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A la concession (1)

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Lue : 1862 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/10/2021

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Une semaine plus tard, assise à mon bureau en train de préparer des papiers, on frappa à la porte de mon bureau. Je n'eus pas le temps de réagir que la porte s'ouvrit. Je levai la tête et fut agréablement surprise de voir apparaître Bertrand dans l'encadrement de la porte.

- Bonjour Anne ! 

- Bonjour Bertrand ! Tu aurais pu attendre que je te dise d'entrer. Ce n'est pas digne d'un gentleman, lui dis-je faussement énervée.

Il entra dans mon bureau, ferma la porte derrière lui. Il portait un jean, un polo rose pétant avec sa paire de lunettes de soleil dans l'encolure et une paire de baskets blanches. Il se dirigea vers moi, fit le tour du bureau, se saisissa de ma chaise, la fit reculer et me tourna vers lui. Son regard noir me fixa intensément et me transperça. Des frissons parcoururent tout mon corps me faisant hérisser les poils sur les bras. Il me détailla de la tête au pied. Je portais un chemisier blanc dont les trois boutons du dessus n'étaient pas fermés, dévoilant ainsi le haut de ma poitrine, une jupe tailleur grise arrivant à mi-cuisse et des escarpins noirs. Il approcha sa joue de la mienne, sa barbe de trois jours me griffant au passage et me sussurra à l'oreille De sa voix rauque : 

- Tu es plus désirable à chaque fois que je te vois. 

Et sa langue titilla le lobe de mon oreille. Il s'accroupit alors et écarta mes cuisses. Ma jupe remonta haut et il eut une vue imprenable sur le tissu cachant mon intimité. Ses mains glissèrent sous ma jupe et saisirent mon string. Je lui montrai ma réprobation d'un signe de tête mais son regard n'accepta aucun refus. Je pris donc appui sur les accoudoirs de mon fauteuil pour me lever légèrement. Il tira sur le string et le fit glisser doucement le long de mes jambes. Cette caresse commençait à m'émouvoir et j'étais presque sûr que mon antre s'humidifiait. Je levai un pied après l'autre pour me dégager. Bertrand se releva, le mis dans sa poche et alla s'asseoir sur la chaise de l'autre côté du bureau. 

Je remis mes idees en place, en respirant un grand coup, ainsi que ma jupe et je fis Face à Bertrand : 

- Que puis je faire pour toi, Bertrand ? 

- Je suis juste venu prendre des nouvelles. Comment c'est passé ton rendez-vous avec Melissa. 

- Aaaahhh, Mélissa. Une vraie perle ! Elle prend soN métier très à coeur et n'hésite pas à donner de sa personne, lui dis-je en pouffant de rire. 

- Je savais qu'elle vous plairait. Tu me racontes ? 

Et je lui narrai la prise de contact avec la belle décoratrice. Je lui résumai également nos vacances. Il semblait imperturbable. 
Moi, par contre, l'évocation de ces moments me donnaient de plus en plus chaud. Et sa présence, son assurance, son charisme n'arrangeaient rien.

- Tu es toute rouge. Tu as chaud ma chère ? 

- Légèrement.... 

- Déboutonnes ton chemisier, tu seras plus à l'aise 

- Mais des personnes peuvent entrer à tout moment ? 

Son regard me transperça à nouveau. Il n'avait pas besoin de parler. Il avait une emprise totale sur moi. Je baissai les yeux, déboutonnai donc mon chemisier lentement et écartant les pans pour lui laisser voir la dentelle de mon soutien gorge blanc. Mes tétons étaient érigés et semblaient vouloir déchirer le tissu pour s'échapper vers ses lèvres. 

Vu la tournure des évènements, il fallait que je prévienne Tony sinon il m’en voudrait terriblement. Je me souviens encore de sa tête après ma nuit de débauche avec Lola. Pendant que je continuai à raconter mes péripéties sexuelles, je baissai mon bras au-dessus de mon sac à main, saisissant mon portable, le déverrouillant et appuyant sur l’icône correspondant au numéro abrégé de mon chéri correspondant à ce type de situation, puis le reposai sur le dessus du sac.

J’avais de plus en plus chaud, au fur et à mesure de ma narration. Il me posait des questions très précises auxquelles il attendait des réponses toutes aussi précises. C’était bizarre mais je ne sentais plus le petit filet d’air frais qui parvenait de la climatisation. Je jetai un coup d’œil discret sur la commande et vis qu’elle était éteinte. Bertrand…. Il avait dû tout prévoir comme qu’on ne soit pas déranger…

Quand j’en vins à lui raconter ce que tous mes acolytes m’avaient fait subir, je vis soudain une étincelle dans ses yeux. Il me demanda encore plus de détails sur un ton encore plus directif. Cette situation, sa voix rauque me rendait fébrile. Toute ma confiance en moi s’évanouissait devant cet homme si sûr de lui, devant son charme. La chaleur dans le bureau devenait intenable. Je sentais la sueur perler entre mes seins et couler dans mon dos. Mon ventre papillonnait, mon antre était inondé, mes seins me faisaient mal tellement ils étaient gonflés d’excitation.

Quand j’eu terminé mon histoire, un silence pesant s’installa dans la pièce. Il me fixa sans bouger un cil. Moi je me contorsionnais sur ma chaise serrant mes cuisses l’une contre l’autre. J’avais envie de me caresser la chatte, les seins, me pincer les tétons….

Il me dit alors :

- Approche !!

Et instinctivement je répondis :

- Oui… Maître…

Ce n’est pas vrai !! Ce n’est pas moi qui ai dit ça ?? Et pourtant, si…. Et pourtant, ça m’excitait….alors que la plupart du temps c’est moi qui dominait.

Je reculai mon siège, me levai, la jupe largement relevée sur les cuisses, mon chemisier sortit de ma jupe collant à mon dos. Je fis le tour de mon bureau en me déhanchant le plus possible et me plantai à côté de lui. Il fit pivoter son siège face à moi.

Sans qu’il ne me dise rien, je m’agenouillai, mes cuisses contre ses jambes. Il les écarta au maximum, écartant mes cuisses par la même occasion, remontant encore ma jupe et découvrant ma fine toison et mes lèvres luisantes de mouilles. Je posai le plat de main sur son entre jambe et commençai un léger massage. Il était d’un flegme impressionnant. Il ne bandait pas encore ou presque pas malgré tout ce que je venais de lui raconter. J’approchai ma deuxième main pour défaire son bouton et descendre son zip. Il ne portait rien dessous. Son sexe glabre encore à moitié endormi reposait sur son ventre. J’écartai au maximum l’ouverture. Il se souleva légèrement afin que je puisse baisser légèrement son pantalon dégageant ainsi ses bourses. J’avançai ma main pour se saisir de sa hampe mais il m’arrêta :

- Uniquement avec ta bouche ! Mets tes mains dans le dos !

Il se releva, saisissant le col de mon chemisier et le descendit le long de mes bras et fit un nœud avec sur mes poignets. Il saisit également les bretelles de mon soutif et les descendit sur mes bras. J’étais totalement entravé.

Il introduisit ensuite ses mains dans mon soutif et fit sortir mes seins de leur écrin de dentelle, prit mes tétons durcis entre ses pouces et ses index et me les pinça fortement me faisant gémir. Je me mordis les lèvres pour que personne ne m’entende à l’extérieur. Il passa un doigt entre mes seins afin de recueillir mes perles de sueur et le porta à sa bouche.

- Délicieuse !

Il s’adossa à nouveau contre son fauteuil et s’avança légèrement.

J’approchai maintenant mon visage, embrassai ses bourses lisses, les léchai du bout de la langue, aspirai ses boules dans ma bouche et jouai avec. Sa queue commençait à réagir. Avec ma langue, je commençai à remonter sa hampe le long de son frein, redescendit puis remontai à nouveau. J’agaçai son gland, en fis le tour, léchai la goutte qui s’échappait. Sa queue se redressa de plus en plus pour prendre toute sa vigueur….et quelle vigueur !!!

Je pris son gland en bouche, l’aspirai, descendit lentement le long de son mât devenu dur comme du bois, remontai, descendis un peu plus. Je continuai ainsi jusqu’à l’avoir entièrement au fond de ma gorge. Je la ressortie entièrement et vis que sa queue était luisante de ma salive. Je la regardai avec envie et replongeai dessus tel un cobra pour l’avaler entièrement. Mes vas et vient s’accélérèrent. Je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. Je suis presque sûr que cela coulait par terre. Je devenais folle. Je le léchai, le suçai, l’aspirai, le mordillai, le titillai. Je sentai les gouttes de sueur couler le long de mes tempes. Soudain, il me saisit la tête me bloquant sa queue palpitante au fond de ma gorge et il déchargea de longs jets de sperme. La quantité était impressionnante, j’eu du mal à déglutir et à tout avaler mais aucune goutte ne s’échappa.

Je me redressai, toujours agenouillée, mais je n'osai relever la tête. Je dégoulinai à la fois de sueur et de cyprine. Mon excitation était à son comble. J'espérai qu’il me rende la pareil qu’il me soulève et me prenne sauvagement sur mon bureau.

Mais il n’en fut ri en. Il me prit par les épaules pour m’aider à me relever, saisit mon menton pour le redresser et me fixa à nouveau dans les yeux. Il passa une main derrière moi et dénoua mon chemisier afin de me libérer.

- Tu es une suceuse hors pairs Anne. C’était en remerciement pour t’avoir donné le nom de Mélissa. Tu me dois encore une faveur pour ce que j’ai fait aux Maldives pour Jess. Tu viendras donc samedi soir chez moi et je te ferai visiter ce qu’a réalisé Mélissa pour moi. Je ferai déposer chez toi la tenue que tu devras porter. 20h à la maison et je n’accepterai aucun retard. Tu as compris ?

- Oui…Bert….Maître !

- Tony ! Tu es invité aussi bien sûr. Tenue décontractée. Je te laisse maintenant, j’ai un rendez-vous important.

Je le regardai, abasourdie. Il n’allait pas me laisser ainsi tout de même ?

- Mais…Bertrand….Je ne peux pas rester comme ça et passer la journée ainsi !! J’ai des clients à recevoir !!

Il regarda dans le coin de la pièce où il y avait le porte manteau.

- Je vois que tu as un grand manteau. Enfiles le et va prendre une bonne douche. Les douches des mécanos sont ouvertes à tout le personnel. Et des rechanges t’attendent dans ton vestiaire. Passe une bonne journée.

Il ouvrit la porte et partit en refermant la porte derrière lui.
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Histoire de D3sm09067

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