Alice et Carole 1

Carole et une lesbienne dure et pure. Elle séduit à la terrasse d'un café, Alice, une femme divorcée. La séance de charme et de séduction porte ses fruits, elle arrive à l'emmener dans son lit. Depuis, les deux femmes filent le parfait amour. Très amoureuses, elles habitèrent ensemble depuis quelques années et sont très heureuses. Au cours d'un shopping, les deux femmes, bras dessus dessous, font du lèche-vitrine.

Elles croisent un homme. Alice reste figée, l'homme aussi, ils se dévisagent un long moment puis se jettent dans les bras l'un de l'autre. Les retrouvailles sont chaleureuses, les embrassades incessantes. Carole regarde bouche bée le duo euphorique. L'homme prend la main d'Alice et la fait tourner sur elle-même, il la regarde en souriant et dit en, pinçant les lèvres :

-Tu es toujours aussi belle malgré les années !


Enfin, Alice présente l'homme :

Carole ma chérie, je te présente François mon amour de jeunesse !

Carole dévisage François, en homme galant, il lui demande s'il peut l'embrasser, Carole accepte. François propose de leur offrir un verre. Les trois prennent place à la terrasse où Carole, a séduit Alice. Les questions fusent, François gêné donne les raisons de son départ. Il a dû suivre ses parents en Allemagne pour des raisons professionnels de son papa. Il s'explique aussi sur les coups de téléphone qui s'espaçaient au fil du temps pour finir par cesser. Alice répond avec un sourire forcé :

-Oui, je sais, loin des yeux, loin du cœur, maintenant, c'est du passé, j'ai divorcée d'un homme volage, puis j'ai trouvé l'amour avec Carole, eh oui, nous vivons ensemble depuis de longues années, nous nous aimons d'un amour fou !

François écoute en écarquillant les yeux, c'est au tour de Carole de parler. Elle dit :


-Moi, j'ai été traumatisée par ma première relation sexuelle à l'age de quinze ans, avec un homme brutal, ce fut un fiasco total, depuis je ne supporte plus les mains d'un homme sur moi, je préfère les femmes, elles sont plus à l'écoutent de nos sentiments !

François répond :

-C'est que tu n'as pas trouvée le bon, Carole !

L'heure tourne, François se lève pour prendre congé, mais les deux femmes, d'un commun accord, l'invitent à diner. C'est encadré par les deux femmes que, bras dessus, bras dessous, les trois arrivent à destination. pendant qu'une prépare le diner, l'autre fait visiter la maison à François. Une fois à table, les trois font plus ample connaissance, le repas bien arrosé se termine bien, une petite sono permet au trio de danser. L'heure tourne, François veut partir, car il est tard. Les femmes lui proposent de passer la nuit chez elles. François un peu hésitant dit :

-Je n'ai pas de pyjama pour dormir que ma valise est à l'hôtel !

Carole éclate de rire et dit :

-Dors à poil !

François, pousse un gros soupir et répond :

-Bon si vous incitez, va pour à poil !

Avant, de monter dans la chambre qu'on lui a réservée, il demande de prendre une douche. Il en ressort le bas-ventre enroulé dans une serviette éponge et rejoint sa chambre sous le regarde des deux femmes souriantes. Il laisse la porte entrouverte, il veut leur souhaiter une bonne nuit lorsqu'elles passeront dans le couloir. Il s'étend nu sur le lit et attend que montent Carole et d'Alice. Enfin, elle passe dans le couloir, il crie :

-Bonne nuit mes princesses !

Elles répondent en chœur :

-Bonne nuit beau prince !

Une fois nue, les deux amantes se jettent l'une sur l'autre, sûrement la présence de l'homme dans la chambre d'à côté qui les excite, elles s'ébattent en gémissants bruyamment. François les entend geindre de plaisir, sa queue se dresse, il la saisit, et la branle rageusement jusqu'à l'éjaculation, un jet puissants gicle sur son ventre, suivi des deux autres moins violents. Il s'essuie avec son mouchoir et s'endort une fois que les deux amantes ont joui à leur tour. Le lendemain matin, il descend en boxer pour se rendre dans la salle de bain. Là pour n'est pas verrouillée. Il l'ouvre, il est surpris, Carole l'occupe, elle est devant le grand miroir en nuisette, elle se brosse les cheveux. Elle voit dans le miroir François, elle lui fait un sourire en continuant de brosser sa chevelure.

Il s'approche d'elle, pose ses mains sur sa taille et lui donne un petit baiser sur son épaule dénudée. Il hume fortement son corps et dit tendrement :

-Hum comme tu sens bon, Carole !

Elle lui sourit, il tire doucement contre lui, son bas ventre appuie à peine sur le fessier charnu de la femme, qui se raidit légèrement. Les mains de François glissent sur les hanches de Carole, il tire dessus sans brusquerie, puis ondule lentement du bassin. Carole sent contre ses fesses la verge qui prend doucement du volume. Elle pousse un gros soupir et cesse de brosser ses cheveux. Les mains de François montent sur ses flancs, passe sous ses aisselles et se posent délicatement sur sa poitrine, et donne quelques petites pressions sur les seins. Sans les lâcher, il donne sur l'épaule nue, quelques petits baisers humides. La grosseur contre ses fesses augmente, Carole respire plus rapidement. Habilement, elle se retourne pour faire face à François.

Il l'enlace en la regardant dans les yeux, leurs lèvres sont très proches, les souffles chauds se mêlent, Carole frissonne. François pose ses mains sur ses épaules et les glissent sous les fines bretelles de la nuisette, lentement, il en dégage les épaules. Carole lui dit faiblement :

-Tu sais, François, je stresse terriblement, je ne veux pas qu'un homme me touche, je ne veux pas que l'échec que j'ai eu, se reproduise !

Il ne répond pas, il avance légèrement sa tête vers la sienne, leurs lèvres se frôlent, Carole trésaille, son corps se met à trembler. Il renonce à l'embrasser, car elle panique. Il tire doucement sur la nuisette qui glisse sur le corps fébrile de Carole. François tire un peu plus fort sur le tissu pour dévoiler les siens. Il observe les bouts larges et épais, plantés au centre des taches brunes, grenelées. Carole défaille lorsque François lui donne un baiser sur chaque mamelon. Il tire encore sur la nuisette pour dégager le corps de Carole qui tremble comme une feuille. Maintenant Carole est en petite culotte devant François. Elle ravale sa salive en disant faiblement :

-Non François, cesse, je t'en prie, c'est monstrueux ce que tu veux me faire, je ne peux pas faire l'amour avec toi, ni avec aucun homme !

Sur le pas de la porte, Alice regarde depuis un bon moment le couple, elle sourit. Lorsque Carole l'aperçoit, elle fond en larmes, elle dit entre deux sanglots :

-Non, non, je ne peux pas, je ne peux pas, c'est horrible Alice !

Alice se place derrière elle et l'enlace, elle lui murmure :

-Laisse-toi aller ma chérie, fait un effort, je vais t'aider, fais l'amour avec François ma chérie, je te le demande !

Tout en la rassurant, Alice lui baisse doucement la culotte, elle lui embrasse les fesses au fur et à mesure que le tissu descend. Enfin Carole et nue, devant un homme, elle tremble en s'agrippant à François. Alice passe derrière François et lui descend le boxer pur faciliter la descente, il s'écarte légèrement de Carole. Alice arrive à ses fins, François est nu aussi. Sa verge tendue appuie fortement contre le ventre de Carole, qui défaille terriblement. François l'embrasse tendrement, comme par miracle Carole répond au baiser. Une fois que le baiser cesse, Alise prend la main de chacun des futurs amants et les entraine dans un lieu plus confortable, le salon. Elle regarde Carole qui prise de panique se jette dans ses bras. Les deux femmes échangent un baiser fougueux. Alice lui répète plusieurs fois :

- je vais t'aider mon amour n'es craint !