Alice et Carole 2

Alice répète :

-N'es crainte, je vais t'aider, allonge-toi sur la table du salon et laisse-toi faire !

Carole tremble tellement qu'Alice doit la soutenir pour qu'elle s'allonge. Elle s'agenouille à côté d'elle et avec délicatesse, elle lui caresse les seins. Alice connait très bien le corps de son amante et sait comment le faire vibrer. François regarde les deux femmes avec intérêt, il se caresse la verge en ne perdant rien du spectacle. Carole commence à geindre, sous le doigté habile d'Alice ses bouts se dressent et deviennent durs. Ses doigts agiles tournent autour des aréoles grenelées, en frôlant volontairement les mamelons, qui continus de grossir.

Soudain Carole se tend comme un arc, Alice vient de lui gober un mamelon et le suce voracement, Carole souffle comme un bœuf, en geignant en serrant les dents. Une main de son amour glisse sur son ventre plat, et caresse en faisant de petits cercles. La main s'approche dangereusement de sa vulve qui, depuis un moment, ne cesse de suinter. Les doigts passent avec douceur sur les grandes lèvres,elle les pincent doucement avant de les s'insérer dans le sillon dégoulinant de cyprine. Les doigts montes et descendent sur la fente avec une délicatesse remarquable. Carole ne peut retenir ses gémissements, elle agite doucement son bassin en poussant de nombreux soupirs.

La verge de François commence à devenir douloureuse, il la serre pour faire cesser l'affut de sang qui voyage dans la colonne de chair. Il grince les dents, il est au bord de l'éjaculation. Il s'approche du couple en plein ébat, et présente son engin aux lèvres de Carole qui serre les dents en signe de refus. Alice délaisse les mamelons et dit en enfonçant profondément trois doigts das la vulve de son amour :

-Suce-la ma chérie, suce-la !

Carole, influencée par Alice, ouvre la bouche et gobe la verge que François avait pris soin de décalotter. Elle a des hauts le cœur, et a tendance à recracher l'engin. Alice tourne les doigts plusieurs fois dans le vagin, en répétant :

-suce, suce ma chérie, vas-y !

Carole saisit d'une main la verge et commence maladroitement la fellation. Au fur et à mesure, elle y prend du plaisir. Son corps est secoué de spasme, les doigts d'Alice font leurs effets en fouillant le vagin brulant. Elle agite son bassin en grognant fortement, Alice en souriant dit :

- Ne te retient pas, joui ma chérie, joui !

La tension dans le corps de Carole est à son plus haut niveau, elle s'acharne sur le gland de François qui rugit comme un fauve. Carole se cabre sans lâcher le gland, elle pousse râle terrible et jouit fortement. François grogne de plus en plus fort, il se cabre et envoie trois giclées dans la bouche de Carole qui manque d'étouffer, elle le repousse violemment. Alice lui :

Avale ma chérie, avale, tu verras, c'est délicieux !

Carole, hébétée, regarde Alice, ses joues sont gonflées par la quantité impressionnante de sperme qu'elle a dans la bouche. Ses yeux sont larmoyants, elle déglutit difficilement en grimaçant et finit par tout avaler. Elle s'essuie les lèvres d'un revers de la main. Alice réagit en souriant :

-Bravo ma chérie, maintenant François va te prendre, donne-toi, tu est appoint !

Avant de retirer ses doigts, Alice ramone encore un peu le conduit noyé de cyprine. Enfin, elle cède la place au mâle impatient. Instinctivement Carole serre les cuisses, Alice lui fait les gros yeux. Pas rassurée, Carole ouvre lentement les cuisses. François se laisse tomber entre ses cuisses et sans se poser de questions, lui aspire le clito. Il le suce voracement, Carole agite son bas-ventre en couinant de plaisir. Le bougre s'acharne sur le clito en le suçant comme un bonbon. La boule de chair sensible enfle encore et devient grosse comme une noisette. Alice est émerveillée de voir son amour prendre du plaisir avec un homme. Il ne faut pas attendre longtemps pour que Carole, dans un râle rauque, jouisse en se cabrant fortement.

François se redresse et place sa verge encore gluante, contre les grandes, gonflées par l'excitation. C'est Alice qui maintient fermement le pal contre la vulve de Carole. François s'accroche aux hanches de sa proie et pousse, les grandes lèvres s'ouvrent et le manche, s'engage dans le conduit vaginal. Alice lâche le membre grossièrement veiné, en ne quittant pas des yeux la verge s'enfoncer dans le ventre de son amour. Carole serre les dents, elle grimace, cela lui rappelle, de mauvais souvenirs. Son corps est secoué de tremblement qu'elle n'arrive pas à contrôler. Alice vient à son secours, elle glisse sa main sur son ventre, saisit le clito et le branlent en murmurant à sa concubine :

-Détends-toi, ouvre-toi bien ma chérie, prends ton pied !

François commence un travail de sape, sa verge voyage dans le vagin de Carole avec de plus en plus d'aisance. Le gland qui frotte contre les parois du vagin fait gémir Carole. Le pilonnage devient plus intense, les gémissements de Carole aussi. Elle s'accroche à son amant en lui donnant des coups de reins aussi fort que ceux qu'il donne. Alice tout en lui branlant le clito lui gobe un mamelon et le malmené, il faut que Carole explose comme jamais, elle ne l'a fait. La verge puissante qui lui laboure le ventre, la fait délirer, Alice, ne l'a jamais vu dans comme cela, Carole, semble être dans un état second.


Elle veut que son amour n'oublie jamais cet instant de plaisir, elle tète encore avec plus voracité les mamelons, tout en branlant énergiquement le clito. François ne faiblit pas, ses coups de reins accompagnent ceux de Carole. Il la défonce comme un beau diable, le résultat escompté arrive enfin. Carole pousse un hurlement inhumain, en s'arc-boutant. Elle jouit comme une dingue, en giclant comme un geyser sur les couilles de François qui continue de la démonter sauvagement. Alice lui mord les mamelons et lui écrase le clito amour la faire jouir encore plus fort. Carole s'agite comme un reptile prit dans un piège, sa jouissance est monstrueuse. Entre deux spasmes, elle crie :

-Alice, Alice, ma chérie, je l'ai fait, j'ai joui comme une malade, oh, c'est merveilleux !

Alice, lui sourit et l'embrasse fougueusement, François n'en a pas fini, il pilonne encore le ventre de la jouisseuse jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de sa semence épaisse.