Après ...

Tu me demande ce que j'ai fait en te quittant cette nuit.

Je me suis effectivement branlé...

J'ai commencé par flatter mon membre pour le faire devenir vultueux.

J'ai serré la base pour le faire gonfler de la colonne et amener mon gland à devenir encore plus trigonocéphale...

Puis j'ai entamé un lent mouvement de montée et de descente pour décalotter et recalotter...

De l'autre main je lisais celles de tes histoires les plus "hots" pour bien fantasmer sur le visage que tu affiches sur le site.

Tes lettres sont bandantes et crapuleuses à lire... Elles sont jouissives, car ils permettent de voyager dans un érotisme lourd et salace...

J'ai aussi fermé les yeux pour imaginer, encore plus, ce qu'une main comme la tienne ferait sur le cylindre de ma bite de salaud... ce qu'une bouche comme la tienne pourrait faire à un membre comme le mien, en le léchant sur toute sa longueur, pour ensuite, en s’ouvrant, gober la tête pour faire rentrer la grosse tige dans ta gorge.

Je me branlais doucement au rythme d'une fellation... retenant l'envie de faire gicler mon foutre, car la sensation d'une bouche aux lèvres gonflées par le désir est des plus jouissive.

Je pensais à ton visage avec la bouche déformée par la taille de mon sexe de queutard...

Je me branlais comme un baiseur qui sait qu'il va pouvoir poser son membre entre tes seins généreux pour le faire coulisser, monter, descendre... pouvoir laisser tes lèvres gonflées l'absorber le temps d'un coup de langue... puis prendre entre mes doigts tes grosses pointes de femelle en chaleur pour les faire darder encore plus au centre de tes aréoles grumeleuses...

Puis j'ai accéléré le mouvement, imaginant que je m'enfonçais raidement dans la gaine chaude de ta chatte bombée et discrètement velue... cramponnant tes hanches de salope en rut, pognant tes fesses à pleines mains pour imprimer une cadence qui me fasse m'enfoncer à chaque fois plus profondément dans ton ventre en demande de bite adultérine.

Nous ne parlions pas... juste nos souffles mélangés et le bruit feutré, humide, des frottements de nos peaux.

Puis j'ai cessé de me retenir, en m'enfonçant presque brutalement entre tes cuisses, pour pénétrer encore plus ton ventre de belle salope... et j'ai giclé... giclé... giclé... dans une longue plainte de mec qui libère son orgasme en même temps que toi qui gémissais limite plainte, me demandant de continuer à te prendre, à glisser dans ta gaine vaginale qui voulait du jus... tout le jus... tout ce que ma queue pouvait laisser sortir pour bien oindre tes muqueuses.

A ce moment-là j'ai relâché la pression sur ma queue et j'ai vu le sperme fuser à presque un mètre devant moi... lourd... gras... copieux... du sperme de branleur... du sperme de baiseur...

Merci pour tes histoires de femelle qui assume être ce que tu es...

Je me pognerai encore à ta santé, continuant à fantasmer sur toi.

Je suis un épicurien érotomane...