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L'inconnu du hammam

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 19/06/2022

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Paul, mon mari, et moi, résidons à Paris, dans le quinzième arrondissement. Cela fait cinq ans que nous sommes mariés. Paul est âgé de trente deux ans, moi de vingt huit.
Chaque année, nous avons l’habitude de passer un week-end dans un hôtel chic de la banlieue de Montpellier, pour l’anniversaire de nôtre première rencontre.
Nous nous sommes rencontrés à la faculté des sciences, et ne nous sommes plus quittés.
Nous connaissons très bien cet hôtel de luxe, pour y avoir passé nôtre première nuit ensemble. Cette nuit là avait été féerique, Paul s’avérant être un merveilleux amant, jusqu’à me faire atteindre plusieurs orgasme.
Sans être une accro, j’avoue aimer le sexe, et de ce côté, je n’ai pas à me plaindre de mon mari. Au fur et à mesure de nos relations, nous avons testés toutes les positions, toujours mises en pratique aujourd’hui. Comportant notamment, la visite de tous mes orifices.
J’avoue que parfois, en me regardant dans la glace, je trouve dommage de n’appartenir qu’à un seul homme, et que d’autres mâles ne puissent profiter de mes alléchant atouts. Mais le pacte signé à la mairie, déconseille toute infidélité.
En fait, je n’ai pas envie d’aller voir ailleurs, mon mari me satisfaisant pleinement.
Mais revenons à nôtre week-end.
C’est un établissement comportant un sauna en sous-sol.
Cet été, nous avons donc comme à nôtre habitude, réservé une suite pour passer une nuit romantique.
Après un copieux repas au restaurant, ou les regards de mâles affamés de sexe, lorgnaient sur mes interminables jambes, nous regagnons nôtre chambre.
Paul, impatient, me prit dans ses bras, me demanda si je voulais. Comment lui refuser, d’autant que j’avais envie de sentir une bonne queue dans ma chatte.
Il était minuit, lorsque après un torride câlin, nous décidons d’aller au spa, afin de calmer nos ardeurs. Le sauna restait ouvert une grande partie de la nuit.
Nous passons nos maillots de bains, enfilons un peignoir, et des sandales d’eaux. Nous regagnons les couloirs de l’hôtel, qui nous conduit aux ascenseurs, pour enfin regagner le spa. Nous rentrons dans la partie vestiaire, ou des casiers nous permettent de ranger nos effets.
Nous avançons en amoureux à la découverte du bassin à remous, du hammam, et du sauna. Tout pour permettre de nous relaxer, après nôtre soirée sexe.
Nous décidons, dans un premier temps, de profiter du bassin à remous, pour commencer à nous détendre. Nous sommes seul, ce qui n’est pas surprenant, vue l’heure tardive. Bien évidemment, la chaleur, l’eau chaude, et les bulles parcourant nos corps, ne tardent pas à nous exciter.
Je me place derrière mon mari, laisse mes mains parcourir son torse. Sa peau, un peu trop imberbe à mon goût, s’irisent sous mes doigts, ses petits mamelons sont sous le contrôle de mes caresses, et je sens qu’il y est plutôt réceptif.
Je détache le haut de mon maillot, frotte ma poitrine contre son dos, ce qui excite le bout de mes seins, qui se développent intensément. Je glisse mes mains sur ses hanches, saisit les côtés de son maillot, et le tire vers le bas. D’un mouvement de pied, il parvient à le récupérer, et le jeter à côté du mien. Je passe mes bras autour de sa taille, lui caresse les couilles, et prend sa queue en main. Aussitôt, elle se déploie pour atteindre une maturité respectable. Je la décalotte, et laisse ma main aller et venir sur toute sa longueur.
A mon tour, je retire mon bas de maillot, pour me sentir entièrement nue contre lui. Certains de ne pas être dérangés à cette heure, nous nous laissons aller à des caresses de plus en plus érotiques, et mon mari sort de l’eau, pour s’asseoir sur le bord du bain à remous, et ainsi m’offrir sa queue à déguster. Cette fellation que j’adore lui prodiguer, est pour lui un délice. Très vite, j’entends malgré le bruit des bulles, ses premiers gémissements de plaisirs. Je continue à le sucer, avec la ferme intention de l’emmener jusqu’à la jouissance extrême. Je sens sa bite vibrer sous ma langue, quand soudain son sperme gicle en puissant jets dans ma bouche. Je serre mes lèvres autour de son sexe, pour ne rien perdre, et avale tout.
Soudain, une silhouette masculine passe devant la vitre séparant le bassin des douches, juste en face. Paul, concentré sur son plaisir, n’y fit guère attention, trop occupé à vider ses couilles dans ma bouche. Mais je le prévenais qu’un intrus venait d’arriver. Il redescendit rapidement dans l’eau, et me regarda en riant.
Le nouvel arrivant descendit les marches du bassin, s’enfonça dans l’eau bouillonnante. Il devait avoir cinquante, cinquante cinq ans, très séduisant, dégageant une virilité hors norme. Le genre d’homme à faire succomber n’importe qu’elle femme, même la plus fidèle. Il doit faire beaucoup de sport pour s’entretenir, à en jugé son corps musclé. Il est vêtu d’un slip de bains sexy, qui ne cache pas grand-chose de son anatomie.
Lentement, il vient s’installer dans l’eau, en face nous.
Il nous salue d’un bonsoir, accompagné d’un accent, que je pense être Nordique.
Mon mari me remercie de l’avoir vu, sans quoi il aurait eu droit à un drôle de spectacle. Je lui réponds qu’il aurait peut-être apprécié, mais qu’il a sans doute pu voir, par la vitre, même si la buée pouvait l’empêcher, les détails de la scène.
A un instant, je note que le bel inconnu a repéré nos maillot posés sur le rebord.
Il croise mon regard, me sourit, et me demande, dans un parfait français, s’il peut se baigner nu. Mon mari prend les devants, et lui répond qu’il ne pense pas, mais vu le monde qu’il y a, nous nous l’étions permis, et c’est bien plus agréable ainsi.
Il nous fait un cours sur les coutumes de son pays, la Suède, et dit que pour des raisons d’hygiène, le maillot est prescrit dans certains spa. Il ajoute, en me regardant, qu’il a des choses qu’il ne faut pas cacher. Je me sens rougir, prenant ça pour un compliment.
Nous engageons une conversation sur nos activités, et les motifs de sa visite. Il nous dit que c’est purement professionnel. Tout en discutant, l’intrus enlève son slip de bains qu’il jette pour rejoindre les nôtres. Je découvre alors son imposante bite. Il remarque ma curiosité, mais n’y fit aucune allusion.
Depuis maintenant vingt minutes, et après avoir vu ce que j’ai vu, je dis avoir un peu chaud, et avoir besoin d’une douche bien fraîche. Je me lève, et sans pudeur aucune devant nôtre inconnu, sort de l’eau, nue pour me diriger vers les douches. Mon mari et moi ne sommes pas pudique, en particulier dans ce genre d’endroit.
Je me doutais que l’homme me regarder monter les escaliers, tout en parlant avec mon mari. Il faut dire aussi, que je prenais des pauses qui attirent le regard, offrant mon petit cul, et une partie de ma chatte à leurs yeux ébahis. Mon mari lui même, et ce après cinq ans de mariage, reluquer mes petites fesses.
Quand je revins après quelques instants, je replongeais dans l’eau, tandis qu’a son tour, l’inconnu se leva pour aller prendre une douche. Lorsqu’il monta les escaliers, je ne pus m’empêcher de le regarder, et constater que son sexe au repos pendait entre ses jambes, et me demandais comment il devait être en érection.
Lorsque je rejoins mon mari, celui-ci me fait part de l’insistance du regard de nôtre suédois, sur le galbe superbe de mes formes, mais aussi de l’état de sa bite, en semi-érection qu’il croit avoir vu, quand il se dirigeait vers les douches.
Je mentais en lui répondant que je n’ai rien vu, et ajoutais que c’était dommage.
Certainement aidés par l’alcool au restaurant, et nos jeux préliminaires interrompus, nous attendons le retour de nôtre bel inconnu. Il ne tarde pas à revenir, à peu près dans le même état physique que tout à l’heure. Peur être même un peu plus raide, ce qui fit rire mon époux. Le fait est que l’homme ne se cachait plus, ce que Paul, de par son éducation, n’aurait pas fait, étant très pudique.
Il est vrai que nous étions de deux cultures différentes.
Soudain, allez savoir pourquoi, la main de Paul, se dirige vers mon entre jambes, et se mit à caresser la chatte. J’écartais largement les jambes pour le laisser faire. Du majeur, il titillait mon clitoris, entièrement décalotté, puis après m’avoir bien excitée, enfonçait deux doigts dans mon minou. Lentement, certainement pour ne pas attirer l’attention, il commençait à me branler. Je me retenais pour ne pas crier, mais bientôt, cette activité sous-marine eut raison de mes dernières résistances, et eu du mal à cacher mon orgasme. J’imaginais ma cyprine se mélanger à l’eau chaude du bain à remous. Je ne sais si l’homme a compris ce qu’il venait de se passer, mais son sourire en disait long.
Je dis vouloir aller au hammam, mais pour Paul, ce n’était pas possible, vu son état. Je l’embrassais, et lui soufflais à l’oreille de prendre tout son temps, le temps que son érection retombe. Je lui dis ça, en saisissant sa bite tendue.
Je me déplaçais dans le bassin, les seins dressés hors de l’eau, face à un inconnu qui avalait difficilement sa salive, en me voyant monter les escaliers. Arrivée à la troisième marche, je me baissais pour ramasser mon maillot, prenant une pause aguichante, offrant une vue imprenable sur mon petit cul, et ma chatte épilée.
L’inconnu me regardait, planté aux pieds des marches.
Certes, l’éclairage de l’endroit était tamisé, mais l’homme n’avait pu ignorer les détails de mon anatomie, pas plus que la branlette prodiguée tantôt par mon mari. Je passais devant la vitre embuée, marquais un temps d’arrêt, pour laisser deviner ma superbe plastique, en ombre chinoise. Je rangeais mon maillot dans mon casier, puis entrais dans une douche pour me rafraîchir, avant le hammam.
Je refermais la porte, et vis du coin de l’œil, l’homme se lever, me sourire, faire un geste de la tête, et se déplacer en direction des escaliers.
Lorsque sa queue émergea de l’eau, en totale érection, je pus en mesurer la grosseur, et toute son envergure.
Je le vis aller sous la douche lui aussi, puis la porte du hammam s’ouvrir, et se fermer aussitôt. L’inconnu venait d’entrer là ou j’étais en train de me relaxer.
Plus tard, Paul me dit avoir eu comme une appréhension. Il me dit avoir hésité à me rejoindre, au risque de passer pour un mari jaloux, ce qui n’est évidemment pas le cas, ou s’abstenir, au risque de passer pour un mari qui s’en fout.
Il me dit s’être finalement décidé à rejoindre le hammam. Quand il est entré, il ne nous vit pas, tant la buée était épaisse. Il m’aperçut enfin, allongée, et vint s’agenouiller auprès de moi. Il me caressait les seins, tandis que j’envoyais une main entre ses jambes, faisant rouler ses couilles entre mes doigts.
Il me demanda si j’allais bien. Je lui répondis que j’allais merveilleusement bien.
Il s’approcha de mon oreille pour me dire l’état de nôtre beau suédois, quand il quitta le bassin. Je souris, et lui dis que j’avais remarqué, quand j’ai vu sa silhouette apparaître au hammam. Paul me dit que ça aurait pu être lui. Je lui répondis que pour le corps, passe encore, mais pour ce qui est de la queue, la sienne est beaucoup plus grosse. Il accusa le coup, un peu vexé, et me demanda si la différence était importante, ce à quoi je répondis.
« Ben oui...quand même».
Suite à la chaleur insoutenable, qui régnait dans le hammam, Paul me dit qu’il regagnait le bassin. Je lui répondais que je restais encore un peu, et qu’ensuite, je le rejoindrais. Entre temps, j’entendis l’eau de la douche couler, et imaginais le bel inconnu en train de nettoyer sa grosse queue.
Une demi-heure plus tard, je rejoignais mon mari dans le bassin à remous, me lovai contre lui. Il me demanda pourquoi j’avais mis tout ce temps.
Je lui racontais que j’étais allé me passer de l’eau fraîche sur le corps, avec le tuyau d’arrosage qui sert à nettoyer le hammam.
Je ne lui dis pas, que, manquant de force pour dérouler le tuyau, et ouvrir la grosse vanne, l’inconnu s’était proposé de m’aider.
C’est vrai que je l’avais vu sortir de la porte vitrée, sa bite géante tendue à l’horizontale. Cette situation aurait pu me gêner, mais je la jugeais sans risque.
L’inconnu était face à moi. Je ne refusais pas quand il proposa de m’arroser pour me rafraîchir. Je sentais du bien être quand le jet d’eau parcourait mes épaules, mes reins, mes fesses. Il prenait un réel plaisir d’admirer, dans la douce lumière, les formes de mon corps. La ou je fus surprise, c’est quand il passa devant moi pour s’occuper du côté face, alors qu’il était plus simple, que je me tourne Je compris pourquoi quand je sentis le bout de sa queue, appuyait sur mes fesses. Je ne dis rien, fis celle qui n’avait rien senti, par gêne sans doute. Il n’osait pas appuyer franchement, mais profitait de son bras en mouvement, pour arroser toutes les parties de mon corps, et ainsi caresser mes fesses avec sa bite.
Quand je me tournais pour le remercier, il s’approcha de moi, si près, que je sentis son mandrin appuyais sur mon ventre, au niveau de ma chatte. Poussée par la curiosité, je ne pus m’empêcher de jeter un regard vers cet énorme bite, pour en constater la longueur et l’épaisseur. L’homme lit la surprise sur mon regard, et s’excusa de se trouver dans cet état. Gênée, je lui dit que ce n’était pas grave, et le remerciais encore une fois, pour s’être occupé de moi, pour me rafraîchir.
Quand je me dirigeais vers la sortie, j’eus l’impression que le bel inconnu me suivait. C’est quand je poussais la porte, qu’il passa un bras devant moi pour m’aider à ouvrir, et en profita pour à nouveau appuyer sa queue sur mes fesses. Certes, j’étais gêné, mais aussi très excité, et que certainement la nudité de nos corps, et les coquins préliminaires avec mon mari, y étaient pour beaucoup.
Sans un mot, l’homme quitta le lieu d’arrosage, pour retourner au hammam.
Peut-être n’osait-il pas revenir avec nous dans le bassin, après ce qu’il s’était passé. Attendait-il plus d’engagement de ma part.
Très excité de sentir mon corps contre lui, Paul me demandait de prendre sa queue dans ma main. Je la trouvais très dure, mais rien de comparable avec celle de l’inconnu. Je lançais de lents va et vient, et m’aperçus, aux vibrations de son corps, que je pouvais le faire jouir à tout moment, mais il me demandait soudain, d’arrêter.
Je fus surprise de sa façon brutale, mais compris que l’envie n’y était pas, que son esprit était ailleurs. En fait, il n’osait pas me demander si j’avais projeté de retourner au hammam, rejoindre le beau suédois.
Je lui mentais quand je lui dit que je craignais qu’il prenne cela pour une invitation, et se croit autorisé à aller plus loin. Ce que je ne souhaitais pas, malgré l’excitation qui me poussait à poursuivre. Il insistait pour savoir si je voulait réellement y aller.
En même temps, Paul était à l’écoute de ce que je lui disait, et me sentait excitée. Voulant être honnête avec lui, je lui répondais que oui, et que l’inconnu paraissait correct, et que je ne craignais quelconque agression de sa part. Paul me demanda si ça m’excitait d’y retourner, sachant que lui n’y ne tenait pas.
Je lui répondis que oui, que j’en avais envie. Il me demanda de lui raconter ce qui allait réellement se passer, si toutefois, il se passait quelque chose, ce qu’il n’espérait pas. Je lui promis de lui raconter l’aboutissement de cette rencontre.
Je l’embrassait, et sortis de l’eau. Je sentais de la tristesse sur son visage, mais le rassurais d’un beau sourire.
La porte du hammam se ferma derrière moi. Je me retrouvais prise au piège entre mon fantasme et une brutale réalité. J’étais dans ce hammam, nue, avec un mec que je ne connaissais pas, et qui me désirait. J’avais confiance en moi, et j’étais excité de savoir que j’y allais aussi pour pimenter ma curiosité.
L’inconnu se tenait près de l’entrée, flouté par les vapeurs d’eau chaude. Je l’attendis refermer la porte.
Il s’approcha de moi, me dit qu’il ne pensait pas que je revienne au hammam.
Je lui répondais qu’il n’y avait pas de raison que je ne vienne pas, mais que je ne restais pas trop, que mon mari m’attendait.
Il me demanda si ce n’était pas plutôt, parce que il m’avait importuné, que j’avais été gênée de le sentir près de moi.
Je lui répondis peut-être...que je ne savais pas..
Il me dit qu’il aurait pu m’approcher d’avantage, alors.
Je trouvais son interrogation étrange, et lui demandais, curieuse, ce qu’il entendait, par d’avantage. L’inconnu se présenta derrière moi, alors que j’étais toujours debout, dans l’attente d’une offensive de sa part. Il vint se coller contre moi, et je pouvais deviner toute la grosseur de son mandrin contre mon dos, et me montra la façon dont il se serait comporté. Puis il s’autorisait à passer ses mains devant moi, caressait mon ventre avec une main, et mes seins avec l’autre.
Je me sentais fébrile, mais aussi très attirée physiquement par ce bel inconnu. J’étais sensible à ses gestes tout en douceur. Je lui répondais que j’étais un peu gênée, mais que ça allait.
Suite à ça, l’inconnu pris de l’assurance. La main sur mon ventre, glissait sur le haute de ma chatte, alors que son majeur appuyait sur le bout de mon clitoris. Ce contact me fit l’effet d’une décharge électrique, mais ne le repoussais pas. Je sentais la grosseur de sa queue, et éprouvais une intense sensation, qui fit frissonner tout mon corps. L’homme s’assit sur la banquette du hammam, m’invita à m’asseoir sur lui. Je compris qu’il voulait me pénétrer, ce que je refusais.
Il insista. Il m’a pris par les hanches, m’a installé au contact de sa bite. Il devait penser que sous l’effet de l’excitation, je voudrais le sentir en moi. Je lui avouais que j’avais très envie de lui, mais ne voulait pas qu’il me baise, par respect pour mon mari. Cependant, ma chatte, légèrement humide, était maintenant en contact avec son calibre tendu, et chacun de ses mouvements imprimait une vive sensation insoutenable pour moi. Il gardait se mains sur mes hanches, entreprenait de me faire aller d’avant en arrière, de carrément glisser sa queue sur ma fente. Je me disait qu’il était obligé de remarquer mon excitation, tant je mouillais. Petit à petit, mon corps s’adaptait à cette intrusion, la réclamait même. Je décidais de me laisser aller à cette caresse, et chaque fois qu’il avançait, son énorme gland frottait mon petit bouton. J’étais proche de l’orgasme, et il devait le sentir, puisque son gland atteignait mes petite lèvres. Il essayait de me pénétrer, mais m’y opposais, retardant l’échéance au maximum, malgré ce contact qui augmentait mon désir. L’inconnu ne lâchait rien, il insistait, me faisait glisser toujours en arrière, me tenait par les hanches, exerçait une pression de plus en plus forte et précise, au point de sentir mes lèvres intimes épouser la forme de sa queue. Cette tentative de prise d’otage dura quelques instant, et à chaque fin de course, je sentais le gland forcer d’avantage ma chatte. De moi même, je me déplaçais pour éviter de me faire prendre, mais il revenait toujours, pour intensifier le contact sur mon clitoris.
Soudain, il accélérait le mouvement et je me laissais surprendre par un nouvel orgasme, d’une rare violence. L’inconnu s’en aperçut, et en profitait pour faire coulisser la totalité de son énorme queue dans ma chatte. Je hurlais de plaisir, tant cette pénétration subite, et un peu sauvage, eut pour effet de déclencher en moi, un nouvel et intense orgasme. Je ne pouvais résister à rester empalée sur sa queue.
Dès que je retrouvais mes esprits, je me levais pour me dégager de cette étreinte.
Je me retournais, et ne pouvais détourner mon regard de cette queue, qui m’avait donné tant de plaisir. Je me penchais sur lui, le pris en bouche, et commençais à lui tailler une pipe. Je lui devais bien ça. Ce salaud ne restait pas inactif. Il avançait un bras entre mes cuisses, et se mit à doigter mon clitoris, jusqu’à ce que mes gémissement couvrent le bruit de mes succions. A entendre ses râles, je m’aperçus qu’il appréciait cette fellation, au point de rapidement jouir. Je gardais son sperme en bouche, et le mélangeais à sa salive, dans un torride baiser. J’avoue à cet instant, avoir eu l’envie de m’empaler à nouveau sur sa bite, et le chevaucher.
Mais j’estimais que j’étais allé déjà trop loin, par rapport à mon mari.
L’homme me prit dans ses bras, me donna un tendre baiser, et quitta le hammam.
Dans ma tête, je récris le pacte de fidélité signé à la mairie. Je le jugeais à ce moment là, débile.
Sous la douche, je pensais à mon mari, qui devait se demander ou j’étais passé.
Plus tard, Paul me dit m’avoir suivi, mais qu’à peine atteint les escaliers,il me vit disparaître à l’intérieur, et la porte se fermer derrière moi. Il se doutait que le bel l’inconnu y était déjà. Il avait frappé à la porte, et me reprocha d’être resté sourde à sa détresse.
Deux heures plus tard, il vit l’ombre de l’inconnu longer la vitre du bain, et sortir du hammam. Il a enfilé un peignoir et quitter le spa, alors que moi, je tardais à sortir. je trouvais comme excuse, m’être endormi.
- Et lui, ou il dormait, demandait-il, en toi ?
C’est vrai que je n’étais pas crédible. Câline, je lui glissais. « Baises-moi ».
Il s’est levé, s’est penché sur moi et m’a pénétré comme un mari attentionné, avec douceur. Je sentais sa queue gonfler dans ma chatte, et même si le gabarit n’avait rien à voir avec le précédent, il me donnait quand même du plaisir.
Je sentais mon chéri de mari plus excitée que jamais. Je ne me retenais de jouir, et laisser échapper mon plaisir dans des qui cris qui faisaient échos sur les murs du hammam. Il me pénétrait plus vite encore, et au moment où je sentais que j’allais perdre tout contrôle, les spasmes de mon orgasme appelèrent le sien. Nous sommes restés enlacés ainsi quelques instants puis sans un mot, nous sommes allés prendre une douche pour nous rafraîchir.
Je proposais à mon mari de remonter dans la chambre. Une fois revenu dans notre cocon, nous nous allongeons sur le lit et la première je brisais le silence.
- J’ai adoré comme tu m’as baisée salaud, je t’ai sentie très excité.
- Tu l’étais autant que moi, me dit-il. C’est ton suédois qui t’a mise dans cet état ?
- C’est un tout ai-je répondu, mais c’est vrai qu’il a prit une grande part à mon excitation.
- Et il s’est passé quoi, quand tu es retourné au hammam ?
Je mentais à mon mari, quand je lui ai avoué qu’il ne s’était rien passé. Mais lui avouais aussi que j’aurais bien aimé qu’il me baise, qu’effectivement, je me serai volontiers empalée sur sa grosse queue. Mais tu es mon mari, et je t’aime.
Nous sommes montés à nôtre chambre, avons refait l’amour, puis nous sommes endormis, enlacés, amoureux, rêvant déjà à l’année prochaine.
A oui, j’oubliais. Je m’appelle Sandrine, et vient de vous raconter ma première infidélité.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : L'inconnu du hammam

Le 28/06/2022 - 23:00 par Titi12
Très sympa. Comme souvent avec vous
Le 28/06/2022 - 22:34 par Aurore34
Merci Fred pour tes commentaires pertinents, et encourageants. Cela permet aux auteurs, quel qu'ils soient, d'avancer dans leurs fantasmes. Merci...A très bientôt...
Le 28/06/2022 - 11:35 par frcamalu
Merciii aurore pour ce récit. Rien de vulgaire j j'adorrr. 😯 détails croustillants que je trouve particulièrement excitant. Merciii. Fred

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