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Après stage 3

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Lue : 1830 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/03/2013

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Quelques jours plus tard H. me retrouve….

Le souvenir d’après stage a laissé des traces. Moi par exemple je ne retrouve le calme qu’après deux ou trois masturbations profondes : je me sers souvent du gode. C’est surtout le soir que j’ai le feu au cul. Je suis plus calme après m’être baisée. J’écarte à peine les cuisses, je passe un seul doigt sur le clitoris. Je suis déjà mouillée. Je glisse facilement sur la chatte. Doucement presque malgré moi, les cuisses s’écartent. Obligée par le désir je passe deux doigts sur l’abricot. Il coulisse bien sur moi. Je prends le gode, je le passe sur le petit bijou. Doucement je l’enfonce dans le vagin. Je l’y laisse immobile un moment avant d’entamer les longs va-et-vient. Je rêve encore à ces instants de baises extraordinaire avec H. J’ai besoin de lui, il baise si bien.

H. est marié, ce que je ne savais pas. Je suis un peu jalouse de sa femme qui doit se payer des baises fabuleuses avec lui. Dans le bistro où je prends le café, il déboule un jour. C’est vite fait un baiser rapide sur les lèvres. Seul problème ; il n’est pas seul : une jolie femme, L . est à ses côtés. Il nous présente. Nous nous faisons une bise sur les joues, .il insiste pour que notre baiser soit plus profond. C’est presque malgré nous que nous nous embrassons sur les lèvres.

Si nous avions su, nous n’aurions pas tardé. Nous nous retrouvons chez lui, à trois. L. nous sert un apéritif léger. Nos mains se découvrent. La machine infernale est lancée. H. ne fait rien pour nous séparer, au contraire. Il semble prendre un plaisir malsain à nous pousser l’une, vers l’autre. Je trouve un certain agrément à me laisser embrasser, cette fois profondément sur la bouche. Je me souviens que j’ai donné ma langue sans scrupule. L. a prit ma nuque, m’a approchée encore d’elle. Je sentais sa chaleur corporelle. Et lui, H, nous regardait en se touchant déjà la queue à travers le pantalon.

Tant pis pour la suite, je me suis offerte à cette femme que je ne connaissais pas encore. J’ai comme des trous de mémoire, en tout ça, je sais que nous nous sommes retrouvées presque nue sur le lit. Mes seins étaient prisonniers de ses mains, ma bouche fermée par la sienne, nos langues chatouillées par l’autre. Mes jambes entouraient les siennes. Bref nous étions presque l’une à l’autre.

H. était près de notre couple, cette fois la bite hors de la braguette. Il se branlait devant nous. Sa recherche de plaisir solitaire nous donnait envie de prendre aussi un plaisir que ni l’une ni l’autre ne connaissions. C’est L qui la première a posé sa main sur la chatte. Je la sentais sur moi, j’avais envie qu’elle aille plus loin, ce qu’elle fait facilement. L. franchi le peu d’obstacle en passant tous la jupe. J’aimais aussitôt sa main caressante. L. a su de suite comment faire. Je sais que j’étais trempée de désir. Elle a su venir combler le vide de mon bas ventre. Sa main est venue pile là où j’en avais besoin. Elle a écarté les lèvres d’en bas. Je me tendais vers elle. Quand un doigt, je ne sais lequel a caressé le bouton, j’ai gémi. Elle s’est allongée près de moi. Je pouvais moi aussi la toucher.

J’étais en pleine masturbation rendue. Je sentais sa chatte chaude sous mes doigts. Je la branlais comme pour moi. Elle me doigtait, entrait des doigts dans le vagin. Je rendais moi aussi la caresse. Nous nous sommes mises nues pour être à l’aise. Près de nous H se masturbait. Nous pouvions voir sa queue dans sa main. Il nous excitait encore plus.

Nous nous sommes tournées : je voyais correctement toute sa chatte. J’imaginais la mienne aussi sous ses yeux. Au début nous nous sommes caressées mutuellement. Puis, L. a posé ses lèvres sur moi, sur le bas ventre. Je la voulais sur moi, sur le con. Je crois l’avoir crié. Elle m’a fait un bien fou en me léchant. C’était plus doux qu’avec un homme, plus doux et plus excitant. Sa langue savait exactement où aller et comment faire.

Je me suis attachée à lui rendre le plaisir donné. Elle avait bon goût, bonne odeur. Ma langue prenait plaisir à la lécher tout le long de la fente. J’allais loin au-delà du sexe, à la rencontre de l’anus. Je sentais les ridules de son cul. J’hésitais un moment avent d’aller plus loin : c’est elle la première qui m’a mis sa langue comme une petite bite. Elle était sur moi, je sentais son corps contre le mien. Se sentais qu’il s’alourdissait. H était sur elle. Je voyais la queue tout près de moi, presque sur le front. Il venait remplacer ma langue. Je voyais comment faisait une bite en venant enculer. Sans le vouloir, H. m’a faite jouir sur la langue de sa femme. Elle aussi jouissait sur ma bouche. C’était à la fois merveilleux et dégoûtant. Quand il a sorti son engin je ne pouvais m’empêcher de le prendre dans la bouche, le lécher longuement. Tant pis pour le con de L. J’avais la queue de son mari dans la bouche. Il jouissait sur ma langue : son sperme était aromatique, presque doux, malgré sa salinité.

Nous devons nous retrouvées seules, avec L. Chez moi en plus. Je pourrais la baiser avec le gode dans le cul.
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Histoire de fabrissa

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