bruyamment sans aucune retenue. Je sus que leur orgasme arrivait, alors je décidais à mon tour de jouir et de remplir mon préservatif que je leur présentais. A la vue de mon trophée, elles me sourirent et arrêtèrent de se frotter l’une à l’autre. Elles restèrent cependant encore un petit moment dans les bras, en se caressant tendrement les seins. Sabrina ne se priva pas de prendre les deux seins lourds de sa sœur dans ses mains pour me les présenter triomphalement. Je leur fis coucou de la main en guise de satisfaction, et cette fois-ci Samantha me sourit largement au lieu de rougir, signe qu’elle était maintenant plus détendue et confiante. Puis elle reprit son sous-vêtement et sortie de la chambre en m’envoyant de la main un petit baiser.
Samantha, bien que plus timide que sa petite sœur, prit goût au jeu. Elle revint rejoindre Sabrina le soir suivant et tous les autres, pour mon plus grand bonheur. Rien n’était plus excitant pour moi que de regarder les deux filles enlacées l’une à l’autre et s’offrant librement à ma vue. Je rageais de ne pouvoir les toucher, mais j’étais bien content d’avoir ce spectacle érotique quotidien. Je pense que peu de garçons avaient cette chance pendant le confinement et j’en profitais au maximum, avec l’espoir de pouvoir enfin rejoindre bientôt mes deux sirènes.
Les réticences de Samantha à ces attouchements lesbiens et incestueux, devant un autre homme, étaient parfaitement compréhensibles, et j’étais moi-même surpris de cette situation que je n’aurai jamais pu imaginer. Cependant la libido de Sabrina surpassait tout cela. Peu à peu, les tabous tombèrent, et bientôt la petite culotte de Samantha vola dans la chambre, dévoilant ses charmes féminins qui m’enchantèrent. Contrairement à sa sœur, elle avait gardé la toison blonde qui bordait son joli minou. Elle me dévoila aussi son petit trou, qui n’était pas vierge d’après ce que m’avait confié Sabrina. En tout cas ce fut Sabrina qui prit l’initiative de caresser cet endroit en premier.
Elles ne se touchèrent pas tout de suite les parties intimes. Il y eu plusieurs soirées avec de longues caresses langoureuses sur tout le corps, et des petits baisers volés entre fous rires. Ensuite, ça finissait par une masturbation jusqu’à l’orgasme, qu’elles atteignaient généralement en même temps. Je faisais de mon mieux pour les accompagner et respecter leur tempo, mais le spectacle était d’un érotisme tel qu’il m’était parfois difficile de les attendre. Puis, à force de jouir ensemble, elles se rapprochèrent de plus en plus et se fut encore une fois Sabrina qui pris les devants. Elle prit délicatement la main de sa sœur et la posa sur son clitoris tout gonflé d’excitation. Samantha ne s’en offusqua pas. Elle était prête, et elle offrit elle-même son sexe au toucher de son amante. Le reste suivi tout naturellement : des effleurements de la paume, puis le bout des doigts et enfin des doigts entiers enfouis dans leurs intimités. D’abord l’orifice de devant puis l’arrière leur prodiguèrent des plaisirs interdits mais intenses. Être le témoin de ces premiers ébats amoureux était pour moi une expérience inoubliable, mais aussi très utile. En les observant attentivement, outre la joie du spectacle, je compris la manière dont elles parvenaient au coït, et je su m’en servir plus tard pour faire vibrer mes amantes.
Le confinement passa ainsi à la vitesse de l’éclair. J’étais comblé par le festival que m’offraient mes deux concubines chaque soir, mais voir n’était pas suffisant. J’avais hâte de passer à l’acte. Nous avions tout prévu. Dès que le Confinement sera levé, les deux sœurs ayant obtenu l’accord de leur mère pour passer la nuit chez une copine, qui n’était autre que moi, pourrons me rejoindre. Nous pourrions enfin réaliser les fantasmes partagés et si longtemps retenus. Ce jour là est pour bientôt, demain…
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Commentaires du récit : Le confinement coquin de Max

Le 20/01/2023 - 16:18 par valeriane
Pas mal du tout, j'adore

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