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Arrosé

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/12/2024

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Nous sommes dans les années 90, une forme d’insouciance règne. Un vent de liberté souffle et la vie se bouffe à pleines dents. J’étais encore très loin d’avoir trouvé mon équilibre et un malaise indéfinissable me collait à la peau. Mais, j’ai adoré cette époque. La nostalgie qui s’empare de moi à mesure que je me replonge dans celle-ci est révélatrice.

Cette ère est marquée par mon exploration sexuelle. J'ai navigué d’île en île sans vraiment de tabous à la recherche de ce qui forgera mon identité, mes goûts et mes aversions. Je suis heureux d’avoir voyagé ainsi et de partager mes aventures.

Une autre de mes nouvelles relate mon premier plan avec deux femmes. Elles m’initièrent à une sexualité à plusieurs, anticonformiste. Ce fût réussi et marqua le début d’une longue liste d’expériences variées sur le même thème. Je n’ai pas tout aimé mais je vivrais mille fois beaucoup de ces moments. Je ne crois pas avoir laissé des bouts de moi. J’ai compris rapidement que veiller à son intégrité était essentiel dans ce parcours initiatique.

Une question me taraudait : qu’en était-il de mes relations avec les hommes ?
J’avais eu quelques expériences dans le passé, plutôt soft : essentiellement, des masturbations communes ou pas.... La première vers 16 ans, la dernière quelques semaines avant l'histoire qui va suivre. Je n'avais jamais sucé et la sodomie dans les deux sens m'était (encore...) inconnue.

Je savais seulement que je n'aimais rien de la peau, de l'odeur, des manières ou du baiser d'un homme. Seuls les queues et le sperme m'excitaient et encombraient nombreux de mes fantasmes. Dans le même temps, les femmes m'attiraient. J'aimais tout d'elles et il en sera ainsi le reste de ma vie. Il fallait que je réconcilie cette ambivalence. Je cherchais.

La vie étudiante à Nancy est gaie. La ville est en fête à compter du jeudi, les bars s'animent, les nuits trainent jusqu'à l'aube. Les soirées sont dans les rues, les BDE des écoles, de Pharma, de Médecine, de Droit et parfois chez les uns ou les autres.

Les parents sont architectes, leur maison est à l'avenant. Ils sont absents ce soir. Heureusement. Nous sommes une trentaine, porteurs d'alcool en tous genres et en quantité. Je connais quasiment tout le monde. Y compris, ce couple d'homo affichés et omniprésents dans tout ce qui ressemble à une fête nancéienne. Mon amie de l’époque n'est pas avec moi. Un présage. Nous allions rompre quelques semaines plus tard après 7 ans d'amour adolescent. Elle aspirait à la famille et aux enfants, je voulais acheter le monde et en faire le tour.

Après ce qu'il faut de Pop anglaise, de techno berlinoise et de cadavres de bouteilles, les groupes se forment aux 4 coins de la demeure. Je me retrouve avec Damien et Yves, les deux folles précitées (là je plaisante vraiment !!! L’idée est d'éviter une redondance syntaxique et de distraire le lecteur 😊). Deux autres hommes sont de la partie. Leurs prénoms ? Je ne sais vraiment plus ! Nous les baptiserons Samuel (et pas pour rien...) et Nathan.

Allongés dans des sofas qui n'existent que dans ces endroits, nous faisons tourner verres et joints.
La discussion, décousue, naviguent des potins des Facs au dernier album de Depeche Mode en passant par l'actualité politique du moment.

Soudain, Damien, vodka aidant, commence à entreprendre son gars devant nous tous. Il l'embrasse à pleine bouche et fait trainer tout ce qu'il a de mains sur son entrecuisse. L'autre bande et lui rend ses caresses. Ça ne semble émouvoir personne, sauf moi. Mon regard ne se détache pas de la scène qui, en aucune façon ne m'attire. Je n'ai qu'une envie : voir leurs queues, raides, longues. C'est troublant. Samuel et Nathan ne prêtent pas attention à ces ébats et dissertent, dissertent.

Alors que Damien parvient à extirper le braquemart de son compagnon de son fourreau pour commencer à le sucer, Yves, plus pudique, lui fait signe qu'il préfère s'isoler. Le couple s’éloigne alors et se réfugie dans une chambre de fortune de la maison - assez ostentatoirement. La discrétion n'est pas leur fort.
La bite d'Yves semblait pourtant prometteuse. Une vague de frustration m'envahit. Je retrouve tout de même Samuel et Nathan dans leurs échanges avec l'intuition que la soirée n'est pas terminée...

Puis, Nathan, plus inspiré qu'il n'y paraissait par ce qui venait de se dérouler, nous demande si nous avons déjà pratiqué avec des mecs.

Je crois que j'ai rougi. Après quelques instants d'hésitation, je lui réponds par l'affirmative en précisant que c'était resté soft.

Bien entendu, il me demande de détailler... Je le gratifie du récit plutôt vague de quelques-unes de mes expériences, dont la plus récente dans une cabine d'essayage. Un gars qui ne voulait que branler me rejoint dans cet espace discret et clos. Il se place derrière moi, baise mon pantalon et déballe ma queue. Il me branle en la serrant fort et en massant mes autres attributs. Il me fait jouir en moins de temps qu'il ne faut pour tenter un Lewis. Je jute abondamment. Il s'éclipse sans même que j'ai vu son visage et encore moins sa queue. Plaisir fugace et un tantinet frustrant.

Samuel enchaine. Il dit qu'il avait déjà vécu un épisode de ce type dans un cabine. Ce souvenir semblait encore sérieusement l'exciter. Il avoue en suivant que, régulièrement, il partageait des plans, pas toujours soft, avec d'autres mecs.

Nathan, quant à lui, nous explique qu'il est bi avec pas mal d’aventures de tous bords. Il aime se partager entre un homme et une femme. Il me demande alors ce que j’avais déjà fait ou pas. Je réponds que j’avais branlé quelques copains et l’inverse, que j'aimais mater et sentir des sexes durs et surtout les voir juter.

Lui et Samuel réagissent de concert pour me dire en souriant qu’il fallait absolument que j’expérimente de sucer un mec. Je me souviens être resté muet mais très excité par ce qui se passait et cette perspective.

Nathan propose alors un jeu. Je ne sais plus du tout lequel et ça n'a aucune importance. En revanche, ce qui en a, c'est l'enjeu : celui qui perd devra rejoindre Damien et Yves pour participer à leurs ébats !

On joue, des parties rapides se succèdent. Et... je ne perds pas ! Pour une fois.
Je suis soulagé car je me voyais pas du tout aller retrouver ce couple pour leur demander de baiser avec eux. Samuel est finalement le grand perdant, bien enjoué à l'idée de rejoindre Yves et son mec. C'est à se demander s'il n'a pas organisé sa défaite…

Alors que l'acolyte a disparu de la scène, je reste seul avec Nathan à refaire le monde arc en ciel.
Quand soudain, et sans aucune gêne, il passe sa main sur ma cuisse pour aller chercher ma queue. Je me laisse faire, l'excitation est grandissante, je bande comme un taureau.
Il n'est pas en reste et je peux m'en rendre compte quand il me fait toucher sa tige. Elle semble bien conséquente. Je n’allais pas tarder à en avoir la confirmation. Après seulement quelques minutes de massage, Nathan suggère que nous allions retrouver les autres... Je ne crois pas avoir hésité longtemps pour le suivre tant j'étais excité et bouillant.

Nous entrons, sans résistance, dans la fameuse chambre et tombons nez à nez sur le trio en train de baiser. Yves est nu, assis sur le rebord du lit, une érection bien visible. Il branle et suce à tour de rôle les deux chibres que lui présentent Damien et Samuel, à poil et fièrement debout devant lui.
Il gobe l'un et agite sa main autour de l'autre. Seul l'un des trois nous a vu rentrer, il sourit et nous fais signe de rejoindre la troupe.

Ni une ni deux, Nathan vire jeans, TS et baskets et se jette dans la mêlée de males. Mon intuition ne m'a pas trompé, il est très bien monté. Sa queue, rasée et épaisse, est longue d'un bon double décimètre. Elle dénote avec celles des autres. Samuel et sa bite circoncise est correctement doté mais Yves et Damien se partagent les dernières places.

Tous bandent ardemment et la vue de ce quatuor m'excite au plus haut point. Le spectacle me fige, un peu stupéfait et bien en peine à me décider à les rejoindre. Mon appréhension légitime se débat avec une furieuse envie de branler des deux mains. L'appel de Damien qui réclame de me voir enfin nu a gain de cause sur mon hésitation. J'enlève maladroitement tous mes vêtements et me retrouve exposé aux 4, gauche, le dard dur au possible. J’hésite encore entre décamper et me laisser happer par le groupe. Sans même que je ne puisse réagir, un des gars m’attire à lui, prend ma hampe à pleine bouche et l’avale entièrement, comme jamais une fille ne l’avait fait.

Alors qu'il me suce avec gourmandise, je me surprends à attraper la première autre queue venue pour la branler. Je veux m’empêcher de jouir dans la bouche du suceur et une envie presque hystérique de bites me traverse. Je suis servi... J'occupe ma main libre avec une seconde tige. En cadence, je vais et viens le long du beau morceau de Nathan et de celui de Damien. Ils ont l'air d'apprécier à en juger par les soubresauts qui traversent leurs membres. Yves me pompe toujours, de plus en plus voracement Je pourrai exploser à tout instant, il le sait et ça ne semble pas l'émouvoir. C'est orageux, sauvage mais rempli de décontraction et de respect. Ce moment est sulfureux mais tous contribuent à en faire un non-événement. Je suis enfin à l'aise. J'ai aimé et, aujourd'hui, les souvenirs, excitants, de plus en plus précis, de cette soirée se bousculent dans mon esprit.

Alors que je sens une des queues quasiment exploser entre mes doigts, Yves réclame une pause. Elle est la bienvenue. Nous partons fumer une clope à proximité de la chambre. Les sexes sont provisoirement rangés, moins virilement exposés. Nous discutons de choses et d’autres quand fuse une remarque de Nathan me concernant...

Sur un ton badin et un brin moqueur, il dit que je n’avais encore jamais sucé... La bonne humeur l’emporte à nouveau et Samuel dit en rigolant qu’il fallait absolument remédier à cela ! J'avais déjà entendu çà de sa part et lui sourit en retour.

Sans transition, il propose que je goûte une à une aux queues de tous mes serviteurs... Un silence s'installe, les 4 m'observent, restent pendus à mes lèvres et attendent ma réponse. Cette perspective m'excite terriblement mais l'appréhension refait surface. C'est finalement mon propre sexe qui a le dernier mot. Je le sens durcir et gonfler douloureusement. J'accepte.

Nous retournons dans la chambre. Les queues à nouveau à l’air, tous debout. Il faut alors décider qui va déflorer ma bouche. Je choisis sans hésiter celle Nathan, m'en approche et commence par la prendre à pleine main. Je la branle fermement, elle gonfle à en devenir impressionnante. Je m'assoie sur le lit, le chibre est devant moi. Je l'enfourne mais j'ai du mal à tout avaler. Je me concentre alors sur le gland turgescent à grands coups de langue. Nathan, avide, en veut plus. Il me tient la tête, enfonce sa queue et la gratifie de va-et-vient. Il me baise littéralement la bouche. Je malaxe ses couilles en les serrant comme pour me venger. Je bande comme jamais, l'explosion me guette. Je ne veux pas jouir. Ça doit durer, encore et encore...

Les autres ne sont pas en reste. Ils s'astiquent en regardant la scène, impatients de venir remplacer Nathan. Samuel ne tient plus et s'approche de nous deux. Nathan comprend, me libère de son chibre et laisse sa place. Sans ménagement, l'autre m’enfonce sa tige dans la gorge. Je me sens gourmand et l'enfile bien volontiers. Je me suis allongé pour recevoir ce deuxième membre. Je découvre un gland nu, sans peau et lisse. Samuel utilise ma bouche pour se branler et ne se gêne pas pour me fouetter avec sa queue. Il rentre et sort à sa guise, je me laisse faire. La bouche ouverte et la langue à disposition. Yves, opportuniste, se jette sur ma bite et mes couilles et les engloutit. Il suce divinement bien. Les sensations se décuplent. Il m’en faut plus.

Mon vœux s'exauce quand Damien rejoint Samuel dans son manège. Il est aussi dur que son camarade et le mine. Il prend sa queue à pleine main et se masturbe sur mes lèvres. Leurs membres se disputent ma bouche. Je lèche, avale ce qui se présente et parviens même à gober les deux glands. C'est délicieux.

Yves lâche mon bas ventre, remonte d'un étage et se colle à ma gauche. Nathan est à ma droite. Ils se caressent ostensiblement devant la scène de double pipe. Mes mains désœuvrées vont chercher les queues des deux voyeurs. Elles ne sont pas difficiles à trouver, je les empoigne et les branle avec un brin de frénésie. Elles durcissent encore sous mes doigts, se gorgent de sang, au point d'exploser. Je n'ai pas envie de les ménager.

J'ai totalement lâché prise. Je suis dans un autre univers. Des vagues de plaisir me submergent, ma queue pourrait se libérer, seule et à tout instant, sans l'aide d'une bouche ou d'une main.
Perdu dans mes pensées sulfureuses, je sens Samuel commencer à défaillir. Il se retire de mon visage et entame les mouvements caractéristiques d'une jouissance annoncée. Je lâche le chibre de Damien et vient lui serrer les bourses. Je les sens se vider littéralement et déverser leur foutre sur moi. Le haut de mon torse est touché d'un trait sec et unique. Nathan profite de l'intermède pour enfoncer son énorme queue dans ma bouche. J'avale ce que je peux tandis qu'il se branle ardemment.

Puis, Damien s'approche dangereusement de moi. La bite serrée entre les doigts, il décide de juter où bon lui semble. En manque d'imagination, il choisit également ma poitrine. Sa queue n'est pas très longue mais elle est bien remplie. Il m'inonde, plusieurs longs jets viennent me couvrir, des tétons jusqu’à la gorge.

A peine ai-je le temps de sentir son sperme chaud coulé le long de mon cou que Yves décide de prendre le relai. Il se penche au-dessus de ma bouche, dégage l'envahissante queue de Nathan et se masturbe sur mes lèvres. Son gland s'enfonce et ressort. Je reprends un instant mes esprits, je ne suis pas prêt à avaler de la semence. Il semble le comprendre... les mecs entre eux. Il poursuit ses caresses et finit par jouir autour de ma bouche. Son foutre me maquille, c'est étonnamment agréable.

Nathan, dont la grosse queue turgescente avait assisté à la scène de débauche, me demande de me mettre sur le ventre. J'hésite. Je suis en confiance et j'obtempère. Il vient alors se placer en-dessous de mes fesses et s'assied. Il entame une branle le long de ma raie avec la claire intention de l'arroser. Je sens ses couilles taper mon cul à mesure qu'il s'astique. Bien entendu, il finit par exploser et épandre un jus très abondant le long de ma fente. Repu, il se retire.

Immobile, je sens son liquide frôler mon trou et glisser jusqu'à mes boules. Elles sont trempées, dures et réclament de se purger. N'y tenant plus, je me redresse et saisie d’une main ferme ma queue douloureuse.
Yves vient se glisser dessous et attend que je me déverse. Quelques aller et retour plus tard, je lui donne ce qu'il attendait et me vide dans sa bouche... Il avale en n’en laissant aucune goute…

Si l'on résume.

Dans la maison de deux architectes nancéiens plutôt en vue, je me suis exhibé devant 4 mecs à peine connus. Je les ai tous branlés, sucés longuement et ils m’ont inondé de leur foutre. Je n’aime toujours pas leur peau, leur odeur et leurs manières. J’aime leurs queues et leur jus comme une projection des miens. Je n’ai rien regretté et aucun malaise ne m’a traversé. Je voyais un peu plus clair sur ce qui m’animait et m’attirait vraiment.

Les femmes et leurs attributs m’ont profondément manqué dans les instants qui ont suivi cette scène.
Je n’ai plus eu de relations avec des hommes pendant près d’une décennie et les suivantes auront toujours lieu en présence ou avec la complicité d’une femme.
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Histoire de Syslin

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