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A la plage

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Lue : 19915 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/07/2012

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Par cette belle journée de mai, nous étions dans notre petite maison de Douala en train de nous demander ce que nous allions faire pour occuper notre temps ce week-end.
Comme bien souvent, ma charmante belle sœur Myrice était venue passer quelques jours chez nous. Ça la reposait un peu de ses voyages dans les pays voisins du Cameroun, avec lesquels elle fait du commerce.

Bref, nous étions en train de nous poser la question. Que va t'on et surtout où allons nous aller pour tuer le temps ???
Prudence, elle, nous dit qu'elle ne sera pas là. Puisqu'elle va se rendre au village voir sa grand mère qui est bien fatiguée et qu'elle n'a pas vu depuis bien longtemps.
De ce fait, nous devrions, Myrice et moi, nous retrouver tous les deux à la maison.
Pour ma part, je n'avais pas envie de passer le week-end enfermé et devant la télé. Pas très marrant... !

Le samedi matin, Prudence partie pour quelques jours chez sa mère-grand, Myrice et moi, nous essayons de trouver une solution pour se sortir un peu de la ville. Mais, du côté de ma belle sœur, point trop d'idées. Et au fil de notre réflexion, me vient une idée.

Et, si nous allions passer ces deux jours au bord de l'océan ???
Ah oui, c'est super ça. Régis, comment tu fais pour avoir toujours la bonne idée au bon moment ???
Ça, c'est un secret. Je te raconterai un jour.
Alors, où tu vas m'emmener ?
Je crois qu'on va aller à Kribi. J'avais vu quelque chose d’intéressant sur internet. Je vais téléphoner à l'hôtel pour réserver une cambre. Ça te va ???
Oui, je suis d'accord. Et puis c'est un plaisir d'être avec toi, tu le sais... !

Bon, une fois la réservation faite, nous prenons le strict minimum, nous montons dans la voiture et nous voilà partis pour la côte. Deux petites heures de trajet, nous arrivons à l'hôtel. Nous prenons les clefs à la réception, puis nous nous installons dans notre petite chambre.
Cela fait, nous partons vite vers la plage de sable blond au bord de l'Atlantique. Pas vraiment beaucoup de baigneurs. Mais nous n'attendons pas une seconde pour nous jeter à l'eau.
Comme des gamins, nous jouons à nous sauter, à passer par dessous l'un l'autre etc... Bref des jeux qui à force prennent une tournure plus sensuelle. Nous nous frôlons, nous nous touchons et l'envie, une nouvelle fois, d'aller plus loin s'est présentée à nous au point que nous sommes sortis de l'eau en quatrième vitesse.

Ma belle sœur pointe ses yeux sur mon caleçon de bain et me dit.
Et bien dit donc, tu en as un sacré morceau. C'est moi qui ait fait ça ?
Je crois bien que oui. Et maintenant il va falloir faire dégonfler la bosse, tu crois pas !!!
Bon, je suis désolée de t »avoir mis dans cet état. Mais je vais réparer ça tout de suite.

A quelques pas de là, un peu en retrait de la plage se trouvait un espace avec de la végétation, quelques herbes hautes et des palmiers. Nous nous y rendons à toute vitesse et nous trouvons notre bonheur. On dit toujours que le bonheur est dans le pré. On ne peut pas mieux dire.

Nous nous jetons dans les herbes à l'ombre d'un palmier géant, et ma belle sœur préférée m'arracha mon caleçon et prit sans attendre les choses en mains et surtout en bouche. La voilà active comme une femme qui manque de sexe et qui n'a pas fait l'amour depuis longtemps. Ce n'était pas pour me déplaire. Et j'avoue humblement que j'affectionne particulièrement sa façon de pratiquer. Ma belle sœur, qui me connais assez bien maintenant, sait exactement ce qu'elle doit et surtout comment faire pour me rendre fou amoureux d'elle.

Du temps qu'elle aspire profondément ma verge, je commence à lui ôter son soutien gorge pour caresser ses superbes seins ronds et bien lourds. Il faut dire qu'elle possède une superbe poitrine, un bon 90 C+.

Après avoir enlever le petit bout de tissus qui lui servaient de string, elle vient se mettre à califourchon sur moi, m'offrant sa fente délicieuse et ses superbes fesses. Je vous dis pas que bonheur pour moi. Un 69... Un moment dans la préparation à l'amour que je ne peux pas négliger. C'est le moment magique ou les partenaires se donnent simultanément du plaisir.

Bref, du temps que Mimi suce son gros bâton, pas à la vanille, avec un appétit féroce, j'enfouis ma tête entre ses fesses et lui déguste sa fente brûlante. En quelques coups de langues, la voilà qui commence à soupirer.

Cette fois c'est Mimi, qui lâchant mon sexe, me dit :

Cette fois, c'est bien parti. Je jouis. Prends moi s'il te plaît.

A ces mots, j'abandonne mon travail. Ma belle partenaire se lève et viens se mettre à cheval sur moi. Elle se laisse glisser lentement sur mon pénis pour s'y empaler. Elle ne perdit pas une seconde. Aussitôt embrochée, elle commence à monter et descendre sur ma verge raide comme un manche de pioche.

Dans l'instant qui suit, ma belle se met à chanter sa chanson, rythmée par les allers retours.
Ah c'est bon monsieur, tu me fais du bien. Je suis au ciel. Fais moi encore jouir.
Mais oui, ma belle dame, je suis là pour ça. Et puis, tu l'aimes bien ma grosse banane. Elle te fait du bien ???
Oui. Elle me manque ta banane. Il faudrait que tu me la donnes plus souvent.
Oui, je sais bien. Mais on va trouver une solution à ça.

Bref, cette petite discussion terminée, nous nous recentrons sur notre divertissement.
Après le califourchon et quelques autres positions, je demande à ma belle sœur de se mettre à quatre pattes. Je me positionne derrière elle, et ma verge vient s'enfouir à nouveau dans sa chatte brûlante et dégoulinante de désir. Les va-et-vient deviennent de plus en plus intenses, et les gémissements de Myrice aussi.

A force de regarder ce petit trou plissé, l'envie de lui demander de la sodomiser me vient, et je ne peux m'empêcher de lui en faire part.
Mimi, serais tu d'accord que je te prenne ton petit trou ?
Heum, je crois que oui. La dernière fois, tu m'as régalée. Je me suis envolée au septième ciel. Que c'était bon.

Je retire délicatement ma verge encore bien raide de cette adorable chatte brûlante, lui humidifie encore une fois son petit trou, et approche avec délicatesse jusqu'à bout touchant mon pistolet à moustaches. Une fois en position, la rondelle étoilée de la belle demoiselle bien dilatée, je n'ai pas un gros effort à faire pour que la pénétration s'effectue.

A cet instant, ma charmante belle sœur poussa un petit cri de satisfaction et s’exclama :
Oh mon cochon, que c'est agréable. Tu me combles.
Et puis, elle poursuit.
Vas y maintenant, fourres la moi tout au fond de moi.
Ce à quoi, je lui réponds avec bien d'empressement.
Y a pas de soucis. Si tu te régales, moi aussi. On va jouir tous les deux ensemble.

Nous reprenons notre petit jeu, et ça durera plusieurs es de minutes. La chanson de Mimi recommence de plus belle sous mes coups de boutoirs. Et au bord de l'épuisement mutuel je lui décharge un flot de sperme chaud tout au fond de ses entrailles.

Après quelques instants de récupération, bous rentrons à l'hôtel prendre une bonne douche et nous rassasier quelque peu.

C'est comme ça que l'on passe un bon week-end au bord d'une plage au Cameroun.

Zizoulabellequeue.
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