ACCUEIL > Bi-sexuels > Récit : Apprendre l'orthographe
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/10/2025
Histoire précèdente <<<
Apprendre l'orthographe
+2
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/10/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
Nous voilà mi-juin et ça y est, je viens de décrocher mon BTS secrétariat et n’ai plus qu’à trouver un emploi. Je m’appelle Thalia, vais avoir vingt ans en octobre et vis encore chez mes parents avec ma jeune sœur Eliza (17 ans) qui rentre en terminale pro carrosserie ; elle est la seule fille dans sa promo mais sait suffisamment s’imposer pour qu’aucun garçon ne l’embête. Nous vivons dans une petite maison, nos parents ayant du mal à boucler la fin du mois depuis que papa est malade : une grande cuisine où nous mangeons et un petit salon contenant tout juste la télé et un grand canapé tout avachi ; un petit couloir distribue deux chambres et une salle de bain avec une grande baignoire et un lavabo. Mes parents occupent la plus petite des chambres. Eliza et moi occupons la plus grande où nous avons pu caser deux lits simples et une grande armoire que nous nous partageons. Ces circonstances nous ont rendues très fusionnelles et nos vies n’ont guère de secret l’une pour l’autre sauf en ce qui concerne notre vie sexuelle. Mais là, il n’y a pas grand-chose à dire ; la mienne se résume à quelques plaisirs solitaires rapides et peu fréquents dans la salle de bain et, vu comment Eliza repousse tout garçon qui l’approche, je pense que la sienne n’est guère différente. Ces présentations faites, je reviens à mon urgence : trouver un emploi rapidement pour soulager nos parents et, pourquoi pas, offrir une sortie à ma sœur de temps en temps…
Il me faut très peu de temps pour repérer un job d’été correspondant à mes attentes : secrétaire dans une PME. Je sais que ce n’est que temporaire mais me dis que j’aurai le temps de chercher un poste à long terme… Je prends immédiatement contact avec l’entreprise et suis invitée pour un entretien dès le lendemain matin. Vêtue de mon jean le plus neuf, d’un tee-shirt au décor neutre et de ma paire de tennis que j’ai briquée, je me présente avec cinq minutes d’avance. A l’heure dite, le patron me reçoit. Après m’avoir serré la main, il m’invite à m’asseoir face à lui de part et d’autre de son bureau. Après dix minutes d’entretien, il me propose un test ; il me remet une lettre sans présentation et me demande de la taper et de la présenter en me fournissant un ordinateur muni d’une version récente de traitement de texte. Tenant à faire bonne impression, je m’empresse de me mettre à l’œuvre en mobilisant mes connaissances ; j’ai été une élève sérieuse et suis motivée par le travail. Lorsque je lui remets ma copie, il prend le temps de l’examiner. Puis, en me regardant, il m’exprime sa satisfaction pour ma ponctualité, pour la rapidité de mon travail et pour sa qualité. Il me propose le poste si je suis prête à travailler deux mois pour le SMIC plus vingt pour cent. Soulagée, j’accepte immédiatement. Je commence dès le premier juillet dans un peu plus d’une semaine.
Tout au long de cet été, je découvre cette entreprise de carrosserie industrielle : vingt-cinq métallos (dont deux femmes), une comptable (Béatrice), le patron et moi-même. Que je vous parle de ce patron qui m’a beaucoup impressionnée. Très élégant, assez grand, brun sombre avec les tempes légèrement grisonnantes, pas plus de quarante ans, avec une voix chaleureuse mais très autoritaire. Inexplicablement, on a envie de lui sourire mais en restant sur le qui-vive comme s’il pouvait à tout moment vous sanctionner. Le matin, quand j’arrive, il vient systématiquement me saluer puis il m’indique son emploi du temps, les appels qu’il attend et me donne son dictaphone contenant les courriers que je dois taper dans la journée afin qu’il les signe dans l’après-midi. Dans la matinée, Béatrice et moi nous retrouvons dans son bureau autour d’un café qu’il nous offre ; pendant ce court moment (pas plus de cinq minutes), nous ne parlons jamais travail. Environ une heure avant mon départ, je lui emmène les courriers pour la signature ; je me tiens à sa gauche et tourne les pages du signataire à il prend le temps de les relire et corrige mes nombreuses fautes d’orthographe ; je file rectifier et lui ramène les épreuves définitives qu’il signe après relecture. Je mets le courrier sous enveloppes et le dépose dans la boite de la comptable pour qu’elle l’affranchisse. Je peux alors aller saluer le patron et rentrer chez moi. Comme le matin, nous échangeons une poignée de mains.
Environ une semaine avant la fin de mon contrat, au moment où je viens dire au revoir, le patron me demande quels sont mes projets pour après. Apprenant mes recherches, infructueuses, il me dit qu’il va essayer de m’aider. Je ne peux cacher ma joie et, au lieu de lui tendre la main, je lui fais la bise avec un grand sourire. Il sourit à son tour et, alors que je commence à rougir de mon comportement, il me dit qu’il apprécie beaucoup et qu’il espère avoir d’autres bisous. C’est ainsi que commence ma dernière semaine avec bisous matin et soir ; le matin, il m’attire un peu vers lui en me posant une main sur l’épaule et, le soir, sa main tombe sur ma hanche. Je m’amuse de la situation. Le jeudi arrive et je suis de plus en plus inquiète ; pas de boulot en vue et le patron ne m’a pas reparlé de son aide. Sans doute moins concentrée que d’habitude, le patron remarque une forte augmentation du nombre de fautes d’orthographe et me le fait remarquer. Perdue dans mes angoisses, un peu inconsciente, je lui réponds que ce n’est pas trop grave puisqu’il les corrige. Je finis à peine ma phrase que je manque tomber sur le bureau sous l’effet d’une formidable claque qui s’abat sur mes fesses. Il me tend le signataire et m’envoie corriger avec ordre de ne plus jamais lui répondre sur ce ton. Confuse, honteuse et meurtrie, des larmes perlant au coin des yeux, je pars corriger les courriers et reviens vingt minutes plus tard ; je n’ose pas le regarder et garde la tête basse. Après avoir signé chaque page, il se lève, une main dans mon dos, l’autre me tenant le menton, il me dit d’arrêter de sangloter comme une enfant avant de me poser un bisou sur le front. Quelques minutes plus tard, alors que je viens lui dire bonsoir, il me prend dans ses bras et, instinctivement, je me serre contre lui et pose ma tête sur son épaule en lui demandant pardon pendant que ses mains me caressent le dos. Il m’embrasse en me disant qu’il me pardonne et me souhaite une bonne soirée.
Lors de mon retour à la maison, mes yeux rougis se remarquent et je ne peux qu’avouer m’être faite disputer pour insolence mais je ne leur parle pas de ma fessée. Mes parents me rétorquent que c’est bien fait pour moi. Il n’y a qu’au moment de nous coucher que ma sœur me fait cracher le morceau. En réaction, elle me prend dans ses bras et, en me caressant les fesses, me pose un bisou sur la bouche et aussitôt me lâche et va se coucher en éteignant la lumière. En me couchant je ne peux m’empêcher de lui demander pourquoi elle a fait ça. Elle me répond : « pour que tu t’endormes en rêvant à la douceur de ta sœur plutôt qu’à la brutalité de ton patron ! ». En souriant, forte de son amour, je lui souhaite une bonne nuit.
Le lendemain, après que mes parents m’aient fait la morale et que ma sœur m’ai fait un clin d’œil, je pars au travail sereine, bien décidée à me concentrer sans ressasser inutilement mes soucis. Comme d’habitude le patron vient m’embrasser mais, après nos deux bisous, il ajoute une caresse sur ma joue. Je lui souris en retour. La journée se déroule normalement jusqu’à la lecture du soir. Je suis fière de moi en voyant le peu de fautes que le patron corrige. La dernière page est annotée quand il pose une main sur mes fesses. Je me tétanise. Il sourit et me dit : « vous me prouvez qu’une bonne fessée permet de progresser ». Je rougis et me pince les lèvres mais ne peux m’empêcher de timidement sourire en le regardant. Je m’empresse de prendre le signataire pour faire les corrections nécessaires. En m’asseyant au bureau, je sens la chaleur de mes joues rouges de honte mais j’ai aussi l’impression d’avoir les fesses brûlantes… Lors de mon retour, alors que je lui pose les courriers à signer, il le fait sans cesser de me caresser les fesses ; je ne dis rien, suis toujours rouge et ai l’impression que mon derrière l’est tout autant. Une fois tous les courriers signés, il se lève et, une main sur mon épaule, entame une discussion :
- « Désirez-vous continuer à travailler ici ?
- (Je suis étonnée, presque abasourdie) Même avec mon comportement d’hier ?
- Votre faute d’hier, vous la reconnaissez et l’avez payée d’une fessée, en conséquence je l’oublie et vous propose un CDD de six mois à compter de lundi si vous le voulez et si vous me supportez car, ce soir je ne me suis pas gêné pour vous caresser les fesses.
Je rougis encore plus, si cela est possible mais m’empresse d’accepter, trop heureuse de l’aubaine et ayant l’impression que l’on vient de me soulager d’un énorme poids. Toujours écarlate, je lui précise que ses caresses sont à la fois perturbantes et tendres. Il rit, me prend dans ses bras et m’embrasse longuement sur les deux joues en me souhaitant un bon week-end.
En route pour mon retour, je m’arrête acheter un gâteau pour fêter l’évènement. Ma mère me demande si je n’ai pas mieux à faire de mon argent alors que je vais devoir m’inscrire au chômage. J’attends que mon père et ma sœur soient présents pour leur annoncer mon embauche. Mon père s’étonne vu mes yeux de la veille. Je leur précise que le patron m’a pardonné et que j’ai bien compris la leçon. Ils sont heureux de l’aubaine et savent que ça va les soulager financièrement. Le soir, au moment du coucher, Eliza vient me faire un câlin comme nous le faisons tous les soirs mais, en plus, elle m’embrasse à nouveau sur les lèvres. Je souris en l’interrogeant sur ce geste. Elle me répond qu’elle aime le goût de mes lèvres. Lors de notre réveil, le lendemain matin, c’est moi qui vais embrasser Eliza sur les lèvres. Elle me sourit et nous nous faisons un rapide câlin avant d’aller déjeuner et d’occuper la salle de bain à tour de rôle pour nous habiller. Nous partageons la même chambre mais ne nous habillons et déshabillons que dans la salle de bain ; les parents nous ont appris à être pudiques. Le week-end est heureux et nous prenons l’habitude, Eliza et moi, de nous bécoter dès que nous sommes seules comme un jeu amusant.
Le lundi, je retourne au travail heureuse. Dès mon arrivée, après nos traditionnels bisous, le patron m’invite dans son bureau pour que je signe mon contrat. Une fois ce contrat signé, il me donne quelques précisions :
- « Ce contrat n’a pour but que de vous laisser le temps d’apprendre totalement votre métier. Dans six mois j’aimerais pouvoir le transformer en contrat à durée indéterminée. J’y mets deux conditions : la première est que vos tenues évoluent vers plus de classe pour vous affirmer comme secrétaire de direction. Je vais vous y aider en commençant par une prime vestimentaire, les ouvriers de l’atelier se voyant fournir aussi des vêtements de travail, c’est normal. La seconde condition est que votre orthographe évolue suffisamment ; l’objectif à atteindre est pas plus d’une faute par jour.
- Merci monsieur, je suis prête à tout pour progresser mais votre objectif me semble impossible à atteindre.
Il me propose alors deux aides que je peux ou non accepter. Sa première aide consiste à m’offrir trois livres d’orthographe, de grammaire et de conjugaison, en me précisant qu’il m’appartient de travailler librement chez moi. Au moment de me proposer sa seconde aide, il insiste sur le fait que j’ai le droit de la refuser sans qu’il ne m’en tienne rigueur. Il me dit alors qu’il a remarqué que sa première fessée m’a aidée à me concentrer et me propose donc des fessées en relation avec mes fautes. Je me tétanise, rougis et suis incapable de répondre. Il sourit et me tend une lettre intitulée ‘’demande de fessées’’ en me disant que je peux prendre tout mon temps pour y réfléchir puis soit la jeter, soit la lui rendre signée. Il me renvoie alors au travail. Tout en travaillant sérieusement pour faire honneur à ce contrat dont je ne peux me passer, je suis angoissée par sa proposition, j’ai envie de refuser mais je n’arrive pas à jeter sa lettre d’acceptation…
Sur le temps du midi, il m’invite à l’accompagner car il veut m’offrir une première tenue. En route, une main posée sur mon genou, après m’avoir demandé ma taille, il m’explique qu’il m’emmène dans une boutique où les prix sont plus élevés que ceux d’internet mais où la qualité est suffisante pour que mes vêtements restent impeccables même après de nombreux lavages. Je suis prise dans un tourbillon et n’ai pas le temps de réfléchir à cette situation étrange. A l’arrivée, il veut connaitre mes coloris préférés et très vite il choisit une robe bleu marine, un pantalon droit jaune moutarde avec un chemisier blanc à décors bleu pâle et argent ainsi qu’un pantalon pont rouge carmin aux boutons or accompagné d’une blouse bleu dur encolure en V. Je pars en cabine et il m’attend à l’extérieur. Je passe la robe et l’enlève aussitôt ; on voit trop mes jambes. J’enfile le pantalon jaune et le chemisier puis sors de la cabine pour qu’il me voie. Il vient vers moi, me prend par la taille et déboutonne un bouton du chemisier avant de me faire me regarder dans un miroir. Je suis un peu gênée mais, vu ma petite poitrine, je reconnais que le décolleté ne montre pas grand-chose. L’ensemble me plait. Je retourne en cabine et passe la dernière tenue. Le décolleté de la blouse est très plongeant ; je sors quand même. Toujours en me prenant par les hanches, il me complimente et me tourne vers le miroir. Je le vois sourire puis il plonge le regard dans mon décolleté me faisant immédiatement rougir. Je lui dis que je préfère la tenue précédente. Il me dit de me rhabiller en n’emportant que la tenue choisie. Dans la cabine, tout en m’habillant, je réfléchis à sa proposition de fessée et me dis que, prévenue, cela devrait être supportable et me déterminer à étudier pour éviter d’être fessée.
En rentrant au bureau, émue par son cadeau, je me concentre sur mon travail. Le soir venu, je pose le signataire devant lui ; en première page, mon acceptation de fessées. Il la range et commence sa lecture. Mon travail comporte trente fautes s’articulant autour de quinze règles d’orthographe, de grammaire ou de conjugaison. Comme il y a treize règles que je ne connais pas, il m’annonce vingt-six claques. Après avoir corrigé, fait signer et mis à l’affranchissement les courriers, je reviens dans son bureau pour ma première fessée ; je suis angoissée. Il me demande de poser mon buste sur la table de réunion, se met à ma gauche, pose sa main gauche sur mon dos et la droite sur mes fesses qu’il caresse. Il me dit qu’il va commencer et que je dois compter. Sans précipitation mais avec la régularité d’un métronome, les coups pleuvent suffisamment forts pour qu’à partir de douze, je pleure. Arrivé au bout du compte, il me relève et me prend dans ses bras où je me précipite pour un câlin réconfortant. D’une main il me caresse les fesses tandis que l’autre sèche les larmes sur mes joues. Je me sens bien dans ses bras. Il me dit que je dois partir pour avoir le temps de travailler tant que je suis motivée par la fessée. Je lui souris, pars enfiler ma veste et récupérer mes nouveaux vêtements puis je reviens lui faire la bise. A nouveau il me caresse les fesses et je me serre contre lui, heureuse de ce geste tendre. En chemin, je réfléchis à ce qui vient d’arriver et prends conscience que si la fessée est sévère et douloureuse, elle augmente mon plaisir au câlin et aux caresses ; j’avoue ressentir un peu de honte à me laisser ainsi caresser les fesses.
Arrivée à la maison, je suis heureuse de raconter à mes parents mon contrat et la possibilité de le poursuivre en CDI si mon orthographe progresse (je ne leur parle pas de mon acceptation d’être fessée) ainsi que ma prime vestimentaire et le cadeau de bienvenue du patron. Mon père tique un peu sur ce dernier point alors que maman trouve l’ensemble très beau et s’empresse de découdre les étiquettes gênantes avant lavage. Je file dans ma chambre et me mets à faire des exercices tirés des livres offerts, mes fesses préférant la douceur d’un lit à la dureté d’une chaise. Après manger, je recommence pendant qu’Eliza lit. Vient l’heure de se coucher. Eliza me dit qu’elle prend la salle de bain. De manière impulsive, je l’arrête et lui demande de se dévêtir dans la chambre. Elle me regarde, étonnée puis se met en sous-vêtements. Après avoir défait les bretelles de son soutien-gorge, elle enfile son long tee-shirt et qui la recouvre alors qu’elle le dégrafe et ne retire sa culotte qu’au moment où le tee-shirt la recouvre puis elle sort. J’ai maté ma sœur se déshabillant et j’ai trouvé ça agréable ! Je suis un peu perdue et file dans la salle de bain dès qu’elle revient. Alors que je me mets nue, je n’ai qu’une envie : jouir. Il me faut très peu de temps et de caresses pour éprouver un plaisir puissant ; j’en suis encore étourdie quand je pars me coucher. Arrivée dans la chambre, je vais vers Eliza qui me caresse les fesses alors que je me penche pour l’embrasser. Je lui dis que j’ai aimé la voir se déshabiller. Elle sourit et me dit qu’elle peut changer ses habitudes si j’aime. Le sommeil n’a pas tardé à me cueillir et, au réveil, je m’étonne de mon sentiment de repos profond.
Retour au travail. Après mes deux bisous du matin, la journée est intense. Le patron a transféré les appels sur mon poste et j’apprends à trier et passer les communications. Lors de la relecture des courriers mes fautes me valent vingt-quatre claques ; je philosophe et me dis que c’est mieux que la veille. Alors que j’approche de la table de réunion pour recevoir ma fessée, le patron s’assoit sur une chaise et m’invite à m’allonger sur ses genoux. Il me conseille d’agripper les pieds de la chaise avec les mains puis, quand je lui dis que je suis prête, il me fesse. Je compte et arrive à ne presque pas pleurer ; j’ai l’impression que c’est moins violent. Est-ce parce que je ressens la chaleur de son corps dans mon ventre posé sur ses cuisses ? Lors du câlin final, je me serre contre lui alors qu’il me caresse le dos et les fesses. A partir du mercredi, il me demande ma position préférée : le bureau ou ses genoux. C’est sans hésitation que je choisis ses genoux. La semaine se passe ainsi sans que les fessées diminuent, j’atteins même vingt-huit claques le vendredi. J’avoue que je commence à les ressentir plus…
A la maison, Eliza a pris l’habitude de se déshabiller dans la chambre et j’avoue avoir du plaisir à la regarder en sous-vêtements, plaisir qui augmente mes sensations lors de mes masturbations qui deviennent quotidiennes. Nous mesurons toutes les deux un peu moins d’un mètre soixante-quinze et sommes plutôt fines mais surtout pas maigres. Eliza est brune, comme maman alors que je suis châtain clair comme papa. Comme maman, nous avons toutes les deux une très petite poitrine mais Eliza doit être en bonnets B quand je mets du A. Lorsque le samedi arrive, forte de ma prime d’habillement, je vais m’acheter de nouvelles tenues. J’emmène Eliza et commence par lui offrir un jean dont elle rêvait ainsi que deux hauts. J’entre en cabine avec elle et ne peux me retenir de lui passer une main sur les fesses avant qu’elle n’enfile son nouveau jean. Elle me sourit et m’embrasse. Je me choisis ensuite deux pantalons et un short en laine grise pas trop court. J’assortis le tout de quatre hauts et de collants épais pour accompagner le short. Eliza reste en cabine avec moi et me dit qu’elle me trouve belle. Nous enchainons sur une boutique de lingerie. Eliza me laisse essayer deux soutien-gorge auxquels j’assortis quatre culottes plutôt classiques (juste une petite dentelle à la ceinture) et (grande nouveauté pour moi) deux shortys. Je propose à Eliza de lui offrir un soutien-gorge assorti de trois bas. Elle choisit un soutien-gorge bandeau et trois culottes de forme classique mais avec un insert de dentelle en travers des fesses. J’entre avec elle en cabine. Elle s’arrête surprise mais me laisse faire quand je lui dis que je veux la voir. Au retour, maman me dit que je dois faire attention à mes dépenses mais me remercie pour ma sœur.
Arrivées dans la chambre, Eliza commence à se déshabiller. Je l’arrête quand elle est en sous-vêtements et lui dit que j’ai envie de la voir nue. Elle sourit et se montre. Je lui fais un rapide câlin avant qu’elle n’enfile son tee-shirt et file à la salle de bain. Quand elle rentre, je l’attends en sous-vêtements. Elle vient vers moi, me caresse la joue et m’embrasse ; j’ai l’impression que ses doigts sentent le sexe mais je ne dis rien. A mon tour, je profite de la salle de bain pour m’offrir un plaisir solitaire et rejoins la chambre. Avant de me coucher, je me penche sur Eliza et l’embrasse en lui répétant qu’elle est belle en étant nue. Le lendemain soir, au moment du déshabillage, j’embrasse Eliza quand elle est nue et lui intime l’ordre de ne pas se branler dans la salle de bain. Elle balbutie et rougit. A son retour, je me mets nue devant elle pour la première fois. Je vois qu’elle ne me quitte pas des yeux. Je vais me toiletter et reviens rapidement sans m’être masturbée. Je m’assois sur le lit d’Eliza et l’aide à retirer son tee-shirt. Je lui dis alors que j’ai envie de me faire jouir et que si nous nous masturbons chacune dans notre lit en entendant l’autre ce sera meilleur. Elle me sourit et m’embrasse. Je lui caresse un sein rapidement, éteins et vais me coucher. Notre chambre s’emplit de bruits caractéristiques et de souffles puissants.
Le temps passe, les mois s’enchainent. A la maison, je travaille orthographe, grammaire et conjugaison avec acharnement. Eliza et moi continuons à nous mater nues avant nos masturbations solitaires mais aux sons et aux odeurs partagés. Nos bisous sont de plus en plus fréquents ainsi que nos caresses presque intimes. Au bureau, mes fessées sont toujours quotidiennes mais ont tellement diminuées que j’ai changé de ‘’tarif’’ en passant à deux claques par faute, ce qui m’a fait à nouveau dépasser les vingt mais je sais que je suis en diminution constante. Début novembre, le patron me propose de l’accompagner lors de ses rencontres extérieures avec des fournisseurs ou des clients, charge à moi de rédiger les comptes-rendus. Cette diversification des tâches m’intéresse et le patron me paie en heures supplémentaires dès que le trajet entraine des dépassements. Certains déplacements pouvant être à l’étranger, il me conseille de me faire établir un passeport dont il prend en charge les frais. Lors de l’avant dernière semaine de novembre, il me propose un déplacement à Lille pour les mercredi et jeudi de la semaine suivante. Je suis enthousiaste vu que je n’ai jamais pu voyager. Il me charge des réservations d’avion, de location de voiture et d’hôtel pour la nuit que nous passerons sur place. Lorsque l’hôtel me demande si les chambres doivent être communicantes, je suis surprise et leur dis que je vais les rappeler. J’en parle au patron qui me répond que je suis libre de choisir, les chambres communicantes n’ayant d’intérêt que si je veux un câlin le soir. Je rougis légèrement mais je rappelle l’hôtel pour leur dire que des chambres communicantes sont souhaitables.
Le lundi, j’inaugure le short en laine que j’avais acheté avec Eliza. Il est accompagné d’un épais collant rouge sombre assorti à la blouse que je porte. Le soir, après en avoir fini du courrier, je rentre dans le bureau du patron pour ma fessée (vingt claques). Il s’assoit sur sa chaise habituelle et je m’approche pour m’allonger sur ses genoux. Il me dit alors que je porte trop d’épaisseurs et il déboutonne mon short. D’abord étonnée, je ressens un court moment de panique mais, réfléchissant vite, je me dis qu’il n’a pas tort et que mon collant est aussi opaque qu’un pantalon. Je le laisse donc faire et reçois ma fessée sans trop gigoter quand je me rends compte que ce collant n’est pas tellement épais. Quand je me lève pour notre câlin, mon short est toujours au sol et ses mains sur mes fesses sont délicieusement douces. Il me dit que c’est agréable de me déshabiller et, alors que je vais pour lui faire un bisou sur la joue, il tourne la tête et me dépose un bisou sur les lèvres comme ceux que j’échange avec Eliza. Ce geste tendre me fait sourire et je lui propose mes lèvres pour un second bisou. Le lendemain matin, j’ai tendu mes lèvres et nous nous sommes rapidement embrassés. Le soir, ayant toujours le même short avec un collant aussi opaque mais un peu plus satiné, j’ai avancé le bassin de moi-même pour qu’il abaisse mon short avant ma fessée. Son câlin, accompagné de plusieurs bisous, m’a semblé plus intense et m’a troublée.
Le soir, j’ai embrassé un sein d’Eliza avant d’éteindre et de ma masturber en l’entendant gémir. Le lendemain matin, comme je pars pour deux jours, j’embrasse longuement Eliza. Je me suis habillée d’un collant translucide et d’un pantalon surmonté d’un chemisier brodé. A mon arrivée au bureau, le patron m’attend ; il commence par m’embrasser puis défait un bouton du chemisier. Je lui souris sachant que je suis toujours très discrète ainsi. Un taxi nous conduit à l’aéroport. Durant le vol, la discussion s’oriente sur ma vie personnelle. Il veut tout connaitre de ma famille et, alors qu’il me caresse les jambes, je lui dis tout l’amour que je porte à ma sœur (je ne lui parle ni de nos bisous ni de nos masturbations). Il me pose plein de questions sur elle : son âge, son physique, sa formation, ses goûts… A l’arrivée, après avoir pris possession de la voiture de location, nous filons à l’hôtel déposer nos bagages avant un rapide repas et une après-midi de rencontres commerciales. A la réception de l’hôtel, il découvre ma réservation de chambres communicantes et sourit. Nous ne nous attardons pas et partons manger sur le pouce. Quand nous quittons nos derniers clients, il est presque dix-neuf heures. Il m’emmène dans un restaurant typique du nord pour découvrir un plat local. Pendant le repas, il me dit que je dois être satisfaite car il ne me doit pas de fessée. Je souris et lui rétorque, sans réfléchir, que je finis par les apprécier. Nous arrivons enfin à l’hôtel. Au moment de se séparer, il me dit qu’il va ouvrir la porte de communication de son côté et que je n’aurai qu’à ouvrir la mienne si je veux le voir.
Je suis dans ma chambre ; je prends le temps de poser mon manteau et d’ouvrir ma valise puis je me mets pieds nus. Mais j’ai envie d’un câlin et je vais ouvrir. Presque aussitôt, il entre. Il s’est lui aussi déchaussé. Il me prend dans ses bras et me câline en m’embrassant puis il réunit les oreillers au milieu du lit pour se faire un dossier, s’assoit au centre du lit et m’invite à le rejoindre. Je me love dans ses bras… Tout en me caressant le dos, les fesses et les jambes, il me demande si j’ai vraiment envie d’une fessée. Je lui souris et lui dis oui. Il pose alors ses mains sur la fermeture de mon pantalon. Je l’arrête en lui disant que mon collant est fin et translucide. Il me rétorque que ça n’en sera que plus sensuel et il m’allonge et retire mon pantalon. Je suis immobile et commence à m’effrayer de la tournure des évènements. Il me regarde intensément pendant qu’une de ses mains se pose sur un genou et me caresse en remontant, elle passe sur mon pubis puis caresse mes deux seins avant de défaire deux nouveaux boutons du chemisier puis de caresser mon cou en finissant sur ma joue. Il me demande combien ? Un peu effrayée, angoissée mais aussi prise par l’intensité du moment, je lui réponds dix. Il sourit, me retourne en travers de ses genoux et m’assène les dix claques. Les fesses me brûlent quand il me pose sur mon lit en se levant. Il se penche vers moi, glisse une main dans mon chemisier pour me caresser le haut des seins à même la peau en m’embrassant. Quand il ferme la porte de communication, j’entends un ‘’bonne nuit’’.
En rentrant à la maison le jeudi soir, après avoir éteint la lumière, je me pose nue dans le lit d’Eliza et la caresse en l’embrassant et m’active pour la faire jouir. Une nouvelle routine s’installe. A la maison, Eliza et moi nous caressons mutuellement. Au bureau mon pantalon est baissé, même le jour où je n’ai pas de collant, mais les fessées diminuent au fur et à mesure de mes progrès. Lors de mes nuits en hôtel, je demande toujours une fessée et les câlins se terminent parfois par une main baladeuse mais rien ne va plus loin. Peu avant la fin février, quinze jours avant la fin de mon CDD, le patron m’annonce qu’il n’y a plus besoin de fessées et qu’il me prend en CDI. Je le remercie et me serre contre lui pour un câlin en lui disant qu’il peut continuer à me caresser et que, si je fais une erreur, il devra me fesser. Il rit franchement et m’embrasse en forçant mes lèvres avec sa langue. J’ouvre la bouche et reçois mon premier vrai baiser.
Mars est un mois plus calme sans sortie et je suis enfin secrétaire de direction. Début avril, Eliza me dit que pour son stage terminal de mai et juin elle ne sait pas où aller car elle a l’impression de ne plus apprendre grand-chose chez les carrossiers automobiles. Je lui dis juste que je vais y réfléchir. Le lendemain au bureau, j’en parle au patron qui me propose aussitôt de la prendre à l’atelier. Il va la recevoir le mercredi après-midi suivant quand elle n’a pas cours.
En même temps il me propose un déplacement à Francfort pour quinze jours plus tard en me précisant que le déplacement peut se faire sur trois jours (lundi, mardi et mercredi) mais que, si j’ai envie de visiter la ville avec lui, il accepte que l’on rajoute le jeudi. Je m’empresse d’organiser le déplacement, confirme les rendez-vous professionnels et réserve un musée et une sortie sur le Main pour la quatrième journée.
Le mercredi après-midi, Eliza vient me voir au bureau. Après l’avoir embrassée, je la conduis au patron en lui rappelant qu’elle doit obéir pour ne pas me faire honte. Après quelques minutes d’entretien, je les vois partir vers l’atelier ; il a posé une main sur l’épaule d’Eliza et elle ne conteste pas ; je suis fière de son comportement. Lors de son retour, elle semble rayonnante. Le patron lui signe immédiatement ses conventions et elle lui fait la bise en partant. Quand je lui dis au revoir, il me dit que j’ai raison d’aimer ma sœur, qu’il la trouve charmante. A la maison, Eliza nous explique que son maître de stage sera le meilleur contremaitre de l’atelier et qu’il a ordre de lui ménager un temps pour qu’elle réalise quelque chose pour elle-même.
Dans la chambre, alors que nous commençons à nous caresser, elle me dit avoir ressenti de la chaleur à travers sa main posée sur elle et que c’est elle qui a pris l’initiative des bisous sans même y réfléchir. Elle me demande comment je fais pour ne pas être amoureuse de lui. Elle qui, jusque-là, fuis les garçons, elle me surprend. Je ris et l’embrasse d’un baiser avec la langue en la caressant jusqu’à la faire jouir.
La semaine suivante, partant pour Francfort, j’embrasse Eliza en lui murmurant que mon sexe va s’ennuyer d’elle. Elle rit, m’embrasse en me caressant et me dit que je suis devenue trop affamée… Nous partons tôt pour une journée chargée. Lorsque nous nous posons à l’hôtel, éreintés, j’aspire à un court moment de détente et propose au patron de le passer ensemble. Dès mon entrée dans la chambre, j’ouvre la porte de communication. Il arrive très vite, pieds nus, chemise ouverte et s’installe aussitôt sur le lit. Il m’exprime son désir de me voir en sous-vêtements. J’hésite un peu puis me souvenant de mes fessées en culotte et du nombre de fois où il a entrouvert mes chemisiers, je pense à la tendresse de ses câlins et acquiesce. Il m’aide à me déshabiller et je me love dans ses bras. Sans parler, serrée contre lui, je sens ses mains me caresser le dos, les bras et les jambes. Puis il me propose en souriant une fessée de dix claques. Amusée, sachant qu’il ne me fera pas vraiment mal, je me couche en travers de ses jambes. Je sens alors ses mains tirer l’élastique de ma culotte. Je le retiens. Il m’allonge sur le dos au moment où je veux lui demander ce qu’il fait et m’embrasse. Je cède à son baiser et sens sa main dans mon soutien-gorge qui m’extirpe un sein et le caresse en faisant durcir mon téton. Il me lâche et me regarde intensément. Mon sein pointe dans sa main et il me dit avec douceur et fermeté « fesses nues ». Rougissant mais incapable de contester, je me repositionne sur ses genoux et lève mon bassin quand il me l’ordonne. Ma culotte descend et il me l’enlève. Il me fesse et je pleure : pas de douleur mais de dégoût de moi-même, d’angoisse (je suis vierge) et de honte de mon corps qui me propulse des vagues de bien-être prémices d’une forte jouissance. La fessée finie, il dégrafe mon soutien-gorge et je l’aide à me l’enlever. Il me caresse les fesses, les écarte et caresse ma raie en descendant jusqu’à mon anus que personne, pas même moi, n’a jamais caressé. Mon plaisir est immense et j’écarte les cuisses dès que sa main me touche. Sa paume se pose sur ma vulve trempée, ses doigts me titillent, me pénètrent et enfin bousculent mon clitoris tendu et raide. Je crie ma jouissance. Il me retire de ses genoux, son pantalon est trempé de mes secrétions. Il m’allonge sur le dos et commence à m’embrasser de partout : front, bouche, cou, seins, ventre, cuisses avant de s’emparer de mon sexe. Je découvre le plaisir d’un cunnilingus et me pâme d’extase sous ses coups de langues. Après mon deuxième orgasme, il m’embrasse tendrement et me quitte en me disant que je suis très jolie nue.
La journée du lendemain, il ne me parle pas de cette soirée jusqu’au repas du soir où il me dit que, si je lui ouvre la porte de ma chambre, il s’occupera de ma virginité.
En entrant dans ma chambre, je me dénude et vais lui ouvrir. Il entre, ne portant qu’un boxer. Tranquillement, il ouvre le lit après m’avoir embrassée en me titillant les seins. Nous nous allongeons et caressons sensuellement puis il m’offre mon second cunnilingus assorti d’un orgasme profond et long plutôt que puissant. Il se dénude, me montre comment le caresser et recommence à m’exciter de ses mains tout en m’embrassant. Quand il sent mon corps exprimer son plaisir, il se positionne au-dessus de moi et, lentement, me pénètre, en missionnaire. Passé mon hymen qui ne résiste pas, il s’introduit au plus profond et s’arrête de bouger. Seules ses mains caressent mes seins. C’est moi qui donne le signe du départ d’une courte cavalcade qui me mène vers un nouvel orgasme. Lui n’a toujours pas joui. Il me positionne en levrette et, sans attendre, me pénètre et se déchaine me faisant remonter en pression. Quand je le sens jouir, un ultime orgasme me terrasse et je m’endors immédiatement. Le lendemain matin, je me réveille, nue, poisseuse de son jus qui a coulé et maculé les draps.
Alors que je sors de la douche, je prends conscience que je suis devenue la parfaite secrétaire de direction amante de son patron. C’était merveilleux et je me dis que ce serait bien qu’il s’occupe de ma sœur lors de son stage…
Il me faut très peu de temps pour repérer un job d’été correspondant à mes attentes : secrétaire dans une PME. Je sais que ce n’est que temporaire mais me dis que j’aurai le temps de chercher un poste à long terme… Je prends immédiatement contact avec l’entreprise et suis invitée pour un entretien dès le lendemain matin. Vêtue de mon jean le plus neuf, d’un tee-shirt au décor neutre et de ma paire de tennis que j’ai briquée, je me présente avec cinq minutes d’avance. A l’heure dite, le patron me reçoit. Après m’avoir serré la main, il m’invite à m’asseoir face à lui de part et d’autre de son bureau. Après dix minutes d’entretien, il me propose un test ; il me remet une lettre sans présentation et me demande de la taper et de la présenter en me fournissant un ordinateur muni d’une version récente de traitement de texte. Tenant à faire bonne impression, je m’empresse de me mettre à l’œuvre en mobilisant mes connaissances ; j’ai été une élève sérieuse et suis motivée par le travail. Lorsque je lui remets ma copie, il prend le temps de l’examiner. Puis, en me regardant, il m’exprime sa satisfaction pour ma ponctualité, pour la rapidité de mon travail et pour sa qualité. Il me propose le poste si je suis prête à travailler deux mois pour le SMIC plus vingt pour cent. Soulagée, j’accepte immédiatement. Je commence dès le premier juillet dans un peu plus d’une semaine.
Tout au long de cet été, je découvre cette entreprise de carrosserie industrielle : vingt-cinq métallos (dont deux femmes), une comptable (Béatrice), le patron et moi-même. Que je vous parle de ce patron qui m’a beaucoup impressionnée. Très élégant, assez grand, brun sombre avec les tempes légèrement grisonnantes, pas plus de quarante ans, avec une voix chaleureuse mais très autoritaire. Inexplicablement, on a envie de lui sourire mais en restant sur le qui-vive comme s’il pouvait à tout moment vous sanctionner. Le matin, quand j’arrive, il vient systématiquement me saluer puis il m’indique son emploi du temps, les appels qu’il attend et me donne son dictaphone contenant les courriers que je dois taper dans la journée afin qu’il les signe dans l’après-midi. Dans la matinée, Béatrice et moi nous retrouvons dans son bureau autour d’un café qu’il nous offre ; pendant ce court moment (pas plus de cinq minutes), nous ne parlons jamais travail. Environ une heure avant mon départ, je lui emmène les courriers pour la signature ; je me tiens à sa gauche et tourne les pages du signataire à il prend le temps de les relire et corrige mes nombreuses fautes d’orthographe ; je file rectifier et lui ramène les épreuves définitives qu’il signe après relecture. Je mets le courrier sous enveloppes et le dépose dans la boite de la comptable pour qu’elle l’affranchisse. Je peux alors aller saluer le patron et rentrer chez moi. Comme le matin, nous échangeons une poignée de mains.
Environ une semaine avant la fin de mon contrat, au moment où je viens dire au revoir, le patron me demande quels sont mes projets pour après. Apprenant mes recherches, infructueuses, il me dit qu’il va essayer de m’aider. Je ne peux cacher ma joie et, au lieu de lui tendre la main, je lui fais la bise avec un grand sourire. Il sourit à son tour et, alors que je commence à rougir de mon comportement, il me dit qu’il apprécie beaucoup et qu’il espère avoir d’autres bisous. C’est ainsi que commence ma dernière semaine avec bisous matin et soir ; le matin, il m’attire un peu vers lui en me posant une main sur l’épaule et, le soir, sa main tombe sur ma hanche. Je m’amuse de la situation. Le jeudi arrive et je suis de plus en plus inquiète ; pas de boulot en vue et le patron ne m’a pas reparlé de son aide. Sans doute moins concentrée que d’habitude, le patron remarque une forte augmentation du nombre de fautes d’orthographe et me le fait remarquer. Perdue dans mes angoisses, un peu inconsciente, je lui réponds que ce n’est pas trop grave puisqu’il les corrige. Je finis à peine ma phrase que je manque tomber sur le bureau sous l’effet d’une formidable claque qui s’abat sur mes fesses. Il me tend le signataire et m’envoie corriger avec ordre de ne plus jamais lui répondre sur ce ton. Confuse, honteuse et meurtrie, des larmes perlant au coin des yeux, je pars corriger les courriers et reviens vingt minutes plus tard ; je n’ose pas le regarder et garde la tête basse. Après avoir signé chaque page, il se lève, une main dans mon dos, l’autre me tenant le menton, il me dit d’arrêter de sangloter comme une enfant avant de me poser un bisou sur le front. Quelques minutes plus tard, alors que je viens lui dire bonsoir, il me prend dans ses bras et, instinctivement, je me serre contre lui et pose ma tête sur son épaule en lui demandant pardon pendant que ses mains me caressent le dos. Il m’embrasse en me disant qu’il me pardonne et me souhaite une bonne soirée.
Lors de mon retour à la maison, mes yeux rougis se remarquent et je ne peux qu’avouer m’être faite disputer pour insolence mais je ne leur parle pas de ma fessée. Mes parents me rétorquent que c’est bien fait pour moi. Il n’y a qu’au moment de nous coucher que ma sœur me fait cracher le morceau. En réaction, elle me prend dans ses bras et, en me caressant les fesses, me pose un bisou sur la bouche et aussitôt me lâche et va se coucher en éteignant la lumière. En me couchant je ne peux m’empêcher de lui demander pourquoi elle a fait ça. Elle me répond : « pour que tu t’endormes en rêvant à la douceur de ta sœur plutôt qu’à la brutalité de ton patron ! ». En souriant, forte de son amour, je lui souhaite une bonne nuit.
Le lendemain, après que mes parents m’aient fait la morale et que ma sœur m’ai fait un clin d’œil, je pars au travail sereine, bien décidée à me concentrer sans ressasser inutilement mes soucis. Comme d’habitude le patron vient m’embrasser mais, après nos deux bisous, il ajoute une caresse sur ma joue. Je lui souris en retour. La journée se déroule normalement jusqu’à la lecture du soir. Je suis fière de moi en voyant le peu de fautes que le patron corrige. La dernière page est annotée quand il pose une main sur mes fesses. Je me tétanise. Il sourit et me dit : « vous me prouvez qu’une bonne fessée permet de progresser ». Je rougis et me pince les lèvres mais ne peux m’empêcher de timidement sourire en le regardant. Je m’empresse de prendre le signataire pour faire les corrections nécessaires. En m’asseyant au bureau, je sens la chaleur de mes joues rouges de honte mais j’ai aussi l’impression d’avoir les fesses brûlantes… Lors de mon retour, alors que je lui pose les courriers à signer, il le fait sans cesser de me caresser les fesses ; je ne dis rien, suis toujours rouge et ai l’impression que mon derrière l’est tout autant. Une fois tous les courriers signés, il se lève et, une main sur mon épaule, entame une discussion :
- « Désirez-vous continuer à travailler ici ?
- (Je suis étonnée, presque abasourdie) Même avec mon comportement d’hier ?
- Votre faute d’hier, vous la reconnaissez et l’avez payée d’une fessée, en conséquence je l’oublie et vous propose un CDD de six mois à compter de lundi si vous le voulez et si vous me supportez car, ce soir je ne me suis pas gêné pour vous caresser les fesses.
Je rougis encore plus, si cela est possible mais m’empresse d’accepter, trop heureuse de l’aubaine et ayant l’impression que l’on vient de me soulager d’un énorme poids. Toujours écarlate, je lui précise que ses caresses sont à la fois perturbantes et tendres. Il rit, me prend dans ses bras et m’embrasse longuement sur les deux joues en me souhaitant un bon week-end.
En route pour mon retour, je m’arrête acheter un gâteau pour fêter l’évènement. Ma mère me demande si je n’ai pas mieux à faire de mon argent alors que je vais devoir m’inscrire au chômage. J’attends que mon père et ma sœur soient présents pour leur annoncer mon embauche. Mon père s’étonne vu mes yeux de la veille. Je leur précise que le patron m’a pardonné et que j’ai bien compris la leçon. Ils sont heureux de l’aubaine et savent que ça va les soulager financièrement. Le soir, au moment du coucher, Eliza vient me faire un câlin comme nous le faisons tous les soirs mais, en plus, elle m’embrasse à nouveau sur les lèvres. Je souris en l’interrogeant sur ce geste. Elle me répond qu’elle aime le goût de mes lèvres. Lors de notre réveil, le lendemain matin, c’est moi qui vais embrasser Eliza sur les lèvres. Elle me sourit et nous nous faisons un rapide câlin avant d’aller déjeuner et d’occuper la salle de bain à tour de rôle pour nous habiller. Nous partageons la même chambre mais ne nous habillons et déshabillons que dans la salle de bain ; les parents nous ont appris à être pudiques. Le week-end est heureux et nous prenons l’habitude, Eliza et moi, de nous bécoter dès que nous sommes seules comme un jeu amusant.
Le lundi, je retourne au travail heureuse. Dès mon arrivée, après nos traditionnels bisous, le patron m’invite dans son bureau pour que je signe mon contrat. Une fois ce contrat signé, il me donne quelques précisions :
- « Ce contrat n’a pour but que de vous laisser le temps d’apprendre totalement votre métier. Dans six mois j’aimerais pouvoir le transformer en contrat à durée indéterminée. J’y mets deux conditions : la première est que vos tenues évoluent vers plus de classe pour vous affirmer comme secrétaire de direction. Je vais vous y aider en commençant par une prime vestimentaire, les ouvriers de l’atelier se voyant fournir aussi des vêtements de travail, c’est normal. La seconde condition est que votre orthographe évolue suffisamment ; l’objectif à atteindre est pas plus d’une faute par jour.
- Merci monsieur, je suis prête à tout pour progresser mais votre objectif me semble impossible à atteindre.
Il me propose alors deux aides que je peux ou non accepter. Sa première aide consiste à m’offrir trois livres d’orthographe, de grammaire et de conjugaison, en me précisant qu’il m’appartient de travailler librement chez moi. Au moment de me proposer sa seconde aide, il insiste sur le fait que j’ai le droit de la refuser sans qu’il ne m’en tienne rigueur. Il me dit alors qu’il a remarqué que sa première fessée m’a aidée à me concentrer et me propose donc des fessées en relation avec mes fautes. Je me tétanise, rougis et suis incapable de répondre. Il sourit et me tend une lettre intitulée ‘’demande de fessées’’ en me disant que je peux prendre tout mon temps pour y réfléchir puis soit la jeter, soit la lui rendre signée. Il me renvoie alors au travail. Tout en travaillant sérieusement pour faire honneur à ce contrat dont je ne peux me passer, je suis angoissée par sa proposition, j’ai envie de refuser mais je n’arrive pas à jeter sa lettre d’acceptation…
Sur le temps du midi, il m’invite à l’accompagner car il veut m’offrir une première tenue. En route, une main posée sur mon genou, après m’avoir demandé ma taille, il m’explique qu’il m’emmène dans une boutique où les prix sont plus élevés que ceux d’internet mais où la qualité est suffisante pour que mes vêtements restent impeccables même après de nombreux lavages. Je suis prise dans un tourbillon et n’ai pas le temps de réfléchir à cette situation étrange. A l’arrivée, il veut connaitre mes coloris préférés et très vite il choisit une robe bleu marine, un pantalon droit jaune moutarde avec un chemisier blanc à décors bleu pâle et argent ainsi qu’un pantalon pont rouge carmin aux boutons or accompagné d’une blouse bleu dur encolure en V. Je pars en cabine et il m’attend à l’extérieur. Je passe la robe et l’enlève aussitôt ; on voit trop mes jambes. J’enfile le pantalon jaune et le chemisier puis sors de la cabine pour qu’il me voie. Il vient vers moi, me prend par la taille et déboutonne un bouton du chemisier avant de me faire me regarder dans un miroir. Je suis un peu gênée mais, vu ma petite poitrine, je reconnais que le décolleté ne montre pas grand-chose. L’ensemble me plait. Je retourne en cabine et passe la dernière tenue. Le décolleté de la blouse est très plongeant ; je sors quand même. Toujours en me prenant par les hanches, il me complimente et me tourne vers le miroir. Je le vois sourire puis il plonge le regard dans mon décolleté me faisant immédiatement rougir. Je lui dis que je préfère la tenue précédente. Il me dit de me rhabiller en n’emportant que la tenue choisie. Dans la cabine, tout en m’habillant, je réfléchis à sa proposition de fessée et me dis que, prévenue, cela devrait être supportable et me déterminer à étudier pour éviter d’être fessée.
En rentrant au bureau, émue par son cadeau, je me concentre sur mon travail. Le soir venu, je pose le signataire devant lui ; en première page, mon acceptation de fessées. Il la range et commence sa lecture. Mon travail comporte trente fautes s’articulant autour de quinze règles d’orthographe, de grammaire ou de conjugaison. Comme il y a treize règles que je ne connais pas, il m’annonce vingt-six claques. Après avoir corrigé, fait signer et mis à l’affranchissement les courriers, je reviens dans son bureau pour ma première fessée ; je suis angoissée. Il me demande de poser mon buste sur la table de réunion, se met à ma gauche, pose sa main gauche sur mon dos et la droite sur mes fesses qu’il caresse. Il me dit qu’il va commencer et que je dois compter. Sans précipitation mais avec la régularité d’un métronome, les coups pleuvent suffisamment forts pour qu’à partir de douze, je pleure. Arrivé au bout du compte, il me relève et me prend dans ses bras où je me précipite pour un câlin réconfortant. D’une main il me caresse les fesses tandis que l’autre sèche les larmes sur mes joues. Je me sens bien dans ses bras. Il me dit que je dois partir pour avoir le temps de travailler tant que je suis motivée par la fessée. Je lui souris, pars enfiler ma veste et récupérer mes nouveaux vêtements puis je reviens lui faire la bise. A nouveau il me caresse les fesses et je me serre contre lui, heureuse de ce geste tendre. En chemin, je réfléchis à ce qui vient d’arriver et prends conscience que si la fessée est sévère et douloureuse, elle augmente mon plaisir au câlin et aux caresses ; j’avoue ressentir un peu de honte à me laisser ainsi caresser les fesses.
Arrivée à la maison, je suis heureuse de raconter à mes parents mon contrat et la possibilité de le poursuivre en CDI si mon orthographe progresse (je ne leur parle pas de mon acceptation d’être fessée) ainsi que ma prime vestimentaire et le cadeau de bienvenue du patron. Mon père tique un peu sur ce dernier point alors que maman trouve l’ensemble très beau et s’empresse de découdre les étiquettes gênantes avant lavage. Je file dans ma chambre et me mets à faire des exercices tirés des livres offerts, mes fesses préférant la douceur d’un lit à la dureté d’une chaise. Après manger, je recommence pendant qu’Eliza lit. Vient l’heure de se coucher. Eliza me dit qu’elle prend la salle de bain. De manière impulsive, je l’arrête et lui demande de se dévêtir dans la chambre. Elle me regarde, étonnée puis se met en sous-vêtements. Après avoir défait les bretelles de son soutien-gorge, elle enfile son long tee-shirt et qui la recouvre alors qu’elle le dégrafe et ne retire sa culotte qu’au moment où le tee-shirt la recouvre puis elle sort. J’ai maté ma sœur se déshabillant et j’ai trouvé ça agréable ! Je suis un peu perdue et file dans la salle de bain dès qu’elle revient. Alors que je me mets nue, je n’ai qu’une envie : jouir. Il me faut très peu de temps et de caresses pour éprouver un plaisir puissant ; j’en suis encore étourdie quand je pars me coucher. Arrivée dans la chambre, je vais vers Eliza qui me caresse les fesses alors que je me penche pour l’embrasser. Je lui dis que j’ai aimé la voir se déshabiller. Elle sourit et me dit qu’elle peut changer ses habitudes si j’aime. Le sommeil n’a pas tardé à me cueillir et, au réveil, je m’étonne de mon sentiment de repos profond.
Retour au travail. Après mes deux bisous du matin, la journée est intense. Le patron a transféré les appels sur mon poste et j’apprends à trier et passer les communications. Lors de la relecture des courriers mes fautes me valent vingt-quatre claques ; je philosophe et me dis que c’est mieux que la veille. Alors que j’approche de la table de réunion pour recevoir ma fessée, le patron s’assoit sur une chaise et m’invite à m’allonger sur ses genoux. Il me conseille d’agripper les pieds de la chaise avec les mains puis, quand je lui dis que je suis prête, il me fesse. Je compte et arrive à ne presque pas pleurer ; j’ai l’impression que c’est moins violent. Est-ce parce que je ressens la chaleur de son corps dans mon ventre posé sur ses cuisses ? Lors du câlin final, je me serre contre lui alors qu’il me caresse le dos et les fesses. A partir du mercredi, il me demande ma position préférée : le bureau ou ses genoux. C’est sans hésitation que je choisis ses genoux. La semaine se passe ainsi sans que les fessées diminuent, j’atteins même vingt-huit claques le vendredi. J’avoue que je commence à les ressentir plus…
A la maison, Eliza a pris l’habitude de se déshabiller dans la chambre et j’avoue avoir du plaisir à la regarder en sous-vêtements, plaisir qui augmente mes sensations lors de mes masturbations qui deviennent quotidiennes. Nous mesurons toutes les deux un peu moins d’un mètre soixante-quinze et sommes plutôt fines mais surtout pas maigres. Eliza est brune, comme maman alors que je suis châtain clair comme papa. Comme maman, nous avons toutes les deux une très petite poitrine mais Eliza doit être en bonnets B quand je mets du A. Lorsque le samedi arrive, forte de ma prime d’habillement, je vais m’acheter de nouvelles tenues. J’emmène Eliza et commence par lui offrir un jean dont elle rêvait ainsi que deux hauts. J’entre en cabine avec elle et ne peux me retenir de lui passer une main sur les fesses avant qu’elle n’enfile son nouveau jean. Elle me sourit et m’embrasse. Je me choisis ensuite deux pantalons et un short en laine grise pas trop court. J’assortis le tout de quatre hauts et de collants épais pour accompagner le short. Eliza reste en cabine avec moi et me dit qu’elle me trouve belle. Nous enchainons sur une boutique de lingerie. Eliza me laisse essayer deux soutien-gorge auxquels j’assortis quatre culottes plutôt classiques (juste une petite dentelle à la ceinture) et (grande nouveauté pour moi) deux shortys. Je propose à Eliza de lui offrir un soutien-gorge assorti de trois bas. Elle choisit un soutien-gorge bandeau et trois culottes de forme classique mais avec un insert de dentelle en travers des fesses. J’entre avec elle en cabine. Elle s’arrête surprise mais me laisse faire quand je lui dis que je veux la voir. Au retour, maman me dit que je dois faire attention à mes dépenses mais me remercie pour ma sœur.
Arrivées dans la chambre, Eliza commence à se déshabiller. Je l’arrête quand elle est en sous-vêtements et lui dit que j’ai envie de la voir nue. Elle sourit et se montre. Je lui fais un rapide câlin avant qu’elle n’enfile son tee-shirt et file à la salle de bain. Quand elle rentre, je l’attends en sous-vêtements. Elle vient vers moi, me caresse la joue et m’embrasse ; j’ai l’impression que ses doigts sentent le sexe mais je ne dis rien. A mon tour, je profite de la salle de bain pour m’offrir un plaisir solitaire et rejoins la chambre. Avant de me coucher, je me penche sur Eliza et l’embrasse en lui répétant qu’elle est belle en étant nue. Le lendemain soir, au moment du déshabillage, j’embrasse Eliza quand elle est nue et lui intime l’ordre de ne pas se branler dans la salle de bain. Elle balbutie et rougit. A son retour, je me mets nue devant elle pour la première fois. Je vois qu’elle ne me quitte pas des yeux. Je vais me toiletter et reviens rapidement sans m’être masturbée. Je m’assois sur le lit d’Eliza et l’aide à retirer son tee-shirt. Je lui dis alors que j’ai envie de me faire jouir et que si nous nous masturbons chacune dans notre lit en entendant l’autre ce sera meilleur. Elle me sourit et m’embrasse. Je lui caresse un sein rapidement, éteins et vais me coucher. Notre chambre s’emplit de bruits caractéristiques et de souffles puissants.
Le temps passe, les mois s’enchainent. A la maison, je travaille orthographe, grammaire et conjugaison avec acharnement. Eliza et moi continuons à nous mater nues avant nos masturbations solitaires mais aux sons et aux odeurs partagés. Nos bisous sont de plus en plus fréquents ainsi que nos caresses presque intimes. Au bureau, mes fessées sont toujours quotidiennes mais ont tellement diminuées que j’ai changé de ‘’tarif’’ en passant à deux claques par faute, ce qui m’a fait à nouveau dépasser les vingt mais je sais que je suis en diminution constante. Début novembre, le patron me propose de l’accompagner lors de ses rencontres extérieures avec des fournisseurs ou des clients, charge à moi de rédiger les comptes-rendus. Cette diversification des tâches m’intéresse et le patron me paie en heures supplémentaires dès que le trajet entraine des dépassements. Certains déplacements pouvant être à l’étranger, il me conseille de me faire établir un passeport dont il prend en charge les frais. Lors de l’avant dernière semaine de novembre, il me propose un déplacement à Lille pour les mercredi et jeudi de la semaine suivante. Je suis enthousiaste vu que je n’ai jamais pu voyager. Il me charge des réservations d’avion, de location de voiture et d’hôtel pour la nuit que nous passerons sur place. Lorsque l’hôtel me demande si les chambres doivent être communicantes, je suis surprise et leur dis que je vais les rappeler. J’en parle au patron qui me répond que je suis libre de choisir, les chambres communicantes n’ayant d’intérêt que si je veux un câlin le soir. Je rougis légèrement mais je rappelle l’hôtel pour leur dire que des chambres communicantes sont souhaitables.
Le lundi, j’inaugure le short en laine que j’avais acheté avec Eliza. Il est accompagné d’un épais collant rouge sombre assorti à la blouse que je porte. Le soir, après en avoir fini du courrier, je rentre dans le bureau du patron pour ma fessée (vingt claques). Il s’assoit sur sa chaise habituelle et je m’approche pour m’allonger sur ses genoux. Il me dit alors que je porte trop d’épaisseurs et il déboutonne mon short. D’abord étonnée, je ressens un court moment de panique mais, réfléchissant vite, je me dis qu’il n’a pas tort et que mon collant est aussi opaque qu’un pantalon. Je le laisse donc faire et reçois ma fessée sans trop gigoter quand je me rends compte que ce collant n’est pas tellement épais. Quand je me lève pour notre câlin, mon short est toujours au sol et ses mains sur mes fesses sont délicieusement douces. Il me dit que c’est agréable de me déshabiller et, alors que je vais pour lui faire un bisou sur la joue, il tourne la tête et me dépose un bisou sur les lèvres comme ceux que j’échange avec Eliza. Ce geste tendre me fait sourire et je lui propose mes lèvres pour un second bisou. Le lendemain matin, j’ai tendu mes lèvres et nous nous sommes rapidement embrassés. Le soir, ayant toujours le même short avec un collant aussi opaque mais un peu plus satiné, j’ai avancé le bassin de moi-même pour qu’il abaisse mon short avant ma fessée. Son câlin, accompagné de plusieurs bisous, m’a semblé plus intense et m’a troublée.
Le soir, j’ai embrassé un sein d’Eliza avant d’éteindre et de ma masturber en l’entendant gémir. Le lendemain matin, comme je pars pour deux jours, j’embrasse longuement Eliza. Je me suis habillée d’un collant translucide et d’un pantalon surmonté d’un chemisier brodé. A mon arrivée au bureau, le patron m’attend ; il commence par m’embrasser puis défait un bouton du chemisier. Je lui souris sachant que je suis toujours très discrète ainsi. Un taxi nous conduit à l’aéroport. Durant le vol, la discussion s’oriente sur ma vie personnelle. Il veut tout connaitre de ma famille et, alors qu’il me caresse les jambes, je lui dis tout l’amour que je porte à ma sœur (je ne lui parle ni de nos bisous ni de nos masturbations). Il me pose plein de questions sur elle : son âge, son physique, sa formation, ses goûts… A l’arrivée, après avoir pris possession de la voiture de location, nous filons à l’hôtel déposer nos bagages avant un rapide repas et une après-midi de rencontres commerciales. A la réception de l’hôtel, il découvre ma réservation de chambres communicantes et sourit. Nous ne nous attardons pas et partons manger sur le pouce. Quand nous quittons nos derniers clients, il est presque dix-neuf heures. Il m’emmène dans un restaurant typique du nord pour découvrir un plat local. Pendant le repas, il me dit que je dois être satisfaite car il ne me doit pas de fessée. Je souris et lui rétorque, sans réfléchir, que je finis par les apprécier. Nous arrivons enfin à l’hôtel. Au moment de se séparer, il me dit qu’il va ouvrir la porte de communication de son côté et que je n’aurai qu’à ouvrir la mienne si je veux le voir.
Je suis dans ma chambre ; je prends le temps de poser mon manteau et d’ouvrir ma valise puis je me mets pieds nus. Mais j’ai envie d’un câlin et je vais ouvrir. Presque aussitôt, il entre. Il s’est lui aussi déchaussé. Il me prend dans ses bras et me câline en m’embrassant puis il réunit les oreillers au milieu du lit pour se faire un dossier, s’assoit au centre du lit et m’invite à le rejoindre. Je me love dans ses bras… Tout en me caressant le dos, les fesses et les jambes, il me demande si j’ai vraiment envie d’une fessée. Je lui souris et lui dis oui. Il pose alors ses mains sur la fermeture de mon pantalon. Je l’arrête en lui disant que mon collant est fin et translucide. Il me rétorque que ça n’en sera que plus sensuel et il m’allonge et retire mon pantalon. Je suis immobile et commence à m’effrayer de la tournure des évènements. Il me regarde intensément pendant qu’une de ses mains se pose sur un genou et me caresse en remontant, elle passe sur mon pubis puis caresse mes deux seins avant de défaire deux nouveaux boutons du chemisier puis de caresser mon cou en finissant sur ma joue. Il me demande combien ? Un peu effrayée, angoissée mais aussi prise par l’intensité du moment, je lui réponds dix. Il sourit, me retourne en travers de ses genoux et m’assène les dix claques. Les fesses me brûlent quand il me pose sur mon lit en se levant. Il se penche vers moi, glisse une main dans mon chemisier pour me caresser le haut des seins à même la peau en m’embrassant. Quand il ferme la porte de communication, j’entends un ‘’bonne nuit’’.
En rentrant à la maison le jeudi soir, après avoir éteint la lumière, je me pose nue dans le lit d’Eliza et la caresse en l’embrassant et m’active pour la faire jouir. Une nouvelle routine s’installe. A la maison, Eliza et moi nous caressons mutuellement. Au bureau mon pantalon est baissé, même le jour où je n’ai pas de collant, mais les fessées diminuent au fur et à mesure de mes progrès. Lors de mes nuits en hôtel, je demande toujours une fessée et les câlins se terminent parfois par une main baladeuse mais rien ne va plus loin. Peu avant la fin février, quinze jours avant la fin de mon CDD, le patron m’annonce qu’il n’y a plus besoin de fessées et qu’il me prend en CDI. Je le remercie et me serre contre lui pour un câlin en lui disant qu’il peut continuer à me caresser et que, si je fais une erreur, il devra me fesser. Il rit franchement et m’embrasse en forçant mes lèvres avec sa langue. J’ouvre la bouche et reçois mon premier vrai baiser.
Mars est un mois plus calme sans sortie et je suis enfin secrétaire de direction. Début avril, Eliza me dit que pour son stage terminal de mai et juin elle ne sait pas où aller car elle a l’impression de ne plus apprendre grand-chose chez les carrossiers automobiles. Je lui dis juste que je vais y réfléchir. Le lendemain au bureau, j’en parle au patron qui me propose aussitôt de la prendre à l’atelier. Il va la recevoir le mercredi après-midi suivant quand elle n’a pas cours.
En même temps il me propose un déplacement à Francfort pour quinze jours plus tard en me précisant que le déplacement peut se faire sur trois jours (lundi, mardi et mercredi) mais que, si j’ai envie de visiter la ville avec lui, il accepte que l’on rajoute le jeudi. Je m’empresse d’organiser le déplacement, confirme les rendez-vous professionnels et réserve un musée et une sortie sur le Main pour la quatrième journée.
Le mercredi après-midi, Eliza vient me voir au bureau. Après l’avoir embrassée, je la conduis au patron en lui rappelant qu’elle doit obéir pour ne pas me faire honte. Après quelques minutes d’entretien, je les vois partir vers l’atelier ; il a posé une main sur l’épaule d’Eliza et elle ne conteste pas ; je suis fière de son comportement. Lors de son retour, elle semble rayonnante. Le patron lui signe immédiatement ses conventions et elle lui fait la bise en partant. Quand je lui dis au revoir, il me dit que j’ai raison d’aimer ma sœur, qu’il la trouve charmante. A la maison, Eliza nous explique que son maître de stage sera le meilleur contremaitre de l’atelier et qu’il a ordre de lui ménager un temps pour qu’elle réalise quelque chose pour elle-même.
Dans la chambre, alors que nous commençons à nous caresser, elle me dit avoir ressenti de la chaleur à travers sa main posée sur elle et que c’est elle qui a pris l’initiative des bisous sans même y réfléchir. Elle me demande comment je fais pour ne pas être amoureuse de lui. Elle qui, jusque-là, fuis les garçons, elle me surprend. Je ris et l’embrasse d’un baiser avec la langue en la caressant jusqu’à la faire jouir.
La semaine suivante, partant pour Francfort, j’embrasse Eliza en lui murmurant que mon sexe va s’ennuyer d’elle. Elle rit, m’embrasse en me caressant et me dit que je suis devenue trop affamée… Nous partons tôt pour une journée chargée. Lorsque nous nous posons à l’hôtel, éreintés, j’aspire à un court moment de détente et propose au patron de le passer ensemble. Dès mon entrée dans la chambre, j’ouvre la porte de communication. Il arrive très vite, pieds nus, chemise ouverte et s’installe aussitôt sur le lit. Il m’exprime son désir de me voir en sous-vêtements. J’hésite un peu puis me souvenant de mes fessées en culotte et du nombre de fois où il a entrouvert mes chemisiers, je pense à la tendresse de ses câlins et acquiesce. Il m’aide à me déshabiller et je me love dans ses bras. Sans parler, serrée contre lui, je sens ses mains me caresser le dos, les bras et les jambes. Puis il me propose en souriant une fessée de dix claques. Amusée, sachant qu’il ne me fera pas vraiment mal, je me couche en travers de ses jambes. Je sens alors ses mains tirer l’élastique de ma culotte. Je le retiens. Il m’allonge sur le dos au moment où je veux lui demander ce qu’il fait et m’embrasse. Je cède à son baiser et sens sa main dans mon soutien-gorge qui m’extirpe un sein et le caresse en faisant durcir mon téton. Il me lâche et me regarde intensément. Mon sein pointe dans sa main et il me dit avec douceur et fermeté « fesses nues ». Rougissant mais incapable de contester, je me repositionne sur ses genoux et lève mon bassin quand il me l’ordonne. Ma culotte descend et il me l’enlève. Il me fesse et je pleure : pas de douleur mais de dégoût de moi-même, d’angoisse (je suis vierge) et de honte de mon corps qui me propulse des vagues de bien-être prémices d’une forte jouissance. La fessée finie, il dégrafe mon soutien-gorge et je l’aide à me l’enlever. Il me caresse les fesses, les écarte et caresse ma raie en descendant jusqu’à mon anus que personne, pas même moi, n’a jamais caressé. Mon plaisir est immense et j’écarte les cuisses dès que sa main me touche. Sa paume se pose sur ma vulve trempée, ses doigts me titillent, me pénètrent et enfin bousculent mon clitoris tendu et raide. Je crie ma jouissance. Il me retire de ses genoux, son pantalon est trempé de mes secrétions. Il m’allonge sur le dos et commence à m’embrasser de partout : front, bouche, cou, seins, ventre, cuisses avant de s’emparer de mon sexe. Je découvre le plaisir d’un cunnilingus et me pâme d’extase sous ses coups de langues. Après mon deuxième orgasme, il m’embrasse tendrement et me quitte en me disant que je suis très jolie nue.
La journée du lendemain, il ne me parle pas de cette soirée jusqu’au repas du soir où il me dit que, si je lui ouvre la porte de ma chambre, il s’occupera de ma virginité.
En entrant dans ma chambre, je me dénude et vais lui ouvrir. Il entre, ne portant qu’un boxer. Tranquillement, il ouvre le lit après m’avoir embrassée en me titillant les seins. Nous nous allongeons et caressons sensuellement puis il m’offre mon second cunnilingus assorti d’un orgasme profond et long plutôt que puissant. Il se dénude, me montre comment le caresser et recommence à m’exciter de ses mains tout en m’embrassant. Quand il sent mon corps exprimer son plaisir, il se positionne au-dessus de moi et, lentement, me pénètre, en missionnaire. Passé mon hymen qui ne résiste pas, il s’introduit au plus profond et s’arrête de bouger. Seules ses mains caressent mes seins. C’est moi qui donne le signe du départ d’une courte cavalcade qui me mène vers un nouvel orgasme. Lui n’a toujours pas joui. Il me positionne en levrette et, sans attendre, me pénètre et se déchaine me faisant remonter en pression. Quand je le sens jouir, un ultime orgasme me terrasse et je m’endors immédiatement. Le lendemain matin, je me réveille, nue, poisseuse de son jus qui a coulé et maculé les draps.
Alors que je sors de la douche, je prends conscience que je suis devenue la parfaite secrétaire de direction amante de son patron. C’était merveilleux et je me dis que ce serait bien qu’il s’occupe de ma sœur lors de son stage…
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Apprendre l'orthographe
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<