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Aide-moi à m'habiller (5)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/10/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER 5

Une semaine sur deux, mon paternel partait passer le samedi après-midi chez des parents à lui, il avait une ribambelle de cousins avec qui il s'entendait bien. Ils habitaient à la campagne, encore que ce concept soit très flou, en tout cas, cela signifiait 140 kilomètres, 70 aller, 70 retour. Il partait en fin de matinée, mangeait avec eux en arrivant, passait l'après-midi au milieu de sa famille, dinait avec eux et rentrait dans la nuit. Je sentais bien que ma belle-mère n'appréciait pas beaucoup ces moments familiaux dans lesquels elle n'avait aucune place, alors elle préférait rester ici. Le samedi après-midi lui permettait de boucler pas mal de tâches ménagères dont le repassage. Elle travaillait, mais tenait à faire tout elle-même. J'aidais en passant l'aspirateur, et mon père lui cuisinait et plutôt bien.
En tout cas, on passait le samedi, à partir de onze heures ensemble à la maison.
Et ça dérapait très vite.
Même à la maison, le soir, le week-end, en tenue décontractée, elle était extrêmement sexy. Là elle portait un caleçon noir très moulant, comme tous les caleçons, et un pull en V dont ses seins semblaient devoir sortir. Elle se tenait debout devant une série de boites plastique, et elle répartissait les plats qu'elle faisait cuire le week-end et qu'il suffisait de faire réchauffer dans la semaine. Aimanté par l'envie, comme toujours, j'ai baissé le caleçon.
--Et voilà, j'étais tranquille, et tu viens m'embêter. Pour l'instant, je ne peux pas m'occuper de ta queue.
--Ce n'est pas forcément ce dont j'ai envie, j'ai répondu.
Je pensais qu'elle était cul nu sous le caleçon, mais elle avait un string qui enveloppait sa taille et venait se perdre entre ses fesses, tellement pleines et rebondies qu'on ne pouvait pas le distinguer. Je les ai caressées, envoûté par leur volume, leur charnu, leur rebondi, elle avait de belles fesses, et ce n'était pas donné à tout le monde...
--Ahhh...C'est pas du jeu, tu me donnes du plaisir.
Ca laissait pas mal de filles indifférentes qu'on leur touche le cul. Pas ma belle-mère. Son corps entier était une zone érogène. Tout fonctionnait.
J'ai posé mes mains à plat au milieu de sa croupe et j'ai appuyé pour l'ouvrir et avoir accès à son anus. Les plissements de son anus étaient inscrits dans sa chair, ils se dessinaient nettement. Elle a poussé un long gémissement quand j'ai appuyé ma langue dessus, et que je me suis mis à frotter cette partie qui lui procurait énormément de plaisir. Dans le même temps, je suis venu frotter contre ses lèvres. Effet sans aucun doute de mes caresses buccales et manuelles, elle s'est mise à mouiller, d'un trait de liquide chaud qui a coulé sur ma main, continu une fois qu'il a été amorcé. J'ai senti sa muqueuse anale se détendre, Elle se calait dans son plaisir. Ses deux muqueuses s'ouvraient. J'ai remonté ma main jusqu'à son gland clitoridien pour venir le frotter. Il était déjà décalotté, j'ai fait coulisser la peau qui le couvrait, et je me suis mis à le frotter. A son point d'amorce, il était fin, mais à mesure qu'il gonflait, je pouvais le masturber, comme j'aurais masturbé un micro-pénis.
Elle s'est mise à mise à haleter sous l'effet de ma double caresse, ma langue qui travaillait sa muqueuse anale sans relâche, et et mon pouce et mon index qui masturbaient son gland clitoridien à présent bien épais.
Elle m'a précisé :
--Je vais jouir...
J'ai bien pu constater qu'elle jouissait, effectivement. Elle s'est tendue, a frémi, puis crié, et comme très souvent, mais ce n'était pas non plus une règle absolue quand elle jouissait, elle a éjaculé, crachant des liquides qui ressemblaient à du sperme, qui sont venus maculer ses cuisses.
--Tu as bien fait...Ca m'a fait du bien tiens, que tu me fasses faire une pause. Je suis stressée depuis ce matin.
En dehors de la complicité, intense, à travers le sexe, et que j'appréciais pleinement, on s'entendait parfaitement ma belle-mère et moi, même si on avait des caractères et des tempéraments très différents. Elle ne se sentait pas obligée de jouer le rôle de ma mère, je voyais d'ailleurs celle-ci régulièrement, et on était très proches. Complices. Deux amis en fait. On devenait deux amants quand on basculait sur des moments de sexe, dont il nous aurait été très difficile de nous passer. Je n'avais jamais eu, avec mes petites copines, la complicité que je pouvais avoir avec elle, et j'étais convaincu que, même avec l'homme de sa vie, elle n'était pas aussi proche que nous l'étions.
C'est la magie des rencontres, des liens qui s'établissent, des rapprochements qui se font.
On a déjeuné en discutant.
-Cet aprem, repassage. J'en ai pour un bon moment.
--Niveau culottes, tu ne dois pas être débordée.
--C'est surtout tes caleçons remplis de sperme qui partent au lavage.
Il était 13 heures 30, j'étais assis sur mon lit, mes fiches de révision autour de moi, on approchait d'une période d'examen quand elle est arrivée dans ma chambre.
--Je vais m'occuper de toi avant de me mettre au repassage. A chaque fois tu viens me déranger, et je n'arrive pas à finir.
A la maison, comme elle, j'étais en tenue décontractée. Pantalon de jogging, et caleçon. Elle s'est approchée, s'est posée sur le bord du lit, et elle a soulevé les tissus qui masquaient une queue qui était pour le moment au repos.
--Bon, on va jouer à petite queue deviendra grosse.
En l’occurrence, elle est devenue très vite grosse, aiguillonnée par sa langue habile qui a tourné sur elle. Le sang a très vite afflué dans les corps caverneux, et je me suis retrouvé avec la queue toute raide. En même temps, j'avais glissé la main sous le caleçon et j'étais venu sur elle. . Je ne m'étais pas posé sur sa chatte, mais juste au-dessus, sur le bombement de son ventre, sur lequel j'avais exercé un mouvement circulaire qui avait semblé lui plaire.
--Ohh ça va me mettre de bonne humeur pour faire le repassage. C'est bon que tu me caresses le ventre comme ça.
Avec elle, une fellation ne ressemblait jamais à une autre. Une imagination sans bornes alliée à de l'expérience...C'est la raison pour laquelle elle était cent fois meilleure que mes petites copines. Aujourd'hui, et pendant que je me contentais de ce mouvement simple sur son ventre qui allumait pas mal de choses en elle, elle a glissé sa bouche jusqu'à mes couilles. Elle a passé lentement sa langue dessus, et, déjà, je devais me retenir de ne pas jouir. Ma queue s'est dilatée de manière visible. Elle a donné des coups de langue en remontant, tourné sur mon gland, lapé le jus qui sortait de mon méat. Elle savait très vite me faire tourner la tête. Elle est redescendue sur mes couilles. Au bout de la deuxième séance, c'était mort. On avait développé au fil du temps une connaissance aigue de l'autre, Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a vite remonté sa bouche sur moi, et elle l'a serrée autour de mon gland, pour que mon sperme vienne remplir sa bouche.
Après ma jouissance, elle a voulu la sienne. Elle s'est basculée en arrière sur le lit, se retroussant, offrant son ventre à mon regard et à ma main, cette main qu'elle a attrapée et dont elle s'est servie pour jouir. Elle a pris deux doigts, mon index et mon majeur, elle les a réunis, et elle les a faits glisser en elle. A peu de choses près elle s'est servie de ma main comme d'un gode, mais d'un gode vivant, de chair. Un scénario qui ne pouvait que me plaire. On avait pas mal de points communs, dont celui d'être imaginatifs.
Au bout de mes doigts j'avais toutes les sensations, différemment de quand ma queue était en elle, mais c'était quand même très fort. La délicatesse de ses chairs, ses liquides intimes qui coulaient sur moi. En même temps, elle se frottait le gland clitoridien, qu'elle avait tout gonflé, et qui grossissait encore. Elle a poussé un cri, elle s'est tendue et elle a joui en éjaculant. J'étais bon pour changer de vêtements, arrosé par ses liquides intimes. Mais je pourrais toujours les renifler en me branlant. D'excitation, j'ai joui, ma queue qui était restée dilatée crachant des jets de semence dans les airs.
Il lui a fallu le temps de reprendre ses esprits. Elle a finalement dit :
--Bon, allez, il faut le faire, ce repassage.
Elle s'est rajustée et est partie dans la pièce proche.
Il s'agissait d'un jeu entre nous, un de plus, et on savait l'un comme l'autre que l'argument qui consistait à dire qu'elle me donnait du plaisir avant pour pouvoir repasser tranquillement ne tenait généralement pas car je la rejoignais toujours pour avoir du plaisir, et elle faisait une pause au milieu du repassage. Et contrairement à ce qu'elle pouvait argumenter, elle avait toujours très envie que je vienne la rejoindre.
J'ai poursuivi mes révisions, la queue toujours dure. Je l'imaginais à côté repassant, et habitée comme moi par des pensées aussi troubles que les miennes. Je repensais aussi à la dernière image que j'avais eue de sa chatte, juste avant qu'elle ne remonte son string sur elle, entrouverte sur son intérieur rose.
Il s'est passé une bonne heure avant que je ne glisse dans la pièce à côté. Je voulais lui laisser le temps de bien repasser, pour qu'elle n'ait rien à se reprocher, et moi non plus.
Quand je suis arrivé dans la pièce, j'ai vu les tas de linge. Elle travaillait vite et bien. Là elle était sur une série de pantalons, le fer à la main. Elle a poussé un long soupir.
--Hé ben voilà...
--Tu te doutais bien que je passerais à un moment ou à l'autre.
--Hé je ne pourrai pas finir mon repassage...
--Tu le finis toujours...
J'étais resté dur depuis qu'elle m'avait laissé, entre plaisir passé et plaisir à venir, avec des images des sensations qui me tournaient dans la tête.
Elle a tendu son cul vers moi tout en continuant à repasser. J'ai baissé le caleçon. Le string a suivi. L'état de son sexe disait qu'elle était aussi excitée que moi. Elle a tendu la main en arrière, reposant le fer un instant. Pour venir chercher ma queue, et vérifier qu'elle était en état pour une pénétration.
-Mmmm, tu es bien dur. Ca fait une heure que je t'attends. J'ai envie que tu me remplisses et que tu me frottes bien à l'intérieur
--Faut savoir, j'ai dit, en approchant ma queue de son sexe...
Elle n'a pas eu besoin de me guider pour que je rentre en elle. Elle a poussé un long gémissement quand j'ai glissé en elle, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. Elle a lâché un petit rire.
--Je crois que je vais mieux repasser avec ta queue dans mon ventre.
Elle a repris son repassage, le cul tendu vers moi, me laissant la fouiller, lâchant de temps en temps un gémissement, un soupir, le corps frémissant. J'aimais ces moments qui étaient sur la longueur, où on pouvait bien profiter des sensations, longtemps, comme dans ce moment où je sentais bien la gaine de sa chatte autour de moi, douce, et chaude, ses liquides intimes qui ruisselaient autour de moi...
--Je voudrais que tu me limes comme ça pendant des heures...Sentir ta queue aller et venir en moi, bien me frotter, bien me caresser, la sentir s'épaissir au fur et à mesure...
Je suis une grosse chienne, mais je n'en ai pas honte...Je plains les femmes qui ne savent pas ce que c'est le plaisir du sexe...
Je regardais ma queue aller et venir dans sa muqueuse, enveloppée par celle-ci, les lèvres s'écrasant dessus, ses ruissellements intimes dégoulinant dessus. Et à chaque fois,, la même évidence s'imposait à moi...Je n'avais pas trouvé avant, et je ne trouverais pas après une partenaire comme elle...
Elle avait fini les pantalons...Mais elle n'avait pas entamé une autre série de repassage, elle était trop haute dans le plaisir pour cela.
--Tu sais ce dont j'ai envie, elle m'a dit ?
--Je crois que je peux le deviner, oui, j'ai répondu, faisant glisser ma queue hors d'elle...
Ca a fait un bruit de ventouse quand je me suis arraché d'elle, Ma queue dégoulinait de ses sécrétions, qui marquaient aussi ses chairs. Le regard accroché à sa vulve béante à force de dilatation, ouverte sur son intérieur tout rose, je suis venu poser mon gland contre sa muqueuse anale, et j'ai glissé en elle...Elle a poussé une sorte de cri rauque, qui disait sa félicité. Son anus était souple à force qu'elle prenne son plaisir par là, et j'ai glissé en elle jusqu'à appuyer contre ses fesses.
Comme elle en avait l'habitude, elle a amené sa main contre son sexe, et elle s'est mise à se masturber comme une forcenée pour que son plaisir ait plus d'intensité. Elle mouillait tellement qu'on aurait eu l'impression qu'elle se faisait pipi dessus. On était dans la phase où on montait dans le plaisir, jusqu'à l'orgasme. C'était plus fort, ça nous prenait, nous enveloppait, et ça nous rapprochait surtout.
C'était souvent elle qui jouissait la première, emportée dans une série d'orgasmes, mais là, ça n'a pas été le cas. J'étais tellement excité que je n'ai pas pu repousser l'orgasme qui est monté en moi, et mon sperme a commencé à jaillir et à taper contre sa muqueuse anale, la faisant crier à chaque jaillissement. Au milieu de ma jouissance, la sienne s'est enclenchée, se matérialisant par ces cris plus intenses, mais aussi par des éjaculations qui ont poissé ses chairs et les miennes.
Je me suis dégagé d'elle.
--Bon faut que je finisse le repassage...
Elle s'est tournée vers moi, et m'a souri.
--J'en ai pour une demi-heure. Tu as envie que je te rejoigne après ? Tu penses que tu auras à nouveau la queue dure ? J'ai encore des envies et des idées.
--Ca devrait aller, j'ai dit.
Elle a remonté string et caleçon et elle s'est remise au repassage.
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