Ça a commencé au ciné 4

Nous avons été avec ma voiture à l'endroit indiqué, caché de la petite route peu fréquentée, les hommes nous ont suivis avec leur deux voitures, plus grande que la mienne et chacune, nous avons été les rejoindre à l'arrière.

Mon intention était de le soulager de façon plus libre qu'au cinéma, mais il a voulu me donner un troisième orgasme, disant qu'il a autant de plaisir à me faire jouir, qu'a jouir lui même, je lui dis que c'est une proposition qui ne se refuse pas, il ouvre la fenêtre et me dit, "tu es ma salope que tu disais", je secoue la tête, pour dire oui, il dit à Luc "elle veut un troisième service", Luc répond que c'est ce qu'ils ont prévu aussi.

Comme nous pouvons parler normalement, il me demande si ce que lui a dit Luc est exact, que j'aime être forcée, obéissante et etc., il continue et dit, soumise sexuellement aussi et vous aimez les mots crus, vulgaires, je lui dis sourire en coin, "vous croyez".

On va voir ça tout de suite, déshabille toi salope, mets toi complètement à poil, je retire jupe et chemisier, ainsi que mes dessous, mets toi à genoux sur le siège que je vois ta rondelle dit-il, j’obéis aussitôt, il me caresse le sexe trempé et lubrifie l'anus en disant, humm, il y a du en avoir du passage, mon doigt va rentrer comme dans du beurre, je me dis, pas bête, ne sachant pas mes limites, il me les demande de façon détournée.

Il avance son majeur et m'enfile comme un balai neuf dit-il, "madame aime aussi se faire enculer, c'est une connaisseuse, on est plus tranquille ici, hein salope, ça te plait qu'on te dise ce que tu es", il attend la réponse et je la lui donne.

En même temps qu'il fait ses va et vient dans mon petit trou, il me roule le clito, c'est la première fois que je me retrouve seule avec un inconnu, sans mon mari ou un copain, que je vois pour la première fois aussi, et ou je me donne complètement, sans aucune retenue, "oui va y, continu, tu vas me faire jouir salaud, ça te plait de m'entendre gueuler et de me tortiller".

"Oui ma salope, tu es une vrai pute, qu'est ce que j'aimerais te baiser, te sodomiser, et avoir une pipe, j'espère que je te reverrais, tu dois être bonne à fourrer, je te déchargerais tout dans la chatte, ho, ho, ho, c'est bon hein, va y jouis morue, oui va y gueule autant que tu veux, ho putain, qu'est ce que tu es bonne jouisseuse".

De mon coté, je hurle de plaisir, je ne promets jamais ce que je ne suis pas sur de tenir, je ne réponds pas à sa question sur d'éventuelles retrouvailles, ce qu'on pense sur le moment en étant excitée, n'est pas la même chose que le lendemain à froid, ou la honte de nous retrouver face à face sans excitation nous bloque.

Pour le moment, ayant jouis violemment trois fois, je suis sur les rotules, j'aimerais être pénétré mais je ne suis pas équipée et eux non plus, Luc me dira discrètement qu'il ne pensait pas que ça finirait aussi bien et moi non plus d'ailleurs.

Sous ses caresses, je reprenais mon souffle et lui faisais savoir que c'est à mon tour de travailler, laisse dis-je, il y a un atermoiement de tutoiement et vouvoiement entre nous, suivant le degré d'excitation, il s'adosse sur le coté de la voiture, je lui fais retirer son pantalon et boxer, il met un pied sur le siège et l'autre par terre, je me mets un genou à terre et lui attrape le sexe à pleine main.

Sexe de très bonne dimension, plus que Luc, je lui attrape aussi les bourses et commence à le masturber lentement avec de grand aller retour, laisse moi faire dis-je, moi aussi je sais m'en servir, espiègle, après avoir accéléré, je l'approche de l'orgasme mais ralenti avant le point de non retour, il ondule, son râle est rauque, je reprends à nouveau puis ralenti encore, haaaaa salope dit-il.

Je m'amuse de cela, mais la troisième fois, je le laisse venir, il crie de soulagement en me traitant de bonne salope, je vide complètement le tube, faisant durer son plaisir, houaaa ho putain, houuu, ho oui c'est sur que tu sais t'en servir. Luc l'avait briffé concernant les serviettes papier pour s'essuyer, une fois son souffle reprit, il les sort de sa poche et on s'essuie.

De mon coté, rassasiée, une fois remise de mes émotions, une crainte m’envahit, Nic est plus corpulent que Luc, je ne le connais pas, son identité est prise mais est-ce la bonne, il me regarde en se mettant assis, je sourie, je regarde la voiture ou est ma copine ou eux aussi on fait leur affaire, elle me fait coucou à la vitre, je les vois discuter.

Nic me demande s'il a été à la hauteur de mes attentes, me disant que moi, j'ai été au de là de ce qu'il pensait, le vouvoiement est revenue, il me demande s'il ne s'est pas trop emporté sur les mots qu'il m'a dit, Nic est autant dominant et vulgaire pendant les instants magiques, qu'il est doux, avenant et courtois lorsqu'on discute, je me sens rassurée.

Il me dit, "il ne faut pas hésiter à me critiquer, je sais que j'ai une tendance à m'emporter pendant ces moments là et si on se revoyait, je saurais être plus à votre convenance", je lui dis, "j'espère et je pense que nous nous reverrons, mais surtout ne changez rien, Luc nous a apporté celui qu'il fallait, vous pourrez même être moins timide dans les endroits tranquilles.

Je serais comme vous aimez dit-il, vous êtes une très belle femme, votre copine aussi. Nous nous sommes rhabillés en discutant, je lui dis que Luc et lui sont très corrects, il y a la partie homme/femme et la partie salaud/salope, il me dit, "je ne verrais pas ça autrement, une femme qui assume sa sexualité est aussi respectable qu'une autre, même plus encore à mon avis, vous voyez là, j'ai envie de vous toucher les seins, mais ce n'est plus le moment, alors je m'abstiens".

Souriante, je lui dis que tout ce qui est dans sa voiture lui appartient, il fait ce qu'il veut avec, il m'attrape les seins, les jambes et me dit, alors si j'ai votre accord c'est différent, il y a tellement de belles choses à apprécier chez vous, je lui dis qu'ici ce genre de câlin dans l'intimité est acceptable, de plus, je vous dois bien ça. quelques minutes après ma copine sort de la voiture et je lui dis, "ha ça y est, ils sont prêt", on sort aussi et on se dit au revoir après une bise.

Dans la voiture en rentrant, la copine me dit, "aller, dit le moi, tout ça était prévue, sinon te connaissant, tu ne serais jamais venue ici avec des inconnus", je lui dis la vérité, que je connaissais Luc pour être venue plusieurs fois mais pas l'autre, on s'accorde à dire qu'ils sont très sympa et respectueux, elle me dit, "j'aimerais bien les revoir, devant un film".

A suivre.