Amours téléphonés

Tu es partie dans cette maison de santé. Qu’elle idée, tu as deux ou trois kilos de trop, d’après toi, d’après tes amies. Enfin libre à toi. Mais moi, tu y as pensé, seul dans la maison, avec le fantôme de tes souvenirs, de nos souvenirs. Tu sais le premier soir seul, je m’ennuyais. Je n’ai pu résister à ton souvenir de toi nue, à mes côtés quand tu te fais du bien. J’aime te voir te masturber, même si tu n’aimes pas ce mot. C’est pourtant vrai, tu te branles, tu aimes te donner ce plaisir immense que même moi je n’arrive pas à te donner complètement avec ma main. Tu aimes ma bouche sur ta chatte, quand je te lèche, que je suce ton clitoris mignon, à ma façon, en l’aspirant, le léchant pour recommencer. Tu aimes quand je te suce que j’oublie un doigt ou deux dans ton anus. Et quand je te baise me tu me demande de te la mettre par derrière au cul, profonde. Que ta main vérifie si je suis bien en place.

Alors je me contente comme je peux : je me branle, je me masturbe avec ton con sous mes yeux, ton cul entourant ma pine, tes mains me masturbant comme tu sais si bien le faire, tes lèvres autour de ma queue.

Téléphone moi un soir pour que je me branle avec toi au bout du fil………
Allo :
- C’est toi. Merci d’appeler. Tu es comment ?
- Nue.
- Complètement nue, et où ?
- Dans ma chambre, j’ai réussi à être seule. C’est mieux pour ce que je fais.
- Qu’est-ce que tu fais ?

- Le matin en me réveillant je me caresse longuement. L’autre jour, hier matin le médecin est venu. J’étais les jambes écartées. Il a vu ma chatte, a regardé ce que je faisais. Je crois qu’il s’est touché. Il aurait bien voulu baiser. Il a sa femme pas loin. Je crois qu’ils ont baisé plus tard. Moi j’ai joui ne pensant à sa queue. Et un peu à la sienne dans le con de sa femme.
- Tu t’es branlée ce matin ?
- Oui et hier au soir. Quand je peux dans l’après-midi aussi.
- Pourquoi quand tu peux ?
- Parce que j’ai une copine qui vient me voir souvent. Elle voudrait bien que…
- Que quoi ?
- Que je la touche, que je la branle quoi. Je n’ose pas faire ça.
- Pourquoi ? c’est bon entre femmes.
- On le dit, mais j’ai honte de me montrer nue devant elle pendant qu’elle me caresse.
- Je t’appelle demain soir à la même heure. Je vais me branler en pensant à toi.
- Moi aussi je vais me branler.

- ………………………………

- Allo ?
- C’est toi ?
- Tu t’es branlé hier ?
- Et ce matin aussi. Et toi ?
- Comme toi ? C’était drôlement bon, je me suis entré deux doigts dans le cul comme te me fais.
- Et ta copine ?
- Rien de mieux, elle me sourit beaucoup. Je n’ai qu’un signe à faire.
- Je vais te laisser, je bande.
- Reste, écoute ce que je te dis de faire.
- Oui ?
- Prends ta queue dans la main droite, Tu y es ?
- Oui, je la tiens. Et toi tu as ta main où ?
- Sur ma chatte, je cherche le clitoris.
- Tu cherches ton clitoris ? Tu ne sais pas où il est à ton âge.

- Que tu es bête. Je sais bien où il est j’ai deux doigts sur lui. Je vais me branler. Tu as pris ta bite ?
- Je la tiens à la base, sans rien faire, j’attends tes ordres.
- Montes ta main, serre juste sous le gland.
- Je monte doucement ma main sur la tige : c’est bon, je voudrais que ce soit toi qui me touche là.
- Descends doucement ta main en serrant un peu. Ton gland est dehors.
- Oui, c’est bon. Et toi ?
- Je fais tourner un peu mes doigts autour du bouton, c’est bon.
- Je descends la main vers les couilles. Je vais les caresser aussi. Même je vais me branler le cul.
- Non attend pour le cul nous le ferons ensemble. Continu ta branlette.
- Et toi tu entre deux doigts dans le con ?
- Oui, j’en ai mis deux, comme souvent.
- C’est bon de se branler ? Non ?
- Surtout ensemble. Je ne vais pas tenir longtemps. Je sens le plaisir arriver.
- Comme moi, ça monte dans la queue.
- Oh, putain que c’est bon, je me mets deux doigts dans le cul. Fais-en autant.
- Oui j’entre mes doigts dans l’anus qui se dilate comme avec toi.
- Je glisse dans le con et le cul à la fois. Il me tarde d’avoir deux pines en moi.
- Et ma langue tu l’oublies ?
- Mais non je la suce là. Tu la sens dans mes lèvres.
- Tu es salope. Je te baise quand tu veux.

- Attends :…..je…..jouis. Mes doigts sont prisonniers de mes fesses et mon con. C’est bon. Jouis toi aussi.
- C’est fait, mon jus coule sur le ventre. Je vais le laisser sécher jusqu’à demain matin quand je me branlerais encore.
- Demain soir, si je baise avec la voisine, tu jouiras encore plus, je te raconterais tout dans les moindre détails. Ma langue autour de ta queue.
- Baise avec ta voisine si elle en faut la peine. Elle est comment ?
- Visage sensuel, lèvres un peu épaisses, juste ce qu’il faut pour sucer une minette. C’est vrai tu es d’accord pour que nous nous amusions ensemble à deux filles.
- Tu me raconteras demain comment tu as fait, si tu la faite bien jouir et surtout si toi tu as jouis.