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Adultère

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Lue : 45909 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 19/11/2009

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Justine était une jeune fille que j’avais rencontré sur internet, sur un forum de RPG (Role Playing Game ou jeux de rôles). Pour ceux qui ne connaissent pas, le principe est simple : ces sites sont simplement des forums, sur lesquels vous écrivez ce que vos personnages font, agissent et ressentent. D’autres gens viennent alors répondre, faisant interagir leur personnage avec le votre. C’est exactement comme un jeu de rôle classique, sauf qu’il faut aimer écrire. Les possibilités y sont sans limites. Et contrairement aux idées reçues, ce n’est pas un repaire de geek associables : je suis moi-même marié, père d’un adorable petit garçon et, si l’on me permet cet avis, plutôt bien foutu physiquement. Simplement, mon travail dans un bureau me laisse énormément de temps libre, que ce type d’activité m’a permis de combler.

Dès son arrivée sur ce forum, la personnalité de Justine m’avait séduite : pleine de feu et d’humour, toujours prompte à rire, les personnages qu’elle créait étaient hauts en couleurs et son écriture fluide donnait envie d’écrire avec elle. Rapidement, je lui ai donné mon adresse msn et nous avons pris l’habitude de discuter de tout et de rien pendant des heures. Sur certains forums RPG laissant plus de liberté que d’autres, nos personnages finirent même pas coucher ensemble. A cette occasion, je lui découvris une imagination sans limite dans le domaine du cul. Autant dire que nos écrits m’inspirèrent nombre de plaisirs solitaires…

Forcément, nos discussions personnelles dérivèrent elles aussi sur le sujet du sexe, et je lui avouai sans complexe mes frustrations avec ma femme, peu portée sur la chose, mes fantasmes, mes préférences. Elle faisait de même et me racontant certaines de ses aventures sexuelles avec son petit ami, sans aucun complexe et avec un naturel parfois déconcertant. C’est d’ailleurs elle qui m’a fait découvrir ce site sur lequel je cède aujourd’hui à la tentation de vous raconter notre histoire.

Malgré notre différence d’âge (elle avait 20 ans, moi 28), une réelle complicité nous lia bientôt, sans arrière pensée aucune. Etant l’un et l’autre en couple, amoureux de nos conjoints, et vivant à plusieurs centaines de kilomètres, l’éventualité d’une attirance ne nous avait même pas effleuré l’esprit.

Presque un an après notre rencontre, un de mes amis parti vivre à Lyon m’appela et me proposa de venir le voir un week-end. Ma femme et mon fils m’ayant abandonné pour profiter des vacances d’hiver, j’acceptai sans hésiter, ravi de cette opportunité de me dépayser un peu. J’avais réservé mon billet de train pour le vendredi soir, imaginant déjà une soirée « mecs » comme je n’avais pas eut l’occasion d’en faire depuis longtemps, lorsqu’il me rappela le lendemain pour me dire qu’il devait absolument partir pour affaire jusqu’au samedi matin. Un peu ennuyé, je dus me tourner vers Justine, qui faisait ses études à Lyon, pour lui demander si elle acceptait de m’héberger une nuit. Elle accepta, me précisant qu’elle avait déjà des projets pour la soirée, mais que j’y serai le bienvenu.

C’est seulement une fois devant l’arrêt de métro qui devait nous servir de point de rendez-vous que je sentis l’angoisse monter. Après plus d’un an à discuter sans contrainte, l’idée de la rencontrer m’effrayait un peu. Il était très facile de faire semblant d’être quelqu’un d’autre sur internet, et j’avais peur de découvrir qu’elle n’était pas celle que je croyais connaître. Comme j’étais en avance, je choisis un petit bistro dans lequel j’entrai prendre un verre, scrutant intensément la rue en contrebas. Je crois qu’inconsciemment, j’avais voulu me ménager une porte de sortie, au cas où…

Ayant déjà vu son visage en photo, je la reconnus immédiatement qui avançait au milieu d’un groupe d’étudiants, riants avec eux de choses que je ne pouvais pas entendre. J’en eus le souffle coupé. Elle était mille fois plus belle que tout ce que j’avais pu imaginer : ses cheveux noirs mi longs frisaient légèrement, encadrant un visage fins au nez juste un petit peu trop pointu. Sa veste blanche descendant jusqu’en dessous de ses fesses était cintrée à la taille, faisant ressortir l’arrondi de ses hanche et mettant en valeur une poitrine telle que je n’en avais jamais vu. Elle ne ressemblait pas à une de ces créatures décharnées et squelettiques que la télé essaie de nous vendre, mais avait de vraies formes féminines, des rondeurs situées juste là où il le fallait. Son sourire spontané et ses grands yeux noirs attiraient les regards de la plupart des hommes alentours sans qu’elle en ait conscience, la rendant encore plus séduisante à mes yeux. Elle qui s’était toujours décrite comme relativement ordinaire !

N’hésitant plus, je payais l’addition et sorti de mon refuge, arrivant juste derrière elle. Je voyais sa tête se tourner en tout sens alors qu’elle me cherchait visiblement des yeux. Ravi, je me penchai jusqu’à son oreille pour lui murmurer :

« Quelqu’un vous aurait-il abandonné, charmante demoiselle ? Si c’est le cas, vous devriez vous enfuir avec moi, car un homme capable de faire une chose pareil ne mérite pas votre présence »

Cette phrase peut sembler extrêmement cliché, mais c’était celle que mon premier personnage avait dis au sien pour la séduire sur le forum où nous nous étions rencontrés. Avant que j’aie pu reculer, son visage rayonnant s’est tourné vers moi et elle s’est jetée dans mes bras, m’embrassant sans douceur sur chaque joue tout en riant.

« Adrien ! Tu es vraiment incorrigible ! »

Ravi de voir qu’elle était égale à la fille que j’avais appris à apprécier sur internet, je lui rendis son sourire. Elle me prit vigoureusement par le bras, m’entraînant à sa suite pour une soirée qui promettait d’être riche en événement. Moi qui étais devenu ces dernières années un jeune papa pépère, je retrouvai l’excitation et la fébrilité des étudiants, passant d’un entraînement de rock à un restaurant (qu’elle ne me laissa pas payer) pour enchaîner sur une soirée chez l’un de ses amis. J’appris que son copain avait profité du week-end pour rentrer dans sa famille, et que je ne le rencontrerai donc pas. Profitant de son absence, nombre des amis de Justine la lorgnaient sans discrétion, ce qu’elle semblait prendre pour une plaisanterie de leur part et non une véritable marque d’intérêt. Moi-même, j’avais du mal à détacher mes yeux de sa silhouette, et je me surpris plusieurs fois à fixer sa magnifique poitrine, imaginant combien elle devait être douce et ferme au touché. L’ébriété montant, j’étais de plus en plus fasciné par sa présence envoûtante. Le plus dur fût sans doute le moment où je l’invitai à danser un slow avec moi : ayant rencontré ma femme à l’âge de 18 ans, je n’avais jamais pratiqué ce type de danse avec une autre femme qu’elle. Bien que j’aie pris garde à ne pas la serrer contre moi, je pouvais sentir le magnétisme dégagé par Justine à quelques centimètres à peine de mon corps. Son sourire enchanteur flottait toujours sur ses lèvres alors qu’elle parlait sans discontinuer. Mes yeux s’égarèrent un peu plus bas, tombant sur ses seins mis en valeur par un T-shirt très légèrement décolleté. Une soudaine tension s’empara de mon corps à la vue de la dentelle bleue claire de son soutien-gorge, dont je ne pouvais apercevoir qu’une petite bande à la lisière de ces deux globes de chaire n’attendant que d’être pétris. Je déglutis péniblement, luttant contre une envie presque irrépressible de l’embrasser. C’était comme si tout mon corps était soudain entré en éveil, retrouvant l’envie de plaire. De lui plaire. Je voulais la séduire, la posséder, la garder entièrement pour moi. Je n’avais jamais eut de telles pensées, même à l’égard de ma femme et j’étais le premier étonné de la virulence avec laquelle elles prenaient possession de mon esprit. Heureusement pour moi, la musique se termina quelques instants plus tard et je pus m’éloigner d’elle pour reprendre mes esprits.

Je passai un long moment dehors à fumer cigarette sur cigarette en espérant réussir à me calmer, essayant de faire bonne figure en discutant et riant avec certains de ses amis. Puis elle est venue me chercher et nous sommes rentrés en Velov’, traversant la ville endormie alors que les premiers rayons du soleil pointaient timidement le bout de leur nez. Elle me fit découvrir son petit appartement d’étudiante, un T1 Bis dont la pièce principale était composée d’une petite alcôve faisant office de salon, et dans laquelle j’allais dormir, surmontée d’une mezzanine sur laquelle se trouvait sa chambre. Elle me laissa seul et je commençai à m’installer lorsque j’entendis l’eau de la douche se mettre à couler. Une idée folle me traversa alors l’esprit. J’avais remarqué que la porte de sa salle de bain ne fermait plus correctement, peut-être que je… Horrifié, je repoussai avec force cette envie mais l’image de cette magnifique poitrine enserrée dans ce soutien gorge bleu ciel m’obsédait.

N’y tenant plus, je finis par me faufiler jusqu’à la salle de bain, poussant doucement la porte du bout des doigts. Mon cœur se mit à battre la chamade alors que je regardais ce trésor interdit qui m’avait tant obsédé. Justine était nue, de profil par rapport à moi, l’eau glissant lentement sur son corps. Les parois de sa douche s’opacifiaient juste en dessous la poitrine, si bien que je pus apercevoir l’un de ses seins sur lequel elle passa une main enduite de savon. Le souffle court, je refermai la porte doucement, non sans jeter un coup d’œil à son soutien gorge laissé négligemment sur le sol. 95D, que demander de plus ?

De retour dans la chambre, je commençai à faire les cent pas, obsédés par ce corps magnifique dont je n’avais eut qu’un bref aperçu. Mon sang pulsait douloureusement dans mon membre dont l’érection était contrariée par un jean que je refusai d’ouvrir. Je me forçai à me concentrer sur ma femme, que j’aimais, et sur le fait que Justine n’avait semblé manifester aucune attirance pour moi ce soir, mais rien n’y faisait. L’image de sa jeune et belle poitrine revenait sans cesser me hanter.

« Adrien, si tu veux la douche est libre »

Je me retournai brusquement vers Justine qui se tenait à présent derrière moi, seulement vêtue d’un peignoir éponge noir, un peu trop grand pour elle. Il était étroitement fermé sur le devant, ne dévoilant que le haut de sa gorge, mais l’arrondi au niveau de sa poitrine témoignait de la fermeté des seins dissimulés en dessous, qui avaient à peine changé de forme malgré l’absence de sous vêtements. Je vis ses yeux noirs descendre jusqu’à la bosse peu discrète de mon jean, au niveau de mon entrejambe. Une lueur étrange les fit briller un instant avant qu’elle ne les détourne, gênée. J’aimais ma femme, j’aimais mon fils, et je ne voulais pas détruire notre famille. Mais j’aimais aussi Justine, et chaque fibre de mon corps hurlait mon désir pour elle.

Si soudainement que moi-même j’eus à peine le temps de comprendre ce que j’étais en train de faire, je fis un pas en avant et l’enlaçais pour l’embrasser. Elle n’eut pas le temps de reculer que déjà je le plaquai contre le mur, ma main remontant jusqu’à la naissance de sa gorge puis se faufilant jusqu’à sa nuque. Ses lèvres s’entrouvrirent, trahissant l’excitation qui s’était emparé d’elle à ce simple geste. Du bout de la langue, je suivis leur dessin, me glissant entre elle pour aller explorer sa bouche, titillant sa propre langue qui se faisait encore timide. Ma respiration s’accéléra, je me collai un peu plus contre elle, ma seconde main défaisant la lanière de son peignoir pour se poser sur la forme arrondie de ses hanches, la plaquant avec plus de fermeté contre le mur pour lui faire comprendre mon envie d’elle. Elle répondit alors à mon baiser, enroulant sa langue autours de la mienne, me mordillant sans douceur les lèvres. Je compris que, tant que je mènerai la danse, elle serait incapable de résister. Inconsciemment je le savais déjà, ayant lu entre les lignes de ses personnages son besoin d’être soumise.

Excité à cette idée, je laissai ma première main descendre le long de sa gorge, rejoignant sa consœur au niveau de cette poitrine qui m’avait tant fait rêver. Je me reculai pour admirer ces seins que le peignoir totalement ouvert offrait à mes yeux. Ils étaient vraiment magnifiques : bien ronds et fermes, les tétons durcis par l’envie, ils semblaient se tendre vers moi pour m’inviter à les embrasser, ce que je fis immédiatement. Mes lèvres se posèrent sur l’un, embrassant son mamelon érigé et jouant avec son extrémité du bout de la langue, tandis que je pétrissais fermement l’autre, arrachant un gémissement à Justine. Habitué aux formes lourdes et flasques de ma femme, je ne me lassai pas d’explorer son corps, caressant ses hanches aux courbes délicieuses, son ventre plat, ses jambes galbées…

Je levais les yeux vers elle : elle semblait encore un peu perdue, presque effrayée par ce que nous étions en train de faire. Moi, je n’avais aucune envie d’arrêter, totalement conquis par son corps magnifique. Je jouai avec ses seins jusqu’à faire disparaître toute trace d’hésitation de son visage. Alors que ses lèvres entrouvertes et sa respiration hachée trahissaient le plaisir qu’elle prenait, je fis glisser mes doigts jusqu’à son intimité, bien décidé à jouer encore un peu avec elle. Je crus alors que mon membre allait exploser dans mon jean tant ce que je sentis m’excita. Je palpai doucement son entrecuisse totalement imberbe et toute humide de désir, rêvait du moment où je pourrai pénétrer cette petite chatte toute lisse. J’aurai pu la prendre sur le champ tant le désir était intense, mais je savais qu’elle m’était totalement acquise, et j’avais envie de prendre mon temps. Sans cesser de l’embrasser, je pris l’une de ses mains pour la poser sur mon entrejambe brûlante, exigeant par ce geste qu’elle s’occupe un peu de moi. Ses doigts fins me caressèrent un court moment à travers le jean, avant de l’ouvrir pour s’occuper directement de mon membre qui avait bondit vers elle, tout dressé et heureux de faire enfin sa connaissance. D’une pression de la main sur la nuque, je la fis descendre lentement jusqu’à lui. Ses lèvres se posèrent partout sur mon torse, embrassait avec envie mes muscles encore dissimulés sous un T-shirt moulant, s’arrêtant finalement sur mon membre. Je retins alors mon souffle, fou de désir : en 10 ans de vie de couple, jamais ma femme n’avait accepté la fellation et voilà que Justine assouvissait ce fantasme sans l’ombre d’une hésitation. Tout en me jetant des regards coquins, elle posa une multitude de délicats baisers sur mon membre, puis le parcourut sur toute la longueur du bout de la langue, effleurant le moindre centimètre, accentuant ses lèches en entourant mon gland. N’y tenant plus, je posais mes mains de chaque côté de son visage et me glissait entre ses lèvres. Son expression surprise m’excita davantage, de même que l’empressement avec lequel elle commença à me sucer, ses petits yeux se levant régulièrement vers moi comme pour chercher mon approbation. Je pouvais sentir sa langue masser mon membre alors que ses lèvres le parcouraient sur toute la longueur, laissant des traces de salive sur leur passage. Sa main vint bientôt se poser devant ses lèvres, pour me masturber en même temps qu’elle me suçait. Je dû me concentrer pour retenir un gémissement de plaisir. Elle était tellement excitante, à genoux devant moi, les cuisses légèrement écartées, son peignoir trop grand tombant de ses épaules et ne cachant plus rien de son corps magnifique. La chaude et douce humidité de sa bouche était trop agréable, j’allais jouir rapidement. Elle avait dût le sentir car elle eut un mouvement de recul mais mes mains toujours posées sur son cou l’empêchèrent de s’éloigner.

« Justine, je vais éjaculer dans ta bouche et je veux que tu avales tout, jusqu’à la dernière goutte ».

Tout en disant cela, je la fixai dans les yeux pour qu’elle voie à quel point j’étais sérieux. Elle m’avait avoué il y a longtemps adoré pratiquer la fellation, mais n’avoir jamais réussi à avaler. Je voulais la posséder totalement, et quel meilleurs moyen que celui-là ? Sans prêter attention à son expression horrifiée, je maintins sa tête en place en avançant et reculant rapidement le bassin, lui baisant littéralement la bouche. Quelques secondes plus tard, je sentis mon membre imploser entre ses lèvres, inondant sa gorge d’une quantité de jus telle que je n’en avais jamais connu. Docilement, elle déglutit et avala ma semence, caressant mon membre de sa langue pour qu’aucune goutte ne lui échappe. Je restai encore quelques instants dans sa bouche, autant pour profiter encore de cette chaude humidité que pour m’assurer qu’elle m’était totalement soumise. Puis je lui dis signe de se redresser, faisant glisser son peignoir jusqu’au sol pour pouvoir enfin la contempler complètement nue.

« Va te rincer la bouche, nous n’en avons pas finis »

Elle acquiesça sans un mot, et je pus admirer ses jolies petites fesses rondes qui se soulevaient à chacun de ses pas alors qu’elle s’éloignait. Elle revint quelques secondes plus tard, un air légèrement timide sur le visage. Je la plaquai alors à nouveau sur le mur, l’embrassant voracement et caressant tout son corps. Elle frissonna au contact de mes doigts le long de ses hanches, puis sur ses seins, entourant sa gorge pour remonter jusqu’à son visage. Tout en lui faisant comprendre que je ne voulais pas qu’elle bouge, je descendis lentement le long de son corps, embrassant avec insistance ses seins et son ventre, ma langue se glissant ensuite dans son nombril. Je lui fis poser une cuisse sur mon épaule de façon à ce que son intimité me soit totalement offerte. Je glissai alors ma langue entre ses grandes lèvres, frôlant les petites et titillant ce bouton d’amour si sensible. Sa mouille qui avait coulé généreusement pendant la fellation, preuve que je n’étais pas le seul que ça avait excité, avait un goût à la fois âcre et légèrement sucré, absolument délicieux. Je passai un long moment à explorer cette partie de son corps, la fouillant sans aucune retenue, jusqu’à ce que deux de mes doigts se glissent doucement en elle, lui arrachant des gémissements de plaisir. Alors que ma langue jouait avec son clitoris tout érigé, je glissai un troisième doigt en elle, effectuant des mouvements circulaires de plus en plus rapides. Je senti son bassin onduler légèrement alors qu’elle mouillait de plus en plus. Je la torturai encore un peu comme ça, et ne me redressait que lorsque ses gémissements se muèrent en des supplications.

« Je t’en prie Adrien, s’il te plaît… »

Mes lèvres s’approchèrent alors de son oreille, lui murmurant :

« Qu’est-ce que tu veux ? Dis le moi, je veux l’entendre… »

Elle hésita un instant, sans doute peu habituée à prononcer à voix haute ce type de paroles.

« Je veux que tu me prennes, maintenant. Par pitié, pénètre-moi, j’en ai tellement besoin… ».

Excité comme un dingue par ces paroles, je l’embrassai à nouveau, l’attirant avec moi jusqu’au lit. Ses mains se glissèrent sous mon T-shirt, caressant ma peau avec envie. J’aimais l’idée d’être habillé alors qu’elle était nue devant moi, mais je la laissai me l’enlever, conscient que rien ne pouvait nous exciter davantage. Elle fit également glisser mon jean et mon boxer le long de mes cuisses, ses doigts effleurant au passage mon membre revenu au mieux de sa forme. Je m’allongeai alors sur le lit une place, posant les mains sur ses hanches pour l’inviter à venir s’empaler sur moi, ce qu’elle fit avec empressement, entrouvrant les lèvres en un gémissement de plaisir. Elle ondula du bassin au dessus de moi, montant et descendant avec vigueur sans que j’aie besoin de l’y pousser. Ses gémissements se muèrent en cris de plaisir qu’elle dût venir étouffer en m’embrassant dans le cou, mordant ma peau au passage. Mes bras l’entourèrent, la pressèrent contre moi alors que je lui murmurai des mots tendres, entrecoupés de paroles plus crues. Je lui disais que Je l’aimais, que j’adorai la baiser, qu’elle était la plus belle femme du monde, que je voulais l’entendre hurler mon nom, que c’était une vraie salope qui aimait se faire prendre, que je ne voulais plus jamais la quitter… A chaque fois, je sentais les frissons qui la parcouraient augmenter d’intensité. Elle gémissait et criait, hors de contrôle. Je l’embrassai puis la fit se redresser pour pouvoir admirer ses magnifiques seins qui s’agitaient à chaque nouveau coup de reins. L’une de mes mains remonta lentement le long de son ventre, s’arrêta un instant sur ses seins, puis se glissa jusqu’à son visage. J’introduisis alors mon index entre ses lèvres pour qu’elle le suce, tellement excité que plus aucune pudeur ne me retenait de lui faire tout ce qui me passait par la tête. Un peu surprise, elle se laissa faire et suça maladroitement ce doigt qui s’agitait dans sa bouche. Alors mon autre main se posa ses fesses et les palpa sans douceur avant de se glisser dans sa raie culière, appuyant de plus en plus fermement sur sa petite rondelle jusqu’à la pénétrer. Sentant que je prenais totalement possession d’elle, Justine écarquilla les yeux et ne put retenir un véritablement hurlement de plaisir. Je sentis sa petite chatte se contracter autours de mon membre, de plus en plus fort, pour se relâcher subitement au moment où j’éjaculai en elle. Mon cri rauque se joignait au sien alors qu’un tremblement irrépressible s’emparait de son corps. Elle s’effondra contre moi, haletante, et je la pris dans mes bras, trop sonné par tant de plaisir pour songer à faire autre chose.

Lorsque je m’éveillai le lendemain matin, Justine était partie depuis longtemps pour une conférence qui se déroulait à son école, et qu’elle avait organisée. Un petit mot, laissé sur la table de la cuisine à mon intention m’expliquait où se trouvait cette école pour que je puisse venir lui rendre les clefs quand je le désirerai. Son message était extrêmement formel, et elle n’y faisait aucune allusion à ce qui s’était passé entre nous la nuit précédente. Un horrible sentiment de culpabilité s’empara de moi alors que je me remémorais ces instants merveilleux : j’avais trompé ma femme. J’étais l’un de ces horribles connards qui trahissent la confiance de leur épouse pour aller se satisfaire auprès d’autres femmes. Etrangement, ma culpabilité s’évanouit aussi vite qu’elle était apparut, écrasé par une immense satisfaction. Ma femme n’aimait pas beaucoup le sexe : elle m’autorisait à la toucher plusieurs fois dans le mois, mais jamais plus d’une vingtaine de minutes et sans aucune folie. J’avais toujours accepté cette situation stoïquement, n’imaginant même pas m’en plaindre car n’ayant rien connu d’autres. Mais cette nuit venait de me faire prendre conscience que mon corps pouvait ressentir un plaisir allant bien au-delà de la simple satisfaction de quelques minutes dont je me contentais habituellement. Auprès de Justine, je m’étais découvert de nouveaux appétits que je n’arrivais pas à regretter.

C’est dans cet état d’esprit que je parti pour la retrouver à son école, bien décidé à clarifier la situation entre nous. Je passais le trajet en bus à essayer de comprendre ce qui s’était passé, comment j’avais pu en arriver là et comment agir maintenant. Mais à chaque fois que je prenais la résolution de ne plus la revoir, une image d’elle à genoux devant moi, ses lèvres luisantes serrées autours de ma queue, s’imposait à mon esprit et m’emplissait à nouveau de désir. Alors que j’arrivai devant le local qu’elle m’avait indiqué, ma décision était prise.

Elle était magnifique dans son petit tailleur noir, virevoltant entre les officiels et dirigeant les autres élèves avec la même aisance qu’un chef d’orchestre menant le plus grandiose des concerts. Adossé contre le chambranle d’une porte, je n’entrai pas tout de suite, réalisant pour la première fois l’aura de leader qui se dégageait d’elle. Elle ne faisait par partie de ces énergumènes qui s’agitent et s’excitent en piaillant des ordres à tout va, mais de cette race charismatique qui dirige sans en avoir l’air, sans même y penser. Les autres élèves s’en remettaient à ses idées, ravi d’avoir quelqu’un sur qui s’appuyer, quelqu’un pour prendre les décisions et qui ne craint pas d’en assumer les conséquences. Sans cesser de l’observer, je savourai le paradoxe entre la mangeuse qui se tenait devant moi, et la jeune fille soumise qui me suppliait de la prendre il y avait à peine quelques heures.

Ses magnifiques yeux noirs se posèrent alors sur moi, faisant bondir mon cœur dans ma poitrine. Je la détaillai sans vergogne alors qu’elle s’approchait, luttant pour contrôler l’envie qui s’emparait à nouveau de moi. Je m’imaginai déjà en train de détacher son chemiser, de palper ses seins tout en remontant sa jupe le long de ses cuisses…

Elle affichait un air sérieux et décidé, destiné sans doute à couper court à toute initiative de ma part. Pourtant, à la façon dont son regard brillait, je sus que les pensées qui lui traversaient l’esprit n’étaient pas plus sages que les miennes. J’en fus secrètement ravi, et lui sourit alors qu’elle se campait en face de moi. Avant qu’elle n’ait pu dire quoi que ce soit, je lui posai un doigt sur la bouche pour lui faire signe de se taire.

« Je sais ce que tu vas dire, et je n’en crois pas un mot. J’ai aimé ce que nous avons vécu cette nuit et toi aussi, c’est indéniable. Je veux continuer à te voir, mais je ne quitterai pas ma femme, et tu ne quitteras par ton copain. Ce qui se passe entre nous, c’est autre chose. »

Je me reconnaissais à peine. Moi qui avait toujours été d’un caractère doux et conciliant, voilà que je faisais d’elle ma maîtresse, en quelques mots et sans lui laisser le choix. Son air choqué ne dissimula pas longtemps le petit sourire qui était né sur ses lèvres et dans ses yeux, réponse muette à ma proposition.

« On se retrouve ce soir. Je vais passer la soirée avec mon ami, comme je te l’avais annoncé, mais je dormirai chez toi. Tu recevras un sms quand je serai prêt à te rejoindre ».

Comme c’était initialement prévu, je rejoignis Charles en début d’après midi et passais avec lui une journée des plus agréables, non sans laisser mes pensées s’égarer souvent. Je réussis même à m’éclipser quelques minutes pour entrer dans une pharmacie acheter un produit me promettant une nuit au moins aussi intense que la précédente. Le soir, alors que nous étions sortis fumer une cigarette pendant un repas avec d’autres amis à lui, il me regarda bizarrement et me dit soudain :

« Adrien, ne le prends pas mal mais… tu as l’air différent.
-Comment ça ?
- Et bien… tu parais plus sûr de toi. Plus heureux aussi. »

Je n’hésitai qu’un court instant avant de tout lui avouer, lui montrant au passage une photo de Justine en maillot de bain que j’avais récupéré chez elle le matin même. Charles n’avait jamais été du genre fidèle : il passe de femme en femme, préférant vivre sa vie sans limites et sans engagement, c’est pourquoi je savais que je pouvais lui parler de mon aventure nocturne. Il ne put retenir un sifflement admiratif devant la photo, et un éclat de rire en me la rendant.

« En même temps, vu la bombe que c’est, je comprends que tu n’ai pas pu résister ! Elle est à tombé par terre… D’ailleurs, je veux bien son numéro quand tu repartiras. »

Je lui racontai en détail la nuit que nous venions de passer, et ce que j’avais prévu pour celle à venir. Après que nous ayons rejoint les autres, il m’adressa des sourires complices à chaque fois que mon air absent trahissait mes pensées salaces. Nous passions une soirée très agréable, riant et plaisantant sans retenue jusque tard dans la nuit. Au moment où ses amis partaient, Charles me proposa de demander à Justine de nous rejoindre mais je refusai, désirant la garder pour moi. Je pris le temps de lui envoyer un texto avant d’enfourcher mon Velov’ (une invention décidément merveilleuse).

« J’ai envie de toi. Retrouve-moi chez toi dans une heure ».

Lorsque j’arrivai chez elle, la porte entrouverte m’annonça qu’elle m’attendait. J’avançai jusqu’au salon, et la découvrit debout à côté de lit, encore un peu essoufflée. Elle portait encore son petit tailleur noir, à la fois stricte et sexy. Son haleine m’apprit, alors que je l’embrassai, qu’elle avait un peu bu. Elle était sans doute revenue précipitamment d’une soirée en recevant mon message. L’idée qu’elle ait pu accourir sur un simple ordre de ma part (alors qu’elle n’avait visiblement pas pris le temps de se changer après la conférence) m’excita et je sentis ma queue qui se dressait déjà dans mon jean.

Nos langues se mélangèrent en un ballet à la fois sensuel et intime, tandis que nos mains redécouvraient nos corps respectifs. Rapidement, je déboutonnai son chemisier blanc pour pouvoir retrouver cette poitrine qui m’avait obsédée une bonne partie de la journée. Elle portait cette fois un soutien gorge rouge aux motifs musicaux, qui me rappela un court (mais alors très court) instant notre différence d’âge. Oubliant bien vite ce détail, je fis ressortir l’un de ses seins pour pouvoir le téter, ravi de sentir son souffle s’accélérer sous l’effet de l’excitation. En quelques minutes, elle fût à nouveau totalement nue et je me redressai pour pouvoir la contempler, tournant autours d’elle pour ne rien manquer du spectacle. Elle frissonnait d’appréhension autant que d’excitation.

Je posai une main ferme sur son épaule afin qu’elle se mette à genoux, défaisant de l’autre ma braguette pour pouvoir lui présenter mon chibre déjà dur. Elle le saisit délicatement, faisant rouler sa langue autours de lui, posant délicatement ses lèvres à sa surface avant de l’enfourner. Pendant quelques minutes, elle ne s’occupa que de mon gland, le pétrissant de sa langue avec savoir-faire. Puis elle fit glisser ses lèvres sur toute la longueur de ma tige, aspirant délicatement. Je rejetai la tête en arrière, les yeux fermés, pour mieux savourer la kyrielle de nouvelles sensations qu’elle faisait monter en moi. Cramponnant ses cheveux, je lui imposais des mouvements de plus en plus rapides et de plus en plus profonds. Parfois je m’enfonçai si profondément au fond de sa gorge qu’elle ne pouvait retenir un gargouillement douloureux, ce qui m’excitait encore plus. Lorsque mon foutre chaud jaillit, elle ne tenta pas de l’éviter et avala tout docilement, se passant la langue sur les lèvres pour me montrer qu’elle avait bien appris sa leçon. Cette fois, je ne l’envoyai pas se rincer la bouche, ayant d’autres idées en tête.

Je la fis se redresser, face au mur et lui demanda de poser ses deux mains à plat sur sa surface, lui interdisant de les déplacer pendant tout ce qui allait suivre. Je me plaçai alors derrière elle, l’enlaçant tendrement. Mes mains se glissèrent sur son ventre, remontant et descendant doucement vers ses différentes zones érogènes pendant que mes lèvres se posaient délicatement sur sa nuque, ses épaules, sa gorge, ses omoplates, le long de sa colonne vertébrale, toujours plus bas. Je finis par arriver à la naissance de ces fesses. Saisissant ses hanches de manière à lui faire arquer le dos, je fis lentement glisser ma langue le long de raie culière, jusqu’à cette petite chatte toute douce et lisse qui luisait déjà de désir. Mes mains vinrent rejoindre ma bouche au niveau de son entrejambe, les écartant au maximum pour que rien ne soit caché à ma vue. Affreusement gênée, Justine tenta de se redresser, glissant une main jusqu’à moi pour me faire comprendre qu’elle ne voulait pas continuer. Je lui assénai alors une claque douce mais ferme sur les fesses, lui ordonnant reposer sa main sur le mur et de me laisser faire. Un nouveau flot d’humidité s’échappa d’elle, trahissant le plaisir provoqué par mes paroles.

Je pris mon temps pour caresser ses lèvres, m’occupant soigneusement des grandes avant de m’acharner sur les petites, débordant de temps à autre sur ce clitoris qui trahissait son excitation. Elle tentait d’étouffer ses gémissements en mordant la peau de ses avants bras, mais je passai à la vitesse supérieure en insérant un doigt dans son vagin, puis un deuxième, puis un troisième. Mes mouvements, d’abord doux et de bas et haut, devinrent rapidement plus puissants et circulaires, lui arrachant de nouveaux gémissements. Elle recommença à me supplier, comme la veille au soir, mais cette fois je ne cédai pas à la tentation de la prendre sur le champ. Je reculai juste assez pour pouvoir observer ses deux petits trous totalement offerts, et commençai à passer de l’un à l’autre pour lubrifier le second avec l’humidité du premier. Justine posa le front contre le mur, haletante, et incapable de prononcer le moindre mot. Au comble de l’excitation, je finis par me redresser pour me placer juste derrière elle, l’entourant de mon corps et glissant doucement mon membre le long de sa chatte mais sans la pénétrer. Je lui mordillai le lobe de l’oreille avant de lui demander :

« Tu en as envie, hein ?
-Oui (sa voix était faible et suppliante, un véritable régal).
-Mais je ne suis pas sûr que tu l’ai mérité, tu n’as pas été très sage ce soir. Tu as bu, et je sais que beaucoup de garçons t’ont regardé avec envie.
-Ce n’est pas de ma faute ! Je ne peux pas les empêcher de me regarder…par pitié Adrien, j’ai vraiment trop envie de toi. »

Elle commença à onduler du bassin, espérant ainsi me faire craquer. Mais je l’immobilisai fermement, encouragé à résister par l’idée d’une promesse que je voulais lui arracher.

« Peut-être, mais moi ça ne me plaît pas. Je veux bien te pardonner, mais alors tu dois me jurer quelque chose.
-Tout ce que tu veux !
-Tu ne refuseras rien de ce que je voudrai te faire cette nuit, ni les suivantes, et tu me feras confiance aveuglément. Promets-le.
-Je le jure ! Je te jure que je ferai tout ce que tu veux, mais je t’en prie… »

Alors j’accédai à sa demande en faisant pénétrer d’un seul coup tout la longueur de mon chibre dans sa chatte encore un peu serrée. Elle ne put retenir un cri de surprise et de plaisir mêlé alors que je la plaquai fermement contre le mur en appuyant mon torse contre son dos. Je posai mes mains sur les siennes pour m’assurer qu’elle ne les déplaçait pas, et commençait à la pilonner avec force, lui arrachant de nouveaux cris. Elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte, vision qui m’encouragea à continuer. Puis je fis lentement glisser l’une de mes mains le long de son dos jusqu’à la raie de son petit cul, dans lequel j’introduisis doucement mon doigt. Elle se cabra légèrement, mais ne tenta pas de résister, trop obnubilée je pense par le plaisir. Comme la veille, je la sentis se crisper soudain puis se détendre d’un seul coup, alors que des frissons la parcouraient en tout sens. Un flot humide et chaud coula lentement autours de mon membre et sur mes boules, m’encourageant à me libérer moi aussi.

Essoufflé et tremblant de plaisir, je me laissais un peu aller en avant, l’immobilisant entre le mur et mon corps. Elle ne disait rien, mais je sentais ses jambes trembler également, et le soupçonnai de ne plus tenir debout que grâce à notre position. Après plusieurs minutes, je réussi à reprendre mes esprits et déposais tendrement les lèvres dans son cou, remontant jusqu’à son oreille sur laquelle je soufflai doucement. Elle frissonna, tout son corps encore à vif de ce que nous venions de partager. Si elle avait su ce que je lui réservai encore…

Je retirai ma queue de son vagin, mais lui fit comprendre par une pression sur les épaules qu’elle ne devait toujours pas bouger. Il me fallut quelques minutes pour me déshabiller moi aussi, puis pour retrouver le lubrifiant que j’avais acheté dans l’après-midi. Justine tendit le cou en arrière pour tenter de voir ce que je faisais, l’appréhension se lisait sur ses traits. Imperturbable, je revins me placer derrière elle, pressant le tube pour faire couler le liquide froid entre ses fesses. J’entrepri alors de les masser délicatement, en me rapprochant de plus en plus de ce petit trou si serré. Rebondi, ferme et doux, son fessier était un régal pour mes mains, et il me permit de reprendre rapidement de la vigueur. Mon index commença à titiller doucement son anus, puis pénétra en elle avec aisance grâce au lubrifiant. Lorsqu’elle comprit ce que je prévoyais de faire, Justine voulut se retourner, mais je l’en empêchais en plaquant à nouveau mon torse contre son dos.

« Chuuut… Tu m’as promis de me faire confiance, et de tout accepter ce soir… Il faut tenir ta promesse… ».

Visiblement choquée, elle consentit à me laisser continuer mais tout son corps, désormais tendu, trahissait son appréhension. Mon index continua à titiller ce petit trou, bientôt rejoint par un deuxième doigt. Ils s’enfoncèrent de plus en plus profondément en elle. Toujours près de son oreille, je lui murmurai, pour l’exciter :

« Tu vas voir, tu vas adorer ça… Ma queue va encore te faire hurler de plaisir, et tu vas en redemander, j’en suis sûr… J’adore te sentir jouir et me supplier de continuer… tu es vraiment faite pour la baise… »

Je n’avais pas envie de montrer vulgaire et de l’insulter, je l’aimai trop pour ça. Mais mes paroles eurent leur effet, et je sentis qu’elle commençait à se relâcher un peu. Ma main libre s’égara jusqu’à ses seins, les pétrissant et les malaxant sans douceur. Je saisis l’un de ses tétons entre mon pouce et mon index pour le pincer et l’étirer doucement. Son souffle s’accéléra et ses yeux se fermèrent alors qu’elle s’abandonnait à moi.

Profitant de ce qu’elle était totalement détendu, je fis remonter ma queue jusqu’à son cul, la frottant doucement contre ce petit trou encore vierge. Mon membre est loin d’égaler ceux des apollons des films télévisés, surtout en longueur, mais il est doté d’un calibre intéressant, avec lequel je devais me montrer prudent pour une première fois par ce côté. Je pris donc mon temps pour l’exciter, la caressant autant que c’était nécessaire, et n’hésitant pas à me servir de mes deux mains pour écarter ses délicieuses fesses. Je me glissai ensuite en elle avec une infinie douceur, seulement sur quelques centimètres, avant de me retirer. Je recommençai l’opération plusieurs fois, de plus en plus vite, et un peu plus profondément à chaque fois. Justine avait recommencé à gémir, mordant son poing pour ne pas crier. Je l’entendais murmurer « pitié, pitié, pitié » mais j’aurai juré qu’elle ne savait pas elle-même si elle me demandait d’arrêter ou de continuer. De plus en plus excité, je finis par la pénétrer totalement, lui arrachant un cri de douleur et de plaisir mêlés.

Ma queue et mon gland étaient délicieusement enserrés par ce petit trou que je défonçai de plus en plus fort, ne cherchant plus à retenir mes propres râles de plaisir. Je suais à grosses gouttes, ne ménageant pas ma peine, un peu plus excité à chacun de ses cris. Le seul moment où je faillis tout arrêter fût celui où j’aperçus les larmes qui ruisselaient le long de ses joues. Horrifié, je cessai de la pilonner, l’entourant de mes bras, caressant son visage en lui disant que j’étais désolé, mais elle secoua la tête en me regardant, m’avouant qu’elle pleurait de plaisir autant que de douleur, et qu’elle voulait que je continue à la baiser comme ça. Soulagé, je ne fis pas prier et mit plus de cœur à l’ouvrage pour la peine.

Je sentais l’excitation monter, bouillonner dans mon sang et envahir l’ensemble de mon corps, se rapprochant à chaque instant de son paroxysme. Je savais que j’allais bientôt exploser, littéralement. Alors, et je suis encore incapable aujourd’hui de dire pourquoi j’ai fait ça, je me suis penché en avant pour la mordre à cet endroit où la nuque devient la naissance de l’épaule, un peu comme un lion saisissant sa femelle entre ses crocs au moment de la reproduction. Aussitôt, je l’ai senti se tendre en avant, ouvrant les lèvres pour pousser un cri mais n’ayant plus assez de souffle pour le faire sortir de sa gorge. Ma queue explosa littéralement dans son petit cul, avec une telle puissance qu’elle en fut expulsée, mon foutre se répandant généreusement sur sa raie et ses fesses. Je crois que j’ai perdu contact avec la réalité pendant quelques minutes, parce que l’instant suivant je nous retrouvais tous les deux allongés sur le carrelage froid, haletants, et incapables de nous toucher tant nos corps étaient à vif.

Il nous fallut un long moment avant de pouvoir faire le moindre geste, mais ce fût finalement la froideur du carrelage qui eut raison de l’épuisement de Justine. Elle se redressa avec des gestes précautionneux et hésitants, un peu comme si elle était ivre ou stone. C’était peut-être le cas : mon propre esprit semblait complètement à la dérive, analysait chaque information avec un temps de retard. J’ignorai que le plaisir intense pouvait avoir cet effet. Je l’observai se relever doucement, serrant un peu les dents au moment de pousser sur ses jambes. Mon regard se posa alors sur son petit cul tout poisseux de mon foutre, qui avait même coulé le long de sa cuisse, et une sorte de fierté primaire m’envahit, comme si ce liquide était la marque de ma propriété. Je fus un instant choqué de mes propres pensées et sentiments, dans lesquelles je ne me reconnaissais pas. Je n’étais plus moi-même auprès d’elle…

A moins que, au contraire, ce soit dans ces moments là que ma personnalité se révèle vraiment, ne s’embarrassant plus d’une vaine timidité et des diktats comportementaux imposés par mon entourage ?

J’étais tout à ces pensées lorsque le bruit caractéristique d’une douche qu’on enclenche me ramena à la réalité. Oubliant soudain ces questions existentielles, je me levai rapidement pour la rejoindre dans la salle de bain, d’autres idées coquines fusant déjà dans mon esprit. La nuit, tout comme l’avenir, me semblait soudain extrêmement prometteur et riche en surprises…

Si ce récit vous a plût, peut-être vous en raconterais-je quelques unes une prochaine fois.
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Histoire de Ad.

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Commentaires du récit : Adultère

Le 25/11/2009 - 23:32 par lyna
Super histoire!! on a envie d'en avoir plus!! hum un régal
Le 20/11/2009 - 18:06 par Ad.
Ravi de voir que notre récit à pu plaire à l'une des auteurs les plus fameuses (et ma préférée ;) de ce site ! Au plaisir de te lire bientôt dans de nouveaux écrits... le récit d'une autre week end est déjà en cours de préparation, mais n'hésitez pas à laisser des commentaires et des critiques pour que je m'améliore.
Le 20/11/2009 - 13:07 par babyboo7788
Un grand bravo pour cette histoire... Vraiment j'adore...

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