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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024
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A poil chez lui partie 1
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A POIL CHEZ LUI
C'est la partie 1 et c'est GINNIE qui parle.
Je savais qu'il partait du boulot aux environs de 17 heures 30. Je me suis tournée, décalée par rapport à mon poste de travail pour déterminer ce qu'il en était.
Je l'ai bien vu, il était ponctuel, quitter les locaux de l'entreprise et partir en direction du parking.
Il était toujours aussi beau.
Et j'avais toujours autant envie de le lui dire.
Je voulais absolument le séduire. Une idée qui m'avait traversé l'esprit et qui ne voulait plus ressortir.
On était nombreux dans l'entreprise. On se croisait, on partageait quelques mots, on déjeunait ensemble, on se voyait à des réunions. On pouvait collaborer ensemble, ponctuellement ou de manière plus longue dans la durée.
Lui et moi, on se disait bonjour. Mais on n'avait jamais engagé une véritable discussion. Il était à la R et D, moi à la compta. Ca limitait les opportunités, même s'il pouvait y avoir des problèmes de comptabilité pour ce département. Il n'y en avait généralement pas, car c'était le département phare de l'entreprise, et l'argent coulait à flots.
J'aurais sans doute du tirer un trait. Passer à autre chose.
J'y avais d'ailleurs sérieusement pensé.
Mais quand mon regard se posait sur lui, je changeais radicalement d'avis.
Je me posais pas mal de questions.
Je croyais avoir trouvé au moins une réponse.
Je me disais que s'il me trouvait à poil chez lui, ça pouvait changer radicalement la donne. Il me regarderait autrement, et éprouverait du désir pour moi.
Une tentative choc pour le convaincre.
Il y a des arguments auxquels on ne résiste pas.
Je me savais jolie fille.
Le problème, c'était que, dans la boite, il y avait beaucoup de jolies filles.
Ce n'était sans doute pas la manière la plus élégante de sortir du lot sans doute, mais comme on dit, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre.
Je l'avais suivi un soir.
Il habitait un peu plus loin, dans un quartier nouveau. Des immeubles de trois étages, ocres, avec pas mal de verdure.
La question essentielle, c'était comment rentrer chez lui.
Il se trouvait qu'une de mes bonnes copines habitait dans ce bloc de bâtiments. Derrière sur la gauche. Elle m'avait invité chez elle, et j'avais pensé que j'avais peut-être enfin la solution.
Je n'ai pas gardé les yeux dans ma poche.
Pour passer la porte d'entrée du bâtiment, elle avait un de ces passes, que l'on ne peut pas reproduire et qui coûte excessivement cher. Clef qui permettait AUSSI d'ouvrir son appartement.
J'avais pris une photo de la clef quand elle s'était éclipsée. Mais également fait une copie dans de la pâte à modeler.
C'était parce que j'étais prête à tout, mais aussi parce qu'un ami d'un ami était serrurier que je me suis pointé un jour à son magasin avec ma photo et mon moulage. Je lui ai demandé de m'en faire une copie. Pas sûre qu'il accepterait. Je savais que c'était une clef particulière, qui présupposait un certain niveau de sécurité.
— C'est une clef qui est impossible à copier.
— Il y a bien une solution ?
— Oui, faire un passe, qui permette d'ouvrir tout ce type de serrures. Ca coûterait cher. Et puis je ne sais pas si j'ai droit, légalement. Généralement, on me demande une copie d'une clef très simple. Tu as des intentions délictuelles? Je ne veux pas avoir des histoires. Etre accusé de complicité.
— Pour l'argent, ce n'est pas un problème. Et pour le reste, non, je n'ai aucune intention délictuelle. Et si tu hésites encore, je peux te convaincre.
Il était plutôt beau garçon, et je l'avais déjà regardé avec envie. Il ne s'est pas reculé quand j'ai amené ma main au niveau de son pantalon. Je me suis approchée et agenouillée. Le plaisir, et la certitude que j'allais je convaincre...Je savais être très convaincante quand je le voulais. Le sexe, c'est un beau moyen d'accès qui ouvre toutes les portes. Il n'a en tout cas pas reculé, ne m'a pas repoussée, pendant que je le massais doucement, que je le sentais grossir. Je l'ai défait et j'ai été chercher sa queue dans ses linges. C'était un moyen de le pousser à agir, mais ça en valait la peine. Il avait une belle queue. Je n'imaginais pas les queues des hommes, contrairement à certaines filles, mais la sienne était...Waouh...Très longue, et très épaisse, avec un énorme gland, et elle suintait bien...Même si au final il ne me faisait pas le passe, je ne serais pas vraiment perdante, pour avoir pu profiter d'une queue aussi sympathique.
Mais je me sentais bien capable de le convaincre avec une fellation habile.
J'en avais tellement fait des fellations déjà...C'était le bon moyen pour faire plaisir à un homme qui avait envie de vous, sans prendre le risque, pour une raison ou une autre, de se retrouver enceinte. Et puis une fille n'a pas forcément de prendre une queue dans la chatte. Et donc j'avais à la fois l'habitude et de l'expérience.
J'ai baladé ma langue sur lui...Une langue habile, souple. Il a gémi. Sa queue s'est encore durcie, et ses liquides ont coulé de son méat comme d'une fontaine. Je suis venue le laper, tournant sur son gland, brisant le contact quand je sentais qu'il allait jouir. Je voulais que ça dure, qu'il se souvienne de ce moment, et prenne la décision de me faire la clef.
Moi aussi, j'y ai pris du plaisir. J'aimais les queues, j'aimais le sexe. A chaque fois je me disais que j'allais garder le contrôle, mais je le perdais très vite. Mon ventre était en feu, et j'avais senti mon sexe se dilater, s'ouvrir. Je mouillais tellement que j'avais l'impression de me faire pipi dessus.
J'avais un caleçon, et une culotte. J'ai amené mes doigts contre mon sexe. Ma mouille avait largement traversé le tissu de la culotte, et le caleçon était tout trempé. J'ai appuyé, et que le tissu touche mon sexe m'a donné une vague de plaisir. J'avais le sexe à vif...Je me suis caressée en gardant les deux couches de tissu entre ma main et mon sexe, en même temps que je prenais un tiers de sa queue dans ma bouche, et que je faisais aller et venir celle-ci sur sa chair. Il lâchait complètement à présent, laissant derrière lui le peu de contrôle qu'il avait encore, et le goût amer de son liquide pré-sécrétif coulait dans ma bouche et ma gorge.
J'ai descendu mon caleçon au niveau de mes cuisses. Il restait une pièce de tissu en dessous, un slip réduit à l'état d'un chiffon trempé. Je me suis caressée en le gardant comme obstacle. En me frottant, je le faisais rentrer entre mes lèvres, ça me frottait et m'excitait. Puis je l'ai tiré bas, j'ai réuni mon index et mon majeur, et je les ai fait aller et venir en moi. J'étais béante. Et au bord de la jouissance.
J'aimais cet état où on était au bord du précipice, mais on s'y maintient, on ne chute pas encore, on ne se laisse pas ravager par l'orgasme. Je ruisselais, trempant mes cuisses, je me sentais béante, et le gland clitoridien dilaté, comme chaque fois que j'étais excitée. Il m'arrivait de faire l'amour sans atteindre ce point d'excitation. Là c'était un sommet. La situation, sa queue...
Je le sentais arriver à un point de non-retour. Il s'est mis à crier. J'ai fermé ma bouche autour de sa queue, pour que son sperme, dont j'ai senti le premier jaillissement, puissant, coule dans ma gorge. Je voulais le boire jusqu'à la dernière goutte. J'aimais le sperme, son goût, et le sentir taper ainsi contre mes chairs, que ce soit dans ma chatte ou dans ma bouche.
Moi j'étais vraiment sur le fil du rasoir, et très proche de la jouissance à ce moment. Je léchais son gland pour bien goûter les dernières coulures de sa semence, et j'ai senti que je basculais, cette fois sans retour. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier, emportée par un orgasme très puissant, à la mesure de la situation et de mon excitation, éjaculant comme je le faisais quand j'étais très excitée, des jets aussi copieux que ceux qui étaient sortis de sa queue.
On s'est séparés sans qu'il me donne son accord. Mais j'espérais que ce serait bien le cas. Il y avait quelque chose dans son regard. De la satisfaction. Qui me faisait penser que j'aurais la clef.
Ca a été plus rapide que je ne l'aurais imaginé.
Il m'a rappelée le lendemain, en début d'après-midi.
— J'ai ton passe. Je ferme à 19 heures. Viens quand tu veux.
Il ne me restait plus qu'à agir.
Je l'avais déjà suivi plusieurs fois. Quand il quittait l'entreprise il ne rentrait jamais chez lui directement. Des courses, rencontrer des amis, manger à l'extérieur, assister à un spectacle. Il arrivait toujours chez lui très tard.
C'était parfait pour mon plan.
J'étais bien décidée à agir. Je n'en pouvais plus de désir. Je passais mes soirées à me masturber en pensant à lui.
Le jour J est enfin arrivé.
Il était parti sur le coup de 17 heures 30. Moi, j'ai quitté le bureau vers 18 heures. J'ai gagné directement son quartier. Il n'était pas sur le parking. Parfait. Ca partait bien.
J'ai pensé un instant que j'allais peut-être tomber sur un os si le passe ne fonctionnait pas. Je ne l'avais pas vérifié.
Je reviendrais.
Je me suis garée et j'ai avancé, tendue et tremblante vers le petit immeuble.
Glissé le passe dans la serrure.
Tourné.
Il fonctionnait parfaitement.
Je m'étais rarement sentie aussi soulagée.
Je me suis avancée dans le hall.
Premier étage. Appartement B.
J'ai pris l'escalier sans croiser personne.
L'appartement. Il y en avait trois. Je suis parti vers le B. Pas de nom dessus, mais je savais bien qu'il habitait là.
Là aussi, le passe a bien fonctionné.
Je me suis retrouvé dans un appartement spacieux, et décoré avec goût. A son image, pour le peu que j'avais pu percevoir de lui.
J'étais dans la place.
Un quitte ou double.
J'allais peut-être tout perdre.
Mais ça valait la peine de tenter.
J'avais un sac avec moi.
Il contenait mes armes de séduction.
Ce jour-là, j'étais habillée très basiquement. Jean et sweat-shirt. Je me suis déshabillée. Le jean et le sweat se sont retrouvés au sol, suivis par mon soutien-gorge et ma culotte. J'étais totalement nue.
J'aurais pu l'attendre à poil. Mais j'avais choisi de me parer. Je savais que les hommes avaient pas mal de déclencheurs. Des réflexes de Pavlov.
Ca serait un plus qui me permettrait de le séduire.
J'avais acheté une paire de bas stay-up. Je n'en mettais pas souvent. Je savais que les bas, ça plaisait aux hommes. Généralement, je mettais des collants.
J'ai roulé le bas, enveloppé mon pied du lycra, et je l'ai remonté.
Un mouvement sensuel qui l'aurait sans doute troublé s'il m'avait vue.
Et qui me troublait moi-même.
Je craignais que le bas ne tienne pas, mais la jarretière élastiquée a parfaitement serré ma cuisse, et a fait tenir l'ensemble.
Et ça a été vrai aussi pour le deuxième bas.
Ma seconde arme de séduction, c'était une paire de cuissardes rouge que j'ai sortie du sac.
J'adorais les bottes et les cuissardes et j'en portais souvent. Je me sentais séductrice avec.
Et j'adorais aussi le regard des hommes quand j'en portais.
Un de mes copains absolument fan de cuissardes m'en avait offert plusieurs paires et nos jeux sexuels tournaient autour. Frotter sa queue dilatée le long des cuissardes jusqu'à ce qu'il jouisse et l'arrose de sperme après m'avoir bien fouillée...Des souvenirs forts.
C'était grâce à lui que j'avais appris à ressentir ce que je ressentais en ce moment même. La sensualité de porter bottes ou cuissardes, de les passer, de les porter à ses jambes, de se déplacer avec...
Parée, je me suis calée dans un fauteuil et j'ai attendu.
Décidément, ce soir, il n'était pas décidé à rentrer tôt.
On est arrivés vraiment en fin de soirée.
Minuit s'annonçait.
J'étais épuisée.
Je me suis déplacée dans la chambre à coucher.
Il me trouverait sur le lit. Ca ne couperait pas son envie, au contraire.
Je me suis allongée sur le lit, et je me suis endormie.
C'est la partie 1 et c'est GINNIE qui parle.
Je savais qu'il partait du boulot aux environs de 17 heures 30. Je me suis tournée, décalée par rapport à mon poste de travail pour déterminer ce qu'il en était.
Je l'ai bien vu, il était ponctuel, quitter les locaux de l'entreprise et partir en direction du parking.
Il était toujours aussi beau.
Et j'avais toujours autant envie de le lui dire.
Je voulais absolument le séduire. Une idée qui m'avait traversé l'esprit et qui ne voulait plus ressortir.
On était nombreux dans l'entreprise. On se croisait, on partageait quelques mots, on déjeunait ensemble, on se voyait à des réunions. On pouvait collaborer ensemble, ponctuellement ou de manière plus longue dans la durée.
Lui et moi, on se disait bonjour. Mais on n'avait jamais engagé une véritable discussion. Il était à la R et D, moi à la compta. Ca limitait les opportunités, même s'il pouvait y avoir des problèmes de comptabilité pour ce département. Il n'y en avait généralement pas, car c'était le département phare de l'entreprise, et l'argent coulait à flots.
J'aurais sans doute du tirer un trait. Passer à autre chose.
J'y avais d'ailleurs sérieusement pensé.
Mais quand mon regard se posait sur lui, je changeais radicalement d'avis.
Je me posais pas mal de questions.
Je croyais avoir trouvé au moins une réponse.
Je me disais que s'il me trouvait à poil chez lui, ça pouvait changer radicalement la donne. Il me regarderait autrement, et éprouverait du désir pour moi.
Une tentative choc pour le convaincre.
Il y a des arguments auxquels on ne résiste pas.
Je me savais jolie fille.
Le problème, c'était que, dans la boite, il y avait beaucoup de jolies filles.
Ce n'était sans doute pas la manière la plus élégante de sortir du lot sans doute, mais comme on dit, on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre.
Je l'avais suivi un soir.
Il habitait un peu plus loin, dans un quartier nouveau. Des immeubles de trois étages, ocres, avec pas mal de verdure.
La question essentielle, c'était comment rentrer chez lui.
Il se trouvait qu'une de mes bonnes copines habitait dans ce bloc de bâtiments. Derrière sur la gauche. Elle m'avait invité chez elle, et j'avais pensé que j'avais peut-être enfin la solution.
Je n'ai pas gardé les yeux dans ma poche.
Pour passer la porte d'entrée du bâtiment, elle avait un de ces passes, que l'on ne peut pas reproduire et qui coûte excessivement cher. Clef qui permettait AUSSI d'ouvrir son appartement.
J'avais pris une photo de la clef quand elle s'était éclipsée. Mais également fait une copie dans de la pâte à modeler.
C'était parce que j'étais prête à tout, mais aussi parce qu'un ami d'un ami était serrurier que je me suis pointé un jour à son magasin avec ma photo et mon moulage. Je lui ai demandé de m'en faire une copie. Pas sûre qu'il accepterait. Je savais que c'était une clef particulière, qui présupposait un certain niveau de sécurité.
— C'est une clef qui est impossible à copier.
— Il y a bien une solution ?
— Oui, faire un passe, qui permette d'ouvrir tout ce type de serrures. Ca coûterait cher. Et puis je ne sais pas si j'ai droit, légalement. Généralement, on me demande une copie d'une clef très simple. Tu as des intentions délictuelles? Je ne veux pas avoir des histoires. Etre accusé de complicité.
— Pour l'argent, ce n'est pas un problème. Et pour le reste, non, je n'ai aucune intention délictuelle. Et si tu hésites encore, je peux te convaincre.
Il était plutôt beau garçon, et je l'avais déjà regardé avec envie. Il ne s'est pas reculé quand j'ai amené ma main au niveau de son pantalon. Je me suis approchée et agenouillée. Le plaisir, et la certitude que j'allais je convaincre...Je savais être très convaincante quand je le voulais. Le sexe, c'est un beau moyen d'accès qui ouvre toutes les portes. Il n'a en tout cas pas reculé, ne m'a pas repoussée, pendant que je le massais doucement, que je le sentais grossir. Je l'ai défait et j'ai été chercher sa queue dans ses linges. C'était un moyen de le pousser à agir, mais ça en valait la peine. Il avait une belle queue. Je n'imaginais pas les queues des hommes, contrairement à certaines filles, mais la sienne était...Waouh...Très longue, et très épaisse, avec un énorme gland, et elle suintait bien...Même si au final il ne me faisait pas le passe, je ne serais pas vraiment perdante, pour avoir pu profiter d'une queue aussi sympathique.
Mais je me sentais bien capable de le convaincre avec une fellation habile.
J'en avais tellement fait des fellations déjà...C'était le bon moyen pour faire plaisir à un homme qui avait envie de vous, sans prendre le risque, pour une raison ou une autre, de se retrouver enceinte. Et puis une fille n'a pas forcément de prendre une queue dans la chatte. Et donc j'avais à la fois l'habitude et de l'expérience.
J'ai baladé ma langue sur lui...Une langue habile, souple. Il a gémi. Sa queue s'est encore durcie, et ses liquides ont coulé de son méat comme d'une fontaine. Je suis venue le laper, tournant sur son gland, brisant le contact quand je sentais qu'il allait jouir. Je voulais que ça dure, qu'il se souvienne de ce moment, et prenne la décision de me faire la clef.
Moi aussi, j'y ai pris du plaisir. J'aimais les queues, j'aimais le sexe. A chaque fois je me disais que j'allais garder le contrôle, mais je le perdais très vite. Mon ventre était en feu, et j'avais senti mon sexe se dilater, s'ouvrir. Je mouillais tellement que j'avais l'impression de me faire pipi dessus.
J'avais un caleçon, et une culotte. J'ai amené mes doigts contre mon sexe. Ma mouille avait largement traversé le tissu de la culotte, et le caleçon était tout trempé. J'ai appuyé, et que le tissu touche mon sexe m'a donné une vague de plaisir. J'avais le sexe à vif...Je me suis caressée en gardant les deux couches de tissu entre ma main et mon sexe, en même temps que je prenais un tiers de sa queue dans ma bouche, et que je faisais aller et venir celle-ci sur sa chair. Il lâchait complètement à présent, laissant derrière lui le peu de contrôle qu'il avait encore, et le goût amer de son liquide pré-sécrétif coulait dans ma bouche et ma gorge.
J'ai descendu mon caleçon au niveau de mes cuisses. Il restait une pièce de tissu en dessous, un slip réduit à l'état d'un chiffon trempé. Je me suis caressée en le gardant comme obstacle. En me frottant, je le faisais rentrer entre mes lèvres, ça me frottait et m'excitait. Puis je l'ai tiré bas, j'ai réuni mon index et mon majeur, et je les ai fait aller et venir en moi. J'étais béante. Et au bord de la jouissance.
J'aimais cet état où on était au bord du précipice, mais on s'y maintient, on ne chute pas encore, on ne se laisse pas ravager par l'orgasme. Je ruisselais, trempant mes cuisses, je me sentais béante, et le gland clitoridien dilaté, comme chaque fois que j'étais excitée. Il m'arrivait de faire l'amour sans atteindre ce point d'excitation. Là c'était un sommet. La situation, sa queue...
Je le sentais arriver à un point de non-retour. Il s'est mis à crier. J'ai fermé ma bouche autour de sa queue, pour que son sperme, dont j'ai senti le premier jaillissement, puissant, coule dans ma gorge. Je voulais le boire jusqu'à la dernière goutte. J'aimais le sperme, son goût, et le sentir taper ainsi contre mes chairs, que ce soit dans ma chatte ou dans ma bouche.
Moi j'étais vraiment sur le fil du rasoir, et très proche de la jouissance à ce moment. Je léchais son gland pour bien goûter les dernières coulures de sa semence, et j'ai senti que je basculais, cette fois sans retour. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier, emportée par un orgasme très puissant, à la mesure de la situation et de mon excitation, éjaculant comme je le faisais quand j'étais très excitée, des jets aussi copieux que ceux qui étaient sortis de sa queue.
On s'est séparés sans qu'il me donne son accord. Mais j'espérais que ce serait bien le cas. Il y avait quelque chose dans son regard. De la satisfaction. Qui me faisait penser que j'aurais la clef.
Ca a été plus rapide que je ne l'aurais imaginé.
Il m'a rappelée le lendemain, en début d'après-midi.
— J'ai ton passe. Je ferme à 19 heures. Viens quand tu veux.
Il ne me restait plus qu'à agir.
Je l'avais déjà suivi plusieurs fois. Quand il quittait l'entreprise il ne rentrait jamais chez lui directement. Des courses, rencontrer des amis, manger à l'extérieur, assister à un spectacle. Il arrivait toujours chez lui très tard.
C'était parfait pour mon plan.
J'étais bien décidée à agir. Je n'en pouvais plus de désir. Je passais mes soirées à me masturber en pensant à lui.
Le jour J est enfin arrivé.
Il était parti sur le coup de 17 heures 30. Moi, j'ai quitté le bureau vers 18 heures. J'ai gagné directement son quartier. Il n'était pas sur le parking. Parfait. Ca partait bien.
J'ai pensé un instant que j'allais peut-être tomber sur un os si le passe ne fonctionnait pas. Je ne l'avais pas vérifié.
Je reviendrais.
Je me suis garée et j'ai avancé, tendue et tremblante vers le petit immeuble.
Glissé le passe dans la serrure.
Tourné.
Il fonctionnait parfaitement.
Je m'étais rarement sentie aussi soulagée.
Je me suis avancée dans le hall.
Premier étage. Appartement B.
J'ai pris l'escalier sans croiser personne.
L'appartement. Il y en avait trois. Je suis parti vers le B. Pas de nom dessus, mais je savais bien qu'il habitait là.
Là aussi, le passe a bien fonctionné.
Je me suis retrouvé dans un appartement spacieux, et décoré avec goût. A son image, pour le peu que j'avais pu percevoir de lui.
J'étais dans la place.
Un quitte ou double.
J'allais peut-être tout perdre.
Mais ça valait la peine de tenter.
J'avais un sac avec moi.
Il contenait mes armes de séduction.
Ce jour-là, j'étais habillée très basiquement. Jean et sweat-shirt. Je me suis déshabillée. Le jean et le sweat se sont retrouvés au sol, suivis par mon soutien-gorge et ma culotte. J'étais totalement nue.
J'aurais pu l'attendre à poil. Mais j'avais choisi de me parer. Je savais que les hommes avaient pas mal de déclencheurs. Des réflexes de Pavlov.
Ca serait un plus qui me permettrait de le séduire.
J'avais acheté une paire de bas stay-up. Je n'en mettais pas souvent. Je savais que les bas, ça plaisait aux hommes. Généralement, je mettais des collants.
J'ai roulé le bas, enveloppé mon pied du lycra, et je l'ai remonté.
Un mouvement sensuel qui l'aurait sans doute troublé s'il m'avait vue.
Et qui me troublait moi-même.
Je craignais que le bas ne tienne pas, mais la jarretière élastiquée a parfaitement serré ma cuisse, et a fait tenir l'ensemble.
Et ça a été vrai aussi pour le deuxième bas.
Ma seconde arme de séduction, c'était une paire de cuissardes rouge que j'ai sortie du sac.
J'adorais les bottes et les cuissardes et j'en portais souvent. Je me sentais séductrice avec.
Et j'adorais aussi le regard des hommes quand j'en portais.
Un de mes copains absolument fan de cuissardes m'en avait offert plusieurs paires et nos jeux sexuels tournaient autour. Frotter sa queue dilatée le long des cuissardes jusqu'à ce qu'il jouisse et l'arrose de sperme après m'avoir bien fouillée...Des souvenirs forts.
C'était grâce à lui que j'avais appris à ressentir ce que je ressentais en ce moment même. La sensualité de porter bottes ou cuissardes, de les passer, de les porter à ses jambes, de se déplacer avec...
Parée, je me suis calée dans un fauteuil et j'ai attendu.
Décidément, ce soir, il n'était pas décidé à rentrer tôt.
On est arrivés vraiment en fin de soirée.
Minuit s'annonçait.
J'étais épuisée.
Je me suis déplacée dans la chambre à coucher.
Il me trouverait sur le lit. Ca ne couperait pas son envie, au contraire.
Je me suis allongée sur le lit, et je me suis endormie.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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