Ça a commencé au ciné 5

Les vacances puis le boulot, les kilomètres n'aidant pas, avec cette copine, nous n'y étions pas retournées avant fin octobre ou début novembre, sur place, Luc nous attendait, il nous surveillait de loin et nous interpelle avant qu'ont s'éloignent de la voiture, il nous demande si on veut bien le suivre, et si ce qu'ils proposent ne nous convient pas, on retournera au cinéma.

On le suit sur un ou deux kilomètres de route goudronnée, puis on prend un chemin empierré qui mène à une maison, ou se trouve une caravane sur un terrain en face, en se garant, on éclaire la caravane ou on voit Nic qui vient vers nous.

Il nous propose d'y venir en disant qu'il comprendrait qu'on ait peur vu qu'on ne le connaît que très peu, il dit, "nous allons dans la caravane, soit vous nous rejoignez, soit vous retournez au cinéma ou nous vous rejoindrons aussitôt", ce disant, ils y retournent tous les deux pour nous laisser réfléchir sans pression de leur part.

Je suis très maniaque au niveau hygiène, et me retrouver dans un endroit qu'un célibataire a cru rendre propre, ne m'enchante guère, je dis à ma copine de m'attendre dans la voiture, je rentre pour voir et leur dire qu'on choisit le cinéma, en rentrant, je dis que je viens juste vite fait par curiosité.

Ils m'accueillent et je suis surprise, l'intérieur est comme neuf, les peintures refaites, les rideaux neufs, le lit fait avec des draps neufs et de qualités, ils ont du passer leurs temps libre à nettoyer et rendre l'endroit nickel, je sens une très légère odeur de produit à carreaux et pour le sol.

L'endroit nous attend depuis tout ce temps ou ils ont restaurer cette caravane, je dis, "hé bien, je ne m'attendais pas à ça, je vous félicite", disant cela je regarde tout en commentant, "rideaux sur mesure, épais, les draps sont de qualité, ce n'est pas de la grande surface, même les oreillers, matelas neuf aussi, deux roses du jour dans le petit pot dans le coin pour manger".

J'étais gênée, je leur dis qu'il ne fallait pas, si je n'étais pas revenue, Nic me dit, rien que de vous voir ici, même si vous repartez, on ne regrettera pas de l'avoir fait", dans ma tête, ça pédale à toute vitesse.

S'ils pensaient à mal, ils pourraient nous coincer comme ils veulent, ils ne savent pas que dans la voiture, j'ai une bombe anti agression très efficace, ils l'auraient déjà fait la dernière fois, les frais et travaux engendrés, montrent que c'est pour qu'il y ait d'autres rendez-vous de ce genre, je regarde Nic qui est toujours assis sur le banc à coté de la table ou sont les roses, qui attend mon verdict.

Je dis, "vous nous rejoignez au cinéma", oui madame disent-ils, je monte dans ma voiture et je vois qu'ils se préparent à venir nous y rejoindre, aucun comportement pour nous empêcher de partir, ni aucune insistance pour qu'on reste, je dis à la copine, "nous pouvons leur faire confiance.

Ils attendaient qu'on s'éloigne pour nous rejoindre, pour ne pas arriver ensembles, surpris qu'on rentre toutes les deux et ou je dis, je n'ai pas été gentille de vous faire maronner, vous allez pouvoir me punir, il me répond que ma punition va être terrible.

je leur dis, "bon on va donner des bases, dehors, vous êtes des gentlemen's, mais dés qu'on franchi la porte, on vous appartient, nous sommes à votre entière disposition, ok", vos désirs sont des ordres que me dit Nic en me montrant des capotes, pour montrer qu'ils ont pris leurs précautions, je ne lui ai pas dit que de mon coté, j'avais fait pareil.

Comme on escomptait le cinéma, nous étions prêtes à consommer, ni soutif, ni string, nous retirons notre veste, Nic, dominant toujours, Luc suit et demande rarement, Nic dit, montrez moi votre cul les salopes, tournez-vous et tombez la jupe.

Chaque ordre, nous l'exécutons, c'est le but autant que notre plaisir, il dit, "regarde moi ces putes, le minou à l'air, pour qu'on puisse les tripoter directement au ciné, pelote leur les fesses" Luc s'exécute.

Nic a dans sa main une tapette à mouche, qu'il donne à Luc, comme tous, pour savoir s'ils peuvent faire cela, avant de le faire, ils préviennent, "elles nous ont fait languir, elles doivent être punies, à genoux sur le lit, cul en l'air, pour recevoir vos coups de trique", avec copine, nous nous exécutons, informant qu'on accepte.

Le premier coup arrive à la copine, et moi ensuite, Nic dit, "même une mouche n'aurait rien senti, le sang doit circuler, et elles doivent frémir, là elles doivent plutôt rire, aller recommence", il nous en remet un autre chacune mais sans effet non plus, même si c'est un petit peu plus fort, de plus avec une tapette à mouche, même avec violence, on sentirait à peine.

Luc recommence encouragé par Nic, qui lui dit encore plus fort après chaque coup, voyant qu'il était réticent, Nic se lève et lui dit, "tu dois comprendre une chose, regarde nous et regarde les, ce n'est pas un amant qu'elles cherchent, se sont des femmes de notables à qui ont doit tout faire sous le cul, valets, bonniches etc. Elles viennent ici chercher des salopards qui vont les traiter en véritables salopes qu'elles sont ".

"Alors, donne leur ce qu'elles sont venu chercher, n'est ce pas les putes", je réponds, "vous êtes à quelques détails prêt sur un sans faute", bien dit -il en cinglant la tapette sur la copine, puis sur moi, il recommence un peu plus fort sur toutes les deux et après le cinquième, il met sa main sur nos chattes et dit, "regarde elles mouillent.

De suite on a eu toutes les deux un soubresaut, comme soit on se regardait ou on regardait devant nous, il nous dit, "fermez les yeux", quelques secondes passent ou il nous traite, "il faut que tu comprennes qu'ici, ce ne sont pas des dames, mais nos objets sexuels, elles sont là pour nous satisfaire, on a tous les droits sur elles, nous sommes leur mac et elles sont nos putes personnelles".

J'entends Luc qui chuchote, "arrêtes tu vas trop loin", mais non dit-il, et vous les putes, regardez devant vous, je les entends chuchoter, inaudible, des petits bruits, puis d'un coup, on a un nouveau soubresaut, ainsi qu'un gémissement lorsqu'ils nous ont pénétrés, pour changer, j'avais Luc, et la copine Nic qui lui demande en même temps qu'ils nous liment, "n'est ce pas salope que vous êtes nos putes.

Il répète la question en frappant sa fesse et la copine qui est dans le même état que moi dit, "oui, oui on est vos putes, faites nous tout ce que vous voulez", "voila, c'est bien, de bonnes petites chiennes", passé la porte ici, vous êtes à nous, on peut tout vous faire, tout vous demander et vous obéirez à tout ce qu'on vous demandera".

Oui à tout disons-nous, on fera tout ce que vous voudrez, Nic se rappelle notre discussion dans la voiture, il nous a jaugées, il sait ce qu'on recherche avec eux, ce qu'on veut, quand il hésite, il dit verbalement ce qu'il va faire pour qu'on dise non avant, à ce stade, il a vu que tout ce que je lui avais dit, est exact, ils ont mis des préservatifs avant de nous enfiler.

Maintenant, il innove, il profite d'une situation qu'il n'a jamais connu, il vient de tomber sur le genre de femmes qui sont exactement celles qu'il lui faut, pour réaliser ses fantasmes, il a été marié et nous a dit par la suite, que pour sa femme, le sexe était une corvée et qu'il n'a même pas eu la chance d'être cocu, ou alors si peu qu'il ne s'en est jamais aperçu.

La baise une fois par semaine et une étiquette de pervers et vicieux qu'elle lui mettait, et quand il dit baise, c'est la position du missionnaire avec un "bon dépêche toi, t'es chiant", le boulot, le bricolage le weekend, puis 55 ans, je me suis retrouvé comme un con, celle de mon âge ne me plaisaient pas physiquement et je ne plaisais pas aux plus jeunes, et niveau fric, je n'attirais personne.

Tous les deux, ils nous bourraient et après avoir été traitées comme on aime, ils se retirent en nous disant, "aller, sur le dos, et masturbez vous devant nous. Luc, toujours timide avec la peur qu'on refuse, se vexe ou qu'on parte et qu'on ne revienne plus, fait celui qui montre qu'il n'est pas d'accord avec ce qu'il demande.

Quelle honte de se masturber devant des inconnus qui nous regardent avidement, quelle excitation également, nous ne sommes pas des novices, nous savons la gène que procure ce genre de chose au début et savons que cela va se transformer en plaisir intense, avec la copine on se met en phase, "t'es prêtes, tu me dis", "oui ça va venir, attends moi, là ça y est on y va, on y va, haaa, haaaaa ouiiiiii".

Pendant le moment ou on laisse l'orgasme nous envahir, ou on ne bouge plus, ils se jettent sur nous et nous baisent pour prolonger notre plaisir, nous limant à toute vitesse, ils ont beau se retenir au maximum, mais leurs longues abstinences ne les aident pas, après avoir jouis à leur tour et limant jusqu'au ramollissement, pour sauver les meubles comme ils diront, ils nous comblent de deux autres orgasmes avec leur bouches et leurs doigts.

Nous allons prendre une douche, chacune notre tour, des serviettes neuves nous attendaient, même la petite salle de bain avait été rénovée, pendant que l'une se rince, l'autre discute avec eux, ils sont en boxer sur le lit, adossés à la cloison et nous assissent entre leur jambes, adossée contre eux, la copine leur a dit qu'on aimait être maltraitée avant, mais qu'après, on appréciait la douceur.

Quand l'une était sous la douche, l'autre était dans les bras de l'un d'eux et celui seul, se mettait a coté, la copine avait pris la main de celui qu'elle avait et l'avait mis sur ses seins, quant à l'autre qui regardait ses jambes, elle lui a fait comprendre qu'il pouvait toucher, rappelant ce que j'avais dit la dernière fois, ce qui était dans sa voiture ou comme là sa caravane, étaient à eux.


ils se sentent penauds de ne pas avoir été à la hauteur, je leur ai dit, on a joui trois fois, le contrat est remplie, et pour leur faire plaisir, je leur dis que la prochaine fois sera encore mieux, de suite le sourire revient.

Nic qui parle beaucoup plus que l'autre, demande s'il n'a pas été trop ........ (il ne dit pas le mot.), la copine répond, "trop quoi, trop salaud, trop vulgaire, si nous sommes là c'est pour ça et vous pouvez même faire bien plus encore la prochaine fois, ils semblent étonnés, je leur dis, "ce qu'elle veut dire, c'est que vous avez été des enfants de cœur, mais bon, c'est la première fois hors ciné.

Nic à cité quelques pratiques et demande nos limites, je leur dis, quand on sort d'ici, on ne doit avoir aucune trace visible sur le corps, comme des brûlures ou écorchures, et tous ce qui est uro, scato, nécro, c'est non, et bien sur, capote obligatoire, sauf si vous voulez passer test HIV.

Avec un test, on pourra vous .... demandent t'ils, je réponds, plus de limites, ils demandent si on accepte les godes, je dis oui, par contre les drogues ou tout autres substances à la con, c'est non, Nic va pour demander s'ils auront droit à ..............., je dis, tout c'est tout, (comprendre pipe), je parle aussi de l'hygiène qui doit être irréprochable des deux cotés, eux comme nous, mais cela, ils avaient déjà compris, j'avais pu le constater dans la voiture la dernière fois.

En partant je dis, la tapette à mouches, c'est un peu léger, investissez dans quelque chose de plus adapté pour deux juments, Nic dit, "reçu cinq sur cinq, on attend votre retour avec grande impatience", dans la voiture la copine me dit, "vivement qu'on revienne, on avait des craintes infondées, ils sont très corrects".

A suivre.