Aie, ma femme s'éclate 6, " A con....fesse"

Ce matin, je me suis levé de bonne heure.J' ai la chatte toute mouillée, les tétons érigés et le clito tout gonflé: ça promet! Peut être est ce le rendez vous avec le père Emilio, qui me fait cet effet.

Je m'apprête avec soin. J'enfile une robe décolletée à souhait et courte, juste ce qu'il faut! Je me perche sur de hauts talons. Et enfin, je met une petite veste d'été légère et surtout très transparente sous les rayons du soleil.Sans oublier une pointe de parfum enivrant jusque dans les plis les plus intimes de mon anatomie. Un dernier passage devant le miroir: Je suis bandante!

Je m'installe à la terrasse du bar du commerce. C'est "le café" du village!, idéalement situé. A l’extérieur, une grande esplanade, qui jouxte le cours , ou l'on jouait aux boules.C'est là le cœur du village' à la croisée de toutes les rues, qui y amènent.Comme autant de veines et d’artères, qui gonflent du flot incessant des badauds et chalands!

Les regards des passants ne peuvent éviter de se poser sur mes jambes élégamment bronzées et ma plastique impeccable. J'ai les jambes croisées assez haut et les voyeurs les plus experts ne pourront manquer de s'apercevoir que j'ai encore oublié de mettre une petite culotte!

J'ai commandé deux cafés. Le père Emilio arrive, plein d'allant comme à son habitude. C'est un bel homme, ma "foi", grand et imposant aux mains surdimensionnées.Nous parlons de l'arrivée de nouveaux réfugiés ukrainiens sur la paroisse et de comment les nourrir, les héberger. Je me propose pour leur apprendre le français. Je parle couramment anglais et j'ai aussi quelques notions de russe. Ils ne sont pas là que pour un mois ou une semaine,hélas!! Et l'apprentissage de la langue est un sésame indispensable pour une scolarisation ou une réinsertion professionnelle réussie.

Il trouve le café fort amer. Certainement du fait de la poudre blanche, pareille à du sucre,que j'ai dissoute consciencieusement dans son breuvage. C'est mon mari qui me l'a préparée! Je prolonge volontairement cette très agréable entrevue. M'exhiber ainsi avec le père à mes côtés, provoque en moi, un émoi certain!

Nous partons ensuite pour l'église. Il y fait frais, mais étonnement, j'ai plutôt chaud? c'est bizarre, bizarre , vous avez dit bizarre? Nous entrons de part et d'autre du confessionnal. Avant de débuter, j'appelle mon époux et laisse la communication activée!

- Bonjour ma sœur avez vous péché?

- Mon âme est très lourde mon père, j'ai beaucoup de fautes à me faire pardonner!

-Parlez, je peux tout entendre et à travers moi dieu vous pardonnera!

-J'ai trompé mon mari christophe! Enfin , pas vraiment trompé puisqu'il sait tout!

- Il s'agit donc du péché de chair!

A ce moment là tout est encore sous contrôle. Ma chère et tendre commence alors à lui raconter par le détail nos dernières aventures candaulistes. Notre toute première expérience avec les trois garçons, choisis par mes soins. Elle décrit tout d'abord l'action dans l'escalier et la cave , ou tout a commencé. Puis c'est le tour du weekend au grau du roi, ou elle a offert son joli corps aux impétueux assauts des jeunes hommes en rut. Sur mon insistance,elle lui dévoile aussi le gros et lourd "secret" de sa copine michèle.

Julien a installé une petite caméra dans le confessionnal. J'ai donc l'image du prêtre et le son au travers du portable de mon épouse. Mais j'y pense, je ne suis peut être pas le seul à profiter du spectacle!

Le père Emilio commence à avoir très chaud lui aussi. Il dégrafe légèrement sa soutane. Au plus "profond" du récit, il se saisit de son énorme dard, déjà bien volumineux. Et il commence à se branler consciencieusement!

J'envoie l'image agrandie sur le portable de ma chérie. Elle peut ainsi profiter tout à loisir de la fabuleuse érection du prêtre, en direct. Encouragée à aller plus avant, elle n'a de cesse d'en rajouter et de rentrer plus avant dans de graveleux détails. Deux doigts de part et d'autre de son clito tout gonflé, elle le regarde fixement dans ses yeux d'azur.

- Hélas, trois fois hélas, ma sœur, deux paters et trois avés ne seront pas suffisants ici!!!

-Il vous faut maintenant me suivre au presbytère , afin que je puisse y détailler votre punition.

Nous voila donc à la cure: l'habitation du curé. Le lieu est très austère, Il y a tout ce qu'il faut mais sans plus, sans fioritures. Un lieu simple qui sied à un homme d'église. Seule une porte ,peinte en rose, attire mon attention!! La porte est fermée à clef, il l'ouvre. Lorsqu'il allume le néon, j'ai la surprise de ma vie!!

Une croix de saint André trône au milieu de la chambre. Sur une étagère, tout le parfait nécessaire du sado-maso: différents fouets, pinces à seins,robes très osées, godemichets de toutes tailles et autres baillons. Des offrandes de ses plus fidèles paroissiennes, me glisse t'il!!! Assis sur le lit, il commence par me mettre sur ses genoux et à me fesser vertement et copieusement. Ses grosses mains qui frappent mon cul me mettent dans un état second.

-C'est une alcôve réservée à mes plus grandes pécheresses. je l'appelle la chambre aux "grosses cochonnes"!!

Il m'ordonne ensuite de me mettre complétement nue. Il place deux petites princes au bout de mes seins et il m'attache sur la croix. Je suis sur le dos complétement offerte.

-Les voies du seigneur sont impénétrables.

-Il me faut maintenant vous pénétrer par ou vous avez péché!

- Si le ciel m'a donné un tel sexe, je suis sur que c'est pour punir les garces telles que toi.

Tient, il m'a tutoyée pour la première fois! Serions nous devenus intimes?
Le père est en rut. Son énorme engin écartèle ma chatte distendue. Mais son glaive coulisse avec aise, tant je mouille abondamment.

Les assauts du prêtre ne s’arrêtent pas là, puisqu'il doit me purifier partout par ou j'ai péché. Heureusement ,que j'ai bien préparé mon petit trou,il reçoit sans encombre le large pieu de l'abbé!

-Il vous faudra revenir toutes les semaines pour parfaire votre purification.

- Avec plaisir, dis je.

- Ensuite,je vous invite à participer à nos veillées du mercredi, vous verrez, vous aimerez!

Nous nous saluons. je pars en me posant des questions sur ces réunions nocturnes.

Mais ceci est une autre histoire.