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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/12/2025
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Ça s’est passé avant la cérémonie.
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Il est sept heures du matin quand je me réveille. Aujourd’hui est le grand jour. En effet, c’est vers seize heures que je dois monter l’allée de l’église ou Julien m’attendra avec impatient, pour pouvoir prononcer nos vœux.
Je m’appelle Audrey, femme de vingt deux ans, dotée d’une insolente beauté, toujours aimable, souriante. C’est aujourd’hui que je dois me marier avec Julien, vingt huit ans, l’homme de sa vie, à qui j’ai promis d’offrir ma virginité pour nôtre nuit de noces. Mais avant d’en arriver là, la journée s’annonce mouvementée.
En effet, amies et demoiselles d’honneur m’ont réservé quelques surprises. Déjà, elles s’étaient surpassées le week-end dernier en organisant mon enterrement de vie de jeune fille, et même si j’avais réussi à préserver ma virginité, ma bouche et un endroit plus secret, avait satisfait nombre d’invités.
Aujourd’hui, Anna et Jennifer m’ont offert une séance chez l’esthéticienne avec soins, et manucure. Laurie et Cristal s’étaient occupés du coiffeur. Quant à Sarah, beaucoup plus vicieuse, m’avait offert une séance de massage. Il était prévu à neuf heures trente. Un taxi me déposa devant l’établissement vers neuf heures.
Je fus accueillie par une hôtesse d’un beauté à couper le souffle.
- Je m’appelle Sandra, me salua-t-elle, m’entraînant dans un salon.
J’étais stupéfaite par la beauté des lieux, entra dans une cabine, me déshabilla. Sandra me tendit une serviette, m’y enroula autour. Puis, je retournais au salon, m’allongea sur la table de massage dressée au milieu de la salle. Je n’attendit pas longtemps. La porte s’ouvrit, et je vis apparaître un homme d’une insolente beauté, de type italien, cheveux noir geai, un corps que je devinais viril sous la tenue blanche. Poli, il se présenta sous le nom de Lucas. Mon sang se glaça quand j’entendis sa voix.
- Pouvez-vous vous mettre sur le ventre, s’il vous plaît. Au fait, je n’ai pas lu vôtre fiche. Que souhait vous comme prestation. La relaxante, la mise en forme ou la sensuelle.
- Ben...je sais pas trop. En quoi consiste la sensuelle.
- Ah ça, ça dépend...en principe, on le découvre au fur et à mesure.
- Très bien...allons-y pour la sensuelle.
Allongée, à moitié nue, seule la serviette recouvrait mes hanches, Je fermais les yeux, écoutant la musique relaxante jouée en fond sonore. À ce moment-là, tout ce dont j’avais besoin était de sentir ses doigts habiles travailler sur son corps. Je ne voulait me mentir, mais je trouvais Lucas très beau, très séduisant. Il était vêtu d’un pantalon blanc, et d’une tunique blanche.
Couchée à plat sur le ventre, j’essayais de ne pas penser combien ce type était attirant, ni à quel point c'était excitant que des mains autres que celles de son copain me touche la peau. Honnêtement, je ne pouvais me concentrer sur autre chose, si ce n’est l'incroyable soulagement que je ressentais à chaque fois que ces douces mains inconnus effleuraient ma peau, la massant avec cette combinaison parfaite de pression et d'habileté.
J’eus plusieurs points ou mon dos était tendus. Entre le stress du mariage, le fait que j'ignorais pratiquement tous les signaux de mon corps, me disant que j’avais besoin de me détendre, il n'était pas étonnant que j’étais si tendue. Mais bon, au moins, Lucas essayait d’atténuer tout ça. Le masseur continuait à travailler sur mon dos, mes épaules, et chaque fois que ses mains glissaient sur mes flancs, je sentais ses doigts effleurer le bord d’un sein. Petit à petit, je sentis le stress et la tension disparaître lentement.
Je ressentais tellement de plaisir, de soulagement, que je ne voulais pas que ce moment se termine. Je n’avais jamais ressenti cette sensation de se faire masser, et de sentir tout le stress se dissiper. Et bien c'est exactement ce qui se passait pendant que ce charmant masseur faisait des merveilles sur mon corps. Mais il y avait plus que ça. Une soudaine
augmentation soudaine de température envahi tout mon corps. J’étais là, essayant de me détendre, de profiter du massage, quand soudain, je commençais à me sentir excitée. Pas par la quantité d'huile utilisée par mon masseur, même si cela aurait facilement pu être une option, non, mais par cette espèce de chaleur qui traverse votre corps lorsque vous êtes avec quelqu'un qui vous attire. Et bon sang, ce type l’était, attirant.
Je ne sais si c'était sa capacité à trouver chaque endroit de mon dos, ou simplement le fait qu'il était beau, mais quelque chose en lui allumait un feu en moi. J’essayais d'ignorer ce sentiment, me concentrant uniquement sur la musique diffusée en fond, et sur l'idée que je fantasmais simplement pendant que je recevais le doux massage. Après tout, je me mariais cet après-midi.
Mais peu importe. J’essayais de m'en convaincre, ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point mon pouls s'accélérait, chaque fois que ses mains se rapprochaient trop de certaines zones de mon dos. Ainsi, alors qu'il continuait à travailler sur moi, j’étais là à lutter contre mon désir de rester calme et détendu, et mon désir de me jeter sur lui, de l'entraîner dans une pièce voisine.
Heureusement ou malheureusement, selon la façon dont je le regardais, le masseur n'a pas semblé remarqué comment j’allais. Il a continué son œuvre, comme si de rien n'était, complètement inconscient du feu qu'il attisait en moi. Tout mon corps était confronté à l'épreuve ultime, tandis que je recevais ses massages. Il y avait dans cet espace, une intimité, un sentiment d'anonymat qui me permettait de m'ouvrir à une expérience, qui autrement aurait été impossible.
Le masseur a continué son travail sur moi. Chaque fois que ses mains trouvaient un point faible dans mon dos, une vague de sensation parcourait mon corps. Et même si
j’essayais de garder mon sang froid, je ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point ma température augmentait à chaque caresses, à chaque mouvement. C'était une lutte, une bataille entre mon désir de rester ferme, et l'envie de me laisser emporter par le flot de sensation qui m’enveloppait.
Mais je ne pouvais pas me permettre de perdre le contrôle, ni maintenant, ni après, je devais épousé Julien, l’homme de sa vie. Cependant, quand il a fini avec mon dos, et que ses mains se sont déplacées vers mes jambes, je sus que j’aurais des ennuis. Mes jambes étaient mon point faible, ma zone vulnérable, et alors que les doigts experts de Lucas commençaient à travailler dessus je me retrouva à bout.
Chaque contact, chaque pression était comme un choc électrique qui me rapprochait de l'orgasme. J’ai essayé de rester calme, de cacher les émotions qui couvaient en moi, mais c'était une bataille perdue d'avance. Mes longues jambes, ont été ma perte.
Tandis que Lucas poursuivait son travail, je savais que ne pourrais plus me retenir.
Ses mains parcouraient mes jambes avec une dextérité excitante, remontant entre mes cuisses, à la lisière de ma fente. je ne pus m'empêcher de remarquer un changement subtil dans son attitude. D’une simple pression, il fit tomber mes jambes de chaque côté de la table de massage. J’étais là, entièrement nue, écartelée, offerte.
Non seulement il faisait son travail de façon magistrale, mais il y avait aussi une pointe de flirt dans la façon dont il bougeait ses mains, me regardait. Chaque touchée, chaque contact sur ma chatte semblait m’imprégner d'une intention suggestive qui éveillait ma curiosité, mon désir aussi. Au milieu du plaisir qui m'enveloppait, je me surprenais à être attiré par cette énergie chargée de sensualité. Même si je savais que c'était mal, que je ne devais pas laisser ces pensées m'envahir, il était difficile de résister à la séduction du masseur, à la tension excitante qui se formait entre nous.
Les caresses de Lucas s’intensifièrent, devinrent plus précise. Il jouait sans pudeur avec mon clitoris, pénétrait ma chatte, la branlait. Je me cambrais sous les odieuses caresses, me tordait comme un serpent, envoyait de violent coup de reins sur les doigts qui me possédaient.
- Ah...hou...hou... ah...oui...oui...salaud…
L’orgasme fut terrible, à tel point que Lucas dût me tenir pour éviter que je ne tombe de la table de massage. A cet instant, je me retrouvais déconnecté du monde extérieur, absorbé par le jeu auquel on jouait. Chaque mot, chaque sourire alimentait le feu de la passion qui brûlait en moi, me faisant momentanément oublier tout le reste, même mon fiancé. La salle était remplie d'une atmosphère pleine de promesses, de tentations, et je me laissais emporter par le courant d'émotion qui nous enveloppait. Je savais que je franchissait une ligne dangereuse, mais à ce moment-là, le désir, l’excitation éclipsaient toute pensée de prudence.
Tandis que le Lucas poursuivait son travail, je me suis plongée dans le plaisir, l'intrigue de ce qui pouvait arriver, sachant que j’avais fait un pas au-delà des limites de ce qui était autorisé. J’étais enveloppée dans une séduction qui m'a fortement captivé. A cet instant, je me suis totalement laissée aller, suis tombé sous le charme du jeu dangereux auquel on jouaient.
Chaque caresse de sa main sur ma chatte allumait encore davantage la flamme qui brûlait de manière incontrôlable en moi. C'était une sensation enivrante, bouleversante qui m'amenait au bord du plaisir. J’essayais de me contenir, de lutter contre l'excitation du moment, mais cela ne servi à rien. Chaque pénétration de ses doigts en moi semblait trouver un point sensible de mon corps, rendant la peau rampante, et ma respiration devenant irrégulière.
- Assez, gémis-je...je jouis encore…
A ce moment-là, je réalisais que je perdais le contrôle, me laissant emporter par le courant de désir qui nous enveloppait. Mes muscles se sont tendus et détendus en réponse au contact de ses mains, et un tremblement a parcouru tout mon être, révélant mon abandon total. Il n'y avait aucune place pour la raison ou la retenue. L’orgasme fut puissant, incontrôlable. Je parvins non sans effort, à rester lucide. Seul comptait le délicieux sentiment d'abandon de se laisser emporter par ce tourbillon d'émotion qui m'envahissait.
Et alors que je tremblais sous le contact de mon masseur, je savais que c'était un moment que je n'oublierais jamais. Ce fut un moment de pure intensité dans lequel j’étais complètement immergé dans le plaisir, sans réserve ni inhibition. Dans cette danse du désir, je me suis retrouvée à vivre le présent avec une intensité que je n'aurais jamais imaginé.
Chaque tremblement, chaque caresses me rapprochait de l'extase, et j’étais prête à me laissais aller, sachant que le plaisir qui m'attendait au bout du chemin dépasserait toutes les sensations que je n’avais jamais connu auparavant. Je me laissais emporter par le courant du désir, permettant à la passion de nous consumer tous les deux. Et puis c'est arrivé. Dans un moment d'explosion et d'émotion, je ma suis retrouvé à m'abandonner au désir du masseur.
Je ne voulais pas donner de détails sur ce qui s’est passé, mais garder un tel secret était trop lourd à porter. C’était un moment chargé d'adrénaline, un risque que j’ai pris à quelques heures du mariage, sans penser aux conséquences. Je n’ai rien fait pour le repousser quand il a approché de mon visage sa queue en érection. Je n’ai pas hésité à la prendre en bouche, à la sucer, pas plus que je n’ai hésité à absorber ses va et vient, jusqu’à avaler sa semence. Les doigts de Lucas ne restaient pas inactif, me prodiguant des caresse subtiles sur ma chatte, s’attardant sur mon petit bouton. A ce moment-là, il s’est servi de moi, prenait plaisir à me voir jouir.
Puis vint la pénétration, douce au début, puis débrider en coups violents. Le plaisir montait crescendo, jusqu’à atteindre un nouvel orgasme. Mes sens était exacerbé, chaque battement de mon cœur résonnant dans mes oreilles, alors que je plongeais dans l'expérience. Sans vouloir approfondir, je pus dire que c'était un moment fort, sensationnel, une expérience intense qui m'a fait trembler d'excitation, de plaisir, et espère que ce ne sera pas la dernière fois.
Dans ce moment de dévouement et de passion débridé, je me suis senti vivante comme jamais auparavant. Même si je savais que j’avais trahi l’homme de ma vie, je ne pouvais m'empêcher de ressentir un sentiment de libération, et de satisfaction de m'être permis d'explorer ce côté sombre et interdit de moi-même. Je n'aurais jamais pensé pouvoir tromper Julien, mais à ce moment-là, j’ai succombé à la tentation pour la première fois. de ma vie.
Je me suis laissée emporter par le désir, ignorant les promesses que j’avais faites, et les lignes que j’avais juré de ne pas franchir. C'était un acte impulsif, une décision prise dans un moment de faiblesse. Et même si j’éprouvais un mélange de plaisir, autant que de culpabilité, je ne pouvais nier l'excitation que je ressentais à l'idée de m'être permis d'explorer cette aventure. Lucas savait que j’allais me marier, qu’il avait déclenché de la soumission en moi, et que c'était quelque chose qu'il garderait secret.
Il ne voulait raconter à personne ce qui s'était passé cet après-midi. Il est entré dans mes différents orifices à plusieurs reprises.
Même si je me sentais un peu coupable d'avoir trahi mon fiancé, je me suis rappelé qu'il n'y a qu'une seule vie et qu'il faut en profiter tant qu'on le pouvait. Après une douche adoucissante et relaxante, je quittais l’établissement.
Je m’appelle Audrey, femme de vingt deux ans, dotée d’une insolente beauté, toujours aimable, souriante. C’est aujourd’hui que je dois me marier avec Julien, vingt huit ans, l’homme de sa vie, à qui j’ai promis d’offrir ma virginité pour nôtre nuit de noces. Mais avant d’en arriver là, la journée s’annonce mouvementée.
En effet, amies et demoiselles d’honneur m’ont réservé quelques surprises. Déjà, elles s’étaient surpassées le week-end dernier en organisant mon enterrement de vie de jeune fille, et même si j’avais réussi à préserver ma virginité, ma bouche et un endroit plus secret, avait satisfait nombre d’invités.
Aujourd’hui, Anna et Jennifer m’ont offert une séance chez l’esthéticienne avec soins, et manucure. Laurie et Cristal s’étaient occupés du coiffeur. Quant à Sarah, beaucoup plus vicieuse, m’avait offert une séance de massage. Il était prévu à neuf heures trente. Un taxi me déposa devant l’établissement vers neuf heures.
Je fus accueillie par une hôtesse d’un beauté à couper le souffle.
- Je m’appelle Sandra, me salua-t-elle, m’entraînant dans un salon.
J’étais stupéfaite par la beauté des lieux, entra dans une cabine, me déshabilla. Sandra me tendit une serviette, m’y enroula autour. Puis, je retournais au salon, m’allongea sur la table de massage dressée au milieu de la salle. Je n’attendit pas longtemps. La porte s’ouvrit, et je vis apparaître un homme d’une insolente beauté, de type italien, cheveux noir geai, un corps que je devinais viril sous la tenue blanche. Poli, il se présenta sous le nom de Lucas. Mon sang se glaça quand j’entendis sa voix.
- Pouvez-vous vous mettre sur le ventre, s’il vous plaît. Au fait, je n’ai pas lu vôtre fiche. Que souhait vous comme prestation. La relaxante, la mise en forme ou la sensuelle.
- Ben...je sais pas trop. En quoi consiste la sensuelle.
- Ah ça, ça dépend...en principe, on le découvre au fur et à mesure.
- Très bien...allons-y pour la sensuelle.
Allongée, à moitié nue, seule la serviette recouvrait mes hanches, Je fermais les yeux, écoutant la musique relaxante jouée en fond sonore. À ce moment-là, tout ce dont j’avais besoin était de sentir ses doigts habiles travailler sur son corps. Je ne voulait me mentir, mais je trouvais Lucas très beau, très séduisant. Il était vêtu d’un pantalon blanc, et d’une tunique blanche.
Couchée à plat sur le ventre, j’essayais de ne pas penser combien ce type était attirant, ni à quel point c'était excitant que des mains autres que celles de son copain me touche la peau. Honnêtement, je ne pouvais me concentrer sur autre chose, si ce n’est l'incroyable soulagement que je ressentais à chaque fois que ces douces mains inconnus effleuraient ma peau, la massant avec cette combinaison parfaite de pression et d'habileté.
J’eus plusieurs points ou mon dos était tendus. Entre le stress du mariage, le fait que j'ignorais pratiquement tous les signaux de mon corps, me disant que j’avais besoin de me détendre, il n'était pas étonnant que j’étais si tendue. Mais bon, au moins, Lucas essayait d’atténuer tout ça. Le masseur continuait à travailler sur mon dos, mes épaules, et chaque fois que ses mains glissaient sur mes flancs, je sentais ses doigts effleurer le bord d’un sein. Petit à petit, je sentis le stress et la tension disparaître lentement.
Je ressentais tellement de plaisir, de soulagement, que je ne voulais pas que ce moment se termine. Je n’avais jamais ressenti cette sensation de se faire masser, et de sentir tout le stress se dissiper. Et bien c'est exactement ce qui se passait pendant que ce charmant masseur faisait des merveilles sur mon corps. Mais il y avait plus que ça. Une soudaine
augmentation soudaine de température envahi tout mon corps. J’étais là, essayant de me détendre, de profiter du massage, quand soudain, je commençais à me sentir excitée. Pas par la quantité d'huile utilisée par mon masseur, même si cela aurait facilement pu être une option, non, mais par cette espèce de chaleur qui traverse votre corps lorsque vous êtes avec quelqu'un qui vous attire. Et bon sang, ce type l’était, attirant.
Je ne sais si c'était sa capacité à trouver chaque endroit de mon dos, ou simplement le fait qu'il était beau, mais quelque chose en lui allumait un feu en moi. J’essayais d'ignorer ce sentiment, me concentrant uniquement sur la musique diffusée en fond, et sur l'idée que je fantasmais simplement pendant que je recevais le doux massage. Après tout, je me mariais cet après-midi.
Mais peu importe. J’essayais de m'en convaincre, ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point mon pouls s'accélérait, chaque fois que ses mains se rapprochaient trop de certaines zones de mon dos. Ainsi, alors qu'il continuait à travailler sur moi, j’étais là à lutter contre mon désir de rester calme et détendu, et mon désir de me jeter sur lui, de l'entraîner dans une pièce voisine.
Heureusement ou malheureusement, selon la façon dont je le regardais, le masseur n'a pas semblé remarqué comment j’allais. Il a continué son œuvre, comme si de rien n'était, complètement inconscient du feu qu'il attisait en moi. Tout mon corps était confronté à l'épreuve ultime, tandis que je recevais ses massages. Il y avait dans cet espace, une intimité, un sentiment d'anonymat qui me permettait de m'ouvrir à une expérience, qui autrement aurait été impossible.
Le masseur a continué son travail sur moi. Chaque fois que ses mains trouvaient un point faible dans mon dos, une vague de sensation parcourait mon corps. Et même si
j’essayais de garder mon sang froid, je ne pouvais m'empêcher de remarquer à quel point ma température augmentait à chaque caresses, à chaque mouvement. C'était une lutte, une bataille entre mon désir de rester ferme, et l'envie de me laisser emporter par le flot de sensation qui m’enveloppait.
Mais je ne pouvais pas me permettre de perdre le contrôle, ni maintenant, ni après, je devais épousé Julien, l’homme de sa vie. Cependant, quand il a fini avec mon dos, et que ses mains se sont déplacées vers mes jambes, je sus que j’aurais des ennuis. Mes jambes étaient mon point faible, ma zone vulnérable, et alors que les doigts experts de Lucas commençaient à travailler dessus je me retrouva à bout.
Chaque contact, chaque pression était comme un choc électrique qui me rapprochait de l'orgasme. J’ai essayé de rester calme, de cacher les émotions qui couvaient en moi, mais c'était une bataille perdue d'avance. Mes longues jambes, ont été ma perte.
Tandis que Lucas poursuivait son travail, je savais que ne pourrais plus me retenir.
Ses mains parcouraient mes jambes avec une dextérité excitante, remontant entre mes cuisses, à la lisière de ma fente. je ne pus m'empêcher de remarquer un changement subtil dans son attitude. D’une simple pression, il fit tomber mes jambes de chaque côté de la table de massage. J’étais là, entièrement nue, écartelée, offerte.
Non seulement il faisait son travail de façon magistrale, mais il y avait aussi une pointe de flirt dans la façon dont il bougeait ses mains, me regardait. Chaque touchée, chaque contact sur ma chatte semblait m’imprégner d'une intention suggestive qui éveillait ma curiosité, mon désir aussi. Au milieu du plaisir qui m'enveloppait, je me surprenais à être attiré par cette énergie chargée de sensualité. Même si je savais que c'était mal, que je ne devais pas laisser ces pensées m'envahir, il était difficile de résister à la séduction du masseur, à la tension excitante qui se formait entre nous.
Les caresses de Lucas s’intensifièrent, devinrent plus précise. Il jouait sans pudeur avec mon clitoris, pénétrait ma chatte, la branlait. Je me cambrais sous les odieuses caresses, me tordait comme un serpent, envoyait de violent coup de reins sur les doigts qui me possédaient.
- Ah...hou...hou... ah...oui...oui...salaud…
L’orgasme fut terrible, à tel point que Lucas dût me tenir pour éviter que je ne tombe de la table de massage. A cet instant, je me retrouvais déconnecté du monde extérieur, absorbé par le jeu auquel on jouait. Chaque mot, chaque sourire alimentait le feu de la passion qui brûlait en moi, me faisant momentanément oublier tout le reste, même mon fiancé. La salle était remplie d'une atmosphère pleine de promesses, de tentations, et je me laissais emporter par le courant d'émotion qui nous enveloppait. Je savais que je franchissait une ligne dangereuse, mais à ce moment-là, le désir, l’excitation éclipsaient toute pensée de prudence.
Tandis que le Lucas poursuivait son travail, je me suis plongée dans le plaisir, l'intrigue de ce qui pouvait arriver, sachant que j’avais fait un pas au-delà des limites de ce qui était autorisé. J’étais enveloppée dans une séduction qui m'a fortement captivé. A cet instant, je me suis totalement laissée aller, suis tombé sous le charme du jeu dangereux auquel on jouaient.
Chaque caresse de sa main sur ma chatte allumait encore davantage la flamme qui brûlait de manière incontrôlable en moi. C'était une sensation enivrante, bouleversante qui m'amenait au bord du plaisir. J’essayais de me contenir, de lutter contre l'excitation du moment, mais cela ne servi à rien. Chaque pénétration de ses doigts en moi semblait trouver un point sensible de mon corps, rendant la peau rampante, et ma respiration devenant irrégulière.
- Assez, gémis-je...je jouis encore…
A ce moment-là, je réalisais que je perdais le contrôle, me laissant emporter par le courant de désir qui nous enveloppait. Mes muscles se sont tendus et détendus en réponse au contact de ses mains, et un tremblement a parcouru tout mon être, révélant mon abandon total. Il n'y avait aucune place pour la raison ou la retenue. L’orgasme fut puissant, incontrôlable. Je parvins non sans effort, à rester lucide. Seul comptait le délicieux sentiment d'abandon de se laisser emporter par ce tourbillon d'émotion qui m'envahissait.
Et alors que je tremblais sous le contact de mon masseur, je savais que c'était un moment que je n'oublierais jamais. Ce fut un moment de pure intensité dans lequel j’étais complètement immergé dans le plaisir, sans réserve ni inhibition. Dans cette danse du désir, je me suis retrouvée à vivre le présent avec une intensité que je n'aurais jamais imaginé.
Chaque tremblement, chaque caresses me rapprochait de l'extase, et j’étais prête à me laissais aller, sachant que le plaisir qui m'attendait au bout du chemin dépasserait toutes les sensations que je n’avais jamais connu auparavant. Je me laissais emporter par le courant du désir, permettant à la passion de nous consumer tous les deux. Et puis c'est arrivé. Dans un moment d'explosion et d'émotion, je ma suis retrouvé à m'abandonner au désir du masseur.
Je ne voulais pas donner de détails sur ce qui s’est passé, mais garder un tel secret était trop lourd à porter. C’était un moment chargé d'adrénaline, un risque que j’ai pris à quelques heures du mariage, sans penser aux conséquences. Je n’ai rien fait pour le repousser quand il a approché de mon visage sa queue en érection. Je n’ai pas hésité à la prendre en bouche, à la sucer, pas plus que je n’ai hésité à absorber ses va et vient, jusqu’à avaler sa semence. Les doigts de Lucas ne restaient pas inactif, me prodiguant des caresse subtiles sur ma chatte, s’attardant sur mon petit bouton. A ce moment-là, il s’est servi de moi, prenait plaisir à me voir jouir.
Puis vint la pénétration, douce au début, puis débrider en coups violents. Le plaisir montait crescendo, jusqu’à atteindre un nouvel orgasme. Mes sens était exacerbé, chaque battement de mon cœur résonnant dans mes oreilles, alors que je plongeais dans l'expérience. Sans vouloir approfondir, je pus dire que c'était un moment fort, sensationnel, une expérience intense qui m'a fait trembler d'excitation, de plaisir, et espère que ce ne sera pas la dernière fois.
Dans ce moment de dévouement et de passion débridé, je me suis senti vivante comme jamais auparavant. Même si je savais que j’avais trahi l’homme de ma vie, je ne pouvais m'empêcher de ressentir un sentiment de libération, et de satisfaction de m'être permis d'explorer ce côté sombre et interdit de moi-même. Je n'aurais jamais pensé pouvoir tromper Julien, mais à ce moment-là, j’ai succombé à la tentation pour la première fois. de ma vie.
Je me suis laissée emporter par le désir, ignorant les promesses que j’avais faites, et les lignes que j’avais juré de ne pas franchir. C'était un acte impulsif, une décision prise dans un moment de faiblesse. Et même si j’éprouvais un mélange de plaisir, autant que de culpabilité, je ne pouvais nier l'excitation que je ressentais à l'idée de m'être permis d'explorer cette aventure. Lucas savait que j’allais me marier, qu’il avait déclenché de la soumission en moi, et que c'était quelque chose qu'il garderait secret.
Il ne voulait raconter à personne ce qui s'était passé cet après-midi. Il est entré dans mes différents orifices à plusieurs reprises.
Même si je me sentais un peu coupable d'avoir trahi mon fiancé, je me suis rappelé qu'il n'y a qu'une seule vie et qu'il faut en profiter tant qu'on le pouvait. Après une douche adoucissante et relaxante, je quittais l’établissement.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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