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Max et Aissata en covoiturage

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Lue : 1011 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 13/09/2021

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Je m’appelle Max et j’ai 31 ans. Je travaille dans une petite PME informatique dans la Région Parisienne. Avec ma petite amie Aissata, nous sommes un couple très ouvert, comme en témoigne cette anecdote qui nous est arrivée il n’y a pas longtemps.
Nous avions prévu de partir en vacances en voiture à Marseille. Pour réduire les frais de trajet, nous avons passé une annonce de covoiturage. Une fille, Camille, a réservé les 2 places, car nous ne voulons que 2 passagers à l’arrière pour plus de confort.
Arrive le jour du départ. Il fait une chaleur horrible, et pas de chance, la clim de ma voiture est tombée en panne quelques jours avant de partir et je n’ai pas eu le temps de la faire réparer.
Nous retrouvons Camille, une jolie brune, pulpeuse de 23 ans. Les cheveux courts et une robe tout aussi courte me laisse deviner ses formes appétissantes sous ses sous-vêtements de dentelle que l’on peut apercevoir. Elle est accompagnée d’une amie, Fofana, une jeune black, avec de grands cheveux frisés, elle aussi habillée très court, vêtue d’un short qui dévoile ses jambes magnifiques, et un débardeur qui cache deux petits seins. Elle a des ongles très travaillés et porte de nombreux bracelets et colliers très tape à l’œil, ce qui dénote de sa copine, qui à part un petit piercing au nez est plus sobre.
Je prends les bagages des deux demoiselles, tandis qu’Aissata, ravie d’être entre filles, fait rentrer nos deux passagères à l’arrière. Je démarre le moteur alors que les filles, elles, démarrent la conversation. Après les présentations d’usage, nous apprenons que Fofana a 20 ans, et qu’elle est en couple avec Camille depuis 2 ans. Aissata leur parle à son tour de notre couple et très vite la discussion tourne autour du sexe. Elle leur explique qu’elle est encore vierge car nous ne sommes pas encore mariés et que nous pratiquons la sodomie à outrance et qu’elle adore ça. Elle leur indique aussi, sans aucun scrupule, qu’avant de me rencontrer, elle avait une liaison incestueuse avec sa grande sœur, et qu’elle aimait bien les femmes, ce qui mit à l’aise nos deux passagères.
Fofana qui semble être la moins timide des deux, nous explique qu’elle est bi. Elle aime aussi bien les filles que les gars et qu’elle pratique aussi la sodomie, aussi bien avec les garçons qu’avec les filles. Camille, elle préfère clairement les filles, même si elle aime bien de temps en temps soulager un copain avec sa bouche, mais jamais de pénétration.
La conversation va bon train tandis que la température grimpe petit à petit dans l’habitacle en absence de clim. Je dis aux filles : « désolé pour la clim, elle est en panne. Vous pouvez vous mettre à l’aise si vous avez trop chaud ». Fofana répond aussitôt d’un ton moqueur : « Merci, c’est gentil. Mais je suis sûre que tu as fait exprès pour abuser de la situation. »
Aissata prend ma défense : « Non, non, c’est la poisse, le voiture est tombée en panne juste avant de partir. Tous les garages sont pris d’assaut. On fera réparer à Marseille car sans clim c’est intenable. » Puis elle rajoute d’un air malicieux : « Ce n’est pas forcément Max qui a envie de vous voir dévêtues ! Ce n’est pas lui le plus coquin de nous d’eux ! » et elle fait un clin d’œil aux 2 filles en me donnant une tape sur la cuisse.
« AH bon, dit Fofana, et tu crois que si on lui montre nos seins il ne va pas se mettre à bander ? Ça m’étonnerait ! »
Aissata : « Ce n’est pas grave s’il bande, je saurai lui faire passer cela » dit-elle en faisant glisser sa main vers mon entrejambe.
Je la repousse gentiment « Restez tranquille les filles, j’ai besoin de mon concentrer pour conduire ».
Nous allons voir ça, dit Fofana, et elle enlève son débardeur, puis elle dégrafe lentement son soutient gorge, et prenant le temps de vérifier que je la regarde dans le rétroviseur. Elle a deux petits seins magnifiques, avec des tétons pointus et tout noirs qui pointent vers le haut. Je la dévore des yeux tandis qu’elle pointe ses seins triomphalement vers moi en plaçant son soutien-gorge sur mes cheveux. Mais c’était surtout Aissata qui la dévore avec les yeux. La connaissant bien, je me doute qu’elle meure d’envie de prendre les tétons dans sa bouche et de les faire rouler sous sa langue, comme elle le fait si bien avec mon gland.
Je prends le soutien-gorge et le place avec amusement sur la planche de bord : « heureusement que les vitres arrière sont teintées, sinon il y aurait eu un carambolage depuis longtemps. »
« Alors, il bande ? » demande Fofana à Aissata. Celle-ci se penche pour regarder ma bite qui commence à se durcir : « pas tout à fait, mais ça vient ».
Je rajoute « Il me faudrait une seconde paire de seins pour que je bande complètement » dis-je en me tournant vers Camille qui n’a presque rien dit jusqu’à maintenant. Elle me lance un regard noir, mais Fofana prend les devants : « S’il n’y a que ça pour te faire plaisir » Ni une, ni deux, elle soulève le fin chandail de Camille et le lui fit passer par la tête. Celle-ci se laisse faire docilement sous les mains habilles de sa compagne, qui ne s’arrête pas là. Elle fait également sauter l’attache du soutient gorge de dentelle, libérant les deux seins charnus de Camille, qu’elle prend dans ses mains pour les faire balloter sous mes yeux avec un regard provocateur. Aissata comprend le message et dit : « C’est bon, il bande comme un petit taureau maintenant, tu as gagné ». Mais Fofana est lancée et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle se penche vers Camille et embrasse son sein gauche à pleine bouche. Puis en tirant sur le second elle le passe aussi dans sa bouche.
Camille semble très à l’aise et ravie de l’attention de sa partenaire. Elle nous sourit et lâche un soupir de plaisir. J’admire ses seins sublimes, ronds, charnus, comme je les aime et la scène lesbienne que je vois dans mon rétroviseur n’est pas pour me déplaire. Mon érection est maintenant à son comble. Les 3 filles l’ont bien remarqué et en rigolent. Camille et Fofana se sont rapprochées et s’embrassent goulument. Leurs langues s’entremêlent lentement tandis qu’elles se frottent les seins l’une contre l’autre.
Aissata n’en perd pas une miette. Je me doute que son excitation doit être aussi grande que la mienne, voire plus. Elle est complètement retournée sur son siège et arrive à attraper un des gros seins de Camille. Elle le presse, l’étire et le malaxe plutôt violemment, et à ma grande surprise cela a plutôt l’air de plaire à Camille, qui lui sourit et l’invite à la rejoindre sur la banquette arrière. Tout en conduisant, je vois passer Aissata, qui heureusement est suffisamment fine pour ce genre de manœuvre. Bientôt les vêtements et sous vêtement de ma tendre Aissata volent dans la voiture. J’entends des gloussements et la retrouve dans mon rétroviseur en tenue d’Eve, enlacée et bouche à bouche avec Camille.
La voix sensuelle de Fofana me glisse alors à l’oreille : « Ne t’inquiète pas mon Lapin, je vais m’occuper de toi ». Je vois alors des mains noires dépassant du siège de derrière caresser mon torse, et descendre vers mon ventre. Les doigts fins et agiles dégrafent ma braguette et sortent mon sexe de mon pantalon.
Fofana entame alors de lents va et vient avec ses mains le long de ma tige. Malgré la longueur de ses ongles, c’est un vrai délice. Je regarde ses doigts noirs titiller mon gland rose et je soupir de plaisir. Elle sait y faire !
« Tu aimes ? me demande-t-elle d’une voix enivrante.
_Oh oui, tu te débrouilles bien. Est-ce que tu es aussi douée avec la bouche ?
_Tu vas voir, répond-t-elle.
Elle passe sur le siège avant et j’en profite pour admirer de près son sexe tout humide, entouré de poils noirs très crépus. C’est la première fois que j’ai affaire à une black, et cela m’excite d’autant plus.
Elle saisit mon sexe de sa main gauche et nos regards se croisent. Elle jubile de triomphe et me dit en souriant : « Recule ton siège au maximum et tu verras de quoi je suis capable ».
Je m’exécute et sa tête plonge immédiatement sur ma queue. Je ne vois plus que l’énorme tignasse crêpée de Fofana sur mes cuisses, mais je sens sa langue tourner et retourner mille fois sur mon gland. Puis elle enfourne mon sexe en fond de sa gorge et commence ses vas et vient de la tête. C’est un vrai délice. Elle suce bien différemment d’Aissata. Elle est beaucoup plus douce, sensuelle. Elle cherche juste à me donner du plaisir sans me faire jouir, alors qu’Aissata, moins patiente, cherche plutôt à extraire mon sperme et le faire gicler le plus rapidement possible.
J’essaye de me concentrer sur la circulation, mais c’est difficile. Heureusement que nous sommes sur l’autoroute et qu’il n’y a pas beaucoup de monde à cette heure-ci. Par prudence je ralenti l’allure. Un camion nous double et donne 2 grands coups de claxonne. Je suis sûr qu’il nous a remarqué et qu’il a apprécié la scène. A l’arrière les filles s’en donnent à cœur joie. Je les entends gémir, ainsi que le bruit d’un appareil électrique. Je me retourne et j’aperçois Camille qui sodomise tranquillement ma petite Aissata avec un vibro alors que celle-ci extirpe ses gémissements en se masturbant effrontément devant sa partenaire.
Mon regard croise celui de Camille et ce n’est plus du tout le même. Elle me sourit franchement, sans aucune timidité. J’en déduis que ma présence ne la gêne plus du tout, et peut être même qu’elle éprouve du désir.
Je décide de passer à l’action. Ma main gauche caresse le dos d’ébène de Fofana. Sa peau est douce, aussi douce que la langue qu’elle glisse le long de ma verge. J’allonge le bras et glisse un doigt dans la raie de ses fesses. J’atteins son anus et en fait le tour plusieurs fois. Comme elle ne réagit pas, je vais un peu plus loin. J’humidifie mon doigt dans sa chatte débordant de cyprine. Je suis trop loin pour atteindre son clito. Je reviens vers son petit trou et là j’enfonce doucement mon majeur. En guise de réponse, Fofana lève un peu ses fesses et imprime de petits mouvements de va-et-vient avec ses cuisses. Elle me pompe la queue au même rythme, qui s’accélère. Petit à petit mon doigt s’enfonce plus profondément dans son cul et la cadence augmente autant que les gémissements de Fofana. A l’arrière, des gémissements résonnent aussi, provenant cette fois-ci de Camille. En bonne cochonne, Aissata lui pilonne le cul avec le gode, tandis qu’elle a enfoncé sa main en entier dans la chatte de Camille.
Fofana dégage alors sa tête, et me susurre : arrêtes-toi à la prochaine station. Elle se rassoit et regarde la route tout en se caressant le clitoris. Il est tellement gros, qu’il sort de sa chatte et que j’arrive à le voir. Nous nous regardons, et je lis le désir intense dans ses yeux noirs. Elle me saisit la bite de sa main ferment cette fois-ci : « Je te veux, me dit-elle. »
Par chance j’arrive rapidement à une station. Je me gare le plus loin possible du monde et heureusement pour nous, la nuit commence à tomber.
Une fois à l’arrêt, je défais ma ceinture et fini d’enlever mon pantalon. Fofana, ma bite toujours enserrée dans sa main, m’embrasse fougueusement. Là encore, sa langue experte fait des miracles. Je lui caresse enfin ses petits seins, qui se dressent sous mes mains. Puis elle m’invite à passer à l’arrière et me dit : « assieds-toi », puis « Hé les filles, faites-nous un peu de place, nous aussi on veut baiser ! »
Les deux filles en position de 69. Elles se relèvent tant bien que mal dans cet espace exigu J’essaie à mon tour de me faufiler et nos corps s’emmêlent. Je sens au passage un main caresser mes couilles, et une autre frôler la queue. Sûrement une blague d’Aissata pour m’exciter un peu plus, à moins que Camille soit plus coquine que ce que je ne pensais ?
J’arrive à m’assoir tant bien que mal. Fofana en profite pour reculer au maximum les deux sièges avant, ce qui nous laisse un peu de place. Camille et assise à côté de moi, et me prend tendrement la main. Elle place ses jambes en l’air, en prenant appui sur le siège passager. Aissata se met à ses genoux et sa tête arrive à la hauteur du sexe de Camille. La main de Camille sert un peu plus fortement la mienne lorsqu’Aissata comme à trifouiller dans son minou.
Fofana arrive aussi à l’arrière et s’assoit sur moi. Elle saisit ma tige rigide et l’enfonce sans mal dans la gouttière humide de son vagin. C’est un vrai délice. Cela faisait longtemps que je n’avais plus enfoncé ma queue dans une petite chatte. Fofana se penche en avant et prend appui sur le dossier du siège conducteur. Elle imprime des mouvements lents de son sexe le long du mien. Je savoure le moment. Ma main de libre agrippe son sein et le malaxe au même rythme que ses hanches. Je sens son jus couler de son sexe sur mon ventre et je savoure cet instant de bonheur.
A côté de moi, Aissata s’active entre les cuisses de Camille. Elle a l’air d’être plutôt efficace, si j’en juge par les cris de plaisir de Camille qui m’écrase littéralement la main. Aissata relève la tête, sa bouche dégoulinante de cyprine su sexe de Camille, et me sourit, contente d’elle, puis retourne à sa besogne.
Alors que les cris de Camille augmentent, Fofana accélère le rythme. Elle aussi commence à couiner, et je sens une main farfouiller entre nos deux sexes. C’est celle d’Aïssata, qui ne perd pas une occasion d’exciter ou de faire jouir quelqu’un. Du coup je ne sais pas si c’est ma queue, ou les doigts agiles d’Aissata sur le clitoris de Camille, ou les deux, mais celle-ci hurle de plaisir dans un orgasme violent.
Le silence s’installe. Nos deux covoitureuses viennent de jouir quasiment en même temps ! « A votre tour maintenant ! » Lance Fofana d’un air moqueur. Elle se relève, et plante ses fesses noires dans ma figure, puis les écarte avec ses mains et me dit : « lèche moi le cul ». Je ne résiste pas à l’appelle et enfonce ma langue dans sa petite rondelle. Aissata et Camille changent de place. Dans la promiscuité de la banquette arrière de la voiture, Camille se frotte contre moi et j’en profite pour lui passer une main dans l son entre jambe. Je sens sa petite chatte mouillée et quand je glisse un doigt dans son anus, celui-ci est aussi tout humide, dégoulinant de salive d’Aissata. Camille semble apprécier mon attouchement, car elle ne se presse pas pour bouger et temporise même un petit moment, le temps que mes doigts entrent profondément dans ses deux orifices. Puis elle se place entre les cuisses d’Aissata, en me lançant un petit sourire coquin. Fofana ne reste pas inactive de son côté. Elle crache sur ma bite et me la branle fortement avec ses deux mains, pendant que je lubrifie son petit trou avec ma salive. Puis une fois qu’elle estime être suffisamment humide, elle descend ses fesses en s’enfonce mon sexe dans son cul. Cela force un peu au départ. Elle est plus étroite qu’Aissata qui a l’habitude de se faire enculer, et cela n’est pas pour me déplaire. Elle parvient néanmoins à se l’enfoncer jusqu’aux couilles et j’apprécie d’être entièrement en elle. Ses vas et vient commencent. Aissata me regarde et me demande : « alors, tu apprécies son petit trou ? » Je la regarde, elle aussi a son trou du cul rempli par le gode que lui enfonce Camille : « Et toi, tu aimes le gode de Camille ? »
Elle ne répond pas, mais sourit à Camille, qui approche son visage du clitoris d’Aissata, et tout en me regardant, commence à le lécher. Des cris de plaisirs ne tardent pas à sortir de la bouche d’Aissata. Moi aussi de mon côté je suis très excité par la superbe sodomie que m’offre Fofana. Néanmoins, étant habitué de telle position, je garde le contrôle, alors qu’à côté de moi, Aissata se lâche et joui en poussant de grands cris sous les assauts de la langue de Camille dans sa chatte.
Fofana accélère le rythme et me donne maintenant de grands coups avec ses fesses qui claquent sur mes cuisses : « Il est endurant ton homme ! » dit-elle à Aissata, remise de son violent orgasme.
« Si tu veux le faire, jouir, ce n’est pas comme cela qu’il faut s’y prendre. Sort de lui, je vais te montrer ».
Fofana s’exécute, et passe sur le siège avant. Aissata se glisse à genou entre mes cuisses. Camille s’assoit près de moi, et me dévore des yeux (ou plus précisément, elle dévore ma bite avec ces yeux).
Aissata reprend : « Si tu veux le faire jouir, ce qu’il aime le plus, c’est d’être branlé avec 2 doigts dans le cul ! » et elle se met à soulever mes fesses et à me lécher l’anus. Mon regard croise celui de Camille, qui m’excite au plus haut point. Nos bouches se rapprochent, et elle me donne un baiser fougueux. Aissata me branle maintenant violemment avec une main, tandis que l’autre défonce mon cul de 2 doigts. Fofana regarde vicieusement le spectacle en se caressant les seins. Je sens l’excitation monter. Le regard vicieux des trois filles m’excite. Au moment de tout lâcher, je prends la tête de Camille avec ma main et je la penche vers ma queue. Elle se laisse faire et à ma grande surprise, elle me prend dans sa bouche et me titille le gland de sa langue. Je joui instantanément, crachant mon sperme dans la bouche de Camille. Celle-ci ne bouge pas et avale les premières giclées, puis garde le reste dans sa bouche. Elle attend patiemment que je termine mon orgasme, puis se tourne vers Fofana qui l’embrasse et prend une partie de mon sperme dans sa bouche aussi. Enfin elle se penche vers Aissata et lui crache le restant.
Je regarde mes trois camardes de jeux déguster mon sperme d’un air triomphant. Elles en rigolent !
Nous nous rhabillons et reprenons la route, épuisé par nos ébats.
Le moment vient hélas de déposer nos deux covoitureuses à l’endroit convenu. Je les embrasse langoureusement toutes les deux, en leurs disant que j’ai été ravie de faire leur connaissance. Elles me disent que c’est le covoiturage le plus plaisant qu’elles n’ont jamais eu, et qu’elles seraient ravies de faire le retour avec nous. Très bien, nous nous donnons rendez-vous à la fin de nos vacances, quand nous repasserons. Peu importe le trajet, ce sont les voyageurs qui comptent me lancent-elle en nous quittant!!
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Histoire de Malefices

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