ACCUEIL > Hétéro > Récit : Maya change de voie

Maya change de voie

+28

Lue : 1039 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/10/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Maya est une jeune femme de maintenant 30 ans, les cheveux auburn, les yeux noisettes. Elle est plutôt grande, généreuse sans pour autant être ronde. Son ex vous dirait qu'elle a les hanches parfaites pour être agrippées dans une bonne séance de levrette. Ses attributs principaux ne sont pourtant pas là: avant tout, une poitrine magnifique (95D) et ferme à faire pâlir de jalousie toutes les femmes plus jeunes, et enfin un désir de sexe insatiable. Elle n'est pas du genre à se donner au premier venu, encore que cela lui fut arrivé, mais elle a l'habitude de vider les piles de son vibromasseur à chaque séance.


Infirmière de formation, elle s'est finalement décidée pour des raisons encore obscures à changer de voie. Après divers courriers, elle a finalement décroché un entretien d'embauche dans une clinique du Sud de la France, non pas en tant que soignante mais en tant qu'assistante de direction. Pour s'y rendre elle se pare de ses plus beaux atours. Cheveux noués en queue de cheval, maquillage soigné, rouge à lèvre mettant en relief ses lèvres pulpeuses sans une once de vulgarité, et pour contraster avec ces airs sérieux un tailleur noir avec une chemise blanche, mais un décolleté dont la profondeur n'a d'égal que la brièveté de sa jupe. Seul oubli à ce déguisement de l'assistante parfaite... le soutien-gorge. Maya n'en met que rarement, elle aime sentir ses seins bouger au gré de ses mouvements, et surtout le regard des hommes et des femmes lorsque sa tenue bien trop ajustée laisse deviner le rosé d'un téton en fleur.


Samedi 9h15, Maya a vingt-cinq minutes d'avance. Elle y tient à cet emploi et s'est dépêchée de quitter la maison de ses parents, dans laquelle elle vit encore, pour mettre toutes ses chances de son côté, au point même de sauter sa séance de masturbation matinale...

Elle se présente au neuvième étage de l'établissement. Le stress monte, son coeur s'accélère dans l'ascenseur. Elle arrive enfin aux bureaux de la direction. L'endroit est luxueux, le sol est fait de marbre, les meubles sont un mélange de bois vernis et de sièges en cuir confortables, et les lumières sont étincelantes. Elle se présente à la secrétaire qui siège derrière un bureau massif en acajou, le regard perdu dans l'écran de son ordinateur. Celle-ci lève les yeux et la toise de haut en bas, Maya le remarque, en s'arrêtant sur ses seins et son entrecuisse. Un petit sourire en coin d'approbation, à peine perceptible, et elle lui lance:

- Monsieur D. va arriver, installez-vous ici en attendant, lui montrant la salle d'attente, cependant je vous préviens il a un peu de retard aujourd'hui.
- Pas de problème, j'attendrai le temps qu'il faudra.

Et le temps passe, et passe... 10h15, voilà une heure que Maya a franchi la porte de la clinique. Elle pensait déjà être fixée sur son sort à cette heure ! Elle qui a tout de même loupé le meilleur moment de sa journée pour cela. A cette pensée, elle ressent une pointe d'excitation et de picotements dans le bas ventre. Elle ne peut s'empêcher de penser à son jouet qu'elle va retrouver après que tout cela soit fini, à la silicone douce qui va délicatement s'insérer entre ses lèvres jusqu'à lui procurer le plaisir ultime qui la forcera à changer les draps... Mmmh, à cette idée ses tétons pointent, et elle commence doucement à se trémousser sur son siège.

Mais tout de même, le temps est long. Reprenant ses esprits elle se dirige vers la secrétaire:
- Nous avions rendez-vous à 9h40 avec Monsieur D., savez-vous si cela tient toujours ?
- Oui bien sûr ! Il a un peu de retard comme je vous le disais il a un peu de retard voilà tout, son ton se durcit un peu, Monsieur D. est un homme très occupé, il assure une charge de direction dans cette clinique mais pas seulement, vous le verrez si vous êtes recrutée.

Sur ces mots qui ne laissaient pas de place à d'autres remarques, Maya se rassit.
Encore une fois les minutes passèrent, 10h2O... 10h3O... 10h40... et Maya ne s'était toujours pas masturbée ! Elle ne savait pourquoi cette pensée lui revenait sans cesse en tête, sans doute le stress et la peur de ne pas avoir d'emploi elle qui vivait toujours chez ses parents, dont elle n'était pas si proche par ailleurs. Il n'empêche que cette pensée revenait la hanter sans cesse, assise là dans son fauteuil noir confortable, les seins qui frottent contre son chemisier et commencent à déborder, sa culotte qui commence à être toute mouillée... Elle n'en peut plus ! Son cerveau lui fait imaginer trop de choses, avec cette secrétaire, avec n'importe quel bel étalon qui pourrait débarquer ici. La lumière des spots et ce mobilier étaient si propices à la luxure.

Elle se lève, les joues légèrement rougies par l'excitation, la voix un peu plus aiguë:
- Hum, Mademoiselle...
- Laura.
- Laura, puis-je utiliser les toilettes s'il vous plaît ?

Il n'y en a pas à cet étage, lui répond la jeune secrétaire. Il faut descendre au septième étage. Zut ! Elle qui voulait se caresser rapidement et évacuer son stress de ses doigts agiles sans prendre le risque de louper son rendez-vous c'est raté. Mais non après tout ! Il a plus d'une heure de retard, c'est lui qui attendra maintenant. Maya prend l'escalier jusqu'au septième étage, et là, rien pour la contenter. C'est un véritable dédale de portes, toutes closes, sans la moindre indication. Elle pourrait passer une heure à trouver les toilettes, et ce temps là elle ne l'a pas. Pour peu que l'autre Monsieur D. arrive et toute cette attente aura été vaine.

Pour autant elle n'arrive pas à se défaire de son excitation. Vannée par le stress et l'attente, Maya entre dans un état second. La pression ne lui laisse qu'une seule pensée en tête "il faut que je me soulage... je dois me soulager... je dois me détendre". Quasi instinctivement elle se dirige vers les escaliers. Elle n'a vu personne dans cette clinique ce samedi, après tout le septième étage doit être réservé à l'administration, le huitième n'est même pas accessible, et la direction du neuvième étage n'est pour l'heure peuplée que d'une secrétaire et d'un fantôme pas fichu d'être à l'heure.

Elle remonte les escaliers jusqu'au huitième étage. La cage d'escalier est sommaire, grise et bétonnée, avec une rampe métallique, loin du luxe du reste de l'établissement. Pas sûre que ces escaliers soient empruntés par les patients. Qu'importe, Maya s'affale le long des marches, genoux fléchis, ses talons hauts plantés dans le sol, loin d'être prêts à ce qui va arriver à leur porteuse. Elle est stressée, se dit que le rendez-vous sera annulé et qu'elle rentrera bredouille chez ses parents, célibataire, du haut se ses trente ans... Tout ce stress et ces mauvaises pensées déclenchent en elle des pulsions animales. Maya baisse son string rose en dentelle au niveau de ses chevilles, écarte autant ses jambes que ce bout de tissu le lui permet, et retrousse sa jupe. Ses jolies fesses rondes entrent en contact avec le sol frais, et quelques gouttes de mouille rejoignent déjà sa chair sur ce béton brillant.

Elle commence à se masturber frénétiquement, sans tendresse, sans prémisse. Ses doigts enserrent son clitoris et le font rouler dans des caresses violentes, d'une autre main elle agrippe son sein gauche par dessous son chemisier et fait subir le même traitement à son téton gonflé de sang. Encore consciente d'être dans une cage d'escalier, elle ne laisse pas aller de cri de jouissance mais se laisse tout de même aller à quelques râles de soulagement. Elle manque d'exploser lorsqu'elle entre deux doigts dans son vagin, les râles amputés de son extase sont maintenant accompagnés de clapotis obscènes.

Maya perd toute notion du temps et continue de se masturber, lâchant son sein pour faire entrer un doigt dans son petit trou d'une main, et continuer de se doigter frénétiquement de l'autre. Si seulement elle ne s'était pas pressée ce matin, si seulement elle avait pris le temps de s'adonner à son plaisir solitaire... Elle aurait été dans de meilleures dispositions pour cet entretien, elle n'aurait pas eu besoin de s'adonner à son plaisir dans la cage d'escalier de son futur employeur potentiel. La chatte dégoulinante, le sein droit sorti de son chemisier, les cheveux ébouriffés, une flaque de mouille au sol salissant le bas de sa jupe pourtant retroussée, les yeux révulsés, hoquetant ses orgasmes successifs d'une voix cassée... Si seulement, elle aurait alors au moins pu entendre arriver ce bel étalon brun montant les escaliers...

Il mesurait environ 1m80, costaud, le teint légèrement halé, des cheveux châtains foncés, bouclés. Une paire de lunette, le regard fatigué mais perçant, avec une étincelle de malice, un costume noir très chic avec une chemise blanche, et des chaussures Richelieu en cuir noir d'un cirage impeccable. Des écouteurs dans les oreilles, lui aussi ne s'était aperçu de rien jusqu'au dernier moment, affreusement en retard et irrité de devoir prendre les escaliers, ce fichu ascenseur n'étant jamais disponible.

Maya s'interrompt un instant, figée, tétanisée de voir cet homme face à elle. Si troublée qu'elle ne pense pas à redresser son sein ou sortir ses doigts de son intimité. Seul le doigt violant l'entrée de son petit trou se fit plus discret. Elle se redressa légèrement, bredouilla.

L'homme la regarda, exposée, en chaleur, rouge et haletante une flaque de mouille au sol. Lui aussi avait eu une matinée compliquée et lui aussi n'avait pas eu le soulagement qu'il espérait ces derniers jours. Son sang ne fit qu'un tour, ni une ni deux, sans dire un mot, il s'agenouilla dans les escaliers, leva les jambes de notre ex-infirmière pour faire voler son string dans la cage, qui tomba pour disparaître, et écarta férocement ses cuisses. Il plonge sa tête et sa langue dans l'intimité de notre brunette aux reflets roux et commence à lui dévorer le clitoris.

Maya est électrisée, elle ne sait pas comment réagir. Elle sent juste ces vagues de plaisir amenées par une langue experte, faisant remonter aussitôt sa température et la ramenant dans un niveau de chaleur pas encore atteint ce jour. Elle recommence à mouiller de manière dramatique, et l'orgasme dont elle a été privée vient tonner plus fort qu'un orage.

- Aaaaaaaaaaaaaah, oh oui, oui, ouiiiii... que c'est boooon !!! Crie-t-elle. Elle attrape les cheveux de l'homme qui entre maintenant complètement sa langue au plus profond de son intimité, et peut-être l'avait-il vue faire, rentre un de ses doigts dans sa petite rondelle, une phalange, puis deux, puis trois, avant d'appuyer sur la paroi la plus postérieure de son vagin par le biais de son petit trou. Elle plaque son visage à son sexe en feu qui déferle de mouille. Elle n'arrive plus à se contrôler et jouit jusqu'à en perdre la voix. Quiconque dans les escaliers aurait pu l'entendre, du sous-sol au neuvième étage.

Maya tremble... tout son corps est parcouru par l'orgasme, elle ne parvient pas à récupérer et manque de perdre conscience... Que c'est bon... Quel plaisir, quelle jouissance...
Elle ne se rend pas compte que l'homme a abandonné son intimité luisante de mouille et de salive, et sent simplement une main lui tenir la tête pour la ramener.
Sans doute veut-il m'embrasser se dit-elle. Quel bonheur, conclu par un peu de romantisme. Merci bel inconnu.

Elle ferme les yeux comme pour amorcer un baiser, mais se trouve surprise par la texture au bout de ses lèvres. Il ne s'agit pas de la bouche qui lui a donné tant de plaisir, mais d'un gros gland violacé appartenant à un sexe circoncis. L'objet est de bon calibre, plusieurs centimètres de large, et quasi une vingtaine de centimètre de long. Surprise, elle lâche un "oh !" d'incrédulité, seconde suffisante à ce sexe pour s'engouffrer au fond de sa gorge. L'homme agrippe les cheveux de Maya de plus belle, des deux mains cette fois et commence à lui baiser la bouche.

Passée la surprise, le plaisir remonte, et Maya qui se sent à la fois honteuse d'avoir été surprise à se masturber dans cette cage d'escalier, de peur d'être dénoncée, et à la fois reconnaissante pour l'orgasme dévastateur qui lui a été procuré, se met à sucer de plus belle. Ce n'est plus sa chatte qui laisse aller des bruits obscènes, mais sa bouche qui éructe de gargarismes tendancieux chaque fois que ce gland turgescent vient frapper le fond de sa glotte.

Les minutes passent et Maya recommence à se masturber, insatiable, deux doigts vont et viennent à nouveau au fond d'elle. Devant cet élan de générosité, l'homme n'a gardé qu'une main pour enserrer ses cheveux et se servir d'elle comme une vulgaire poupée, l'autre étire son sein droit pour la faire couiner de plaisir. La deuxième main de Maya elle, malaxe les testicules de son bel étalon.

Il ne va pas tarder à jouir se dit-elle. Au même moment, l'homme se retirait de la bouche de Maya sans prémisse, la gorge de la jeune fille était sensible. Elle s'imaginait qu'il allait jouir sur son visage, l'idée ne l'enchantait pas, elle n'aimait pas octroyer ce plaisir à des inconnus, et pire encore n'avait rien pour se débarbouiller, il lui faudrait errer dans les couloirs jusqu'à trouver ces fameux WC. Mais l'homme était endurant, plus qu'endurant qu'elle ne l'aurait imaginé.

Plutôt qu'une giclée, Maya se fit retourner et mettre à quatre pattes, les poignets fermement maintenus dans son dos par cet amateur d'escaliers. Il pénétra sans prévenir le sexe trempé de la femme, de tout son long, la laissant bouche ouverte, et ne bougea plus quelques instants.

Les secondes passent, Maya est prise d'un nouveau râle, l'homme est immobile, sa bite occupe tout l'espace disponible dans son sexe, il tient d'une main ses poignets, de l'autre sa queue de cheval. Les secondes semblent durer des heures, elle sent chaque battement de coeur de son délicieux agresseur résonner dans sa bite, et donc dans sa propre chatte. Déjà trempée elle recommence à mouiller. L'homme laisse lui aussi aller un petit râle de plaisir, et commence à bouger.

Délicatement, il amorce les va et vient dans la chatte de Maya. Jamais il n'a connu fourreau plus accueillant, plus humide, plus obscène. Bousculé par une vague de plaisir, son rythme accélère, rapidement, il commence à pilonner Maya dont la chatte émet des flocs, flocs à chaque coup de buttoir, et des claquements à chaque fois que le bassin de l'homme vient frapper les fesses rebondies de la jolie femme auburn.

- Aaaah... aaaah... aaaah... aaaaah... Baise... Moi... Défonce... Moi... Halète une Maya à peine consciente... Jouis-moi sur les fesses... Gicle sur moi...
- Je ferai ce que je voudrai, espèce de petite salope.

Le self-contrôle de l'homme lui glace le sang un instant, elle qui se laisse totalement dominer par le plaisir, elle a alors la conscience d'être un objet, un pantin pour lui, un trou.
Il lâche ses mains et ses cheveux, pour agripper pleinement ses fesses qu'il écarte au maximum, distendant son petit trou. Maya est terrorisée, s'il la sodomise avec la même vigueur qu'il la baise, elle ne pourra plus marcher pendant des jours.
Comme pour répondre à ses pensées, ou à ses propres interrogations le dominant lâche nonchalament:

- Non, pas aujourd'hui.

Sur ces mots il serre les fesses de Maya avec ses mains, les claque, augmentant le contact entre sa chatte et la bite de l'homme. Elle ressent chaque veine qui parcourt ce membre appuyer sur son vagin. Le plaisir est décuplée, elle ne parvient plus à réfléchir. Pantin ou pas, l'orgasme est tel qu'il n'existe plus de place aux interrogations sémantiques. Ses genoux la lâchent, elle tremble de tout son long, émet des jets de cyprine et des couinements d'animal. Ses seins sont écrasés par son poids sur les escaliers glacés. Elle tressaute, ne contrôle plus rien, ne sait plus quel jour il est, se fiche de tout, elle n'est que plaisir.

Cela n'entre pas dans la considération de l'homme, qui ne voit là que sa propre opportunité de jouissance. Une nouvelle fois il retourne Maya comme si elle n'était qu'un objet inanimé, la laisse allongée sur le dos cette fois-ci, attrape de nouveau ses jambes et les remonte jusqu'à ses oreilles. Maya est pliée en deux, les cuisses rabattues sur le ventre, les jambes en pendentif, bloquée sous le poids de cet homme qui de nouveau la pénètre. Son orgasme n'est même pas encore terminé. Elle sent son souffle chaud saillir sur son visage, perdue dans les vagues de plaisir, elle prend le temps de regarder le visage de celui qu'il n'y a pas vingt minutes lui dévorait la chatte. Il a encore un peu de traces de mouille par-ci, par-là. Son regard est noisette, cerclé de vert aux deux yeux. C'est un regard qui semble doux et gentil, mais habité en cet instant d'une perversion et d'un désir de domination inné. Maya se sent obligé de baisser les yeux, ne soutenant l'intensité du face à face, et voit cette bite aller et venir en elle, sortant quasi complètement avant de s'empaler dans son être.

L'orgasme est insoutenable, la position imposée, elle ne peut que se contenter d'enserrer l'homme pour accompagner son étreinte. Son dos souffre à chaque coup, écrasé contre une marche. Elle a perdu un de ses talons, l'autre se balade toujours près de sa tête, au bout de son pied. Elle n'en peut plus, elle n'est que l'ombre d'elle même, elle est dans un état pitoyable, couverte de sueur et de cyprine. Elle jouit continuellement, ne sachant plus ou commence la première vague de plaisir et où se termine la suivante, il pourrait déjà faire nuit qu'elle n'aurait plus la moindre notion du jour, de l'heure, du lieu...

L'homme, fidèle à lui-même, se concentre sur son propre plaisir et augmente l'intensité des à-coups avant de les ralentir, de les rendre lents et régulier, de sentir son plaisir remonter de sa verge, vers son périnée, son torse, son cerveau et tout son corps, et sans prêter la moindre attention aux considérations de la jeune femme, laisse aller des flots de sperme dans sa chatte dégoulinante de jus.

Maya est défaite, elle est terrassée. Jamais elle n'a autant joui, il lui faut quelques minutes pour se remettre. Son corps est encore pris par-ci, par-là de quelques frissons, de quelques soubresauts. Le sperme éjaculé dans sa chatte a débordé avec la décontraction de ses muscles épuisés, et coule le long de son périnée, de son petit trou, jusqu'à rejoindre la mouille sur les escaliers dans un mélange de stupre. L'homme s'est retiré d'elle, sans un autre regard, a laissé tomber quelques gouttes de sperme sur son tailleur et son visage, et s'en est allé, remontant sa braguette et se rajustant l'espace d'un instant.

Petit à petit Maya reprend ses forces, encore essoufflée, elle se met assise, puis se lève, sur une seule chaussure, accrochée à la rambarde et manquant de basculer. Quel coup se dit-elle... quels orgasmes, quelle jouissance... et quelle salope je fais... Quelle petite pute je suis se dit-elle, comme dans un jeu, mais ne possédant plus une once d'excitation.

Le rendez-vous, l'heure. L'entretien ! 11h45 je suis fichue !!!

Tant bien que mal, Maya se rhabilla, trouva son autre chaussure, rangea ses seins dans son soutien-gorge. Elle passa sa main dans ses cheveux, se rajusta comme elle le put. Aucune trace de son string, celui-ci était tombé dans la cage d'escalier et devait trainer dans les méandres de la clinique. Au moins elle aura laissé une trace d'elle ici, en dehors de la flaque de cyprine et de sperme au sol...
A propos de sperme, elle commençait à remonter vers le neuvième étage, dans l'espoir vain qu'un entretien d'embauche soit toujours d'actualité, lorsqu'elle sentit celui de l'inconnu s'écouler le long de ses cuisses. Il lui fallait une toilette...

Repartant errer dans les couloirs du septième étage elle trouve finalement les WC. Si elle avait été plus attentive elle aurait simplement pu se doigter en paix, sans devenir un trou à sperme pensa-t-elle, s'en voulant maintenant d'avoir ruiné ses chances de quitter le domicile familial.
Elle se regarda dans le miroir, vit son visage défait, les quelques traces de sperme sur sa peau et ses cheveux ébouriffés.

- Tu es vraiment une belle chienne en chaleur Maya, s'insulta-t-elle comme pour se déculpabiliser.

Une rapide beauté faite, elle n'avait rien à perdre. Elle n'avait plus maintenant l'odeur d'une prostituée bas de gamme et avait repris de l'aplomb, ses cheveux bien que plus aussi parfait qu'en début de matinée avait retrouver leur raideur et la queue de cheval bien serrée. Le chemisier a même gagné un bouton supplémentaire, enfermant ses seins loin de toute distraction.

Légèrement vaseuse, elle arrive à nouveau devant le bureau de Laura, la secrétaire de direction qui l'alpague sans lui laisser un instant de répit:
- Que fichiez-vous ??? Monsieur D. vous attend depuis vingt bonnes minutes maintenant ! Vous espérez avoir la moindre chance d'un entretien d'embauche maintenant ? Vous vous êtes endormie sur le siège des WC, on dirait que vous venez de vous réveiller !
- Mais je... commença Maya, elle sentait les larmes lui monter aux yeux, tout cela n'allait mener à rien. Elle s'était comportée comme une lycéenne en chaleur, et maintenant elle perdait sa seule chance d'avoir un emploi.
- Bon n'en parlons plus. Vous êtes chanceuses Monsieur D. est du genre magnanime, c'est la douceur incarnée. Jamais un mot plus haut que l'autre, jamais un geste déplacé. Il m'a dit que si le candidat ou la candidate se présentait, tant qu'il était dans les murs il la recevrait. Je vais le prévenir.

Elle pris le téléphone et adopta soudain une voix doucereuse.
- Monsieur D. votre rendez-vous est là... Elle a un retard plus que conséquent vous savez... Oui très bien, je lui dis d'avancer, bien sûr, nous nous voyons pour la pause déjeuner. A tout à l'heure Monsieur.
Sa voix laissait transparaître un certain respect, mais le ton doucereux de celle qui aimerait passer sous le bureau. J'aimerais bien qu'elle passe sous mon bureau, se dit Maya.
- Allez, y il va vous recevoir. Le bureau tout au fond du couloir.
- Merci beaucoup ! Cria presque Maya, soulagée.

Elle avait une chance ! Avec un recruteur doux et sympathique en plus ! Il faut dire que c'est lui qui avait plus d'une heure de retard avant tout, et s'il est si compréhensif que cela il doit déjà en avoir conscience. Maintenant je dois préparer mon argumentaire, ne plus penser à rien d'autre, mon emploi avant tout.

Elle rentra dans le bureau, tout ici était imposant, encore plus même qu'à l'extérieur. L'homme était dos à elle, rivé sur un écran d'ordinateur montrant des schémas et des lignes de texte, seule une tignasse dépassait du fauteuil en cuir marron d'allure professorale.

- Bonjour Monsieur D ! Je vous prie de m'excuser, cette clinique est immense et je me suis quelque peu perdue. Croyez-moi cela ne reflète en rien mon sérieux habituel.
- Pas de problème !, lâcha l'homme moi-même j'étais en retard.

Il se retourne et se lève, tendant dans le même geste le bras pour lui serrer la main qu'il enserre. Leurs regards se croise. Maya se sent défaillir, elle a un flash... Ces yeux là la fixaient moins d'une heure avant, pliée en deux, couverte de fluide, humiliée d'extase, alors qu'il lâchait des giclées de sperme dans son sexe dégoulinant, la foudroyant d'orgasmes incessants.

- Oh... reprit l'homme... Oui, votre sérieux habituel... J'imagine cela. Et bien au moins je n'aurai pas besoin d'étudier votre CV. J'ai l'impression de vous connaître de fond en comble mademoiselle... ?
- M... Maya, Monsieur.
- Maya. Et bien Maya, installez-vous, nous avons beaucoup de choses à nous dire, mais pour l'heure, ouvrez un peu ce décolleté, je ne peux croire que vous soyez si sage !
28 vote(s)


Histoire de San996

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Maya change de voie


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :