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Arrière train de banlieue

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Lue : 56784 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 03/02/2010

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Comme chaque jour de la semaine je m’enfonce dans la rame du train qui en une heure me mène à Paris. J’ai dix huit ans et je suis en terminale S d’un lycée parisien. Les vacances au bord de la mer avec madame Travil m’ont déniaisé, voir éducation sexuelle et je me sens bien dans ma peau. Je suis jeune et beau, la vie est belle.

Aujourd’hui encore le compartiment est bondé et je suis broyé par la foule qui me presse. Je tiens en équilibre en me tenant aux barres d’appui et à la barre centrale, pratiquement je ne peux plus faire un geste.

Une heure à tenir dans cette position inconfortable. En fermant les yeux j’essaie de rattraper le sommeil que j’ai en retard. A un moment je suis stupéfait de constater qu’on me palpe par devant, une main anonyme me caresse le sexe à bonne hauteur sur le pantalon.

Au départ j’ai cru à un mouvement involontaire d’un voyageur mais je me rends compte maintenant que c’est bien une main car je sens le frôlement des doigts sur ma verge. Cette main grande ouverte, paume en avant me serre le sexe et les couilles, cela ne me fait pas mal, au contraire, mais je suis horriblement gêné. Qui se permet ce geste, une femme, un homme, non pas un homme, je ne pourrais le supporter.

J’essaie de me tourner, de me dérober, d’échapper à cette main baladeuse, en vain, je ne sais même pas d’où elle vient, d’en face, de côté, de l’arrière même. Je suis entouré d’hommes et de femmes.

En attendant cette main ne reste pas inactive elle me palpe franchement sans équivoque possible, elle me remonte les couilles en les faisant rouler dans ses doigts, elle saisit la base de mon sexe entre le pouce et l’index et le serre doucement. C’est un mouvement très doux, délicat qui malgré moi commence à me faire bander.

J’ai une dernière réaction de défense, sans résultat, au contraire cette main commandée par un cerveau pervers, devant mon impuissance à me protéger s’agite de plus en plus sur ma virilité.

Je me rends compte maintenant que cette main essaie de décoller ma verge de mes bourses. En tirant sur le tissu du pantalon elle tente de relever la tête de mon nœud, bite en l’air plaquée sur mon ventre. Contre mon gré cette manœuvre laborieuse a pour effet d’augmenter ma bandaison et quand elle se termine victorieusement mon sexe dressé est gros et commence à s’affermir.

Pour la main cela semble être une étape de franchie, car pour elle il est plus facile de continuer son œuvre souterraine. Je suis décontenancé et ému à la fois, sensible à cette caresse j’y trouve un certain plaisir et je décide de mieux me prêter à cette caresse ; j’écarte très légèrement mes cuisses en animant mon bassin d’imperceptibles avancées.

La main comprenant ma complicité semble heureuse de me branler franchement, deux doigts serrés à la base de ma hampe en émigrant, de temps à autre vers mon gland. Elle prend mes couilles à pleine paume et me les presse en les remontant. Je commence à avoir le souffle un peu court, si cela continue elle va me faire jouir cette adorable salope.

Cette main mais de qui ? Devant moi un homme et une femme ; l’homme d’un certain âge, un habitué des transports en commun a une tête d’obsédé, la femme de quarante ans environ est bien foutue, elle porte des lunettes et son visage sans être laid n’est pas d’une grande beauté. A choisir j’aimerai mieux que se soit elle qui me branle, pourtant rien ne parait sur son visage, elle ainsi que le satyre ont les bras ballants, leurs mains perdues dans les profondeurs.

Je suis de mieux en mieux, ma verge est très raide maintenant plaquée sur mon ventre, nœud décalotté pointant fièrement, la main me caresse la grosse veine gonflée de sang, c’est lent, c’est doux, de temps à autres deux doigts me serrent la base de mon sexe et s’agitent, si cela continue je vais exploser, j’ai du mal à rester impassible, j’ai le souffle un peu court et ne peut m’empêcher d’avancer mon ventre en le pressant vers le bonheur.

La femme m’observe en douce je le sens, l’obsédé aussi, merde ! mais que m’arrive t’il, la main fourgonne bizarrement sur ma braguette, les boutons cèdent un à un et avant que j’ai réalisé quoi que ce soit la main s’introduit par la braguette et saisit mon sexe et mes testicules avec pour seul rempart le tissus en coton de mon slip.

Le contact est radicalement changé la main se fait plus douce, plus caressante, d’autant qu’elle s’installe confortablement cette main entièrement glissée à l’intérieur du pantalon grand ouvert, elle me branle avec vigueur, quand elle me gobe les couilles et qu’elles les agitent en les pressant, je sens les doigts dans mon entrecuisse à un doigt de mon anus, à non pas le cul, pitié !

Je sens que l’on me tire les bourses en les remontant, inexorablement la main sort mon attirail du pantalon, sous le slip le long cylindre de ma verge en appui sur les couilles s’offre une mise à l’air, aussitôt comme par enchantement ce sont maintenant deux mains qui s’activent sur moi, une serre mes testicules et la base de mon sexe, tandis que l’autre agite mon zob, alternativement je suis serré par l’une ou l’autre main.

J’étais effaré de leurs audaces quand le pire arriva, avec une précision diabolique je sens que l’on tire sur la ceinture élastique de mon slip qu’on le rabat sous mes couilles. Ce fut la mise à l’air intégrale. Les mains nues me palpaient maintenant sans le moindre rempart, elles étaient chaudes et douces ces mains mâles ou femelles ? Impossible de deviner qui avait ce culot ?

Le satyre baillait , la femme à quéquette se mis à éternuer, poliment leurs mains devant leur bouche. Une seule main restant sur mes valseuses, l’autre revint sur ma verge me prenant le gland les cinq doigts en corolle. Le changement fut absolu car rapidement je me rendis compte de la différence, ils glissaient en un coulissement onctueux, je me sentis tout humide de salive.

Je commençais à jouir, c’était insupportable de rester impassible, de ne pouvoir gémir, de retenir les grands élancements de son corps de son ventre, les doigts me branlaient, puis formant entre eux une sorte de chatte humide ils mimaient la pénétration d’une vulve sur ma queue raidie, grande ouverte quand elle me pénétrait, elle se serrait sur moi en revenant vers le gland.

Je ne pus cacher davantage mon émoi, bouche ouverte, les yeux hagards je sentis monter la liqueur sacré, je serrais mes mains sur les barres d’appui, j’allais éjaculer, perdant ma réserve je poussais un petit cri, le foutre montait des profondeurs, ma jouissance était extrême et je jutais en d’énormes jets, je sentis le slip remonter et je me sentis tout mouillé de sperme.

Les mains sur le slip terminaient leur œuvre en purgeant mon panais de toute sa semence en de longues branlettes, le plaisir était toujours présent, chaque goutte extirpée de mes couilles me tirait une plainte, un spasme. Petit à petit le calme revint, il était temps car comme dans un scénario bien réglé le train entrait en gare, s’arrêtait avec le flot de voyageurs se précipitant sur le quai. Je voulus stopper la femme à lunettes ou le pédé mais déjà ils se perdaient dans la foule me laissant souillé avec du foutre plein les cuisses.

C’est en racontant mon aventure à mon copain Robert que j’en su un peu plus. Lui aussi s’était fait masturber dans le train, lui aussi avait jouit en éjaculant, il avait su par des copains que c’était une belle femme à lunettes qui profitait de la foule pour déniaiser un puceau de son choix. Elle en repérait un sur le quai et s’arrangeait de monter à coté de lui, elle profitait du fait que personne ne pouvait bouger pour se livrer sur lui aux attouchements les plus intimes, mais à Paris elle s’éclipsait préférant semble t il le changement aux aventures durables.

C’était donc cette femme à lunettes qui m’avait fait jouir et cela me rassura et m’excita au plus haut point. Durant plusieurs nuits je ne pensais qu’à elle, à cette belle garce qui m’avait tant fait plaisir, moi le jeune homme inexpérimenté qui depuis les vacances devait se masturber pour jouir. Dans mon lit je fantasmais, je la baisais, l’oreiller s’en souvient encore. A partir de ce moment, chaque jour je surveillais le quai de départ pour la revoir.

Mon désir était de pouvoir me retrouver à la portée de ses caresses. La voir est une chose, pratiquement je la voyais tous les jours, l’approcher en est une autre, plusieurs fois je réussis à être assez proche sans toutefois être contre elle. Cela me permis malgré tout de l’observer de la détailler, mon désir n’en fut que plus grand tant je la trouvais désirable, c’était une femme, pas une gamine, soigneusement maquillée, ses habits la moulaient révélant ses formes généreuses, son cul, ses fesses, sa croupe comme on les aime se devinaient sous le tissus soyeux de sa jupe, les seins plus cachés sous sa veste pointaient sous le corsage.

Je me rendis compte qu’elle chassait, elle avait le chic pour se faufiler à proximité d’un adolescent et de monter à sa suite dans le wagon du train. A plusieurs reprises je réussis à me trouver très proche et d’observer ses manœuvres. Au visage de l’adolescent je sentais les progrès de la main qui devait le masturber, à l’approche du terminus le doute n’était plus de mise, la femme appliquée devait sentir la jeune verge se gonfler de foutre, elle fixait intensément le jeune homme qui se pâmait, jouissant entre ses doigts experts. Oui c’était bien elle qui nous faisait jouir, j’en était sûr maintenant.

Plusieurs fois par semaine elle réussissait son coup et je n’étais que le témoin de ses branlettes anonymes. A force je m’aperçus d’un autre manège, d’un troisième personnage en la personne de l’homme à tête d’obsédé, il jouait des coudes pour se trouver à côté de la jeune femme perverse et j’eus l’impression qu’il voulait avoir sa part, est ce qu’il branlait l’ado lui aussi ?

Ce n’est qu’au bout de plusieurs jours que je compris le scénario, quand la femme à lunettes réussissait à coincer un jeune homme et que la situation permettait de le caresser, de le branler à le faire jouir, rien ne semblait plus compter pour elle, elle vivait son fantasme, isolée dans son rêve, le vieux satyre, en fait le mot est impropre, obsédé conviendrait mieux, l’obsédé donc se plaquait sur elle, de côté quand il pouvait, il enfourchait sa cuisse se vautrant sur elle. J’imaginais son gros sexe roulant sur le haut charnu et soyeux de cette cuisse indifférente, peut être s’excitait il sur le bouton du porte-jarretelles.

Ce qui est une certitude, j’en eu la preuve à l’occasion d’un dé tassement fortuit de la foule dans le compartiment c’est que lui aussi avait les mains baladeuses, sous la jupe de notre mythomane. Accaparée à faire plaisir à l’élu du jour, elle laissait des mains expertes la mener vers le sien, ces mains d’hommes sur son cul et dans son entrecuisses, savamment, besogneusement, la menait à l’orgasme en fin de trajet et quand j’observais le visage de ce couple je compris qu’eux aussi s’arrangeaient de jouir en même temps que l’ado ravi, elle par les grosses mains sous son slip et lui par sa masturbation verticale.

Ce qui est sur aussi c’est que l’obsédé n’avait aucun droit quand la drôlesse était seule, veuve si j’ose dire en l’absence d’un petit jeune homme à croquer.


Un matin je réussis à être en bonne place, tout proche du trio infernal, je voyais l’ado commencer à pâlir, il se mordait les lèvres pour ne pas gémir, l’obsédé suait comme un âne, la femme maîtresse d’elle même semblait impassible, je sentais son parfum capiteux, envoûtant me pénétrer, tremblant de désir je crus défaillir quand à l’opposé de l’obsédé je refermais mes cuisses sur elle, sur sa cuisse gauche, ses fesses à main droite. Sa chaleur m’envahit, je me frottais en d’imperceptibles mouvements de reptation, aucune réaction ne vint me décourager, les étoffes de nos vêtements glissaient l’une sur l’autre, j’étais contre cette femme désirée, je sentais ses formes, je devinais ses dessous, j’aurai juré qu’elle avait un porte jarretelles et une culotte fantaisie.

Quand ma main s’inséra entre ses fesses par dessous mon cœur faisait de grands bonds dans ma poitrine, c’était chaud, doux, plantureux, ferme et plastique à la fois. Aucun refus ne venant je pus épouser les divins volumes et investir le fond de ce canyon abrupt doigts en avant à la découverte des sources cachées au fond de la vallée. C’est alors que je découvris un petit passage ménagé dans l’étoffe légère qui permit à ma main de palper la chair nue de son cul.

Consciencieusement je pris connaissance des lieux allant de la culotte de soie aux bas fins en passant sur les jarretelles élastiques, j’eus tôt fait d’en faire le tour, me vautrant dans l’intérieur des cuisses, m’insérant sous les bas. Ma curiosité m’incita à m’aventurer plus loin, plus profond, paume en l’air, doigts curieux et folâtres je m’enfonçais dans une vallée luxuriante ou semblait régner un climat tropical humide, un petit écartement des cuisses m’indiqua que je n’étais pas seul à trouver du plaisir.

Je bandais comme un jeune serf et le rouleau de mon sexe s’encastrait dans le gras de la cuisse, de ma cuisse si j’ose dire l’autre étant occupée par le vieux satyre au bord de la syncope, j’arrivais au trou du cul et consciencieusement j’en fis le tour, il me sembla imberbe, lisse et sec, comme j’essayais d’y entrer par effraction j’eus le sentiment de ne pas être seul, par devant une main s’activait et j’en conclus que l’obsédé avait choisi le meilleur côté.

La femme malgré sa concentration n’avait pas été sans remarquer cette double attaque et d’un regard elle me vit contre elle, d’une bourrade elle chassa mon adversaire me laissant le champ libre, l’obsédé devant se contenter de se vautrer sur elle. Par contre elle facilita ma tache et bientôt passant ma main gauche par devant sous sa jupe et en l’enfonçant dans l’arc entrouvert je retrouvais ma main droite dans l’entre cuisses poilus.

Si l’arrière était sec le nouveau terrain conquis était humide, moi le néophyte je fis des découvertes en aveugle, une abondante toison, deux grosses lèvres humides que ma main caressa, en remontant sur le ventre je m’attardais sur un petit corps dur que je titillais entre deux doigts, rapidement je compris que cela lui faisait du bien car son ventre s’anima d’une puissante houle, je continuais donc et ma main à l’arrière aborda l’autre côté de cette grosse chatte et eut tôt fait de s’enfoncer dans un trou béant et sans fond semble t il.

Mes doigts maintenant humides d’un liquide visqueux rendaient plus douces mes caresses et revenant en arrière à plusieurs reprises j’enduisi l’anus mignon de ce sirupeux liquide. Abandonnant le bouton sensible j’entrepris d’investir simultanément les deux orifices voisins, ce fut plus délicat à l’arrière, mais mon index coulissa bientôt librement dans ce trou étroit alors qu’à l’avant trois doigts réunis n’eurent aucun mal à trouver leur place.

Ce faisant j’attirai vers moi cette chair qui vibrait maintenant très fort, plaquant la cuisse sur mon sexe. Alternativement je branlais les deux méats m’enfonçant de plus en plus, à un moment je crois que j’aurai pu mettre deux doigts dans le trou du cul offert, je n’en eu pas le temps, tandis que l’ado poussait un râle, les cuisses se serrèrent sur mes mains les inondant en un spasme puissant, moi, une fois de plus j’éjaculais dans mon slip, nous venions de jouir tous les trois de concert, pour l’obsédé d’en face c’était fait depuis longtemps, nous étions arrivés.

Pour sortir du compartiment la femme dut se tourner vers moi et eut le loisir de me détailler, de me jauger, je n’eus que le temps de lui glisser un petit billet dans sa poche de gilet, un petit billet préparé de longue date sur lequel j’avais inscrit mon prénom et le numéro de téléphone de mes parents, sans un mot elle disparut.
« - Je voudrai parler à Pierre, est il présent ? »
« - C’est moi, j’écoute, qui êtes vous ? »
« - Mon nom ne te dira rien, mais c’est toi qui m’a demandé d’appeler »
« - Vous êtes la belle femme du train ? »
« - Bien sûr qui veux tu que ça soit ? à moins que tu donnes ton numéro à tout le monde, parle, que me veux tu ?»

L’émotion me clouait sur place, les mots se bloquaient dans ma gorge, je m’entendis répondre :
« - Je voulais vous dire que j’étais bien, que »
« - Tu étais bien quand ? si mes souvenirs sont exacts on a du se côtoyer deux fois »
« - J’étais bien les deux fois »
« - Raconte, je suis curieuse te connaître ta version »

J’étais dominé par cette femme, par ses phrases courtes et précises, pourtant je ne voulais pas lui déplaire, j’en attendais tant.
« - La première fois j’ai été surpris, je ne savais pas qui me caressait ainsi, mais je ne pouvais bouger et comme rapidement je me suis mis à bander, je me suis laissé aller. J’avoue que j’ai un peu paniqué quand votre main franchissant ma braguette m’a caressé le sexe sur mon slip, je dis votre main, je le sais maintenant, mais à ce moment là je l’ignorais, j’avais peur que cela soit le satyre qui vous suit comme votre ombre, mais si j’avais su que c’était vous, j’aurai bandé encore plus »
« - merci petit, pourquoi ? Tu me trouves à ton goût ? Qu’as tu pensé quand j’ai sorti tes couilles en rabattant ton slip ? »
« - Si je vous trouve à mon goût ? bien sur, vous êtes tout ce que je désire, la femme, depuis je défonce mon oreiller chaque nuit »
« - Tu es puceau, Pierre ? tu es bien membré pourtant »
« - Puceau, pas tout à fait mais presque, mais par la pensée je vous ai baisée maintes fois »
« - Je voudrai bien voir çà coquin, au fait, peu après, ai je réussi à te faire juter »
« - Dans mon slip oui, cela à été une catastrophe, j’avais du sperme plein les cuisses, mais j’ai tellement joui, jusqu’à la dernière goutte, vous semblez bien connaître la sexualité des jeunes »
« - Tu as remarqué çà, oui j’aime les jeunes, c’est pur, c’est beau, leur faire connaître leurs premières jouissances, leur donner les premières bases d’une sexualité utile pour leur vie, cela m’excite, j’en ai fait jouir plus d’un »
« - J’ai bien aimé la deuxième fois aussi, j’ai fait des découvertes »
« - Ah oui lesquelles petit effronté, je sens encore tes mains folâtrer entre mes cuisses, c’était la première fois que tu palpais une femme ? »
« - Ah oui, et c’était rudement bon, là encore j’ai joui sur votre cuisse »
« - Et bien, ta mère doit en penser long en faisant la lessive »
« - J’ai remarqué qu’à cet instant vous avez serré les cuisses et ma main est devenue toute humide vous aviez l’air bien vous aussi, quand à mon doigt à l’arrière il sentait mauvais »
« - tu sais que tu me fais rire, bien sûr tu m’as fait jouir moi aussi, quand au doigt, quand on le met là où tu l’as mis il ne faut pas s’attendre à ce qu’il en sorte parfumé, mais c’est pour me dire cela que tu m’as appelé ? »
« - c’est à dire que j’aurai aimé, euh »
« - recommencez, petit vicieux, c’est çà hein, as tu cherché à te rapprocher de moi dans le train ? J’y suis presque tous les jours, à la même heure en plus »
« - oui j’ai essayé, mais je n’y arrive plus, il y a tellement de monde et puis parfois quand j’y suis presque vous filer d’un coup hors de ma portée, je crève de jalousie quand je vois jouir un autre jeune que moi »
« - j’essaie de changer, çà m’excite, de voir la réaction de ma nouvelle proie, de savoir si je vais pouvoir passer ma main dans sa braguette, si je vais pouvoir saisir son membre et s’il va jouir, dans ces moments là je suis dans un autre monde et certains en profitent »
« - ah oui, le petit père par exemple, il a l’air vicieux »
« - oui il l’est, je ne peux pas l’encadrer, pourtant il me fait jouir avec ses grosses pattes, mais il n’a jamais osé me faire ce que tu m’as fait petit salaud »
« - mais quoi ? »
« - me branler le cul et la chatte en même temps »
« - tu as aimé ? »
« - écoute arrête où je raccroche, rien que d’y penser je me tripote et je suis en train de mouiller mon string, si tu veux je te propose de venir chez moi, tu n’as pas peur de moi ? je suis au 3 rue Verneuil, un beau pavillon au fond d’un jardin »
« - si je veux, évidemment, mais quand ? »
« - maintenant, tu peux ? »
« - j’arrive »

Eva était comme folle, jamais elle n’aurait pensé qu’un petit jeune comme ce Pierre aurait envie d’elle au point de venir chez elle. Elle l’avait remarqué, il était différent des autres, il était beau, il était grand et bien qu’un peu nigaud son sexe était bien développé, elle avait beaucoup à lui apprendre, ah ! comme elle allait le faire jouir, avec lui elle pourrait donner libre cours à son imagination sans bornes.

Quand Pierre entra elle ne lui laissa pas le temps de respirer, le prenant par la main elle le conduit devant une grande armoire à glace et sa main, comme dans le train commença à lui caresser son sexe.

« - on va faire comme dans le train, tu sens ma main te caresser ? tu la sens te serrer la hampe de ton zob ? je te prends les couilles elles sont grosses pour ton âge, tu commences à bander, c’est bien, laisse toi bien faire, tu sens ma main sur ta braguette ? tu sens mes doigts pénétrer entre les boutons ? ah je déboutonne, un, deux, trois, la voie est libre, ma main sur ton slip, je décolle ta verge des couilles, elle est raide hein, elle est grosse, je la prends entre deux doigts et je l’agite, tu me vois dans la glace ?
---- Mais que fais tu ? tu me caresses toi aussi, comment oses tu dégrafer ma jupe, tu l’enlèves ? tu as fini de me reluquer comme çà, çà t’excite hein les bas et les portes jarretelles ? tu passes tes mains entres mes cuisses sans mon autorisation, tire pas sur mon froc, tu recommences comme la deuxième fois qu’on s’est vu, attend un peu, tiens la mise à l’air, avec ton slibard sous tes couilles, bigre tu bandes sec, oui, oui branle moi bien toi aussi, tu me fais jouir petit salaud oui la chatte, oui par le cul, la chatte le cul, je sens ta verge qui gonfle, tu vas jouir, je sens que çà viens, je sens que çà monte, Ah çà gicle, tu jouis, je jouis aussi, continu petit, plus profond, mets deux doigts dans mon cul oui continue de me branler la chatte, ahhhhh ouiiiiiii c’est bon »

Pierre avait fini de jouir alors qu’Eva manifestement était en plein coaltar, elle ondulait de la croupe, elle écartait ses cuisses pour mieux les resserrer sur ces mains qui l’affolaient, sa chatte bavait abondamment lubrifiant les doigts coquins qui la transpercèrent plus encore, ses yeux étaient révulsés, elle se tendait vers un autre monde, pourtant Eva continuait de lui branler rudement le sexe, par moment elle lui faisait mal en lui serrant les testicules. Pierre les yeux rivés sur le miroir de l’armoire admirait cette belle femelle en rut qui l’avait fait jouir comme jamais et qui se pâmait entre ses bras. Petit à petit elle se calma, se désengagea et se réajusta ; elle avait retrouvé tout son calme.
« - eh bien petit coquin tu m’as bien fait jouir, tu as l’air assez doué pour la bagatelle »
« - j’aimerai baiser, te baiser Eva, ce serait la première fois, avec toi qui est une vrai femme, j’aime ta chatte, j’aime ta croupe, je voudrai voir tes seins pour les sucer, je veux me planter en toi, regarde comme je suis raide encore, apprends moi, montre moi je t’en serais éternellement reconnaissant »

Eva était toute attendrie, mais elle voulait tirer le meilleur parti de ce jeune homme qui était à son goût, il n’était pas un parmi d’autres, quand elle avait pu le piéger dans le train, elle était toute excitée devant tant de candeur et de beauté, elle aurait joui même en l’absence des grosses pattes du vieux sadique dans son slip.
« - pour me baiser, jeune homme il faudra le mériter, à chaque fois que tu viendras me voir, tu me baiseras après avoir résisté à une branlette en règle et à une bonne sucette, après tu auras droit si tu le peux à mes seins, ma chatte et à mon cul »

Pierre était bouleversé, mais que voulait dire Eva avec sa sucette, et son cul ? Il comprit rapidement quand Eva s’agenouilla devant lui et que dégrafant sa ceinture elle baisa son pantalon et son slip. Devant la glace il voyait son sexe en pleine érection prit délicatement entre deux doigts d’une main d’Eva, puis il ne vit que la bouche qui s’approchait, deux lèvres pulpeuses carminées de rouge et le pointu de sa langue rose.

Bientôt cette langue se mit au travail sur le bout de sa bitte, il en fut comme électrisé, elle s’attarda au dessous du gland là où la peau est ancrée, jamais il n’aurait pensé cet endroit si sensible, d’autant qu’après avoir enveloppé tout le gland le pointu de la langue y revenait sans cesse, il se mit à bander davantage, le nœud énorme, violacé. Les doigts serrés à la base de sa verge laissait toute liberté à cette langue qui maintenant léchait toute la hampe l’enduisant de salive, cette grosse langue rose largement déployée en remontant par en dessous le long de la grosse veine bleue gorgée de sang, à ces instants l’effet était fabuleusement jouissif, la glace renvoyait l’image de son sexe sur le nez d’Eva.

A un moment elle se décala et sa bouche passant par dessous aspira une de ses couilles puis l’autre, chacune d’elles bien séparées dans leur étui de peau remplissait la bouche vorace grande ouverte. Dans cette position avec Eva accroupie à ses genoux, Pierre ne pouvait qu’être passif, il ne pouvait que s’offrir davantage et se placer de manière à jouir du spectacle porno, il eu l’idée pourtant quittant ses chaussures de caresser l’entre cuisses écartelé avec ses doigts de pieds, d’un coup le rythme s’accéléra sur son nœud.

Lors d’une remontée de la langue, le pointu sur son gland, Pierre vit s’ouvrir ce cloaque rose qui se referma délicatement sur le bout de son sexe, en même temps les mains s’activèrent, l’une palpant les couilles, l’autre prenant son sexe à pleine main commença à le branler à l’opposé de la bouche qui peu à peu l’absorbait, la bouche le branla également, les lèvres serrées en remontant lui ramenait la peau de son zob sur son gland pour mieux le décalotter en s’enfonçant à la rencontre de la main branleuse.

Parfois l’objet était dégluti et le pointu de la langue s’affolait sur le gland décalotté ou sur la peau remise en place par l’anneau de la main, puis la sarabande recommençait la bouche vorace s’enfonçant de plus en plus prenait en compte la presque totalité de la hampe, à ces instants Pierre sentait son gland venir en butée au fond de cette gorge profonde, chaude et humide et même commencer à s’introduire dans le conduit. Ce devait être cela car Eva exagérant sa possession se mis à tousser, elle devint ensuite plus raisonnable.

L’effet du pied dans l’entrecuisse commençait à produire son effet ; Pierre avait réussi à passer sous le slip, les arpions fouaillant la chatte poilue, Eva se prêtait à la caresse en s’écartelant davantage. Le bonheur devint presque intolérable quand Pierre sentit une légère aspiration centrée sur le petit méat au bout de sa queue, Eva lui pompait le nœud, cela se voyait à ses joues creusées, les pénétrations de sa bouche s’accélérèrent en étant moins profondes, la main en dessous au lieu de la branler tordait la tige.

Pierre se mit à gémir, il sentait le sperme monter des profondeurs de ses couilles, que fallait il faire, se dégager par la force pour éjaculer en dehors de cette bouche dévorante, il ne se posa plus de question, trop tard son sexe explosa dans la bouche vorace, la main comme sur un pis lui soutira jusqu’à la dernière goutte de semence, jamais jouissance ne fut aussi longue, aussi puissante, chaque giclée lui arrachait un cri, un spasme, un déhanchement, le foutre dégoulinant de la bouche enduisait son sexe d’une liqueur nacrée mais la langue d’Eva sortant de ses lèvres reprenait ce qui s’échappait de sa bouche. En regardant Pierre elle ouvrit grande sa bouche pour lui montrer qu’elle avait tout avalé.

Eva l’abandonna enfin et se releva, ses yeux était brillants de plaisir pointé d’un léger cerne. Après cette séance de fellation Pierre nu jusqu’à la taille avait les jambes plutôt flageolantes ; quand solitaire il se faisait plaisir par une petite branlette il jutait une bonne fois avant de voir son sexe se ratatiner pour plusieurs jours, là avec cette sacré bandeuse d’Eva il avait joui deux fois, la dernière éjaculation dans cette bouche vorace lui avait vidé les couilles, son sexe tout mou avait repris sa taille normale. Eva le serra dans ses bras et lui parla à l’oreille : Elle jubilait en souriant
« - tu vas pouvoir me baiser maintenant, j’ai une sacré envie de toi mignon petit brigand »

Elle attira Pierre vers une table, elle s’y allongea lui présentant le compas de ses cuisses ouvertes, ses jambes pendantes, la chatte au bord du plateau, masquée par son slip.
« - Approche beau gosse, tu vas te régaler, as tu remarqué que cette table est à bonne hauteur, pour me pénétrer tu n’auras qu’à te présenter et t’enfoncer entre mes cuisses ouvertes »

Tremblant d’émotion Pierre s’approcha, pour lui le spectacle était hallucinant, Eva le regardait en plongeant son regard dans le sien, d’une main elle avait écarté l’entrejambe de sa petite culotte de soie et offrait le spectacle de sa chatte au regard exorbité de son jeune amant.

C’était la première fois qu’au milieu de dessous affriolant, culottes, porte jarretelles, jarretelles, il voyait un sexe de femme, au milieu d’une toison épaisse mais soignée apparaissait une boursouflure, deux lèvres poilues entrebâillées sur un fond rose, Pierre s’approcha, son pénis à bonne hauteur en effet, à bonne hauteur mais très fatigué, il avait encore une bonne taille mais il était tout mou et il ne put le mettre qu’en appui sur le bas ventre offert, mais quant à y pénétrer bernique, impossible. Il eu beau se vautrer, plaquer ses couilles dans l’entrecuisse, rien y fit, il était vidé, pompé par son amante exigeante qui commençait à s’impatienter :
« - Alors couilles moles, tu viens, tu sais les caresses c’est pour s’échauffer, ce que j’ai besoin moi c’est une belle queue dans ma chatte, une bonne queue bien vaillante pour me baiser à fond, c’est ce que tu voulais toi aussi, alors tu vas bander oui ou non ? »

Pierre n’en pouvait mais, il en aurait pleuré de rage, il était entre des cuisses divines, à l’entrée d’une chatte prête à l’accueillir et il ne pouvait y pénétrer. Il essayait pitoyablement avec sa main comme chausse pied de glisser au moins son nœud, en vain.

Eva, souriait intérieurement, avec ce qu’elle lui avait pompé, il n’y avait rien d’étonnant à ce que la verge de ce petit puceau déclare forfait, il était attendrissant de vouloir la pénétrer, elle sentait ses couilles contre elle et son gland impuissant entre ses lèvres, elle allait pouvoir le dominer maintenant, en lui faisant faire son éducation. Dans quelque temps elle était sure que cet adolescent aurait l’étoffe d’un amant merveilleux, elle essaierait de le garder pour elle seule.
« - Tu es bon à rien, mais j’ai envie de jouir, tu me le dois, mets toi à genoux devant moi, oui, là, c’est bien, Pierre ce que ta bitte ne peux faire fais le avec ta bouche, avec ta langue, avec ton nez même si tu veux, arrange toi pour me faire plaisir, allez ! un peu d’imagination ! »

A genoux dans l’entrecuisse d’Eva, Pierre avait sa chatte sous les yeux, à portée de sa bouche, il était un peu dépassé par les événements, son regard était fasciné par les deux grosses lèvres poilues qui baillaient sous son nez ; sans savoir si Eva lui permettrait il se plaqua bouche grande ouverte sur ce fruit mur, sa langue raidie dans la boursouflure rose.

Ses mains passées sous les cuisses et remontant sur le buste pelotaient fermement les seins écartelés de son amante en faisant rouler entre ses doigts leurs pointes raidies; les jambes d’Eva en appui sur ses épaules lui permettaient une position confortable ; ses fesses au bord de la table dégageaient bien sa cramouille et son petit trou du cul. La langue de Pierre devait faire de l’effet car Eva commença à onduler de la croupe, avec ses mains elle écartait sa chatte pour faciliter les va et viens de la langue.

Ce fut de la folie quand Pierre délaissa la vulve pour lécher l’anus, son nez de ce fait s’insinua entre les grosses lèvres humides du sexe et s’y enlisa. Les mains d’Eva guidaient maintenant la tête de son amant le forçant à faire les alentours de son trou le moins lisse, qu’elle était délicieuse cette langue humide en ce lieu si sensible.

Eva tressautait de plaisir quand le pointu de la muqueuse rose faisait le tour de son anus puis cherchait à s’insérer dans ce monde des ténèbres, elle s’offrait en s’agitant ; elle cru mourir de plaisir, le nez de son amant lui branlait la chatte au rythme des mouvements désordonnés de sa croupe, elle ne put résister à l’orgasme qui montait puissant, impérieux.

Elle du s’allonger sur la table en se renversant en arrière ; dans un brouillard de bonheur elle vit la tête de son amant émerger de son entrecuisse, il se relevait en lui remontant les cuisses, les jambes toujours en appui sur ses épaules, l’instant suivant elle fut sabrée, pénétrée par le sexe de Pierre, excité par la situation il avait repris de la vigueur et elle senti le gros cylindre s’agiter dans sa vulve en feu.

Jamais elle n’avait tant joui, Pierre à bonne hauteur à demi penché vers elle se vautrait en elle, ses mains lui massaient les seins durcis, elle voyait monter le plaisir au visage congestionné de son amant et quand ce dernier le submergea il la prit par la croupe écartelant ses fesses et le sexe bien à fond elle sentit le jet puissant l’inonder au plus profond d’elle-même ?

Qu’elle aimait ces jets puissants, cette tiède semence sur son utérus, une chaleur l’envahissait ensuite, le liquide sirupeux du sperme lubrifiait son vagin dilaté par les va et vient de cette queue puissante qui maintenait sa jouissance au paroxysme. Pierre s’était relevé, de ses mains il relevait toujours la croupe de sa maîtresse en plein coaltar, jamais il n’avait été aussi gros, aussi raide, son sperme comme une traînée de feu avait ramoné son sexe, dans cette position il pouvait se voir et cela le troubla au plus haut point.

C’était bien son sexe qu’il voyait aller et venir entre ces lèvres qui l’emprisonnaient, la brune toison comme déchirée dévoilait l’intérieur rose de la chatte offerte et un clitoris gaillard, il s’amusa à sortir sa queue jusqu’au gland pour mieux replonger en d’énormes va et vient, gland dehors puis couilles en appui entre les fesses.

C’est alors que la chatte d’Eva se mit à chanter, ce fut d’abord un léger sifflement quand il la pénétrait, son sexe en piston devait chasser l’air qui remplissait son con dilaté, cela s’amplifia le sifflement devenant froufroutement de plus en plus fort de plus en plus incongru, les regards des deux amants se croisaient sans pudeur.

Eva jouissait en grimaçant, Pierre senti qu’il allait encore jouir, son bonheur, comme la lave d’un volcan remontait de ses couilles, remontait sa longue verge pour éclater à fond. Les deux amants en pleine orgasme s’agitaient sans retenue, la jouissance leur tirait des plaintes, en éjaculant Pierre poussa un long cri de bonheur, Eva à demi consciente le commandait lui indiquant le rythme, lui demandant de rester ou au contraire de sortir pour mieux replonger, par moment elle lui demandait de ne la branler qu’avec son gland entre ses lèvres pour l’instant d’après lui demander de rester à fond en frottant son ventre contre le sien.

Pierre sentit ses mains mouillées de salive palper ses testicules et cru s’évanouir de plaisir quand sa queue captée lors d’une sortie par les doigts diaboliques fut détournée un peu plus bas, centrée sur le petit trou bistre. Eva l’encouragea par une pression, il voyait tout, Eva poussait pour s’ouvrir, le gland déjà s’enlisait dans le doux cloaque, ce n’était pas possible il disparaissait lentement et quand d’une voix rauque Eva lui ordonna de l’enculer il s’avança d’un coup et l’emmancha à fond.

Au début cela fut presque douloureux tant sa verge était à l’étroit, quand il sortait son sexe il voyait le fondement qui l’enserrait sortir avant de se ré enfoncer avec lui et puis cela devint plus onctueux l’anus amadoué, dilaté . Incroyablement Pierre se remit à jouir mais d’une jouissance sèche ; un énorme picotement de son ventre au gland, Eva se tordait sous lui les yeux dans le vague, une de ses mains branlait frénétiquement sa chatte, elle ordonna à Pierre de lui peloter rudement les seins ce qu’il fit les yeux brillants.

D’un coup il la vit se raidir en montant sa croupe, elle poussa un grand cri et s’écroula en sanglotant. Effaré Pierre se retira et l’allongeant complètement sur la table la pris dans ses bras la caressant doucement et se penchant sur elle il l’embrassa tendrement sur les lèvres. Comme il lui demandait s’il lui avait fait mal ou s’il n’avait pas su la faire jouir elle le serra contre elle et lui dit à l’oreille :
« Je pleure de bonheur mon petit chéri, jamais je n’avais tant joui, merci pour tout, c’était bien sais tu ? » Pierre lui demanda s’il pourrait la revoir pour recommencer « Je le souhaite mon petit Georges mais je veux pouvoir te masturber dans le train, c’est mon fantasme »
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Arrière train de banlieue

Le 05/08/2023 - 02:33 par Martine Travestie
J'adore les attouchements en public dans les transports ou autres!!Je cherche toujours ça !! L'adore sans slip sous me mini hyper courtes me prendre des doigts dans le trou du cul, ou me faire prendre la bite et les couilles à pleines mains jusqu'à me faire éjaculer et éclabousser partout !!
Le 04/05/2010 - 13:39 par elie
decidement j'aime bcp ta plume !!!!tu me fait rever

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