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Après accident

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Lue : 2090 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2013

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Je n’avais pas vu sa voiture, ébloui que j’étais par le soleil couchant. Nous étions dans un triste état : elle, la conductrice de la partie adverse, comme stipulé dans la déclaration d’accident, membres cassés, hospitalisation à Saint Eloi. Moi ? Bosses sans gravité.

Le lendemain après-midi je vais à l’hôpital. Elle est encore alitée. Elle me fait la gueule. Une bonne explication nous nous quittons avec le sourire, en plus j’ai son 06. Je ne me rends compte de son état de femme qu’après : une brunette pleine de charme.

Je pense trop à elle. 5 jours plus tard un coup de fil : elle est chez elle. Ouf, c’est moins grave, d’après moi. Oui, d’après elle : une jambe cassés, le bras droit brisé. Merde alors. Je tiens à la voir pour plusieurs raisons obscures. Je sonne chez elle pour entendre un grand : « entrez ». Elle est sur un lit, couchée, l’air un peu égaré.

Je l’embrasse sur les joues. Elle en rougit un peu : elle est désirable ainsi. Elle parle sans arrêt, à croire qu’elle s’est tu depuis une éternité. Je n’arrive pas à en placer une.

Elle veut savoir plein de chose sur moi, ma vie, mes amours, ma situation. Avant que je réponde, elle me raconte sa vie à elle. Et ajoute qu’elle est à jeun de sexe.

Ah Bon. Elle se confesse bien vite. Moi aussi je suis à jeun depuis deux semaines, je n’en fait pas une histoire : je me contente seul comme tout le monde.

Elle me donne son nom : Jeanny. Elle me demande si nous pouvons nous tutoyer ? Pourquoi pas. Elle me demande de lui passer la main dans le dos où elle a une démangeaison. Je passe une main dans le dos, vais où elle indique. Elle est soulagée.

Au fur et à mesure de mes visites nous devenons plus proches. Trop proches, possible.
- Tu sais j’ai un grand besoin à satisfaire, je n’y arrive pas.
- Quel besoin ?
- Je n’ose pas trop le dire, c’est tellement personnel.
- Tu veux que je te gratte le dos encore,
- Non, pas le dos, plus bas.

Je devine : Jeanny voudrait que je passe mes doigts là où ça la démange. La caresser à cet endroit, comme ça, sans préparation de ma part ? Pas question. Elle tend son visage, ses lèvres en avant. Elle m’attaque la première, je suis en droit de me défendre, donc d’attaquer en réponse : l’ONU pense comme moi. Je me penche sur elle, ma bouche va emprisonner la sienne. Elle me donne sa langue. Comme défense j’ai connu pire ou mieux. Ses lèvres sont douces, comme sa langue. Elle insiste, son baiser est long. Elle, je ne sais pas encore, mais moi je m’excite : je commence à bander. Je passe ma main sur le premier sein que je trouve Elle me laisse faire. J’arrive à passer ma main sous son haut. Première surprise, elle ne porte pas de soutien-gorge. Je suis surpris de la douceur de ses doudounes. Je fais lever les pointes. Elle prolonge le baiser.

Oh, toi tu en veux plus ? Commet aller en bas sans la déranger avec ses plâtres ? Pour le bras droit pas de problème, il lui reste la main, pour le reste c’est délicat : passer entre une jambe normale et un morceau de maçonnerie ?

Elle touche la queue à travers le pantalon, au moins elle sait comment je fonctionne. Même si elle me masse bien je ne sais toujours pas comment faire pour elle. C’est elle qui en remuant fait remonter sa jupe en dévoilant plus de la moitié de ses cuisses. Enfin une cuisse, l’autre et cachée par le pansement.

Je passe la main sur la jambe, je monte doucement vers son point « start» :
- Oui, caresses moi plus haut.
- Devant ou derrière ?
- Devant d’abord.

Ah bon il doit y avoir un après ? Jeanny ne porte pas de culotte. C’est presque plus facile pour moi. Sauf que c’est chaud, chaud et humide. J’arrive sur des lèvres un peu épaisses, cachant un tout petit truc. Je m’y attarde : elle sursaute, j’ai cru lui faire mal. Non, ça va, elle aime. Je ne suis pas un champion dans la masturbation des filles. Je peux leur apporter certaines satisfactions simplement. En plus je suis gêné pas la position de son autre jambe. Je suis le plus doux des hommes. Elle attend un orgasme. Je le lui donne en prenant mon temps. Elle ne s’impatient pas : c’est la première caresse osée que je lui donne.

Elle se laisse conduire vers la jouissance lentement en poussant souvent des soupirs de soulagement. Elle se contracte un peu au moment crucial. Jeanny demande que mon doigt aile déshonorer son anus. Je le caresse aussi légèrement que le clitoris.
Elle serre ma queue dans sa main, elle cherche à la sortir. Je l’y aide un peu. Ma bite fait un bond en avant, à croire qu’elle est vivante.
- J’aimerai la mettre dans la bouche.
- Tu n’y arriveras pas.
- Essaie de ma la mettre.

J’ai beau me tortiller, à moins de monter sur elle, je ne peux la satisfaire ; Je remarque sans rire que la bite se balance dans tous les sens devant son nez. Convaincue, Jeanny prend à pleine main mon pauvre sexe. Elle descend lentement le prépuce, le remonte : elle me branle. Fort bien d’ailleurs. Elle va me faire juter, je la préviens : elle accélère son rythme, je gicle dans sa main : elle la lèche satisfaite de déguster du sperme.

Deux jours plus tard je suis obligé d’aller au fin fond d’un autre pays lointain. Mon travail de conseil terminé, trois mois plus tard, je reviens. Elle m’attend à la sortie de l’aéroport. Un long baiser nous réunit. Chez elle, nous recommençons nos jeux, sauf que maintenant elle est en pleine forme.

Je peux la déshabiller enfin. Un corps plus sexy que prévu. Oh que j’ai envie d’elle ! Elle n’attend pas que j’ai fini, Jeanny me sort la pine, la caresse comme avant. Elle s’arrête assez tôt.

Elle me guide vers sa chambre. Couchée elle me tend les bras. Elle est adorable ainsi. Je dois mettre moins de 2 minutes chrono, pour être aussi nu qu’elle, sauf que j’ai un truc qui sort : une belle queue qui bande. Je ne peux plus me dérober, elle me fait mettre en 69, elle dessus, moi, la pine droite dessous. Elle me prend dans sa bouche. C’est notre première fellation. Ses lèvres entoure le gland, le font entrer dans la bouche, sa langue prend le relais. Elle suce mieux qu’une professionnelle. Et moi, j’ai envie de gouter son nectar. Ma bouche se colle à sa corole. Elle est délicieuse. Je sens de multiples contractions : ce que je fais lui plait. Elle lâche la queue, elle se remet en position normale :
- Baises moi.

C’est la première fois que je vais en Jeanny. Il me tardait. Je suis sur elle, elle écarte ses jambes. Je suis tout près, ma queue vise son espace privé. Elle bouge pour mettre ses talons sur mes reins. Nous sommes liés. J’entre dans son con.

Nous faisons les mêmes mouvements. S’il m’arrive par accident de sortir d’elle, sa main sait me reprendre là où il convient. Je cesse à l’instant où je sens des contractions autour de ma bite. Je change de place. Elle me met sur son anus. Elle veut que je la sodomise. Pour une première fois entre nous c’est normal. Nous connaissons tellement de choses en commun.

Jeanny reste sur le dos, elle ne fait que mettre le gland sur l’anus. Il est presque ouvert. Je l’encule facilement : elle gémit encore et toujours. Cette fois elle dit des mots tels que « je suis ta pute, encules moi, mets moi là profond, recommence, je jouis, oui, encore ». Elle montre au moins son plaisir. Je montre la fin du mien en éjaculant au fond de ses boyaux.

Depuis 2 ans, nous nous aimons, nous baisons souvent. Elle demande aussi que je l’encule, pas toujours. Elle ne tient pas à aller voir ailleurs, ni homme, ni fille, seulement sa main et le gode. Une femme sage, une très bonne amante aimante. Je ne peux plus me passer d’elle, de ses caresses, de son sexe, de son cul que je lèche de temps en temps, quand elle me le demande.
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