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Aide-moi à m'habiller (1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/08/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER (1)

13 heures 30/14 heures, c'était notre moment. Mon père était déjà reparti au travail, et je restais seul avec ma belle-mère qui était arrivée dans ma vie deux ans plus tôt. Et avec qui mes relations avaient pris un tour inattendu un an plus tôt.
J'attendais ce moment qui était devenu un rituel, comme le meilleur de la journée. Pour elle aussi ? J'aimais bien penser que oui, mais je n'avais aucune certitude. Le hasard avait crée des occasions, devenues des habitudes, ancrées dans le plaisir.
Et ca commençait toujours par la même phrase, ou à peu près...Des variations multiples, des déclinaisons infinies...
--Tu viens m'aider à m'habiller ?
Ou
--Aide-moi à m'habiller
Ou encore
--Et si tu m'aidais à m'habiller ?
Et même
--J'ai besoin d'aide pour m'habiller...
Mais au final, la demande était la même.
Je suis donc arrivé dans l'entrée. Elle était posée sur un tabouret, la jupe de son tailleur remontée très haut, laissant voir un de ses atouts majeurs, des jambes parfaites, elles étaient gainées par un collant sombre. La jupe était tellement haut que je pouvais aussi voir une culotte blanche, très classique, mais qui n'en était pas moins excitante. Le tissu était gonflé par la proéminence de son sexe, suffisamment serré pour en donner un dessin précis. On voyait bien la double bosse de ses parties intimes, mais aussi un très net dessin de la fente profonde qui coupait en deux sa vulve. Plus excitant encore, le tissu s'y enfonçait bien, comme happé par son intimité.
Difficile de ne pas être troublé, à moins d'être totalement blasé, ce qui n'était pas mon cas.
Je portais un pantalon de jogging, tenue décontractée à la maison, aussi il aurait été difficile de ne pas remarquer cette érection que je n'ai pu contrôler. C'était que ma belle-mère était particulièrement désirable, splendide créature qui savait mettre en valeur tous ses atouts de femme. Pourtant, elle faisait comme si elle ne voyait rien, alors même que ma queue, gorgée de sang tendait ostensiblement le tissu souple et élastique.
--Il faut que tu m'aides à mettre mes bottes, je ne vais pas y arriver toute seule.
Ma belle-mère était une femme très coquette, qui achetait et portait beaucoup de vêtements, mais aussi d'accessoires. Elle était toujours coquette, sans jamais une note de mauvais goût, et au-delà sexy.
Elle portait souvent des bottes, voire des cuissardes, elle en avait une belle collection, et sublimait l'érotisme lié à ce type d'accessoires. Ca lui allait vraiment bien, mieux qu'à d'autres, et la rendait réellement troublante, en complément d'une tenue qui elle aussi la rendait troublante...Le tout s'additionnant...Quand je me branlais en pensant à elle, et c'était souvent le cas, je la voyais avec des bottes et des cuissardes. Vêtements et sous-vêtements sont souvent troublants, plus pour une femme que pour un homme, le tissu renvoie au moment où il est rempli, et j'aimais bien, quand elle n'était pas là, aller explorer sa penderie, sans toucher, elle s'en serait rendu compte regarder ses vêtements, nouveaux ou plus anciens, ses sous-vêtements, la queue dure...
Elle avait une collection de chaussures impressionnantes, et j'avais eu un jour ce que j'avais qualifié à posteriori de coup de folie, plongé dans un moment de délire érotique. J'avais récupéré une superbe paire de cuissardes en daim mauves, qui reposaient, inertes, et j'avais sorti ma queue, raide de désir quand je me hasardais dans son dressing, autant pour les vêtements que pour les odeurs des parfums divers, elle les alternait, en avait une collection impressionnante, qui flottaient dans les airs. J'avais frotté ma queue dilatée contre la matière, souple et chaude, et j'avais été traversé par un orgasme qui m'avait déchiré, puissant, me vidant d'une quantité impressionnante de semence sur les cuissardes, mais j'avais toujours des éjaculations copieuses. La vision des traces crémeuses sur le mauve m'avait tellement troublé que j'avais joui à nouveau, quasi immédiatement, arrosant de nouveau la cuissarde contre laquelle j'avais joui. Bien embêté par la suite, mais j'avais tout de suite essuyé le sperme avec de l'essuie-tout. Il semblait qu'il n'y ait pas de traces, mais j'avais redouté qu'elle ne colle son nez contre, et ne sente l'odeur de mon sperme. Elle était fine mouche et devinait tout. Elle ne m'avait pourtant jamais fait de réflexion.
Ce que j'aurais voulu à cette époque, ca aurait été de frotter ma queue contre les cuissardes, quand elle les portait, les sentir remplies par ses jambes.
A l'époque, je n'imaginais même pas que ce soit possible.
Les choses avaient bien changé depuis.
Ma belle-mère était cadre dans la fonction publique territoriale. Elle travaillait au Centre Régional de Formation, dans un parc, et on habitait sur place, mon père était aussi dans la profession, mais lui était formateur. Très coquette, elle mettait un point d'honneur à se changer entre midi et deux, jamais la même tenue. Là elle avait mis un tailleur blanc, classique, mais le classique lui allait bien, il soulignait un corps charnu mais sans failles, et donc, il y avait cette paire de bottes en cuir, luisantes, longues, noires, sur le sol. Elle attendait de l'aide pour les passer. Je les ai attrapées, les examinant plus en détail. Elles avaient des talons fins, de six à sept centimètres, et je ne me souvenais pas de les lui avoir vues avant. Sans doute un achat récent. Elles sentaient le cuir neuf, d'ailleurs. Les toucher, cuir froid et luisant au bout de mes doigts m'a donné un frisson. J'ai pensé un instant que j'allais me jouir dessus, mais je me suis contrôlé. Si je devais avoir un orgasme, ce serait une fois que je la verrais avec. Silhouette impeccable, cambrée par les talons, jambes parfaites sublimées par le cuir des bottes la gainant. J'aurais de quoi me branler tout l'après-midi.
Et effectivement des bottes pas faciles à enfiler, longues, hautes, serrées, et sans fermeture éclair.
La situation était apparemment sans ambiguité. Elle pouvait bien avoir besoin d'aide, une aide au quotidien, qu'on pouvait se prodiguer, entre proches, même pour des moments intimes.
C'était moins le cas quand, le matin même, elle m'avait demandé un coup de main pour lacer de superbes bottines de cuir noir, avec des talons encore plus fins et longs. Elle aurait très bien pu le faire toute seule. Elle portait un pantalon de vinyle ultra-moulant, tellement collant que d'évidence, elle n'avait pas de slip dessous, révélant son intimité avec une grande précision de détails, en partculier le dessin de son sexe, jusqu'à la précision des lèvres sortant d'elle, et les bottines, une fois qu'elle avait été debout, avaient accentué sa cambrure d'une manière irrésistible, soulignant encore plus ses charmes.
Elle était partie la première. J'aurais été bien incapable de garder en moi la tension si forte que ça m'avait donné de la voir si femme. Ma queue était gorgée de sang. Deux aller-retour de ma main dessus, et j'avais joui, balançant mon sperme dans les airs, alors que j'aurais aimé, à minima, qu'il vienne poisser le vinyle. Mais on avait ce moment maintenant, dont les contours se dessinaient nettement. Parce que c'était tous les jours pareils. Et ca débouchait très vite sur du sexe.
--Heureusement que tu es là, elle a soupiré. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.
Bien sûr c'était faux. Même avec des difficultés, elle aurait très bien pu mettre ces bottes toute seule.
On savait tous les deux sur quoi ça allait déboucher. Je me demandais si elle attendait autant que moi, avec autant d'impatience ces moments d'après-midi. C'était vraiment curieux que soit née ainsi une réelle complicité, quelque chose de vraiment profond, à quoi on tenait l'un comme l'autre, et dont on n'avait pas envie de se passer.
Je me suis approché d'elle. J'allais m'accroupir, pour glisser la première botte le long de sa jambe. Parfois, sous une jupe, elle avait juste un collant, sans slip, et j'avais une vision d'un sexe dont je connaissais maintenant le dessin par cœur, et dont l'image était suffisamment gravée en moi pour que je puisse la projeter sur l'écran imaginaire de mes soirée quand je me branlais en pensant à elle. Elle est venue poser la main sur mon pantalon, au niveau de ma queue. Elle a resserré ses doigts sur ma verge en pleine érection, sensation de chaleur et de douceur, simplement d'une caresse à travers le tissu du pantalon et du caleçon...
--Et voilà, tu bandes encore, elle a soupiré. Mais tu ne penses qu'à ça...J'aimerais bien savoir ce qui t'excite là...
Elle n'attendait pas de réponse. Si justement j'avais du répondre, j'aurais pu donner des dizaines de détails qui me troublaient. Ses cheveux, son visage, son odeur, son corps, ce qu'elle montrait et ce qu'elle ne montrait pas, que ses jambes soient gainées de lycra, voir sa petite culotte, toucher le cuir, l'imaginer avec les bottes alors qu'elle ne les avait pas encore mises, penser à quand j'avais frotté ma queue contre les cuissardes...Et puis là, bien sûr, sentir cette main, figée autour de ma queue, puis qui avait esquissé deux trois aller-retours à travers le tissu.
La première fois qu'elle m'avait caressé ainsi, à travers du tissu, je m'étais éjaculé dessus. Depuis, je m'étais calmé, et les choses duraient plus longtemps, on faisait un bout de chemin ensemble, et on retenait notre jouissance pour que ça en vaille la peine. L'orgasme c'était bon, mais ce qui l'était aussi,c'était la progression vers le plaisir.
--J'ai envie de voir ta queue. Elle est belle, ta queue, elle est très longue et épaisse. J'en ai rarement vu une aussi belle. Même ton père n'a pas une aussi belle queue.
Le dernier week-end, quand j'avais rendu visite à ma mère, elle m'avait demandé
--Ca se passe bien avec ta belle-mère ?
--On s'entend parfaitement.
--Oui, c'est sûr, elle est plus jeune que moi, plus proche de ta génération...
--Oh, il n'y a pas que ça.
Et c'était vrai qu'il existait entre nous une profonde complicité. Dans le sexe. Mais aussi dans la vie de tous les jours. Je me demandais même parfois si ce n'était pas plus fort, plus profond qu'avec mon père.
Une chose était sûre en tout cas, et qui voulait sans doute dire beaucoup je n'étais jamais aussi gros, aussi épais, aussi long que quand j'étais avec elle. Avec mes petites copines, c'était différent. Petites copines que je n'amenais plus à la maison, d'ailleurs. Hyper-jalouse Teresa les abreuvait de sarcasmes.
Je n'avais d'ailleurs plus de petite copine, ces derniers temps. Je n'avais plus envie d'en avoir. Je me rendais compte que ce que Teresa me donnait était cent fois plus riche, et me comblait cent fois plus. En même temps, ce n'était pas illogique qu'une femme de 45 ans ait bien plus d'expérience qu'une de 20. Le sexe avait d'ailleurs du être une de ses passions, toute sa vie durant.
Il existait entre elle et moi une intimité profonde dont je n'avais jamais connu aucun équivalent.
Raison pour laquelle je me disais que je devais absolument profiter de tous ces moments. Ils étaient précieux, et contrairement à d'autres, j'étais bien conscient du fait que rien n'est éternel.
Elle a fait aller et venir sa main, habile, chaude et caressante sur ma queue. Elle faisait toujours attention à ne pas me faire jouir, pour casser tout, mais on n'était jamais à l'abri d'un accident. La semaine précédente, c'avait été quasiment le même moment, sauf qu'elle avait une robe, des bas stay-up et une absence de slip. Ca m'avait tellement troublé qu'il y avait eu une première caresse sur ma queue, un effleurement de mes couilles avant de remonter le long de ma tige, mais il n'y en avait pas eu de deuxième. J'avais commencé à éjaculer avant même de jouir. Mais ca avait été bien aussi, le premier jet de sperme, aussi copieux que ceux qui devaient venir avait tracé une ligne blanche transversale sur le bas, au niveau de sa cuisse, elle avait dirigé ma queue vers les bas, se troublant, comme moi, de les voir maculés. D'un index habile, elle était venue appuyer sur son gland clitoridien saillant, et elle s'était faite jouir.
Elle avait changé de bas après.
On avait un repère, elle et moi, l'horloge au mur. Déjà un quart d'heure d'écoulé. Quand on partageait de tels moments, ça passait bien trop vite, alors qu'on aurait aimé que ça dure des heures. On avait heureusement des plages horaires plus souples. Le soir par exemple quand elle venait me souhaiter une bonne nuit. Mais elle ne me lisait pas d'histoires. Enveloppée d'une nuisette, elle avait une prompte tendance à faire remonter celle-ci, voire la faire passer par dessus ses épaules, et à vérifier ensuite si ça me faisait de l'effet en soulevant les couvertures. La veille au soir, elle m'avait surpris avec la queue à la main. Généralement, le soir, je l'attendais au lit en me branlant, surexcité en pensant à la veille, aux moments de la journéé et à ce qui allait se passer entre nous.
On était seuls pour la soirée, et elle avait rejoint ma chambre totalement nue, m'offrant sa nudité impeccable. Sans un mot, elle avait glissé sur le lit, écarté les draps pour trouver une queue que la masturbation avait faite longue et dure, et plongé dessus de la bouche, pendant qu'elle attrapait ma main et la mettait entre ses cuisses. J'avais mis deux doigts en elle, et j'avais caressé son intérieur, glissant à la rencontre de ses muqueuses intimes. Elle m'avait dit une fois qu'elle préférait avoir les doigts d'un homme dans son sexe qu'une queue, parce que la queue faisait toujours le même mouvement, alors que la main caressait, venant sur une zone, puis une autre...On s'était donnés du plaisir ainsi, et, aux jets de sperme qui avaient rempli sa bouche avaient correspondu des jaillissements copieux de cyprine qui avaient poissé sa chair et les draps et que j'avais reniflés en m'endormant. Elle s'était éclipsée dans un mot, encore ruisselante.
--Mets-moi mes bottes.
Je me suis accroupi devant elle, la queue à nu, bien raide entre mes cuisses, mon liquide pré-sécrétif inondant ma chair, dont elle avait activé le déclenchement en frottant mon gland de son ongle long et coloré.
J'aimais bien me mettre à genoux devant elle. Il ne s'agissait pas pour moi de soumission, mais plutôt d'un hommage et d'une forme de gratitude pour quelqu'un qui me donnait du plaisir, et en même temps l'occasion de mater ses jambes et son ventre. Je les connaissais par cœur, mais je ne parvenais pas à épuiser le plaisir que ca me donnait, simplement de la regarder. Je n'étais pas encore blasé.
Elle a soulevé la jambe, et l'a tendue, pliant le pied. J'ai ajusté la botte, ensuite, il ne restait plus qu'à tirer vers le haut...Hmmm...Plus facile à dire qu'à faire au final, la botte était serrée. Mais je suis quand même arrivé à la monter. J'ai senti que la jambe était prise et j'ai cessé mon mouvement. La botte, comme prévu, se calait juste en dessous du genou, cuir lisse qui enveloppait la chair.
Il y a eu un moment de latence. Le moment de laisser mon regard remonter le long de ses jambes, et de remarquer que le coton du slip était marqué en son centre par une large tache d'humidité, qui allait en grandissant. J'étais toujours impressionné par l'abondance de ses sécrétions vaginales. Elle inondait les tissus, sa chair.
Sans grande surprise, elle a glissé sa main sous le lycra, et elle s'est mise à se caresser d'un mouvement circulaire, à travers la culotte. La tache progressait de seconde en seconde.
En d'autres temps, face à un tel spectacle, j'aurais joui, mais j'arrivais mieux à me contrôler maintenant.
J'ai attrapé la deuxième botte. Je l'ai ajustée comme la première. Ainsi, elle était irrésistible...Et j'étais sans doute fétichiste au dernier degré, Un instant j'ai pensé, j'en mourrais d'envie, à venir frotter mon gland, tout congestionné, contre le cuir, à quelques centimètres seulement de ma chair. Jouir en arrosant le cuir de sperme...Mais il y avait une convention non dite mais sous entendue dans ces moments de début d'après-midi, je la laissais me guider.
--Tu m'as bien aidé...Je crois que ça mérite une récompense.
Effort/Récompense. C'était un peu le schéma quand je l'aidais à s'habiller. Les récompenses étaient sans nul rapport avec l'effort.
Elle s'est soulevée, a roulé sa jupe à sa taille, attrapé le bord de son collant et l'a descendu jusqu'aux bottes, attrapant le slip au passage. La culotte était saturée d'humidité, transparente sur toute la face collée à son sexe.
Jamais blasé, ca me faisait de l'effet de retrouver son sexe nu. Son dessin, unique à chaque femme, que je connaissais par cœur. Les lèvres charnues qui pouvaient devenir vraiment volumineuses quand elles se gorgeaient de sang, le gland clitoridien qui pointait et disait son excitation, le ruissellement de liquide qui montait de ses intérieurs et sortait d'elle, la trempant, et cette toison qu'elle taillait, sans jamais lui donner le même dessin, mais qu'elle gardait abondante sur son pubis, ce qui me plaisait cent fois plus qu'une chatte rasée.
--Viens te frotter contre moi.
Je me suis avancé un peu, elle a attrapé ma queue, et elle a frotté mon gland contre ses lèvres dont j'ai senti l'épaisseur et le relief. J'ai cru que j'allais jouir, mais je suis arrivé à me contenir. Mais elle n'était pas mieux que moi, en plein trip, jambes ouvertes, elle a baladé ma queue sur ses parties sensibles, se frottant les lèvres avant de remonter contre son gland clitoridien. Il était très gros quand il était gorgé de sang, et ca me procurait toujours une sensation très intense quand elle me posait contre.
Elle a rouvert les yeux et elle m'a dit ;
--J'ai eu une matinée de merde, et j'ai envie que tu viennes dedans. Ca me la fera oublier.
Elle m'a guidé pour que je commence à rentrer en elle. Elle a ajouté ;
--Je veux que tu rentres très lentement, très très lentement, que je te voie rentrer centimètre après centimètre, et que je te sente me remplir petit à petit.
Elle a frotté son gland clitoridien d'un geste vif pendant que ma queue glissait en elle, très lentement, comme elle l'avait souhaité, centimètre après centimètre, et même moins. On regardait tous les deux, fascinés. Ma chair disparaissait, se fondait dans la sienne. Je la sentais couler sur moi, je sentais la gaine de son sexe m'envelopper, me prendre comme un gant prend une main.
--Je ne pourrais plus me passer de ce moment, avant de repartir au travail. Ca casse le rythme de la journée, et ça me permet de repartir de meilleure humeur. Quoi qu'on fasse, j'en ai trop besoin.
Je me suis trouvé totalement en elle. Elle a poussé un long soupir.
--Cet aprem, on a une réunion qui va être interminable, comme d'habitude. Je penserai à toi et à ta queue dans mon ventre. Au plaisir que ça m'aura donné.
Parfois c'était très rapide. Elle venait sur moi, et elle se faisait bouger très vite jusqu'à l'orgasme. Là on était, ma queue en elle, partis sur autre chose. Une manière de dilater le temps, même s'il nous en restait très peu. Je faisais aller et venir ma queue en elle. Quand je l'ai sortie, elle dégoulinait de ses sucs intimes, et elle était très dilatée. J'avais envie d'autre chose, et elle m'a laissé faire, les yeux fixés sur nos parties intimes. Si au contact de ses muqueuses, ma queue s'était dilatée d'excitation et de plaisir, il en allait tout autant pour son sexe, et son gland clitoridien s'était lui aussi démultiplié, tellement d'ailleurs que c'en était impressionnant. Un gros bout de chair, long et épais, qui dardait, fascinant, plus gros que certains micro-pénis. Je suis venu frotter mon gland contre. A ce moment, on était l'un comme l'autre au bord de l'orgasme. Ca me faisait toujours une sensation étrange, et hyper-excitante que de frotter ma queue contre son gland. Elle avait perdu le contrôle, gémissait, me jetait des phrases courtes, 'Continue ! Tu me fais du bien : Je vais mourir !
Ca a sans doute été encore meilleur quand j'ai poussé son gland dans mon méat. Il y a eu un petit moment de flottement, un temps d'ajustement, mais ce n'était pas la première fois qu'on faisait comme ça, on avait l'habitude, et le bout de chair a été en moi...Je me suis fait coulisser dessus. C'était une sensation particulière, unique, très excitante, de me sentir pénétré ainsi. J'avais la sensation qu'elle allait de plus en plus loin en moi, jusqu'à me prendre totalement, m'envahir. Elle a crié, en jouissant...J'ai continué jusqu'à ce que je jouisse aussi, me dégageant pour me livrer à un plaisir très personnel, mais qui la troublait aussi, celui de napper sa toison pubienne de mon sperme copieux, jusqu'à ce que ses poils aient quasi totalement disparu, recouverts sous une couche épaisse de crème.
--Tu veux aller me chercher le rouleau d'essuie-tout dans la cuisine ?
C'était le côté moins glamour sans doute. Le retour à la réalité.
Il restait cinq minutes. Elle s'est essuyée, redonnant à sa chatte un aspect plus présentable. Elle a remonté sa culotte, son collant, redescendu sa jupe. Nos lèvres se sont jointes.
--Tu seras là quand je rentrerai ? .
Le matin, elle démarrait très tôt, avec pour conséquence qu'elle finissait sur le coup de quatre heures.
--J'ai une visio qui finira au moment où tu rentreras.
--On pourra passer un petit moment ensemble.
La veille—mais je savais que ce serait différent, c'était toujours différent sinon ça n'avait aucun sens, elle était rentrée, avait bu du thé, avant de m'appeler. Je l'avais trouvée dans le living, sur le tapis, à quatre pattes, la robe roulée à la taille, le slip roulé à la cheville, son cul tendu vers moi et offert.
--Je veux que tu rentres aussi loin que tu le peux, et que tu me fouilles bien. Tu crois que c'est possible ?; elle m'avait demandé, son regard planté dans le mien.
--On va essayer.
Aujourd'hui ce serait autre chose.
Dans l'attente, ce moment juste vécu tournant en moi, je suis parti me préparer pour la visio.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Aide-moi à m'habiller (1)

Le 04/08/2023 - 22:11 par OlgaT
Belle récompense!

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