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Aide-moi à m'habiller (6)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER 6


J'ai avancé dans le couloir jusqu'à la porte sur laquelle, un petit onglet sur le côté de celle-ci, était marqué son nom. Il y avait aussi un autre nom, celui d'une de ses collègues, j'imaginais.
J'ai frappé. Ma belle-mère a répondu, sa voix reconnaissable entre tous.
--Vous pouvez rentrer !
Et c'est ce que j'ai fait.
Elle a semble très surprise de me voir débarquer. Et pour cause. Ca faisait pas mal de temps qu'elle me proposait de passer la voir, et je ne le faisais jamais. A l'appart, bien en évidence, il y avait son emploi du temps, et elle m'avait dit :
--Regarde, si tu passes, il faut que tu viennes dans mes heures de creux. Il se peut que je ne sois pas seule. On partage le bureau à deux.
Elle a eu un immense sourire.
--Ca me fait plaisir que tu viennes.
Elle a jeté un œil à l'écran de son téléphone.
--On a une vingtaine de minutes tranquilles. Je suis en réunion dans une heure, mais ma collègue arrive dans vingt minutes. Tu as bien bloqué la porte ? On a le temps d'avoir un peu de plaisir. Viens, approche-toi.
Ce que j'appréciais chez elle, c'était qu'elle était prête à prendre des risques. Calculés, mais des risques quand même. Sa collègue pouvait arriver plus tôt...Il n'y a jamais d'itération absolue. Mais si elle m'avait clairement proposé de passer la voir, ce n'était pas pour admirer les locaux. D'autant que le matin, on ne pouvait rien faire, donc, la possibilité de quelques instants sympas en milieu de matinée, c'était bon à prendre.
Il y avait quand même le temps pour quelques bribes. Juste avant de quitter l'appartement, elle avait remonté le long de ses jambes, pas facile parce qu'elle était très serrée, la jupe en vinyle qui lui arrivait à mi-cuisses. Le nylon qui couvrait ses jambes était celui de bas stay-up, dont l'élastique entourait sa chair. Elle était de dos, la tête tournée vers moi, et j'ai vu apparaître ses fesses, tendues vers moi, dont le rebondi attirait l'oeil, la main, et pas mal d'autres choses. J'ai d'abord pensé qu'elle avait un string, enfoncé dans son sillon mais on voyait bien la boursouflure de son sexe entre ses cuisses. Une fois encore, elle était cul nu. Elle m'a fait un clin d'oeil, a redescendu la jupe, et est partie.
--Viens, approche-toi.
Avec un grand sourire, elle a tendu les mains vers le pantalon de survêt que je portais, l'a baissé, entraînant le tissu du caleçon avec. Ma queue a jailli à l'air libre, comme un diable de sa boite. Le diable, c'était une queue qui s'était érigée quand elle m'avait offert ce spectacle, et qui n'avait pas vraiment débandé. Souvent, dans la matinée, quand je préparais mon mémoire, il y avait toujours un moment où je faisais une pause et j'astiquais ma queue, excité par une vision de son anatomie qu'elle m'avait sciemment offert au moment de son départ, jouissant ou pas, ça dépendait. La jouissance n'était d'ailleurs pas forcément mon but. Avoir du plaisir en pensant à elle, à une image, d'autres images, des paroles, des odeurs, c'était déjà suffisant. Je préférais jouir avec elle.
--Cette queue...Je crois que je ne m'en lasserai jamais. Elle est tellement bien dessinée...Longue mais en même temps bien charnue. C'est tellement rare d'avoir à disposition une queue qui soit bien longue, mais aussi bien épaisse.
Elle m'a masturbé doucement pour me faire encore m'allonger et durcir. Elle a fini par venir chercher mon gland de la langue, le frottant en une multitude d'arabesques. Je crachais du liquide pre-sementiel comme une fontaine.
Elle s'est redressée. S'est tournée de manière à s'offrir, légèrement penchée sur le bureau, projetant vers moi ses parties intimes, une fois qu'elle a eu soulevé sa robe, la ramenant à sa taille. Cette fois, c'était pour consommer autrement que visuellement. Une vision, que je le savais, je devais garder en moi, pour me branler, celui de ce cul ferme et rebondi, que sa position ouvrait sur sa muqueuse anale et plus bas sur une chatte dilatée d'excitation et dont l'humidité coulait à l'intérieur de ses cuisses.
--Viens...Tu sais ce dont j'ai envie...
Je connaissais bien son envie. Que, même si je venais dans sa chatte, je finisse dans son anus, que je la remplisse de sperme, et qu'elle sente ce sperme couler, de son anus refermé, petit à petit, sur plusieurs heures, en pensant à ma bite en elle.
--Tu as une culotte ? Ca va se voir, si mon sperme sort de toi.
En guise de réponse, elle a ouvert un tiroir, et désigné une pile de petites culottes noires.
--Allez viens, on n'a pas trop de temps...Oh, zut...Range ta queue, il y a quelqu'un qui doit passer dans une minute.
Elle a été débloquer la porte, pendant que je remettais ma queue dans mon caleçon, la plaquant contre mon ventre pour que mon érection ne soit pas trop visible. Par chance, je portais une chemise qui allait limiter les dégâts.
Parfois la chance est avec soi. Ma belle-mère venait de débloquer la porte et de revenir au bureau, quelqu'un a frappé, avant d'entrer. Une jeune femme qui devait avoir vingt-cinq ans, d'un blond comme on n'en faisait plus, grande et fine, avec un joli visage en partie gâché par de grosses lunettes, une poitrine impressionnante, qui contrastait avec sa taille fine et des fesses qui étaient assorties à ses seins.
--Bonjour Tiphaine, je te présente mon beau-fils...Il est passé me dire bonjour.
Elle m'a fait un immense sourire. Ma belle-maman lui a tendu un dossier.
--Je pense que tout ce qu'il y a là peut te dépanner.
--Je te remercie.
Elle s'est éloignée, le mouvement naturel de ses hanches donnant du balancement à ses fesses qui ondulaient.
--Tu as eu l'air de lui plaire, a grincé Teresa en allant fermer la porte. Si jamais tu te lasses de moi...Tu as une option.
J'ai bien senti de la jalousie dans ses paroles.
Et elle est revenue se plier en deux au-dessus de la table. La fille était bien oubliée quand j'ai glissé dans son vagin, et que j'ai été enveloppé par la chaleur humide du sexe que j'avais déjà pénétré des dizaines de fois, et dont j'espérais qu'il m'accueillerait encore des dizaines de fois.
--La seule chatte et le seul anus que j'ai envie de remplir ce sont les tiens.
--L'herbe est toujours plus verte ailleurs.
--Pas pour l'instant en tout cas...
--Je suis sûre que si elle te proposait de se mettre dans la même position que moi et de t'accueillir dans son ventre, tu ne dirais pas non.
Je n'ai rien répondu, conscient que c'était la vérité. En même temps que je la fouillais, je repensais au dessin de son visage, à ses seins, à ses jambes...La jalousie n'empêchait en tout cas pas Teresa d'avoir du plaisir. Elle ruisselait autour de ma queue et je sentais bien son corps frémir.
--On n'a plus beaucoup de temps, elle m'a dit. Viens plus haut.
J'ai dégagé ma queue de sa chatte, ça a fait un bruit visqueux quand je suis sorti d'elle. J'étais enduit de ses sécrétions. Je suis venu poser mon gland contre sa muqueuse anale, et j'ai glissé en elle sans difficulté. A force de se faire sodomiser, et sans doute par bien d'autres que moi avant, sa muqueuse était souple. La différence tenait au serré de son rectum autour de moi, une sensation autre de celle d'une chatte plus élastique. Comme à son habitude, elle a amené ses doigts contre l'ouverture de son sexe pour que son plaisir ait un maximum d'intensité. S on avait été chez nous, elle aurait sans doute crié, mais là c'était impossible. Elle a quand même poussé un long feulement quand j'ai commencé à cracher mon sperme jet après jet, dans son conduit rectal, entraînant sa jouissance.
Quand j'ai retiré ma queue d'elle, un trait de sperme est sorti. Son anus s'est rapidement refermé. Elle a attrapé une petite culotte noire qu'elle a fait remonter le long de ses jambes, dans un mouvement que j'ai trouvé hyper-érotique. Le tissu était tendu par le rebondi de ses fesses. Ca m'excitait toujours, je devais bien l'avouer, d'imaginer le sperme sortant, trait par trait, sur une longue période, et de l'imaginer, rêveuse, excitée, le ventre chaud et le sexe entrouvert, en repensant à ma queue la fouillant.
On s'est embrassés avant qu'elle ne me dise :
--Il faut que tu partes maintenant.
Je venais de sortir du bureau quand j'ai vu une femme s'approcher et y pénétrer. Sa collègue. C'était moins une.
Un peu plus loin, j'ai croisé Tiphaine qui m'a jeté un regard sans équivoque. Une très jolie fille, mais que je n'avais pas forcément envie de regarder. J'étais convaincu que personne ne pouvait me donner autant que ma belle-mère, et je m'étais fait une sorte de pacte avec moi-même qui disait clairement qu'il n'était pas question pour moi d'aller chercher ailleurs et de la trahir, alors que j'avais cent fois mieux avec elle.
C'était vrai que je n'imaginais pas ce qui m'attendait quelques jours plus tard.

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Histoire de JamesB

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