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Aide-moi à m'habiller (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 04/08/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER (2)

Mes parents s'étaient séparés parce qu'ils ne s'entendaient plus, mais en bonne intelligence. Je me partageais entre eux, et je n'avais pas été trop traumatisé de la séparation.
Et puis la vie continue. Et c'est tant mieux. Un autre homme avait fait son apparition dans l'existence de ma mère, et un jour, mon père m'avait présenté Teresa. J'étais avec un copain et ce que ce copain, m'avait dit après résumait tout. 'Putain, ta belle-mère c'est une sacrée bombasse !'
C'était le moins qu'on puisse dire.
Elle était venue s'installer à la maison, et elle avait sans aucun doute comblé un vide. Elle et moi on s'était tout de suite bien entendus. Elle était facile à vivre, simple, toujours de bonne humeur.
Et effectivement, c'était une bombasse.
Elle représentait à mes yeux la quintessence de la sensualité et de la féminité.
Difficile de ne pas être troublé.
Quand on vit ensemble, il y a forcément des morceaux d'intimité volés. La voir passer dans le couloir avec juste une culotte sur le dos, s'habiller...Une fois même, en rentrant, je l'avais surprise entrain de se caresser, le pantalon et le slip aux genoux. J'avais vu son sexe pour la première fois, dilaté d'excitation, sa main sur elle, dans un rythme de plus en plus rapide, jusqu'à ce qu'elle ait plusieurs orgasmes, et crache des jets de mouille. Elle était dans le living, moi dans l'entrée, par chance je n'avais pas fait de bruit. Elle était rajustée, la chatte dégoulinante de mouille, et s'était éclipsée. J'avais fait une seconde entrée, claquant la porte, elle était apparue quelques minutes plus tard, changée, en jogging et T-shirt. Je m'étais glissé dans la salle de bains, j'avais trouvé dans le panier à linge son slip, une culotte de satin rouge. Elle était trempée de ses liquides intimes, encore humide. Je les avais reniflés en me branlant. J'avais joui en deux secondes. J'avais emporté la culotte avec moi. Je prenais un risque si elle s'en apercevait. Mais j'en avais trop envie. Avec la pause du diner au milieu, j'avais passé la soirée avec le visage dans la culotte. Elle avait malheureusement séché, mais l'odeur était restée intense. Le lendemain matin, sans avoir épuisé tout son potentiel, j'avais remis le slip dans le panier à linge, sachant qu'elle lançait souvent des machines dans la matinée, et qu'elle se rendrait compte de l'absence de la petite culotte.
Notre relation avait basculé le jour où, on était seuls pour le week-end, mon père était parti pour un stage, un de plus, on avait eu l'idée de prendre une douche au même moment. On avait la chance de vivre dans un grand appartement de fonction, et la salle de bains bénéficiait de deux entrées, une par le couloir et l'autre par une chambre, celle qu'elle partageait avec mon père.
Était-ce le hasard qui...? J'avais plutôt tendance à penser qu'on aurait basculé à un moment ou à l'autre. Il y avait quelque chose entre nous, une ombre, un non-dit dans nos regards...
Ca s'est passé très simplement. J'ai pénétré dans la salle de bains, j'étais en pantalon de pyjama. Je l'ai ôté. J'allais prendre une douche.
Elle, elle arrivait avec des écouteurs sur les oreilles, complètement nue.
On s'est trouvés tous les deux nez à nez, nus comme au jour de notre naissance, et on s'est regardés.
Il y avait le trouble de voir un corps redéfini, redessiné par des vêtements. Il y avait aussi celui de la nudité.
J'ai pris l'épaisseur, la chaleur de son corps en plein visage.
Elle avait un très beau corps de femme, des formes pleines mais fermes. Elle était magnifique, et ma queue, collée contre mon ventre, disait clairement mon désir.
Je crois qu'on a bien senti qu'il se passait quelque chose, qu'on allait basculer sur une autre dimension.
--Tu veux qu'on la prenne ensemble, cette douche ?
J'ai dit oui, et on s'est retrouvés dans la cabine de douche. Elle a réglé l'eau pour qu'elle soit tiède. Celle-ci s'est mise à couler du pommeau fixé au mur, nous arrosant d'une eau chaude bienfaisante.
Elle s'est approchée de moi, et sa main est venue encercler ma queue pour la caresser doucement. Dans un réflexe, je suis venu glisser mes mains sur ses fesses, que j'ai senti pleines et dures au bout de mes doigts. Je les ai massées doucement, en même temps que, m'enhardissant et pendant qu'elle me caressait d'une main habile et souple, qui glissait sur ma queue, je venais poser ma bouche sur un téton. Je l'ai trouvé dur, et je l'ai agacé de la pointe de la langue, m'émerveillant de le sentir durcir encore, s'allonger dans ma bouche. On se réjouit parfois de choses simples, et ça m'a plu de laisser, une fois que j'ai lâché le deuxième téton, deux pointes de seins toutes gonflées.
Elle a glissé à genoux devant moi, et sa bouche est venue sur ma queue. On aurait du se savonner. On en était loin. L'eau continuait de couler sur nous, qu'on gaspillait allégrement.
Le regard brillant, souriante, elle a baladé sa langue le long de ma queue...J'ai gémi de contentement. Sa langue est descendue jusqu'à mes couilles, sur lesquelles elle a appuyé, avant qu'elle ne fasse glisser ma queue dans sa bouche pour un bon tiers, et, les joues pleines, n'exerce des mouvements de va-et-vient dessus.
--Si tu continues, je vais jouir, je lui ai dit.
--C'est un peu trop tôt. Viens, on va faire autre chose.
Elle s'est redressée et plaquée contre la cloison de la cabine de douche, en même temps qu'elle m'attirait contre elle. Elle a attrapé ma queue, et elle l'a posée contre ses lèvres. J'ai senti, pour la première fois, le relief de son sexe, le dessin de l'entrée de son sexe. Très lentement elle m'a promené contre elle, pour me faire découvrir son intimité, mais aussi pour se donner du plaisir. Elle a gémi et elle s'est cambrée. Elle m'a frottée un moment comme ça, et puis j'ai eu une sensation différente, une sensation de chaleur, d'humidité, mais aussi d'extrême douceur autour de moi. Je me suis rendu compte qu'elle avait introduit quelques centimètres de ma queue en elle.
--Tu n'iras pas plus loin pour aujourd'hui. Tu ne peux pas tout avoir du premier coup.
Elle a donné des coups de bassin pour me caresser. Je pensais qu'on allait jouir comme ça, mais elle m'a dégagé, s'est accroupie et attrapant ses deux seins bien lourds, elle en a enveloppé ma queue. Celle-ci avait disparu de ma vue, mais elle a été entourée par une incomparable douceur, celle de la peau extrêmement douce de l'intérieur de ses seins. Elle a ouvert sa poitrine, pour faire remonter ma queue, mon gland reposant contre son décolleté..Elle a baissé la tête, pour venir frotter mon gland de sa langue, refermant la bouche sur moi juste avant que je ne jouisse, me laissant la remplir de semence.
La suite a été moins forte sans doute, mais tout aussi évocatrice. On s'est savonnés mutuellement, Comme une longue caresse, mais aussi une découverte du corps de l'autre, de ses parties les plus visibles aux plus intimes, avec des caresses appuyées et des gémissements.
On était rincés, il ne restait plus qu'à s'essuyer mutuellement quand elle avait fixé ma queue, qui, malgré la jouissance, était toujours bien dure, collée contre mon ventre.
--Oh mon pauvre chéri, tu ne vas pas passer toute la journée avec la queue raide. (Elle a paru réfléchir.) Ecoute...J'ai envie que tu viennes en moi...En même temps...J'ai fait un pacte avec moi-même. Etre fidèle à ton père. Pour moi, ça signifie une seule queue dans ma chatte. La sienne. Pour le reste...Je sais que j'ai du mal à résister aux tentations.
Elle avait une vision élastique de la tromperie.
-- Bon, je vais réfléchir...On va s'essuyer d'abord.
Chacun une serviette éponge. Elle a bien frotté ma queue, mais j'ai bien senti qu'elle n'avait pas envie de pousser jusqu'au bout, et qu'elle inclinait pour quelque chose qui me faisait follement envie.
On est sortis de la cabine de douche. Apparemment, sa décision était prise. Il y avait un fauteuil en rotin dans un coin de la salle de bains. Elle m'a poussé dessus et elle est descendue sur moi, guidant ma queue vers son sexe. Je l'ai bien remplie. Elle s'est retrouvée sur moi, mon sexe totalement en elle. Elle a poussé un petit soupir.
--Je suis une pécheresse, j'irai en enfer, mais j'en avais trop envie. Oh, comme c'est bon. Je vais mourir de plaisir.
Elle s'est faite monter et descendre sur ma queue, m'arrosant de ses sucs intimes, tout en frottant un gland clitoridien atteint d'une tumescence impressionnante.
--Un soir, il y a quelques mois, j'ai entrouvert la porte de ta chambre, je voulais aller te souhaiter une bonne nuit, je t'ai vu la queue à la main, te donner du plaisir jusqu'à l'orgasme. Je n'ai pas arrêté d'y penser. Je n'imaginais pas qu'un jour ta belle queue serait dans mon ventre. Je crois que je vais jouir. Mais il faut que tu jouisses toi aussi...Tu ne vas pas rester avec la queue raide.
Elle avait poussé un cri, s'était tordue. Se soulevant, elle avait récupéré ma queue, l'avait plaquée contre son ventre. Ma semence avait jailli en traits copieux, qui étaient montés jusqu'à son visage.
Un souvenir qui revenait parmi d'autres, quand j'étais seul, et que je me branlais, me précipitant vers l'orgasme.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Aide-moi à m'habiller (2)

Le 06/08/2023 - 10:05 par lounabelle
bon debut
Le 06/08/2023 - 10:05 par lounabelle
bon debut

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