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La fausse innocente

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Lue : 6406 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/05/2013

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Sonia avait tout juste 18 ans quand je l'ai rencontrée, j'en avais quatre de plus. Elle attirait déjà beaucoup les regards : brune typée d'origine portugaise, cheveux longs, pas très grande mais "pulpeuse", avec des formes rondes et une poitrine imposante. C'était au départ un amour de vacances mais l'histoire s'est poursuivie près de dix ans...

Elle n'était pas vierge quand je l'ai rencontrée, mais peu expérimentée. Pourtant son appétit pour le sexe était à la hauteur de son tour de poitrine, elle était toujours partante pour aller au lit, et toujours demandeuse de ce qu'elle appelait "perversité". Au début de notre histoire ça se résumait à des jeux avec des objets, des liens, des séances photos... Elle avait des fantasmes plein la tête, dont le point commun était qu'elle se retrouvait dans des situations de soumission morale, voire physique. Au bout de quelques années j'ai commencé à développer ses fantasmes, en lui faisant jouer quelques jeux d'exhibition. D'abord à la plage où je lui faisais enlever le haut, je l'envoyais ensuite se balader sur la plage et je l'observais de loin. Elle était mal à l'aise mais pourtant elle adorait ça. Les hommes la regardaient, certains venaient lui parler, elle en était toute excitée. Ensuite aux fenêtres de certains hôtels, en vacances, après une soirée bien arrosée je lui faisais faire un strip-tease ou danser nue près de la fenêtre, et j'allumais la lumière par intermittence, l'exposant quelques secondes à des voyeurs potentiels. L'étape suivante fut ensuite de l'exhiber en voiture, d'abord en roulant près des camions sur l'autoroute, elle ouvrait son chemisier et remontait sa jupe pour se caresser. Les camions faisaient des appels de phare, je la menaçais d'arrêter la voiture à la prochaine aire de repos et de l'envoyer faire un tour sur le parking camions, elle protestait en rigolant, excitée comme tout...

Dans toutes ces expériences, comme dans ses fantasmes, il fallait toujours qu'elle soit dans un rôle de victime, que ce qui arrivait ne soit jamais de sa faute. Elle faisait aussi l'innocente quand un de nos amis devenait très pressant pour la draguer, alors qu'elle se baladait en mini-short et débardeur moulant sous son nez, en rigolant à ses blagues de cul.

A cette époque-là les paroles étaient toujours très chaudes quand on faisait l'amour, je la traitais de salope, je lui faisais répéter des phrases du genre "oui j'aime les grosses queues" et tout ça la faisait jouir... Parfois je la laissais nue, les poignets attachés sur le lit, un bandeau sur les yeux, je sortais 10 minutes en la laissant comme ça, et je rentrais la baiser en silence en lui faisant croire que c'était un inconnu rentré à ma place, elle adorait ça.

Il lui en fallait plus, et malgré mon appréhension je l'ai amenée deux ou trois fois sur des parkings de voyeurs. Elle me suçait comme une affamée sous les rayons des lampes de poche, ou se caressait sous les yeux des voyeurs en regardant les queues tendues contre la fenêtre de la voiture. Je démarrais et prenais la fuite quand ils essayaient d'ouvrir sa portière.

Au cours de ces années, elle me racontait chaque fois où elle s'était retrouvée sans moi et s'était faite draguer, avait dû résister, et tout ce qu'elle imaginait, tout ce qui se serait passé si elle s'était laissée faire. Et puis neuf ans après notre rencontre, elle a fini par franchir le pas. Je suis tombé de haut, je ne m'attendais pas à ce qu'elle passe à l'acte comme ça, de son côté. Forcément elle avait fait ça dans son style, avec quelqu'un de vingt ans de plus qu'elle, qui avait une autorité morale sur elle vu que c'était un supérieur hiérarchique de son boulot. Il était rentré dans son petit jeu d'ailleurs, en mesurant ses prestations pour son avancement professionnel. Avec ce prétexte elle s'était complètement soumise à lui le temps d'une soirée dans une chambre d'hôtel. Elle était partagée entre la honte et l'excitation en me l'avouant, elle s'attendait presque à ce que je sois fier d'elle, ou me suggérait de la punir dans un jeu en rapport avec sa faute. Mais j'étais vexé et j'ai mal réagi en la trompant aussi. Elle ne l'a jamais supporté. Autant les fantasmes que je partageais avec elle la livraient à des hommes, autant elle ne supportait pas l'idée d'une autre femme.

Après trois ou quatre mois la situation s'était dégradée, et je me suis dit qu'il fallait tenter quelque chose. Après une logue recherche j'ai trouvé un homme sur internet à qui je la livrerais, pour réaliser son fantasme et le mien, être livrée comme un objet sexuel à un inconnu pour être baisée devant moi. J'en avais longuement parlé avec lui, ça se passerait chez lui, il aurait un comportement dominateur, il était clean, et il devait y avoir deux ou trois voyeurs qu'il ferait venir.

Le jour venu je lui ai dit que je l'emmenais pour une surprise (il y avait 1h30 de route) et je lui ai dit de s'habiller sexy. C'était au mois de Juin, elle a mis des talons, une jupe mi-cuisses et un haut moulant en décolleté carré. Pendant le voyage elle n'arrêtait pas de demander où on allait, elle se doutait de quelque chose mais n'était pas sûre, vu que je n'avais encore jamais osé jusque-là...

Arrivés devant l'adresse indiquée je l'ai faite rentrer dans le jardin et lui ai bandé les yeux. Là elle a compris le thème de la soirée et est tout de suite rentrée dans son rôle de victime innocente avec des "hé, qu'est-ce que tu fais ?!" tout en se laissant faire.

J'ai sonné à la porte et le maître des lieux est venu nous accueillir sans un mot, en silence. Il avait vu des photos de Sonia, mais j'ai vu son visage se remplir d'envie en la voyant. Il lui a pris le bras et l'a guidée vers le salon, je suivais derrière.

La première surprise, en fait de "deux ou trois voyeurs" il y avait six hommes assis sur un canapé et des fauteuils, en train de boire un verre. Ils ont lâché quelques murmures et un sifflement en la voyant. Il l'a faite monter debout sur une table basse, elle a fait un petit "mais pourquoi ?" et il lui a dit de se taire avec autorité. Pendant que je m'adossais contre un mur du salon, il la faisait tourner sur elle-même sur la table basse, déclenchant les premiers commentaires salaces des voyeurs. Il a commencé à lui enlever ses vêtements, elle avait mis un string et un soutien-gorge à balconnets. Comme souvent ses seins débordaient un peu des balconnets (elle fait du 95c). J'ai vu qu'elle tremblait un peu, d'excitation et de peur mélangées. Malgré ses yeux bandés elle devait deviner le nombre d'hommes excités dans la pièce. Les voyeurs avaient sorti leur queue et commençaient à se branler en la regardant et en commentant ce qu'ils voyaient. Certains ont commencé à dire "à poils la salope" et il lui a enlevé ses dessous sans ménagement, réprimant ses semblants de protestations. Elle tentait maladroitement de cacher ses seins d'une main et sa chatte lisse de l'autre. Etant derrière elle il lui claqua les fesses, lui arrachant un petit cri et la faisant sursauter. Il lui attrapa fermement les poignets, pour bien l'exhiber.

Dans mon coin j'étais à la fois excité et stressé de voir ces sept mecs super excités avec ma femme exhibée nue en talons devant eux...

Il la fit ensuite descendre de la table basse, se mit derrière elle dans son dos et commença à lui pétrir les seins face aux autres. Il lui pinçait les bouts, lui arrachant des petits gémissements. Elle devait sentir sa queue dure contre ses fesses, je la sentais paniquée et excitée à la fois. Il a passé sa main entre ses cuisses, et a ricané en disant "et ben bravo, elle mouille cette chienne !". Et là les voyeurs ont commencé à se lever et se rapprocher, j'étais pétrifié, il était censé les gérer mais les laissait faire... Il a juste dit "mollo mollo" et a commencé à la pousser, la laisser passer de mains en mains, ils la tripotaient vicieusement, lui claquaient les fesses, les seins, lui faisaient sentir leur queue contre elle. Je commençais à paniquer, elle aussi devait être persuadée à ce moment-là qu'elle allait devoir endurer toutes ces queues. Mais il les a renvoyé s'asseoir et l'a amenée vers la table du salon en disant "maintenant on va baiser cette pute".

Il l'a couchée sur le dos sur la table, a mis une capote et a commencé à la pénétrer... J'étais à la fois rassuré que les autres se soient rassis et impressionné de voir ma femme gémir en tournant la tête à droite à gauche, les seins ballotant en se faisant prendre sur cette table, jambes relevées.

Au bout de quelques minutes il l'a faite redescendre, tournée debout face à la table et l'a faite se cambrer pour offrir son cul. Il a pris du gel et a commencé à la doigter en s'adressant aux voyeurs, en se moquant d'elle : "oh pas besoin de forcer, vous croyez que c'est une enculée ?...". Ils rigolaient en disant que ça se voyait tout de suite rien qu'à sa tête de salope, certains se retournaient de temps en temps pour me jeter un petit regard en coin, je baissais les yeux, presque honteux d'être excité de voir ma femme traitée comme ça. Il a commencé à la sodomiser en continuant à l'insulter, elle se plaignait avec sa petite voix lâchant des "oh salaud", ce qui était un signe qui ne trompe pas pour moi : elle aimait ce qui se passait ! Elle avait toujours eu ce jeu de faire la victime dont on abuse pendant nos séances de sodomie.

Il ne s'est pas privé pour la limer sans pitié d'ailleurs, jusqu'à ce qu'elle se cramponne à la table, les seins écrasés sur le bois, la bouche à la recherche de son souffle au milieu de ses gémissements et de ses fausses plaintes.

Brusquement il s'est retiré et la fait mettre à genoux, a enlevé la capote et a enfourné sa queue dans sa bouche. Elle s'est mise immédiatement à le sucer avec une ardeur surprenante. Là les voyeurs se sont à nouveau levé et approché d'elle, elle s'est vite retrouvée à sucer deux queues, une dans chaque main, comme si elle avait fait ça toute sa vie... Là j'ai vraiment paniqué et il m'a lancé un regard interrogateur, auquel j'ai répondu instinctivement non de la tête. Ce débordement n'était pas prévu et je craignais le pire, autant je m'étais assuré que lui était clean, autant les autres... Et elle continuait à enchainer les fellations ! Heureusement il s'est ravisé, mais pour les encourager à... se vider sur elle, sur son visage ! Je me suis dit que ça n'était pas prévu non plus mais c'était moindre mal, et de toutes façons les premières giclées sont arrivées très vite, avant que j'ai le temps de réfléchir. Sur son visage, la surprise de la première éjaculation a laissé place à une expression grimaçante. Déjà qu'elle n'en était pas fan de ça avec moi, là c'est une vraie douche de sperme qui s'abattait sur son visage ! Ils l'ont laissée inondée, grimaçante, ça coulait sur ses seins, ses épaules, son ventre, elle en avait dans les cheveux, certains s'étaient essuyé avec ses cheveux, son bandeau était imbibé aussi...

C'était le moment le plus délicat, tous les voyeurs partaient sans demander leur reste et je devais l'aider à s'essuyer et se rhabiller. Il m'a fallu plusieurs sopalins, elle soupirait, je pense qu'elle était proche des larmes avec la retombée de la tension. Elle avait encore du sperme dans les cheveux quand je lui ai enlevé le bandeau une fois dans le jardin, je n'ai pas osé la regarder dans les yeux et on est remonté dans la voiture sans un mot. Elle s'est endormie dans la voiture et a filé se doucher dès notre retour. On a reparlé de cette expérience le lendemain, mélange de gêne, d'excitation... Elle n'avait vraiment pas apprécié le final, elle était persuadée qu'ils allaient tous la baiser, même si après coup elle admettait que ç'aurait été une folie. Cette expérience tardive n'a pas résolu la cassure du couple depuis que je l'avais trompée, et le divorce a suivi quelques temps plus tard.

Reste les tonnes de souvenirs accumulés...
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Histoire de ericmed06

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