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A la concession (2)

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Lue : 866 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/10/2021

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Je me relevai et allai fermer mon bureau à clé pour éviter que quelqu’un entre à l’improviste et me trouve dans cet état. En retournant à mon bureau, je repositionnai ma poitrine encore gonflée d’excitation à l’intérieur de son écrin de dentelle, le frottement de celle-ci sur mes tétons dressés me faisait presque mal, remontai mon chemisier sur mes épaules mais ne le fermis pas et descendis à peine ma jupe.

J’allai m’affaler dans mon siège et repensais à ce qui venait de se passer. Etais-je dominante ou soumise ? Une petite partie de moi me disait dominante car j’aimais diriger comme je l’ai fait avec Isa ou dans une moindre mesure avec Lola. Mais en y réfléchissant bien, je n’étais jamais autant excitée que quand j’étais dirigé. La première rencontre avec Bertrand, quand Tony m’avait dominé aux Maldives, quand ils m’avaient attaché au lit et maintenant de nouveau avec Bertrand. L’appeler Maître m’avait semblé une évidence.

Pendant ces moments de réflexion, ma main vint se poser sur mon entrejambe. J’étais encore toute trempée. Un doigt passa sur mes lèvres délicatement, s’insinua entre pour descendre tout le long de ma fente, caressa mon périnée et vint titiller mon petit trou étalant ma cyprine qui recouvrait mon doigt. Je remontai pour venir débusquer mon bouton décapuchonné mais je fus sorti de ma rêverie par la sonnerie de mon téléphone de bureau.

Je me redressai, repris mes esprits et pris le combiné :

- Oui, Anne ?

- C’est Tony ! Eh bien, dis-moi, ton rendez-vous avait l’air d’être particulièrement chaud avec Bertrand ?

- Ne m’en parle pas ! Je suis encore toute chamboulée ! Et le pire, c’est qu’il ne m’a absolument pas touché. Je suis dans un état d’excitation inimaginable. Tu…tu m’as entendu lui dire….Maître ?

- A ton avis ? Bien sûr que oui….Ca m’a surpris d’ailleurs mais terriblement excité. T’imaginant soumise, les bras entravés, exécutant des ordres sans jamais pouvoir contester, et bien d’autres choses….hummm….

- Mais ça suffit, oui !!! M’écriais-je. J’ai la chatte en feu !!! Viens tout de suite dans mon bureau, tu as un incendie à éteindre !!! Viiiite !!!

- Désolé ma belle, mais je dois partir. J’ai un déjeuner important pour décrocher le marché d’un nouveau parc automobile chez AssurLife. Ah tiens, je viens de me rendre compte, que le responsable du parc est UNE responsable. Avec un peu de chance, elle sera mignonne. Bon, je te laisse ma chérie, je vais être en retard. Bisous.

- Non, Tony, attends !!! Tu ne peux pas me laisser, toi aussi, dans cet état. Je vais devenir folle. Tony ?..... Tony ?

- bip…bip…bip

- Je rêve. Il m’a raccroché au nez. Dis-je en regardant le combiné et en raccrochant. Il a intérêt à être en forme ce soir. Punaise, mais il n’est que midi…Je tiendrais jamais jusque-là !!! Et il a dit quoi ?? Rendez-vous…essayé de décrocher un marché…UNE responsable…peut être mignonne…Il n’espère pas quand même…alors que moi, non ??? Attends ce soir mon vieux…

Il fallait absolument que je me calme et une bonne douche froide me ferait le plus grand bien. Je me levai, descendit ma jupe et allai décrocher mon manteau que j’enfilai. Je déverrouillai la porte, l’ouvrit et regardai s’il n’y avait pas trop de monde.

Ouf, la concession était vide. Tout le monde était parti déjeuner. Je laissai donc le manteau ouvert, traversai tout le hall d’exposition et me dirigeai vers l’atelier et les vestiaires où se trouvaient les douches. Là aussi, plus âmes qui vivent.

Cela devait être la seconde fois que j’entrais ici. Je savais que j’avais un vestiaire mais je ne l’utilisais pas. Je ne me souvenais même plus où il était. Je me demandais soudain comment Bertrand savait que j’en avais un. Et comment il savait que j’avais une tenue de rechange. Je ne me souvenais même pas en avoir mis une un jour à l’intérieur. Après avoir fait le tour de tous les casiers, je le trouvai. Il y avait un cadenas et impossible de me rappeler la combinaison. J’essayais ma date de naissance, celle de Tony. Aucune ne marchait. Et si c’était Bertrand qui l’avait mis ? Je tentais celle d’aujourd’hui. Toujours pas. La date de notre rencontre chez lui ? Fébrilement je tournai la molette. Et…Il se débloqua ! C’était bien lui ! Il avait tout manigancé !

J’ouvris la porte et vis une serviette éponge, un gel douche et une housse à vêtement. Je la décrochai, la posai sur le banc à proximité et l’ouvris. Je découvris alors un tailleur en cuir rouge composé d’un pantalon qui allait me mouler les cuisses et les fesses tellement il avait l’air serré et d’une veste cintrée tout aussi prêt du corps. J’ouvris la veste pour voir ce qu’il y avait à l’intérieur. Rien. Pas de chemisier, de top ou de débardeur. Pas de sous vêtement, non plus. Il voulait que je sois nue sous ces vêtements le reste de la journée. Le pantalon allait frotter contre mon bouton et le tissu de la veste agacé mes tétons. Je vais devenir folle. Il faut absolument que j’aille me calmer sous la douche.

Je retirai mon manteau, mon chemisier que je jetai au fond du vestiaire. Mon soutif et ma jupe le rejoignirent. J’enlevai mes escarpins, prit la serviette, le gel douche et me dirigeai vers la douche.

Je posai la serviette à l’entrée. Il y avait une dizaine de douches alignées les unes à côté des autres. Je m’approchai de celle en face de l’entrée. Juste un bouton sans réglage possible. J’appuyai et l’eau commença à couler sur mon corps. Elle était tiède, limite chaude. Ce n’était pas la douche froide escomptée pour me calmer. Je versai le gel douche directement sur mon corps quand l’eau s’arrêta puis me baissai pour le poser par terre. Je commençai à me savonner la poitrine, me pinçant les tétons en passant dessus, ce qui me fit gémir légèrement, puis les bras, le ventre, le dos, je passai sur mes fesses, à l’intérieur de mon sillon pour venir titiller ma petite rondelle. Je passai devant pour venir sur mon pubis, j’écartai les jambes pour venir nettoyer l’intérieur de mes cuisses collantes de cyprine. Puis descendis le long de mes jambes, tendues, pour arriver sur mes chevilles. C’est à ce moment-là que j’entendis un sifflement derrière moi et quelqu’un dire :

- Vache ! Elle est sacrément bien roulée la secrétaire.

Je me redressai d’un coup, cachant d’un bras ma poitrine et de l’autre main mon intimité. C’était Pierre et Rémi, les deux chefs d’atelier, nus comme des vers. Je me surpris à les détailler rapidement. Pierre, la cinquantaine, avait un ventre un peu proéminent et était très poilu. Son sexe, encore au repos semblait d’une taille normal. Rémi, la trentaine, était lui sacrément bien foutu. Le corps totalement glabre, les pectoraux et les tablettes de chocolat bien dessinés et un sexe, qui même au repos, paraissait très prometteur.

Mais à quoi je pensais, moi ?! Je repris rapidement mes esprits pour leur dire :

- Mais ça ne va pas non ?! Je peux savoir ce que vous faites là ? Partez et attendez que j’aie pris ma douche, bande d’obsédés !!!

C’est comme si j’avais parlé dans le vide. Ils restèrent plantés là, à me reluquer sous toutes les coutures. Pierre avait maintenant pris sa queue en main et commençait à se masturber lentement, sa queue grossissant à vue d’œil.

- Oh ! Je vous ai parlé il me semble !! Fichez le camp ou ça risque de mal se terminer pour vous !!

Pierre resta sur place à se branler tandis que Rémi s’approcha de moi. Il se baissa, prit le gel douche et en versa directement sur mon dos. Je le sentais glisser le long de ma colonne vertébrale jusqu’entre mes fesses.

- Merci. Mais je n’ai pas besoin de….vouuus. Dis-je, la voix légèrement tremblotante quand il commença à me laver le dos avec ses mains calleuses de mécano.

Pierre dit alors :

- C’est Monsieur de La Rocardière qui nous envoi. Il nous a dit qu’il y avait un incendie à éteindre dans le vestiaire.

Je failli m’étrangler :

- Ber… c’est Bertrand qui…. Et il l’a dit à combien de personne ?

- Uniquement à nous. Et ne t’inquiète pas Princesse ! Il nous a bien dit de n’en parler à personne et que dans le cas contraire, on s’en mordrait les doigts !!

Il avait absolument tout prévu de A à Z. Il était démoniaque et cela me rendait folle d’excitation.

Rémi continuait à me laver le dos. Il descendit sur mes fesses et me les pétrissait doucement. Une douce chaleur envahit tout mon corps sous ses caresses. Une de ses mains s’insinua entre mes fesses et vint masser ma rosette. Son autre main passa sur le devant pour venir caresser mon ventre. Il remonta et remonta pour venir franchir la barrière de mon bras qui cachait encore mes seins. Je ne résistai pas. Sa main vint s’insinuer entre mon bras et ma poitrine et la caressa. Il empauma un sein, coinça le téton tendu entre son index et son majeur et le serra, fort.

Je m’entendis alors commencer à gémir. Il serra de plus en plus fort, titilla mon petit trou, glissa sur mon périnée, pour venir passer un doigt dans ma fente et m’introduire ce doigt curieux à l’intérieur de ma grotte.

- De la Rocardière avait raison ! Elle mouille comme une petite salope !

Les mots de Rémi me firent gémir plus fortement. Ma main qui cachait mon intimité vint titiller mon bourgeon. Mon bras cachant ma poitrine se relâcha et la laissa à la libre vue du plus vieux. Elle passa dans mon dos et chercha la queue du plus jeune. Elle la trouva et j’en gémis de stupeur. Elle paraissait énorme. Ma main avait presque du mal à en faire le tour. Je le tirai vers moi pour venir le caler dans mon sillon inter fessier. Il retira sa main de ma chatte dégoulinante pour laisser le chemin libre. Je le relâchai et commençai à contracter mes fesses sur son chibre pour le masser. La sensation avec le savon recouvrant mon corps était indescriptible.

Ses deux mains s’occupaient de mes seins. Alternant les caresses, les pincements fort ou moins de mes tétons, les étirements à l’extrême. Ma tête rejetée en arrière sur son épaule, j’haletai de plus en plus fort. Soudain je sentis une troisième main sur moi, écartant ma main qui masturbait de plus en plus fort mon clito. Pierre nous avait rejoints. Il m’écarta les cuisses et sans ménagement colla sa bouche sur mon bouton incandescent. Il le mordit, ce qui me fit pousser un cri strident. Il l’agaça avec sa langue, le suça, l’aspira, le mordilla encore. Je le sentis approcher ses doigts de mes lèvres. Il les écarta et enfonça deux doigts bien profondément. Il se détacha de mon clitoris et dit d’une voix rauque :

- Petite salope tu disais ? Je n’ai jamais vu une nana mouiller autant ! Putain, ça coule carrément le long de ses cuisses.

Il sortit les doigts de ma chatte, un filet de mouille gluante me reliant à ceux-ci et les porta à sa bouche.

- Hummm… Elle a vraiment bon goût ! Une vraie belle salope !

Il replongea sa bouche sur mon bourgeon hypersensible et introduisit cette fois trois doigts m’arrachant un nouveau cri de démente. Je repris la queue de Rémi en main et le branla énergiquement suivant la cadence qu’imprimait Pierre avec ses doigts. J’étais au bord de l’explosion. Mais je voulais sentir ce mât puissant que j’astiquai au creux de mes reins.

Mes mains qui appuyait sur la tête de Pierre, se saisir de ses cheveux et le tirèrent en arrière et je leur dis d’une voix que je ne me reconnaissais pas :

- Toi, en parlant à Pierre, met toi contre le mur que je te suce jusqu’à la dernière goutte et toi, mon cul est à ta disposition.

Ils ne se firent pas prier. Le plus vieux s’adossa contre le mur des douches, la queue fièrement dressée. Je me mis face à lui, me penchai en avant, les jambes écartées et bien droite, offrant ma croupe à son compère. J’agaçai le gland grenat d’excitation du bout de ma langue avant de le prendre entièrement en bouche, faisant des vas et vient avec ma main. L’autre écarta mes fesses et présenta sa queue à l’entrée de ma grotte et l’enfonça d’une traite, ses cuisses claquant contre mon cul. Elle était énorme et me remplissait totalement. Un premier éclair me traversa. Il commença alors son pilonnage. La queue de Pierre s’enfonçait un peu plus à chaque fois. Je l’avais bientôt entièrement au fond de la gorge.

Rémi sortit son chibre lubrifié de ma cyprine et vint l’étaler sur mon petit trou. Puis il commença à s’enfoncer en moi, doucement. Tout du moins son gland. Car une fois que celui-ci fût passé, il me pénétra d’une traite, me coupant la respiration, déjà bien entravé par la queue que j’avais en bouche. Il se saisit de mes hanches et recommença son pilonnage. Je me saisis à mon tour des hanches de son acolyte. Pierre avait dû s’adosser contre le bouton de la douche car l’eau coula sur nos corps. Pendant que Rémi me défonçait par derrière, Pierre me baisait la bouche. Je sentais que le volcan allait bientôt exploser. Et dans un dernier coup de rein de chacun des deux hommes, nous nous envolèrent dans un triple orgasme simultané, l’un déversant de longs jets de sperme dans mon fondement pendant que l’autre se répandait dans ma bouche. Nos râles résonnèrent dans l’espace confiné de la douche.

Rémi se retira après quelques instants et me redressa. Il dû me soutenir tellement j’étais pantelante. Pierre s’approcha et me dit au creux de l’oreille :

- Merci pour cette formidable pipe, mademoiselle la secrétaire. Tony a une chance de cocu de t’avoir dans son lit. Mais ne craint rien, nous ne dirons rien. Nous avons promis à ton ami Bertrand…

Et Pierre disparut dans les vestiaires.

Rémi, lui, me maintenait toujours par la taille. Je repris mes esprits. Il fit couler à nouveau l’eau sur nous et nous nous savonnâmes mutuellement. En tout bien, tout honneur cette fois. Nous nous rinçâmes, priment nos serviettes, nous essuyâmes mutuellement et nous nous dirigeâmes dans le vestiaire.

Nous nous arrêtâmes au milieu de celui-ci. Nous nous regardâmes les yeux dans les yeux. J’étais quelque peu troubler. Il prit mon menton entre deux doigts, s’approcha et déposa un baiser à la commissure de mes lèvres. Je déglutis et dans un souffle, j’arrivai à dire :

- Merci….

- A votre disposition, Anne…

Il se retourna et se dirigea au fond du vestiaire. J’admirai son joli cul musclé s’éloigner. Je repris mes esprits et me dirigea vers mon casier pour enfiler la tenue que Bertrand m’avait préparé. Un magnifique tailleur pantalon/veste en cuir rouge moulant mes formes à la perfection. J’allai faire fureur cet après-midi à la concession.
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Histoire de D3sm09067

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