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Adultère autorisé

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 21/07/2022

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Me revoilà après plusieurs mois sans récit. Il faut dire que vu que mes récits ont tous une part plus ou moins grande de vérité et que ma vie sexuelle de ces derniers temps n'est pas spécialement ultra épanouissante je n'avais pas grand chose à vous écrire. Enfin voilà le pourquoi de cette histoire et le comment Julie et moi on s'est retrouvés.

Donc comme je le disais en introduction cela faisait 3 ou 4 mois qu'entre Julie et moi sexuellement c'était moins fluide, moins charnel et plus rapide aussi. Jamais notre libido ne s'est retrouvée basse aussi longtemps même après la naissance de nos 3 enfants. Au bout d'un moment on s'est dit les choses ouvertement. Julie me dit:
- on peut pas continuer comme ça. Amicalement, parentalement, amoureusement tout va bien mais sexuellement même si on fait toujours l'amour aussi fréquemment c'est la plupart du temps à chier.
- je ne peux pas te donner tort hormis un ou 2 plutôt bons les autres fois c'est largement en dessous de la moyenne. Et je sais que je suis en partie responsable.
Elle me rassura en disant:
- après il y a eu les évènements de la vie courante, le réorganisation dans ton travail, mon nouveau boulot ou j'ai l'impression que je dois faire mes preuves tous les jours ce qui fait que je suis peut-être moins dans l'envie actuellement et plus irritable.
Je fus soulagé un court instant, tout n'était pas de ma faute. Je fis mon méa culpa quand même.
- oui je sais tout ça et je sais aussi qu'il ne faut qu'une étincelle pour que le feu reprenne. Malheureusement perso et même si je fais tout mon possible je n'arrive pas à provoquer cette étincelle.

Une fois cette situation évoquée et évacuée Julie me precisa aussi que ça faisait un mois qu'elle se faisait draguer par un client du cabinet dentaire où elle travaille et que même si elle ne se voit pas finir sa vie avec une autre personne que moi une petite incartade sexuelle lui ferait le plus grand bien. Je lui demanda sans aucune jalousie ni même ressentiment :
- et il ressemble à quoi ce type ? Il t'a réellement fait des avances ou il a juste été un peu plus courtois avec toi qu'avec tes collègues ?
Elle me coupa la parole:
- vous êtes très jolie Julie, j'espère que mes soins vont se prolonger afin que j'ai la chance de vous voir un maximum de fois. Et j'aimerais beaucoup apprendre à vous connaître davantage personnellement et pas seulement dans le cadre de votre travail. Le tout susurrer à mon oreille quand je le raccompagnait à la porte ça te semble assez clair ou faut que j'attende qu'il me mette une main au cul pour être sûr qu'il me drague. Sinon pour répondre à ta question c'est pas trop mon style ( grand, chauve, une barbe épaisse et fournie et pas loin de la soixantaine ) mais dans le village où je travaille il a la réputation d'être un super bon coup.
- non ça ira c'est sûr qu'il te drague. Et que comptes tu faire?
Elle répondit:
- j'en sais rien. Le mec ( Fabrice ) est sûr de lui, présente bien, est blindé et c'est un bon coup et vue notre vie sexuelle du moment je me dis autant en profiter. Surtout que peut-être que ce sera le moyen de relancer notre libido. Qui ne tente rien n'a rien.
- en gros tu me demande ma bénédiction pour aller t'envoyer en l'air lui dis-je un peu taquin.
- pas spécialement je t'en parle car on s'est toujours parlé de tout.

Après une nuit légèrement agité pour ma part mais porteuse de précieux conseils j'envoie un SMS à ma femme pour qu'elle l'ait à son réveil. Ce SMS disait.
J'ai beaucoup réfléchi, je suis d'accord mais il y aura des règles à respecter.
- tu me racontes tout.
- tu ne couches pas plus de 3 fois avec une même personne ( pour éviter les sentiments ) même si c'est excellent.
- je choisis tes habits en cas de rencard.
- et enfin et peut-être le point le plus important avoir mon consentement avant qu'il ne se passe quoi que ce soit.
La suite du SMS disait tu as mon consentement donc tu peux répondre aux avances de Fabrice.

Le soir même Julie vient se blottir contre moi dans le lit et m'expliqua avoir discuter de Fabrice avec de ses collègues. Elles lui ont toutes dit que Fabrice était un coureur de jupons qui savait la plupart du temps arriver à ses fins. Il a tenté sa chance avec tout le cabinet dentaire et a couché avec au moins la patronne et 2 assistantes. Il a même eu une liaison suivie avec Ophélie celle que je remplace et qui a préféré changer de région quand Fabrice l'a larguée. Elles m'ont aussi fait comprendre que si c'était dans le but de m'amuser fallait pas que j'hésite mais si c'était pour du sérieux il fallait que je passe ma route sinon on risquait de me ramasser a la petite cuillère. Je répondis :
- de toute façon c'est juste pour voir si la flamme repart donc on ne te ramassera pas.
- c'est sûr mais disons que le fait qu'il baise à tout va me donne l'envie de le faire mariner un petit peu. Pas forcément trop longtemps car il faut voir si notre appétit sexuel reprend mais bon je veux pas passer une une fille facile non plus. Je vais souffler le chaud et le froid. Tu m'habilleras sexy tant que j'aurais pas décidée qu'il pourra me faire l'amour.

Une semaine venait de se passer depuis cette fameuse discussion. Un soir en rentrant du boulot Julie me dit:
- j'ai vu Fabrice aujourd'hui, je lui ai reparlé de ses propos de la dernière fois et que même si j'étais mariée j'acceptais d'apprendre à la connaître. Par contre et malgré le fait qu'il est une très bonne situation je refuserais toute invitation dans des lieux où le repas coûte plus de 150€. Il m'a répondu :
- pas de souci donnez moi votre numéro je vous envoie l'adresse demain pour mercredi soir après votre travail. Moi un peu paniqué je répliqua :
- mercredi après demain?
- t'inquiète pas me rassura t'elle tu sais bien qu'il ne se passera rien le premier soir je compte bien le faire patienter.

Nous avons passer plus de 2 heures à choisir sa tenue, assez outrancière pour qu'il se fasse des idées mais assez classe aussi car le look traînée avec ce genre d'homme c'est très moyen et ça risque de couper court à toute possibilité. Finalement vu que nous sommes en canicule très avancé pour un mois de juin nous avons opté par une robe rouge assez décolleté, avec un soutien gorge push-up rouge aussi et une culotte en dentelle rouge. Des tongs pour finir la tenue car avec cette chaleur pas possible de mettre des ballerines à cause de la transpiration et les talons c'est pas la tasse de thé de ma femme. Je dois avouer avoir très mal dormi malgré le fait que je sache très bien qu'il ne se passerait rien.

Le mardi rien de spécial, elle reçu juste un texto lui indiquant un resto au milieu de la presqu'île de Lyon dont j'ai perdu le nom et Julie en allant voir la carte remarqua que Fabrice avait respecter le deal les menus oscillaient entre 39 et 64 €. Puis mercredi fut arrivé. Malgré toutes les paroles rassurantes de Julie j'étais tendu. Je me posais 1000 questions, la tenue n'en montre t'elle pas trop, est ce que ça va relancer notre sexualité, est ce qu'elle ne va pas développer des sentiments ( même sans parler d'amour ) pour cet homme, si il est blindé ne va t'il pas lui faire miroiter des choses.. Vers 19h30 je reçus un MMS de Julie une photo d'elle magnifique dans cette robe que j'aime tant qu'elle mette. Avec pour titre prête pour l'exciter avec 😉😉😉. La soirée me parut interminable, je regardais mon téléphone toutes les 5 minutes en espérant avoir des nouvelles du déroulement de le soirée. Mais après 2 nuits sans trop bien dormir et 2 après midi ou j'ai un peu forcé sur le sport je suis tombé de fatigue et je me suis endormi. J'étais tellement éclaté que je n'ai même pas entendu Julie rentrer et se coucher à côté de moi.

Le lendemain matin chose très rare Julie se leva en même temps que moi. Elle voulait tout me raconter de vive voix et qu'elle ne voulait pas me laisser attendre toute la journée à me torturer l'esprit et attendre ce soir pour avoir des réponses à mes questions. Je commença :
- désolé pour hier soir j'ai essayé de t'attendre mais je suis tombé de fatigue.
- pourtant je suis pas rentré spécialement tard mais j'ai pas fait de bruit en voyant que tout était éteint en rentrant.
Je lui demanda:
- alors ce repas comment ça c'est passé ?
- j'étais en retard, je suis donc arrivée devant le restaurant, il m'attendait dehors avec un bouquet de fleurs.
Je répliqua :
- ah ouais le mec séducteur.
- donc je lui dis excusez-moi...
À ce moment précis il pose son doigt sur ma bouche et me dit:
- Julie on est pas en rendez-vous professionnel, mais en rendez-vous tout court donc ce soir ce sera tu.
- très bien excuses moi pour le retard mais un petit souci avec une cliente au cabinet donc je suis partie en retard.
- pas besoin de t'excuser, tu es venue c'est le principal. Et je dois avouer que tu es encore plus belle sans masque.
Je la coupais dans son explication :
- ok mais c'est pas ça comment ça s'est passé, est ce qu'il t'as fait des avances, tu en es où dans ton cheminement de coucher avec lui pour relancer notre couple.
- déjà on a très bien mangé, tout au long du repas ses yeux se baladaient de mon visage à mes seins. Il n'a pas arrêté de me complimenter sur ma tenue, ma beauté,mon charme...
Elle continua son explication et termina par ces mots:
- mais en dehors de cela il est pas du tout mon genre, trop chauve, trop barbu, trop vieux, beaucoup trop sur de lui et assez macho. Si ça avait été un rencard banal je ne l'aurais jamais revu.
- donc tu vas le revoir.
- oui mais il ne le sait pas encore.
- c'est a dire.
Elle rajouta:
- en sortant du restaurant il m'a demandé d'aller boire un verre chez lui, ce que j'ai refusé. Il m'a alors dit:
-une prochaine fois alors et je lui ai répondu:
- qui te dit qu'il y aura une prochaine fois, je suis une femme mariée et respectable.

Après cette discussion Julie m'embrassa et me fis cette confidence :
- en fait ça m'a plu hier de faire ma midinette, de jouer la femme atteignable mais distante et surtout ça m'a plu de me sentir désirable dans d'autres yeux que les tiens.
J'étais sur le cul, il fallait que Julie se prête à ce genre de jeu pour se sentir attirante. Elle ne voit donc pas les regards dans la rue, elle ne voit donc pas les regards de ses collègues ou clients du cabinet. Je lança :
- mais mon amour tu devrais savoir tout ça. Déjà je te dis très souvent que j'estime avoir énormément de chance d'être avec toi. Ensuite on a eu quelques expériences ou d'autres hommes ou femmes ont couchés avec toi sans jamais hésiter ( cf mes différents histoires).
- oui mais tu sais bien que la confiance en moi c'est pas ce qui me caractérise le plus.
Effectivement elle avait raison, nos séances de sexe les plus endiablées avaient pour la plupart eu lieu quand je lui disais qu'elle était belle, que j'avais envie d'elle, que j'adorais son corps et sa petite chatte. Depuis quelques mois et son changement de boulot on est en horaire décalé et du coup on a beaucoup moins de temps pour se câliner, se faire des compliments, prendre du temps pour l'autre.
Julie eu 2 autres rendez vous avec Fabrice où il ne s'est rien passé. Chaque fois je choisissais des vêtements en montrant toujours plus. Limite provocante mais toujours classe. Il fallait que Fabrice bave devant elle, il fallait qu'il l'a désire. Ça a marché car après chaque rendez-vous Julie était radieuse et resplendissante. Ce fut un mal pour un bien car nos parties de jambes en l'air redevenait intéressantes. Puis un soir je reçus un SMS de Julie qui disait Fabrice est venu me chercher à la sortie du travail, je vais manger avec lui. J'ai répondu que ce n'était pas le deal, que j'avais pas pu lui choisir comment s'habiller. Ce message est resté sans réponse car elle avait du éteindre son portable. Je l'ai attendu une bonne partie de la nuit. Mais vers 1h00 du matin je me suis endormi. À mon réveil à 5h45 Julie n'était pas rentrée, elle avait donc decouchée. Je regarda mon portable, mon message était toujours en attente. La journée allait être longue jusqu'à ce que je rentre auprès de ma femme. Je savais que je la verrais cet après-midi car c'était son jour de congé hebdomadaire. La matinée avait bien avancée quand mon téléphone retentit. C'était Julie qui m'avait laissé un message sur WhatsApp qui disait qu'elle partait de chez Fabrice et que comme prévu elle me raconterait tout une fois que je serais rentré. Le reste de ma tournée ( je suis toujours facteur ) me paru interminable.

A peine arrivé à la maison que Julie m'embrassa comme rarement ces derniers temps. Puis sans même que je la questionne elle me raconta sa soirée:
- ne m'interromps pas, je répondrais à toutes tes questions après mais laisse moi allez au bout avant.
Je fis juste un signe de tête pour marquer mon approbation.
Julie repris son histoire :
-comme tu le sais donc Fabrice est venu me chercher à mon travail. Je lui ai précisé que je n'avais ni de quoi me changer ni le nécessaire pour me doucher avant de sortir. Il m'a dit:
- pour ce qui est de te changer j'ai fait quelques achats pour toi et ces derniers t'attendent dans ma salle de bain, si tu veux bien te joindre à moi pour dîner ce soir, tu pourras donc te laver et te changer.
Après un léger temps d'hésitation j'ai accepté son invitation mais je l'ai prévenu que je devais t'avertir. Cela ne l'a pas dérangé il m'a juste fait promettre d'éteindre mon téléphone si tôt que je t'aurais prévenu et de ne pas la rallumer tant que je ne l'aurais pas quitté. Puis il me dit:
- tu sais Julie même au naturel tu es belle et je n'aurais en aucun cas été choqué que tu sortes avec moi comme tu es habillée.
- je suis flattée par tant de délicatesse mais en étant très franche je ne pense pas que ma tenue de travail soit la plus adaptée pour un dîner ni la plus adéquate pour me mettre en valeur. Après si tu ne m'avais proposé ni douche ni vêtements j'aurais certainement refusé..
Après avoir bu un verre d'eau elle continua son histoire :
- je suis monté dans sa voiture et une fois arrivé chez lui il me montra l'immense salle de bain avec un jacuzzi au milieu de la pièce puis me dit de prendre mon temps que le restaurant n'était réservé que pour 21h00. Je me prélassa un long moment puis une fois lavée et séchée je choisis des habits. Il y en avait pour tous les goûts. J'optais finalement pour une mini jupe en jean et un haut a manches longue blanc moulant. Niveau sous vêtements heureusement que j'en ai toujours de rechange dans mon sac à main. Après m'avoir complimenté sur ma tenue nous sommes partis au restaurant. La route me disait quelque chose et effectivement nous sommes aller dîner au Ti Punch de la Réunion ( on avait déjà été mangé la bas avec Julie ) . Nous avons juste pris un plateau dégustation pour nous deux. J'ai goûter du boudin très épicé. A ce moment là Fabrice me sort la phrase suivante:
- quand tu auras le mien dans la bouche tu verras qu'il est plus doux.
- je ne sais pas si c'est l'alcool ou alors que j'étais disposée à coucher avec lui mais pour seule réponse je lui souris. Tout au long du repas il m'a fait des allusions sexuelles, et je sentais mon entrejambe commencer à sérieusement s'humidifier. Je me suis prise au jeu et j'ai commencé à lui caresser la cuisse avec ma jambe par dessous la table. Plus j'intensifiais ma caresse, plus il faisait des allusions salaces et plus je mouillais. Autant te dire que vue la tension sexuelle entre nous deux le dessert fut rapidement expédié. Lors du chemin retour pour retourner chez lui il a mis sa main sur ma cuisse dénudée et moi j'avais ma main sur sa nuque. Dès la voiture garée nous nous sommes embrassés et je remouillais de plus belle. Intérieurement j'essayais de me calmer, je me disais putain Julie respire, tu n'es plus une pucelle qui mouille juste pour des mots ou un baiser. Mais rien n'y faisait mon excitation était à son summum. Une fois passé la porte d'entrée il m'a plaqué contre la porte, m'a bloqué les mains dans le dos avec une main et m'a déshabillée de sa main libre.

Malgré tout ce qu'elle me racontait et sa future tromperie je sentais mon sexe gonflé dans mon pantalon. Julie le remarqua bien et s'en amusa en me faisant l'allusion suivante:
- au moins toi quand tu bandes ça se voit contrairement à Fabrice.
Puis elle reprit son histoire :
-je me retrouvais totalement nue devant cet homme prête à me faire prendre. Il me contemplait tel un trophée avec un regard annonçant un nuit ardente.
- alors madame la femme mariée où est passé ta respectabilité ? Tu es à poil devant un inconnu, et je vais te baiser jusqu'à l'épuisement.
- à ces mots je sentais mon clitoris gonflé prêt à être caressé et léché. Je sentais les tétons de mes seins devenir durs et prêts à être maltraités. Puis Fabrice se jeta sur mes seins, il les suçait avec voracité et torturait mes bouts en tirant dessus avec ses doigts. J'étais en chaleur mais je ne pouvais rien faire car il me bloquait toujours les mains dans le dos. Sa main libre caressait mon corps et je sentais ma cyprine commencé à s'écouler le long de mes cuisses. Puis sans aucune préparation il me rentra 3 doigts dans la chatte. Ils sont rentrés tout seul sans avoir à forcer le chemin vu comment je mouillais. Je soupirais de plaisir, j'étais à la foi heureuse de me faire doigter et ravie d'être totalement à sa merci car sa main me maintenait toujours les miennes dans mon dos. Puis il descendit son visage au niveau de mon sexe et me dévora le clitoris tout en laissant ses 3 doigts bien au fond de la chatte. A ce moment là j'eus mon premier orgasme de la soirée. Et il l'a bien senti car il m'a dit:
- tu vois ce que c'est qu'un vrai homme, tu vas pas regretter d'être venue ce soir. Je vais te baiser jusqu'à ce que tu me supplie d'arrêter.
Essoufflée par ce premier orgasme je répondis:
- c'est ce qu'on verra.
Je pensais réellement que mon appétit sexuel et le manque de jouissance de ces derniers temps allaient me permettre d'être plus endurante que lui. A ce moment là je ne savais pas que bien plus tard dans la soirée j'allais déchanter. Puis il lâcha l'étreinte sur mes mains et m'embrassa à pleine bouche. Je sentais nos langues se liées et partagées ma cyprine à sa salive. J'adore et tu le sais sentir le goût de ma mouille après un orgasme. J'activais mes mains sur sa ceinture. Une fois enlevée je déboutonnais les boutons de sa chemise. Une fois torse nu je fus presque surprise de le voir si bien conservé pour un homme de 58 ans. Il me replaqua contre la porte pour me manger les seins. Puis il m'attrapa par les cheveux et fixa son regard dans le mien. Il me chuchota à l'oreille :
- maintenant tu vas t'agenouiller et tu vas me supplier de t'offrir ma bite. Tu me baiseras les pieds et alors peut-être que je te l'offrirais. Ensuite je vais passer mon sexe sur ton visage. Une fois que j'aurais fini de jouer avec toi tu le prendras en bouche et tu me gratifieras de la meilleure fellation que tu n'as jamais donné.

- à ces mots je sentais mon bas ventre prendre feu et tout mon corps me paraissait être en fusion malgré la fraîcheur de sa maison ( les joies de la climatisation par cette chaleur ). Le fait qu'il me donne des ordres me donnait encore plus envie de lui. Il m'a tiré les cheveux et m'a forcé à me mettre à genoux. De toute façon même sans m'obliger je pense que je l'aurais sucé. Une fois à genoux je me retrouvais bloqué par Fabrice face à moi et la porte derrière. J'ôta le bouton de son pantalon et dézippa sa fermeture éclair. En un mouvement je le fis glisser jusqu'aux chevilles. Puis je lui ai enlevé complètement et j'en ai profité pour les retirer ses chaussettes au passage. J'ai lancé le tout derrière lui dans la pièce. Je voulus lui enlever son caleçon mais il m'a dit:
- j'aime pas qu'on me désobéisse, tu dois m'implorer avant de pouvoir goûter à mon sexe.
Julie poursuivi:
- je lui baisa les pieds, puis les chevilles et les cuisses. Je lui ai même lécher les pieds. Je lui disait Fabrice je veux ton sexe, je veux que tu me le passes tout entier sur le visage. Je te promets de te faire la meilleure pipe de ta vie. Debout face à moi je le voyais jubiler. Il me releva et me saisit la gorge puis me dit:
- tu veux me faire la meilleure fellation de toute ma vie soit mais j'ai pas intérêt d'être déçu sinon ta sentence sera encore pire compris?
- je hochais la tête en signe d'approbation puis il me fit remettre à genoux. Il abaissa son caleçon et je vis un sexe tout dur en sortir mais largement loin du tien. Pas en circonférence mais en longueur il devait à peine dépasser les 11 centimètres. Je me suis même demandé si mes collègues ne s'étaient pas foutue de moi sur le mec super coup et étincelant au lit. Puis comme il me l'avait annoncé il me l'a passa sur le visage. Il voulait que je la respire, que j'apprenne à la dompter. Puis il arriva sur mes lèvres. J'ouvris grand la bouche et sans aucune préparation il m'enfonça son sexe en entier dans la bouche. J'avais la tête bloquée par la porte.je ne pouvais donc pas me dégager. Littéralement il me baisait la bouche. Il faisait des allers retours comme si il était dans ma chatte. Je crois que jamais je n'ai subi un tel châtiment. En même temps il faut dire que sucer ne me dérange pas,mais en général les hommes se laissent faire dans ce genre de situation. Pour revenir à ce que me faisait subir Fabrice, je bavais sur son sexe car j'avais pas le temps d'avaler ma salive vu qu'il ne sortait pas de ma bouche. Je dois avouer que l'espace d'un instant je me suis dit il a quand même un sacré coup de rein. Au bout d'un long moment il s'arrêta, et je pris en bouche le morceau de chair pour faire des va-et-vient allant du gland jusqu'au bout de son sexe tantôt le léchant tantôt le prenant entre mes lèvres. Fabrice s'est alors raidi, et quelques secondes après m'a déversé tout son sperme dans la bouche. J'ai ouvert la bouche en le regardant puis je l'ai refermé et j'ai tout avalé. Il avait l'air aux anges son sourire allait d'une oreille à l'autre. Il m'a relevée, m'a fixé droit dans les yeux et m'a dit :
- c'est bien tu es une sacrée salope, une vraie chienne je sens que je vais bien m'amuser avec toi.

Je sentais mon sexe de plus en plus gonflé dans mon short, et Julie continua son histoire.
- je me suis rendu compte pendant qu'il me fixait dans les yeux et me traitait de tous les noms que son sexe était déjà en état de marche pour un deuxième round. Il me dit:
- après ta bouche je vais maintenant m'occuper de ta chatte. Julie poursuivit:
- je ne dis même aucun mot, je sentais de nouveau mon bas ventre prendre feu et mon entrejambe redevenir très humide. Il me prit par la main, et m'emmena dans sa chambre. A peine arrivée dans la pièce il me jeta avec force sur le lit et se jeta sur moi. Il me demande de mettre les fesses au bord du lit pendant que lui était agenouillé au sol. Il me bouffait la chatte avec une très grande délicatesse. Il savait s'y prendre c'est une certitude. Puis après m'avoir léché bien comme il faut il a aspiré mon clitoris avec ses lèvres et jouait avec mon petit bourgeon tantôt le mordillant, tantôt mettant des coups de langue dessus. J'étais en transe sur le lit le corps plein de frissons. J'en pouvais plus j'ai eu mon deuxième orgasme au moment ou un Ouiiiii est sorti de ma bouche. Pourtant Fabrice ne lâchait pas et continuait à jouer avec mon clitoris mais il avait maintenant mit 2 doigts dans ma chatte détrempée. Ses doigts cherchaient mon point G, et il l'a rapidement trouvé. En quelques secondes seulement un 3 ème orgasme s'empara de moi. J'étais en transe, j'avais qu'une envie sentir sa queue en moi. Je n'arrivais plus à sortir de phrase, juste des mots tellement ce dernier orgasme m'avait transporté. Je suppliais a boit de souffle pénètre moi, pénètre moi. J'étais totalement inerte sur le lit, 3 orgasmes en l'espace d'une demi heure ça a pas dû m'arriver souvent. La voix de Fabrice retentit:
- tu veux que je te baise alors fous toi à 4 pattes.

Après avoir bu un grand verre d'eau Julie repris son histoire :
- j'exécuta son ordre, il m'a défoncée en levrette pendant bien 30 minutes alternant le rythme et l'ondulation de son bassin. J'ai compris ce soir que le nombre de centimètres d'un pénis n'avait aucune incidence sur le plaisir. Car cette levrette restera dans les annales tellement c'était bon. Ce fut doux, sensuel, lent mais aussi sauvage, violent et rapide. Au bout d'une demi heure à 4 pattes j'avais mal au bras et je commençais à m'affaisser. A ce moment là Fabrice sortit son sexe et je sentis sa semence gicler sur les fesses. Il s'écroula sur moi en sueur. J'étais souillée par son sperme et sa transpiration. Mais sur le coup ça ne me dérangeait vraiment pas. Puis FaMe revoilà après plusieurs mois sans récit. Il faut dire que vu que mes récits ont tous une part plus ou moins grande de vérité et que ma vie sexuelle de ces derniers temps n'est pas spécialement ultra épanouissante je n'avais pas grand chose à vous écrire. Enfin voilà le pourquoi de cette histoire et le comment Julie et moi on s'est retrouvés.

Donc comme je le disais en introduction cela faisait 3 ou 4 mois qu'entre Julie et moi sexuellement c'était moins fluide, moins charnel et plus rapide aussi. Jamais notre libido ne s'est retrouvée basse aussi longtemps même après la naissance de nos 3 enfants. Au bout d'un moment on s'est dit les choses ouvertement. Julie me dit:
- on peut pas continuer comme ça. Amicalement, parentalement, amoureusement tout va bien mais sexuellement même si on fait toujours l'amour aussi fréquemment c'est la plupart du temps à chier.
- je ne peux pas te donner tort hormis un ou 2 plutôt très bons les autres fois c'est largement en dessous de la moyenne. Et je sais que je suis en partie responsable.
Elle me rassura en disant:
- après il y a eu les évènements de la vie courante, le réorganisation dans ton travail, mon nouveau boulot ou j'ai l'impression que je dois faire mes preuves tous les jours ce qui fait que je suis peut-être moins dans l'envie actuellement et plus irritable.
Je fus soulagé un court instant, tout n'était pas de ma faute. Je fis mon méa culpa quand même.
- oui je sais tout ça et je sais aussi qu'il ne faut qu'une étincelle pour que le feu reprenne. Malheureusement perso et même si je fais tout mon possible je n'arrive pas à provoquer cette étincelle.

Une fois cette situation évoquée et évacuée Julie me precisa aussi que ça faisait 1 mois qu'elle se faisait draguer par un client du cabinet dentaire où elle travaille et que même si elle ne se voit pas finir sa vie avec une autre personne que moi une petite incartade sexuelle lui ferait le plus grand bien. Je lui demanda sans aucune jalousie ni même ressentiment :
- et il ressemble à quoi ce type ? Il t'a réellement fait des avances ou il a juste été un peu plus courtois avec toi qu'avec tes collègues ?
Elle me coupa la parole:
- vous êtes très jolie Julie, j'espère que mes soins vont se prolonger afin que j'ai la chance de vous voir un maximum de fois. Et j'aimerais beaucoup apprendre à vous connaître davantage personnellement et pas seulement dans votre travail. Le tout susurrer à mon oreille quand je le raccompagnait à la porte ça te semble assez clair ou faut que j'attende qu'il me mette une main au cul pour être sûr qu'il me drague. Sinon pour répondre à ta question c'est pas trop mon style ( grand, chauve, une barbe épaisse et fournie et pas loin de la soixantaine ) mais dans le village où je travaille il a la réputation d'être un super bon coup.
- non ça ira c'est sûr qu'il te drague. Et que comptes tu faire?
Elle répondit:
- j'en sais rien. Le mec ( Fabrice ) est sûr de lui, présente bien, est blindé et c'est un bon coup et vue notre vie sexuelle du moment je me dis autant en profiter. Surtout que peut-être que ce sera le moyen de relancer notre libido. Qui ne tente rien n'a rien.
- en gros tu me demande ma bénédiction pour aller t'envoyer en l'air lui dis-je un peu taquin.
- pas spécialement je t'en parle car on s'est toujours parlé de tout.

Après une nuit légèrement agité pour ma part mais porteuse de précieux conseils j'envoie un SMS à ma femme pour qu'elle l'ai à son réveil. Ce SMS disait.
J'ai beaucoup réfléchi, je suis d'accord mais il y aura des règles à respecter.
- tu me racontes tout.
- tu ne couches pas plus de 3 fois avec une même personne ( pour éviter les sentiments ) même si c'est excellent.
- je choisis tes habits en cas de rencard.
- et enfin et peut-être le point le plus important avoir mon consentement avant qu'il ne se passe quoi que ce soit.
La suite du SMS disait tu as mon consentement donc tu peux répondre aux avances de Fabrice.

Le soir même Julie vient se blottir contre moi dans le lit et m'expliqua avoir discuter de Fabrice avec de ses collègues. Elles lui ont toutes dit que Fabrice était un coureur de jupons qui savaient la plupart du temps arriver à ses fins. Il a tenté sa chance avec tout le cabinet dentaire et a couché avec au moins la patronne et 3 assistantes. Il a même eu une liaison suivie avec Ophélie celle que je remplace et qui a préféré changer de région quand Fabrice l'a larguée. Elles m'ont aussi fait comprendre que si c'était dans le but de m'amuser fallait pas que j'hésite mais si c'était pour du sérieux il fallait que je passe ma route sinon on risquait de me ramasser a la petite cuillère. Je répondis :
- de toute façon c'est juste pour voir si la flamme repart donc on ne te ramassera pas.
- c'est sûr mais disons que le fait qu'il baise à tout va me donne l'envie de le faire mariner un petit peu. Pas forcément trop longtemps car il faut voir si notre appétit sexuel reprend mais bon je veux pas passer une une fille facile non plus. Je vais souffler le chaud et le froid. Tu m'habilleras sexy tant que j'aurais pas décidée qu'il pourra me faire l'amour.

Une semaine venait de se passer depuis cette fameuse discussion. Un soir en rentrant du boulot Julie me dit:
- j'ai vu Fabrice aujourd'hui, je lui ai reparlé de ses propos de la dernière fois et que même si j'étais mariée j'acceptais d'apprendre à la connaître. Par contre et malgré le fait qu'il est une très bonne situation je refuserais toute invitation dans des lieux où le repas coûte plus de 150€. Il m'a répondu :
- pas de souci donnez moi votre numéro je vous envoie l'adresse demain pour mercredi soir après votre travail. Moi un peu paniqué je répliqua :
- mercredi après demain?
- t'inquiète pas me rassura t'elle tu sais bien qu'il ne se passera rien le premier soir je compte bien le faire patienter.

Nous avons passer plus de 2 heures à choisir sa tenue, assez outrancière pour qu'il se fasse des idées mais assez classe aussi car le look traînée avec ce genre d'homme c'est très moyen et ça risque de couper court à toute possibilité. Finalement vu que nous sommes en canicule très avancé pour un mois de juin nous avons opté par une robe rouge assez décolleté, avec un soutien gorge push-up rouge aussi et une culotte en dentelle rouge. Des tongs pour finir la tenue car avec cette chaleur pas possible de mettre des ballerines à cause de la transpiration et les talons c'est pas la tasse de thé de ma femme. Je dois avouer avoir très mal dormi malgré le fait que je sache très bien qu'il ne se passerait rien.

Le mardi rien de spécial, elle reçu juste un texto lui indiquant un resto au milieu de la presqu'île de Lyon dont j'ai perdu le nom et Julie en allant voir la carte remarqua que Fabrice avait respecter le deal les menus oscillaient entre 39 et 64 €. Puis mercredi fut arrivé. Malgré toutes les paroles rassurantes de Julie j'étais tendu. Je me posais 1000 questions, la tenue n'en montre t'elle pas trop, est ce que ça va relancer notre sexualité, est ce qu'elle ne va pas développer des sentiments ( même sans parler d'amour ) pour cet homme, si il est blindé ne va t'il pas lui faire miroiter des choses.. Vers 19h30 je reçus un MMS de Julie une photo d'elle magnifique dans cette robe que j'aime tant qu'elle mette. Avec pour titre prête pour l'exciter avec 😉😉😉. La soirée me parut interminable, je regardais mon téléphone toutes les 5 minutes en espérant avoir des nouvelles du déroulement de le soirée. Mais après 2 nuits sans trop bien dormir et 2 après midi ou j'ai un peu forcé sur le sport je suis tombé de fatigue et je me suis endormi. J'étais tellement éclaté que je n'ai même pas entendu Julie rentrer et se coucher à côté de moi.

Le lendemain matin chose très rare Julie se leva en même temps que moi. Elle voulait tout me raconter de vive voix et qu'elle ne voulait pas me laisser attendre toute la journée à me torturer l'esprit et attendre ce soir pour avoir des réponses à mes questions. Je commença :
- désolé pour hier soir j'ai essayé de t'attendre mais je suis tombé de fatigue.
- pourtant je suis pas rentré spécialement tard mais j'ai pas fait de bruit en voyant que tout était éteint en rentrant.
Je lui demanda:
- alors ce repas comment ça c'est passé ?
- j'étais en retard, je suis donc arrivée devant le restaurant, il m'attendait dehors avec un bouquet de fleurs.
Je répliqua :
- ah ouais le mec séducteur.
- donc je lui dis excusez-moi...
À ce moment précis il pose son doigt sur ma bouche et me dit:
- Julie on est pas en rendez-vous professionnel, mais en rendez-vous tout court donc ce soir ce sera tu.
- très bien excuses moi pour le retard mais un petit souci avec une cliente au cabinet donc je suis partie en retard.
- pas besoin de t'excuser, tu es venue c'est le principal. Et je dois avouer que tu es encore plus belle sans masque.
Je la coupais dans son explication :
- ok mais c'est pas ça comment ça s'est passé, est ce qu'il t'as fait des avances, tu en es où dans ton cheminement de coucher avec lui pour relancer notre couple.
- déjà on a très bien mangé, tout au long du repas ses yeux se baladaient de mon visage à mes seins. Il n'a pas arrêté de me complimenter sur ma tenue, ma beauté,mon charme...
Elle continua son explication et termina par ces mots:
- mais en dehors de cela il est pas du tout mon genre, trop chauve, trop barbu, trop vieux, beaucoup trop sur de lui et assez macho. Si ça avait été un rencard banal je ne l'aurais jamais revu.
- donc tu vas le revoir.
- oui mais il ne le sait pas encore.
- c'est a dire.
Elle rajouta:
- en sortant du restaurant il m'a demandé d'aller boire un verre chez lui, ce que j'ai refusé. Il m'a alors dit:
-une prochaine fois alors et je lui ai répondu:
- qui te dit qu'il y aura une prochaine fois, je suis une femme mariée et respectable.

Après cette discussion Julie m'embrassa et me fis cette confidence :
- en fait ça m'a plu hier de faire ma midinette, de jouer la femme atteignable mais distante et surtout ça m'a plu de me sentir désirable dans d'autres yeux que les tiens.
J'étais sur le cul, il fallait que Julie se prête à ce genre de jeu pour se sentir attirante. Elle ne voit donc pas les regards dans la rue, elle ne voit donc pas les regards de ses collègues ou clients du cabinet. Je lança :
- mais mon amour tu devrais savoir tout ça. Déjà je te dis très souvent que j'estime avoir énormément de chance d'être avec toi. Ensuite on a eu quelques expériences ou d'autres hommes ou femmes ont couchés avec toi sans jamais hésiter ( cf mes différents histoires).
- oui mais tu sais bien que la confiance en moi c'est pas ce qui me caractérise le plus.
Effectivement elle avait raison, nos séances de sexe les plus endiablées avaient pour la plupart eu lieu quand je lui disais qu'elle était belle, que j'avais envie d'elle, que j'adorais son corps et sa petite chatte. Depuis quelques mois et son changement de boulot on est en horaire décalé et du coup on a beaucoup moins de temps pour se câliner, se faire des compliments, prendre du temps pour l'autre.
Julie eu 2 autres rendez vous avec Fabrice où il ne s'est rien passé. Chaque fois je choisissais des vêtements en montrant toujours plus. Limite provocante mais toujours classe. Il fallait que Fabrice bave devant elle, il fallait qu'il l'a désire. Ça a marché car après chaque rendez-vous Julie était radieuse et resplendissante. Ce fut un mal pour un bien car nos parties de jambes en l'air redevenait intéressantes. Puis un soir je reçus un SMS de Julie qui disait Fabrice est venu me chercher à la sortie du travail, je vais manger avec lui. J'ai répondu que ce n'était pas le deal, que j'avais pas pu lui choisir comment s'habiller. Ce message est resté sans réponse car elle avait du éteindre son portable. Je l'ai attendu une bonne partie de la nuit. Mais vers 1h00 du matin je me suis endormi. À mon réveil à 5h45 Julie n'était pas rentrée, elle avait donc decouchée. Je regarda mon portable, mon message était toujours en attente. La journée allait être longue jusqu'à ce que je rentre auprès de ma femme. Je savais que je la verrais cet après-midi car c'était son jour de congé hebdomadaire. La matinée avait bien avancée quand mon téléphone retentit. C'était Julie qui m'avait laissé un message sur WhatsApp qui disait qu'elle partait de chez Fabrice et que comme prévu elle me raconterait tout une fois que je serais rentré. Le reste de ma tournée ( je suis toujours facteur ) me paru interminable.

A peine arrivé à la maison que Julie m'embrassa comme rarement ces derniers temps. Puis sans même que je la questionne elle me raconta sa soirée:
- ne m'interromps pas, je répondrais à toutes tes questions après mais laisse moi allez au bout avant.
Je fis juste un signe de tête pour marquer mon approbation.
Julie repris son histoire :
-comme tu le sais donc Fabrice est venu me chercher à mon travail. Je lui ai précisé que je n'avais ni de quoi me changer ni le nécessaire pour me doucher avant de sortir. Il m'a dit:
- pour ce qui est de te changer j'ai fait quelques achats pour toi et ces derniers t'attendent dans ma salle de bain, si tu veux bien te joindre à moi pour dîner ce soir, tu pourras donc te laver et te changer.
Après un léger temps d'hésitation j'ai accepté son invitation mais je l'ai prévenu que je devais t'avertir. Cela ne l'a pas dérangé il m'a juste fait promettre d'éteindre mon téléphone si tôt que je t'aurais prévenu et de ne pas la rallumer tant que je ne l'aurais pas quitté. Puis il me dit:
- tu sais Julie même au naturel tu es belle et je n'aurais en aucun cas été choqué que tu sortes avec moi comme tu es habillée.
- je suis flattée par tant de délicatesse mais en étant très franche je ne pense pas que ma tenue de travail soit la plus adaptée pour un dîner ni la plus adéquate pour me mettre en valeur. Après si tu ne m'avais proposé ni douche ni vêtements j'aurais certainement refusé..
Après avoir bu un verre d'eau elle continua son histoire :
- je suis monté dans sa voiture et une fois arrivé chez lui il me montra l'immense salle de bain avec un jacuzzi au milieu de la pièce puis me dit de prendre mon temps que le restaurant n'était réservé que pour 21h00. Je me prélassa un long moment puis une fois lavée et séchée je choisis des habits. Il y en avait pour tous les goûts. J'optais finalement pour une mini jupe en jean et un haut a manches longue blanc moulant. Niveau sous vêtements heureusement que j'en ai toujours de rechange dans mon sac à main. Après m'avoir complimenté sur ma tenue nous sommes partis au restaurant. La route me disait quelque chose et effectivement nous sommes aller dîner au Ti Punch de la Réunion ( on avait déjà été mangé la bas avec Julie ) . Nous avons juste pris un plateau dégustation pour nous deux. J'ai goûter du boudin très épicé. A ce moment là Fabrice me sort la phrase suivante:
- quand tu auras le mien dans la bouche tu verras qu'il est plus doux.
- je ne sais pas si c'est l'alcool ou alors que j'étais disposée à coucher avec lui mais pour seule réponse je lui souris. Tout au long du repas il m'a fait des allusions sexuelles, et je sentais mon entrejambe commencer à sérieusement s'humidifier. Je me suis prise au jeu et j'ai commencé à lui caresser la cuisse avec ma jambe par dessous la table. Plus j'intensifiais ma caresse, plus il faisait des allusions salaces et plus je mouillais. Autant te dire que vue la tension sexuelle entre nous deux le dessert fut rapidement expédié. Lors du chemin retour pour retourner chez lui il a mis sa main sur ma cuisse dénudée et moi j'avais ma main sur sa nuque. Dès la voiture garée nous nous sommes embrassés et je remouillais de plus belle. Intérieurement j'essayais de me calmer, je me disais putain Julie respire, tu n'es plus une pucelle qui mouille juste pour des mots ou un baiser. Mais rien n'y faisait mon excitation était à son summum. Une fois passé la porte d'entrée il m'a plaqué contre la porte, m'a bloqué les mains dans le dos avec une main et m'a déshabillée de sa main libre.

Malgré tout ce qu'elle me racontait et sa future tromperie je sentais mon sexe gonflé dans mon pantalon. Julie le remarqua bien et s'en amusa en me faisant l'allusion suivante:
- au moins toi quand tu bandes ça se voit contrairement à Fabrice.
Puis elle reprit son histoire :
-je me retrouvais totalement nue devant cet homme prête à me faire prendre. Il me contemplait tel un trophée avec un regard annonçant un nuit ardente.
- alors madame la femme mariée où est passé ta respectabilité ? Tu es à poil devant un inconnu, et je vais te baiser jusqu'à l'épuisement.
- à ces mots je sentais mon clitoris gonflé prêt à être caressé et léché. Je sentais les tétons de mes seins devenir durs et prêts à être maltraités. Puis Fabrice se jeta sur mes seins, il les suçait avec voracité et torturait mes bouts en tirant dessus avec ses doigts. J'étais en chaleur mais je ne pouvais rien faire car il me bloquait toujours les mains dans le dos. Sa main libre caressait mon corps et je sentais ma cyprine commencé à s'écouler le long de mes cuisses. Puis sans aucune préparation il me rentra 3 doigts dans la chatte. Ils sont rentrés tout seul sans avoir à forcer le chemin vu comment je mouillais. Je soupirais de plaisir, j'étais à la foi heureuse de me faire doigter et ravie d'être totalement à sa merci car sa main me maintenait toujours les miennes dans mon dos. Puis il descendit son visage au niveau de mon sexe et me dévora le clitoris tout en laissant ses 3 doigts bien au fond de la chatte. A ce moment là j'eus mon premier orgasme de la soirée. Et il l'a bien senti car il m'a dit:
- tu vois ce que c'est qu'un vrai homme, tu vas pas regretter d'être venue ce soir. Je vais te baiser jusqu'à ce que tu me supplie d'arrêter.
Essoufflée par ce premier orgasme je répondis:
- c'est ce qu'on verra.
Je pensais réellement que mon appétit sexuel et le manque de jouissance de ces derniers temps allaient me permettre d'être plus endurante que lui. A ce moment là je ne savais pas que bien plus tard dans la soirée j'allais déchanter. Puis il lâcha l'étreinte sur mes mains et m'embrassa à pleine bouche. Je sentais nos langues se liées et partagées ma cyprine à sa salive. J'adore et tu le sais sentir le goût de ma mouille après un orgasme. J'activais mes mains sur sa ceinture. Une fois enlevée je déboutonnais les boutons de sa chemise. Une fois torse nu je fus presque surprise de le voir si bien conservé pour un homme de 58 ans. Il me replaqua contre la porte pour me manger les seins. Puis il m'attrapa par les cheveux et fixa son regard dans le mien. Il me chuchota à l'oreille :
- maintenant tu vas t'agenouiller et tu vas me supplier de t'offrir ma bite. Tu me baiseras les pieds et alors peut-être que je te l'offrirais. Ensuite je vais passer mon sexe sur ton visage. Une fois que j'aurais fini de jouer avec toi tu le prendras en bouche et tu me gratifieras de la meilleure fellation que tu n'as jamais donné.

- à ces mots je sentais mon bas ventre prendre feu et tout mon corps me paraissait être en fusion malgré la fraîcheur de sa maison ( les joies de la climatisation par cette chaleur ). Le fait qu'il me donne des ordres me donnait encore plus envie de lui. Il m'a tiré les cheveux et m'a forcé à me mettre à genoux. De toute façon même sans m'obliger je pense que je l'aurais sucé. Une fois à genoux je me retrouvais bloqué par Fabrice face à moi et la porte derrière. J'ôta le bouton de son pantalon et dézippa sa fermeture éclair. En un mouvement je le fis glisser jusqu'aux chevilles. Puis je lui ai enlevé complètement et j'en ai profité pour les retirer ses chaussettes au passage. J'ai lancé le tout derrière lui dans la pièce. Je voulus lui enlever son caleçon mais il m'a dit:
- j'aime pas qu'on me désobéisse, tu dois m'implorer avant de pouvoir goûter à mon sexe.
Julie poursuivi:
- je lui baisa les pieds, puis les chevilles et les cuisses. Je lui ai même lécher les pieds. Je lui disait Fabrice je veux ton sexe, je veux que tu me le passes tout entier sur le visage. Je te promets de te faire la meilleure pipe de ta vie. Debout face à moi je le voyais jubiler. Il me releva et me saisit la gorge puis me dit:
- tu veux me faire la meilleure fellation de toute ma vie soit mais j'ai pas intérêt d'être déçu sinon ta sentence sera encore pire compris?
- je hochais la tête en signe d'approbation puis il me fit remettre à genoux. Il abaissa son caleçon et je vis un sexe tout dur en sortir mais largement loin du tien. Pas en circonférence mais en longueur il devait à peine dépasser les 11 centimètres. Je me suis même demandé si mes collègues ne s'étaient pas foutue de moi sur le mec super coup et étincelant au lit. Puis comme il me l'avait annoncé il me l'a passa sur le visage. Il voulait que je la respire, que j'apprenne à la dompter. Puis il arriva sur mes lèvres. J'ouvris grand la bouche et sans aucune préparation il m'enfonça son sexe en entier dans la bouche. J'avais la tête bloquée par la porte.je ne pouvais donc pas me dégager. Littéralement il me baisait la bouche. Il faisait des allers retours comme si il était dans ma chatte. Je crois que jamais je n'ai subi un tel châtiment. En même temps il faut dire que sucer ne me dérange pas,mais en général les hommes se laissent faire dans ce genre de situation. Pour revenir à ce que me faisait subir Fabrice, je bavais sur son sexe car j'avais pas le temps d'avaler ma salive vu qu'il ne sortait pas de ma bouche. Je dois avouer que l'espace d'un instant je me suis dit il a quand même un sacré coup de rein. Au bout d'un long moment il s'arrêta, et je pris en bouche le morceau de chair pour faire des va-et-vient allant du gland jusqu'au bout de son sexe tantôt le léchant tantôt le prenant entre mes lèvres. Fabrice s'est alors raidi, et quelques secondes après m'a déversé tout son sperme dans la bouche. J'ai ouvert la bouche en le regardant puis je l'ai refermé et j'ai tout avalé. Il avait l'air aux anges son sourire allait d'une oreille à l'autre. Il m'a relevée, m'a fixé droit dans les yeux et m'a dit :
- c'est bien tu es une sacrée salope, une vraie chienne je sens que je vais bien m'amuser avec toi.

Je sentais mon sexe de plus en plus gonflé dans mon short, et Julie continua son histoire.
- je me suis rendu compte pendant qu'il me fixait dans les yeux et me traitait de tous les noms que son sexe était déjà en état de marche pour un deuxième round. Il me dit:
- après ta bouche je vais maintenant m'occuper de ta chatte. Julie poursuivit:
- je ne dis même aucun mot, je sentais de nouveau mon bas ventre prendre feu et mon entrejambe redevenir très humide. Il me prit par la main, et m'emmena dans sa chambre. A peine arrivée dans la pièce il me jeta avec force sur le lit et se jeta sur moi. Il me demande de mettre les fesses au bord du lit pendant que lui était agenouillé au sol. Il me bouffait la chatte avec une très grande délicatesse. Il savait s'y prendre c'est une certitude. Puis après m'avoir léché bien comme il faut il a aspiré mon clitoris avec ses lèvres et jouait avec mon petit bourgeon tantôt le mordillant, tantôt mettant des coups de langue dessus. J'étais en transe sur le lit le corps plein de frissons. J'en pouvais plus j'ai eu mon deuxième orgasme au moment ou un Ouiiiii est sorti de ma bouche. Pourtant Fabrice ne lâchait pas et continuait à jouer avec mon clitoris mais il avait maintenant mit 2 doigts dans ma chatte détrempée. Ses doigts cherchaient mon point G, et il l'a rapidement trouvé. En quelques secondes seulement un 3 ème orgasme s'empara de moi. J'étais en transe, j'avais qu'une envie sentir sa queue en moi. Je n'arrivais plus à sortir de phrase, juste des mots tellement ce dernier orgasme m'avait transporté. Je suppliais a boit de souffle pénètre moi, pénètre moi. J'étais totalement inerte sur le lit, 3 orgasmes en l'espace d'une demi heure ça a pas dû m'arriver souvent. La voix de Fabrice retentit:
- tu veux que je te baise alors fous toi à 4 pattes.

Après avoir bu un grand verre d'eau Julie repris son récit :
- j'exécuta son ordre, il m'a défoncée en levrette pendant bien 30 minutes alternant le rythme et l'ondulation de son bassin. Cette levrette restera dans les annales tellement c'était bon. Ce fut doux, sensuel, lent mais aussi sauvage, violent et rapide. Au bout d'une demi heure à 4 pattes j'avais mal au bras et je commençais à m'affaisser. A ce moment là Fabrice sortit son sexe et je sentis sa semence gicler sur mes fesses. Il s'écroula sur moi en sueur. J'étais souillée par son sperme et sa transpiration. Mais sur le coup ça ne le dérangeait vraiment pas.Fabrice s'est relevé de sur moi pour aller prendre une douche. Il faut dire que ça faisait presque 1h45 qu'on faisait l'amour et même avec la climatisation la chaleur se faisait sentir. Me concernant j'étais toujours sur le lit à me demander comment un si petit sexe pouvait procurer autant de plaisir. J'étais encore dans un état de transe après ces 3 orgasmes. J'avais encore envie de sexe. Je voulais encore me faire prendre et reprendre même. Alors j'ai rejoint Fabrice sous la douche et lui ai sussurer à l'oreille il reste un trou que tu n'as pas encore visité. Il m'a répondu :
- je sais, mais c'est prévu après ma douche.
Je lui sourit et le gratifia d'une fellation pour qu'il soit près à m'honorer encore une fois sa douche terminée.

Me concernant je commençais à voir une érection vraiment très dure. Une bosse énorme déformait mon short et j'avais envie de prendre ma femme. Mais avant je voulais surtout qu'elle finisse son histoire. Julie continua donc:
- après sa douche nous sommes retournés sur le lit, et Fabrice était toujours aussi autoritaire.
- à 4 pattes et cambre toi bien que j'ai une vue imprenable sur ton cul.
- encore une fois pour la énième fois de la soirée j'executais un de ses ordres. Une fois bien cambrée et donc mes fesses bien remontées je sentis ses 2 mains les écarter et une langue fouiller mon anus. Cette langue était douce et je me délectais de cette caresse anale très appréciable. Plus ça allait plus je perdais pied, ma tête s'enfouissant encore plus dans les coussins et par conséquent mon cul remontant encore un petit peu. Je ne crois pas avoir déjà autant cambrée, mais à ce moment précis j'avais l'impression de n'être qu'un trou a remplir. J'avais perdu toute notion de temps, d'espace et de respectabilité. Je voulais juste jouir et encore jouir. Cette délectation qu'il prennait à me manger l'anus et me sentir réellement chienne comme je n'avais pas été depuis extrêmement longtemps m'ont emmené au 4 ème orgasme. Puis au bout d'une dizaine de minutes il se retira et je sentis un liquide frais couler le long de mon sillon inter fessier. Malgré m'avoir détendu mon trou à coup de langue il avait prévu du lubrifiant. Il étalait avec ces doigts en faisant des ronds sur mon anus. Mon trou semblait de plus en plus souple. Ses caresses et ses baisers m'avaient détendue a tel point qu'il réussit à me doigter l'anus sans forcer l'entrée avec 2 doigts. Des longs mouvements longs et fluides afin que mon cul puisse accueillir sa bite. Cette verge qui m'a pris la bouche et la chatte allait bientôt rentrer dans mon petit trou comme tu aimes tant l'appeler.

J'étais consterné par autant de détachement dans ce qu'elle me racontait. À aucun moment elle n'a exprimé le moindre regret ni même une once de remords. Elle me racontait sa nuit torride avec un autre comme elle le ferait avec une bonne copine, sauf que j'étais son mari bordel. Mais ma consternation n'était pas la première chose qui me définissait à ce moment là. Ce qui me définissait c'était l'excitation. Ce qu'elle me narrait me donnait juste envie de lui faire l'amour. Mais Julie elle continuait son récit:
- puis Fabrice sortit ses doigts, remis du lubrifiant et inséra son sexe lentement et doucement afin de ne pas me faire mal. C'était vraiment un gentleman, autant il m'a martyrisé la bouche et punit ma petite chatte mais pour l'anus qui est plus délicat il a fait cela dans les règles de l'art. Une fois son sexe bien calé entre mes 2 fesses il commença ses va et vient. Une sensation de fortes chaleurs emplit mon ventre, je sentais le 4 ème orgasme approcher. Fabrice accéléra la cadence ce qui déclencha l'orgasme ainsi qu'un putain vas y casses moi le cul. Fabrice sortit, me retourna, me mit les génoux au niveau des oreilles de sorte à ce que j'ai l'anus face au plafond. Puis il me sodomisa en descente. C'était la première fois que j'étais prise ainsi et j'ai adoré. Il m'invectivait et me rabaissait plus bas que terre mais j'étais aux anges. Sa bite a été hier soir un cadeau du ciel. Il a continué à me sodomiser ainsi durant de longues minutes. Au moment de mon 5eme orgasme il arrosa mes 2 fesses de son foutre.

Julie a continué à me raconter ses frasques sexuelles d'hier soir pendant encore environ une heure. Elle arriva à la fin sur ces phrases:
- après le 6eme round j'étais KO. Il était 4h50 du matin, j'étais souillée et anéantie par tant d'orgasmes et de plaisir. Fabrice lui était prêt pour une autre partie de jambe en l'air mais je n'en voulais ni pouvais plus. Je lui dit c'est fini, je suis morte. Il me regarda un sourire en coin et me dit:
- tu vois que j'ai plus tenu que ce que tu pensais. Comme quoi le vieux il a de la ressource.
- je n'ai même pas répondu, pour le remercier je l'embrassa avec fougue. Puis nous sommes passés à la douche et nous nous sommes couchés vers 5h15. Ce matin au réveil Fabrice n'était plus là. Il y avait un mot sur la table du salon qui disait. Prends ton temps pour déjeuner, tu trouveras des croissants et des pains au chocolat dans le micro ondes. Je t'ai laissé le numéro d'un taxi pour qu'il te ramène à ta voiture, tu lui diras de mettre la course sur mon compte. Et en PS j'ai vraiment adoré hier soir on remet ça quand tu veux. Vers 11h45 j'ai appelé le taxi et je suis rentrée. Et je dois avouer que je ne pensais pas qu'un si petit sexe pouvait procurer autant de plaisir. J'ai compris hier que les centimètres n'ont rien à voir avec le plaisir.

Sur ces mots je ne tenais plus je sortis mon sexe pour me soulager et Julie se jeta dessus comme une affamée. Nous avons fait l'amour une bonne partie de l'après-midi ce qui ne nous était pas arrivé depuis un bail. Je ne sais pas ce que Fabrice a déclenché en elle mais depuis chaque fois qu'on fait l'amour depuis c'est un feu d'artifice. Il n'a pas seulement rallumer la flamme, il a réveillé un volcan endormi.
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Histoire de jjj

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