Adorable victime

« Aime moi, ce soir. Plus que d'habitude. Oublie le monde..

Dans ta vie tu rencontreras des centaines de personnes tu sais. Pas forcément des gens dont tu as besoin. Peut-être même des gens qui finiront par te faire du mal. Certaines que tu apprécieras, mais dont tu arriveras quand même à te passer. Mais il n'y en aura qu'une seule dont l'absence te sera éternellement insupportable. Quelqu'un pour qui tu pourrais tout faire, absolument tout. Marcher pieds nus sur les oiseaux, manger de l'espoir de fée, décrocher les étoiles. Tu le sentiras. À sa vue, à son contact, ton cœur explosera... »

« Tu crois ? Je le sentirai? »
« Bien sûr. » je me relevais. Tout à mon excitation, j'avais fait tomber ce que mes mains tenaient. Cet éclat du temps brisé m'offrait justement la bonne occasion pour cacher sous mes mèches mes joues rougissantes. Je ne pouvais lui parler de ça, sans devoir faire attention à mon attitude. Je ne laisserai pas voir mon trouble. Pas maintenant, pas ce soir. Ce soir, c'est sa fête. Si j'y arrive, je jouirai intensément en absorbant son émoi d'inexpérimenté.

Je ne porte rien sous ma mini-jupe. Mes bas blancs ont la douceur du satin et soulignent la forme de mes jambes, atteignant la moitié de mes cuisses. Je me promène autour de lui, depuis une heure. Je résiste. De toutes mes forces, malgré les contacts, et je souris pendant qu'il me parle et se repose un peu. Je profite avec lui de ce moment. Pour l'instant, il m'observe, sans se douter de ce qui l'attend. Je teste sa réactivité en passant ma langue sur mes lèvres, naturelle. Je garde le contrôle. J'attends beaucoup de cette rencontre.. De moi surtout. Je veux me surpasser. Je passe devant le miroir, pose mes mains sur ma poitrine.. Je la sens ferme et retenue, dévoilée beaucoup plus que de coutume .. Je suis frustrée de ne jamais avoir saisi un seul de ses regards dessus mais je n'ignore pas leur existence..

Je le vois enfin sous un angle totalement privé, et totalement dénué de l'influence des lieux ou des gens que je fréquente tous les jours, et je remarque enfin ce que je n'ai jamais pu regarder en paix, rien que pour mon plaisir personnel, rien que pour moi. Apprécier impunément le corps de cet homme, d'un regard critique. Je le vois, tel qu'il est, grand, bien fait, de belles mains, un brun au sourire à faire fondre.. Je me sens attirée par sa façon de me parler bien plus que par son corps qui appelle aux caresses et répond aussi bien à mes goûts. Je n'ai pas à le lui dire. Oh non je ne lui expliquerai pas cette envie de lui qui me parcoure. Je dois la lui montrer. Seul le langage de mon corps pourra s'exprimer ce soir, et il a comme un discours à lui faire...

Je me retourne et lui fait face, et le surprend beaucoup plus proche que ce à quoi je m'attendais. Mes mains se retrouvent sur son torse, ses beaux yeux m'observent, son corps est si près de moi, mon souffle est court et je le sens se rapprocher encore.. Ce que je ne le laisserai pas faire. Penchant la tête, un sourire passe sur mes lèvres et un éclair dans mes yeux, tandis que je le pousse, même plutôt froidement, dans le fauteuil juste derrière lui. Le jeu ne fait que commencer, le spectateur peut donc s'asseoir, alors, que commencent les hostilités.

Je recouvre d'un geste le lit d'une couette légère et l'ignore totalement, en prenant ma petite culotte blanche posée sur mon étagère. Je bouge mes hanches, laissant une vue plus intéressante sur le haut de mes cuisses, en montant sur le lit. Je lui ordonne de s'approcher, et une fois que j'ai jugé sa position suffisamment proche pour qu'il ne puisse s'y soustraire, je lui dis de regarder ce qui va se passer. Je bouge en conservant un rythme lent et passe et repasse mes doigts sur mon corps, remontant assez haut ma jupe, déjà si courte, pour qu'il puisse voir mon sexe laissé exposé librement aux caresses de l'air. Je me penche alors presque complètement, relevant mes cuisses, et passe ma petite culotte lentement jusqu'en haut de mes jambes. J'agite mes pieds, et me retrouve à lui tourner le dos, pour lui présenter mon petit derrière se faisant recouvrir rapidement par le tissus presque transparent. J'attache mes bas, en continuant mes mouvements sensuels du bassin. Je lui souris, et pose subitement mes pieds sur ses genoux, comme s'il était un meuble.
« Ne touche pas. »

En le lui ordonnant, je perçois sa frustration, et j'en profite immédiatement pour caresser ses jambes de mes pieds, délicatement. Je remonte même, vers le haut de son pantalon, et caresse son entre-jambe, avec mon pied. J'ai vu rapidement cette zone prendre une forme indiscrète.
« Sors ta queue, esclave, et caresse mes pieds. » ordonnais-je sèchement.
Il s'exécute, comme mourant d'envie de m'obéir.
Sa verge, extraire par ses doigts, émerge rapidement et se retrouve encore plus durcie par son apparition.. Je la touche de mes pieds et la frotte activement..

Je me régale de son trouble, comme prévu. Satisfaite, je regarde cette belle queue rougie, bien lisse, au gland tel un bonbon offert, et la désire ardemment. Je fais durer ces contacts, augmentant l'excitation produite par ce jeu. À vrai dire, je le sens prêt à éjaculer. Je le saisis alors vivement d'une main. Le déshabille entièrement de l'autre. Et le traîne dans le lit. Je le pousse, me jette sur lui. Je m'amuse, lui infligeant griffures et caresses, des mêmes mains. Alternant douceur et douleur, je lui fais subir un contact pour le moins étrange, afin de faire baisser son envie. Ce traitement n'aillant pas l'air de fonctionner, je sors mes rubans noirs. Les raidissant entre mes mains, je lui assène plusieurs coups sur les fesses, les fouettant durement. J'en enserre un autour de son sexe. Et le masturbe implacablement. Je ne cesse pas d'agir, profitant de son désarroi pour le mettre à quatre pattes, et pour lui envoyer des fessées (je profite largement de ces contacts pour savourer la douceur de sa peau et pour explorer son corps). Ma main s'active sur sa queue, je colle mon bassin à son arrière-train et me laisse aller à me frotter contre.. Si je le pouvais, je lui aurai déjà enfoncé un jouet anal entre ses fesses offertes ! Mais je me contenterai d'une légère pénétration, du doigt. J'imagine glisser mes doigts sur mon sexe pour en recueillir le liquide chaud et si léger, bien plus huileux que la salive, et lui en graisser le trou pour m'insinuer tendrement entre ses fesses.
Voyons ce qu'il en sera. « Alors, ça te plaît, esclave ? »
J'accélère subitement ma masturbation. « Hm hm euh ouii » bafouille-t-il.
« Mauvaise réponse. Il faut dire 'oui maîtresse '. »

Et je le pénètre brutalement. Il crie et subit mes mouvements. Je ne lui laisse pas le temps de s'y habituer que je me retire de son cul, je l'ai déjà retourné sur le dos, l'ai allongé complètement et le détache pour mieux branler sa verge, et cette libération provoque un dernier sursaut de plaisir qui le fait décharger son sperme. Je récupère le liquide sur ma langue, nettoyant son sexe et son ventre. Il se retrouve enfin au contact de cette partie chaude et humide appartenant à une fille... Je récompense mon jeune vierge de sa dévotion en lui faisant partager d'un baiser le trésor recueilli. Je reste proche de ses lèvres pendant qu'il avale, puis l'embrasse fougueusement.