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Ça cogne à ma porte

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Lue : 3869 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/02/2013

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J'étais là, couché sur mon lit, je lisais les actualités sur mon iPad. En boxer, un verre de jus de pomme fini depuis longtemps traînant non loin. Ça sonne, ça cogne, ça me dérange. Quelqu'un est à ma porte. Qui donc viendrait me déranger à cette heure-là? Ni ma mère, ni mon père, ni ma sœur, ni la voisine, ni Bélanger ou Legros Jo. En boxer, j'ouvre. Elle, c'est Elle. Dans mon cadre de porte, Elle est là. Pour moi, devant moi, en boxer. Salut, dit-elle. Je choisis d'utiliser le mot bonsoir pour lui répondre; avant d'ajouter quelque chose du genre: hem pardonne moi, je ne m'attendais pas à ta visite, je suis en boxer. Je... Chut! Venait-elle de m'ordonner, un sourire dessiné au crayon transparent sur ses lèvres.

Elle rentrait chez moi, me tirant par le poignet, rentrait dans ma chambre. J'étais là, debout près de mon lit, mon iPad ouvert sur les actualités abandonné sur mon oreiller. En boxer, je la regardais déposer sa sacoche juste à côté de mon verre de jus de pomme des temps passés. Sa présence potentialisée par ses yeux imposait le silence. Je sentais que quelque chose allait se passer. Un lifetime event. Sans crier gare ou aéroport, elle était en train de déboutonner la légère veste beige qu'elle portait agencée avec un pantalon noir et la fine ceinture de circonstance. Plus de ceinture, plus de veste; moi en boxer admirant son ventre et ses épaules dénudés. Debout, environ deux mètres en face en moi, elle me regardait la regarder. Son soutien-gorge noir orné de dentelle cachait une paire de seins remplis, juteux. Puis, elle continua. Glissant ses pantalons le long de ses grandes jambes bronzés. Me laissant découvrir la délicatesse d'un string noir en dentelle transparente. Elle était magnifique, le regard malicieux, joueur, enflammé.

Alors qu'elle faisait disparaître sa magnifique lingerie, je savourai la vue de cet entre-jambe tout frais, la fente laissant apparaître une partie de ses petites lèvres. Un pas, deux pas, elle me frôlait, la main à la hauteur de mon boxer, avant de s'allonger sur le lit, jambes grandes ouvertes. Je compris bien vite le message et m'installa la tête entre ses cuisses. C'était beau, ça sentait bon et j'affirme, quelques secondes plus tard, que ça goutait bon. Je faisais glisser ma langue à travers ses replis multiples, m'acharnant sur son clito tendu et durci sous ma langue. Son souffle confirmait l'excitation lubrifiante de sa vulve. Ses mains sur ses seins confirmaient qu'elle en voulait plus et plus. Je m'activai jusqu'à ce que quelques minutes plus tard elle jouit férocement. Elle m'agrippa et me fit remonter à la hauteur de son visage où enfin elle m'embrassa en démente. Sa langue fouillait le fond de ma bouche, voulant me témoigner de sa reconnaissance, mais surtout de son envie de sexe. Sa main glissa dans mes boxer et en sorti ma queue tendu et ferme, prête à l'action. Elle me masturbait tout en me retournant sur le dos. À califourchon par-dessus moi, elle s'empala sur ma queue bien raide. C'était chaud, mouillé et étroit.

C'était terriblement bon. Elle dégrafa sa brassière, libérant deux des plus beaux seins au monde. Lourd et ferme, l'auréole rosé petit et dure de toute son excitation. Elle se laissa tomber sur moi, afin de me faire profiter de cette splendide poitrine. J'avais pris le contrôle des vas et viens dans son vagin. La sensation d'entrée et sortie dans cette grotte si serrée sur ma verge était exquise. Elle avait glissé une main derrière et jouait avec mes couilles en même temps que je la pénétrais, Wow!

J'ouvris les yeux pour constater que ce n'était pas du tout sa main qui m'astiquait les testicules. Une troisième main, une deuxième fille s'était joint à l'exercice sans même que je me rendre compte. Son amie, la chaudasse, était en train de lui licher l'anus pendant que je la défonçais. Cette nouvelle arrivée m'ébranla, m'excita, je sentais que j'allais venir dans pas long. Son amie sortie ma queue du nid d'amour et commença à me sucer. Savourant tout le jus qu'elle avait laissé dessus. En fait, les deux étaient en train de me sucer comme des folles. Rapidement, je vins au fond de la bouche experte de son amie. Mes sens surdosés, je me vidais en grande giclée dans ce monde merveilleux. Une fois le dernier jet envoyé, elles s'embrassèrent, partageant mon sperme abondant, tel un trésor déterré.

Chaudasse: Salut! Ça va?
- Paf! Je venais de m'envoyer une violente claque au visage. Sans effet, il y avait toujours deux petites merveilles féminines, nues, splendides, agenouillées devant moi, le sourire éclatant. Je n'en revenais pas, c'était pas normal. Qu’avais-je fait pour mériter ça? Un certain dimanche, à Jérusalem, Jésus revint des morts. Un certain samedi, à Montréal, William entra au paradis sans mourir.
- Merci gros bon dieu. Merci.
Elle: Haha allez hop on a du boulot!

En attendant que je reprenne des forces, elles s'installèrent sur mon lit et commencèrent à s'embrasser lentement, sensuellement. J'allais être spectateur de la plus belle scène lesbienne de tous les temps. Composé de leur douceur de jeune fille et de la passion que seule une femme peut avoir, elles exploraient le corps de l'autre. Utilisant leurs doigts, langues et lèvres, elles parcouraient les courbes que j'avais si longtemps désirées. Dans le cou, entre les seins, puis à leurs pointes, Elle embrassait son amie. Ses mains glissaient sur sa douce peau. Le long de ses flancs, sur ses cuisses, puis remontant en effleurant son entre-jambe vers son nombril. Elle titillait du bout de sa langue le piercing qu'elle avait au sein gauche. Je m'excitais de nouveau, de plus en plus et je n’étais décidément pas le seul. Elle descendit pour s'attaquer à l'autre piercing, l'anneau qu'elle portait juste au haut du clitoris.

Cette chaudasse avait une vulve d'une beauté rare. Toute rasée, d'une ouverture naturelle, on pouvait apprécier les petites lèvres qui ressortaient, fière. Tout luisante de sa cyprine, on ne pouvait résister à l'envi de manger ce clitoris serti d'un fin anneau doré. Et c'est exactement ce qu'Elle fit. Elle dégusta ce petit fruit, y mettant à contribution tout son savoir de femme. Mon érection était revenue, plus forte que jamais et je me masturbais en la regardant licher la vulve de son amie. Ce pauvre clitoris n'y échappait pas. Son ami gémissait, fort, très fort. Elle se recula, souffla délicatement sur l'entre-jambe tout mouillé et sans avertissement y inséra deux doigts bien profondément. Elle la doigtait avec férocité. C'était tout mouillé, ça faisait du bruit. C'était violent. Elle faisait littéralement crier son amie, aux bords de l'orgasme. L'intensité atteint un sommet, puis, enfin, elle jouit. Elle éjaculait. Beaucoup, plein la face de ma chérie qui en avala le plus possible.

C'est à ce moment que je revins en jeu. Ma queue raide au pas possible. Je l’engouffrai dans sa bouche grande ouverte. Encore toute éclaboussée du jus de son amie. Elle me suça vigoureusement. Descendant jusqu'à la garde, à la limite de l'étouffement. Je sentais mon gland accoter dans le fond de sa gorge. Puis ses lèvres remonter lentement pour s'enfoncer à nouveau, sans ménagement. Elle suçait à merveille. Son amie regardait la fellation en se touchant délicatement. Elle avait la plotte mouillé tel une rivière. Ça luisait. Je décidai d'enfin saisir ma chance et de baiser son amie la chaudasse. J'insérai mon pénis dans cet habitacle noyé de sécrétion féminine. Si doux. Je commençai à glisser en elle alors que l'autre s'installa à califourchon pardessus elle. La chatte en plein visage. L'image était magnifique. Ces deux corps sublimes, trempé de sueur. Les seins de celle en dessous, petits, fermes et pointant désespérément le ciel. Ceux d'en haut, lourds, ronds, savoureux. J'avais vu sur la langue de son amie qui tripotait ce clitoris tendu. Elle était ravissante et me regardait avec ces yeux bleus. Tout cela en même temps que je faisais jouir avec ma queue cette petite déesse brune.

On changea de position et toutes deux me firent dos, m'offrant leurs fesses et un vagin trempé. J'en pris une, puis l'autre, puis reviens à la première et ainsi de suite. Je baisais en alternance deux culs tout simplement magnifiques. On changea encore et cette fois c'est à elle que je fis l'amour. Les deux filles faisaient un soixante-neuf et j'y ajoutais mon membre viril pour leur plus grand plaisir. On termina le tout dans l'anus de son amie. Elles me sucèrent toutes deux pour bien lubrifier le tout, puis prépara le terrain avec doigts et langues. C'était la première fois que je pratiquais la sodomie et je vous dis, ce ne fut guère long avant que je me décharge à nouveau. Remplissant de mon sperme les fesses rondes de son amie chaudasse.
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Histoire de JeLeclerc

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