Audrey...un week-end sexe 3

Voilà un an qu’Audrey s’est faite larguer par Marc. Et pour cause. Depuis la jeune femme a su rebondir. En effet, elle a rencontré Laurent, un hospitalier, qu’elle a épousé.
En plus, Laurent a repris la présidence du club. Il s’est entouré de ses meilleurs potes. Hervé et Sergio.
Laurent connaît le passé sulfureux de son épouse, les aventures avec certains joueurs du club. Il sait qu’en l’épousant, il a aussi épousé le passé...et l’avenir.
Laurent est conscient que son épouse est une proie facile, ne refusant jamais une bonne partie de jambes en l’air.
Un jour, il l’a surprise dans les vestiaires, en train de tailler une pipe, à un dirigeant, de vingt ans son aîné. Il l’a vu quand elle avaler son sperme. Il n’est pas rare aussi, que quand il travaille de nuit, elle invite des ex, ou des copines à venir faire la fête à la maison, à partouzer toute la nuit.
Mais, large d’esprit, il ne veux pas priver son épouse de son sport favori...le sexe. C’est pourquoi il accepte ses aventures extraconjugales.

Aujourd’hui, l’équipe locale joue un match capital, pour accéder en division supérieure. Laurent, de garde à l’hôpital, ne peut y assister. Il demande à sa ravissante épouse, de le représenter, et à Hervé et Sergio, de l’accompagner.
Il fait un froid de canard. Aussi, Audrey a troqué une courte jupe sur des collants en laine montant haut sur les cuisses, et d’un épais chandail.

Vers quatorze heures, la voiture de Sergio klaxonne devant la villa de Laurent. Audrey enfile sa parka, et descend.
Hervé est devant avec Sergio, tandis que l’arrière est occupé par deux dirigeants, inconnus d’Audrey, âgés d’environ une soixantaine d’années.
Galants, ils la font passer au milieux
Après environ un kilomètre, les deux passagers saisissent une jambe chacun, et la pose sur leurs cuisses. La jeune femme se retrouve jambes écartées, entièrement offerte.
Soudain, Audrey sent une main se faufiler entre ses jambes.

-Oh la vicieuse, dit l’un des passagers, elle n’a pas de culotte. T’as pas peur que ta petite chatte attrape froid. Tu veux qu’on te la réchauffe.
-Salaud, murmure Audrey… elle va être toute mouillée après.
-Si elle est mouillée, c’est qu’elle a envie qu’on la caresse.
-Ou qu’on la branle, poursuit l’autre passager. Voyons voir que je lui décalotte son clito...voila, c’est pas mieux comme çà.
-Vous êtes de gros vicieux, gémit Audrey en s’ouvrant d’avantage. Salaud, mais qu’est-ce vous faites à mon petit bouton...

Les deux doigts font un travail dévastateur dans la chatte d’Audrey, tandis que son clito n’est pas épargné.C’est elle même qui guide les doigts des sexagénaires.

-C’est bon, demande Sergio...allez, laisse toi faire. On dira rien à ton mari.
Oh oui c’est bon...ils vont me faire jouir...allez-y salauds...oh oui...hou...vous arrêtez pas…oui...

C’est en arrivant au stade, qu’Audrey atteint l’orgasme. Le temps d’essuyer sa chatte, elle rejoint Hervé et Sergio, installés dans les tribunes. Afin de se réchauffer, elle se blottit entre les deux potes de son mari.
Hervé et Sergio sont de plus en plus entreprenant. Hervé passe une main sous le chandail, éjecte les seins du soutien gorge, les caresse. Sergio est plus direct. Il passe ses mains entre ses jambes, et enroule la jupe autour de la taille.
Audrey frémit de froid.

-Salaud...mais ma petite chatte va attraper froid…
-T’inquiète ma chérie, on va bien te la chauffer.

Ni une ni deux, Sergio tombe à genoux, enfouit son visage contre le minou d’Audrey, et commence à le bouffer.
Quand à Hervé, il sortie sa queue en érection, et se place de façon que la jeune femme lui taille une pipe.
Certains spectateurs, reconnaissant la femme du président, applaudissent quand celle-ci jouit. Ils voudraient bien participer, mais la plupart son mariés, et se méfient du qu’en dira-t-on. Le temps de nettoyer la queue d’Hervé, que son portable sonne. C’est son mari. Elle décroche.

« Alors ma chérie, ça va, pas trop froid.»
«Pas du tout mon amour...tes potes prennent bien soin de moi. Ils savent y faire pour me réchauffer.»
«Tant mieux mon trésor, je savais que je pouvais compter sur eux. Passe leur le bonjour.»
«J’y manquerais pas mon amour...mais je voulais te demander. A la fin du match, ils m’ont proposés de m’emmener aux vestiaires, me présenter les joueurs. Je peux y aller.»
«Mais bien sur, ma chérie...tu verras, ils sont très sympa. Tu me raconteras...aller, bisous.»

Le match terminé, Hervé et Sergio emmènent Audrey aux vestiaires, mais restent dehors.
Les joueurs sortent de la douche, enveloppés dans leur serviettes. Mais ça ne déstabilise pas Audrey, bien au contraire. Voir tous ces mâles à poils, l’excite.
Les joueurs savent que c’est la femme du président. Certains lui font la bise, plaisante sur une éventuelle prime pour match gagné. Les sous entendus fusent, quant aux moyens de les récompenser..
Audrey remarque que Mamadou, un jeune black, n’arrête pas de la mater. Elle lui sourit, et se dirige aux toilettes.
L’attente n’est pas longue. Le joueur est de suite là.

-Qu’est-ce que tu as à me regarder, demande-t-elle.
-J’ai envie de te mettre un bon coup de queue...ça te dis...

Le jeune homme s’approche, cloue Audrey contre le mur.
Il glisse ses mains sous la mini jupe. Une derrière qui palpe les fesses, l’autre qui caresse les lèvres intimes, encore humides.
Audrey n’attendait que ça. La séance dans les tribunes ne l’a pas rassasiée. Elle passe ses bras autour du cou de Mamadou, s’approche de son oreille.

-Tu le sais salaud, murmure-t-elle, tu sens comme je mouille...vas-y, prends moi là...droite contre le mur.

Audrey se met entièrement nue, fait glisser la serviette. Apparaît alors, une queue monstrueuse, comme elle n’en a jamais vu. Elle doit faire plus de vingt centimètres, et l’épaisseur d’une canette de bière.
Sans effort apparent, le jeune joueur soulève Audrey par les hanches, et l’empale sur son énorme pieu. Elle enfouit son visage au creux de l’épaule du joueur, pour étouffer un cri de plaisir.

-Putain, gémit-elle, pourquoi mon mec est pas monté comme ça...et ma petite chatte qui a tout avalé. Vas-y beau black, défonces moi...ah...tu me maques salaud...oui...oui...ouiiiii…
-Ah...moi aussi je viens...je peux cracher dans ta bouche?
-Bien sur...poses moi au sol...tu vas voir comme j’avale…

La décharge est puissante. Audrey sent les jets de sperme frapper au fond de sa gorge. A tel point qu’elle ne peut tout avaler. La semence déborde de sa bouche. Audrey s’attarde sur l’énorme gland, le nettoie de sa langue gourmande.

Toujours collée à Mamadou, Audrey voit arriver les joueurs sous la douche commune. Elle commence à comprendre la vie d’un vestiaire masculin. Les joueurs se savonnent entre eux, se prennent les couilles en riant. Certains saisissent la queue de leur partenaires, la décalotte. Les comparaisons fusent, quant aux mensurations entre les queues blanches et les queues noires, alors qu’il n’y en a pas. Audrey se fige, en voyant, dans un coin des vestiaires, le préparateur physique sucer le gourdin d’un black. C’est la première fois qu’elle assiste à une telle scène.
Mamadou devine l’excitation de la jeune femme. Il lui caresse la chatte, le clito, la fait jouir devant les autres. Ils quittent les douches pour retourner dans la salle.

C’est au tour de Mamadou de s’allonger sur la table de massage, sur le dos. Il demande à Audrey, de le chevaucher, et de s’empaler sur son énorme bite.
Un autre joueur monte sur la table, et dans une position de gymnaste, pénètre le petit trou. Même si la queue est plus petite que celle de Mamadou, ça reste quand même un sacré morceau. Audrey pousse un cri de douleur, prise par ces deux calibres de chair. Mais une fois les queues bien en place, elle accepte cette double pénétration.
Deux autres joueurs se regardent, et viennent se placer chacun d’un côté de la table, leurs bites placé à hauteur de la bouche d’Audrey.
Audrey tend les bras, les saisit par les couilles, et les tire à elle, jusqu’à ce que leurs queues entièrement décalottées, soient au contact de ses lèvres.
Calmement, elle en suce une, alterne avec l’autre.
Les joueurs caressent les seins, font rouler les bouts durcit par le désir.
Au bout d’un quart d’heure, les corps s’agitent sur, et autour de la table. Les premières giclées de sperme sont pour la chatte d’Audrey. Puis c’est au tour de Mamadou, de vider ses couilles dans le petit trou.
Audrey saisit les deux autres bites, suce leur gland, jusqu’à ce que eux aussi, vident leurs bourses dans sa bouche. D’après la déformation de la gorge, on comprend que la jeune femme a tout avalé.
Tout le monde se retire, au moment ou Audrey a un orgasme terrible. On a l’impression que le stade vide se met à vibrer.
Les joueurs sont surpris par le tempérament d’Audrey, s’inquiète pour son cocu de mari.
En plus, une file d’attente s’est formé. Chacun veut la baiser, l’enculer, sa faire sucer. Mais Mamadou sonne la fin de la récréation.

-Bon, on va se doucher, propose Mamadou...tu viens avec nous Audrey.
-Si c’est pour nettoyer vos grosses queues...d’accord.
-D’accord, sourit un joueur...mais pas avec les mains.
-Hum...vicieux…

Hervé et Sergio entendent Audrey hurlé de plaisir, quand elle se fait prendre sous la douche.
Puis les joueurs sortent un à un. Sauf Mamadou, deux équipiers et Audrey. En entendant les gémissements de la jeune femme, on devine ce qu’ils sont en train de faire.

Il est dix huit heures, quand le gardien du stade fait sa ronde.
Il est attiré par la lumière, et des gémissements provenant des vestiaires. Il s’avance, ouvre la porte, et surprend la femme du président, à quatre pattes, se faire prendre le cul en levrette, tout en suçant la queue d’un autre joueur. Un troisième se branle, et éjacule sur son visage.
Sans un mot, il lâche la poignée, et ouvre sa braguette. Lui aussi veut participer.
Il s’approche d’Audrey et dit en grondant.

-Espèce de salope. Si tu veut pas que ton mari sache que tu partouzes dans les vestiaires, suces moi…

Docile, Audrey saisit l’imposante queue, et la prend en bouche. Pétrifié, le gardien regarde l’énorme queue du joueur limer le petit trou de la jeune femme.
Cette vue le fait jouir très vite. Il projette son épaisse semence dans la bouche d’Audrey qui, pour la énième fois, avale tout.
Quand elle a fini d’avaler, elle le regarde en souriant.

-Vous savez, vous pouvez tout dire à mon mari. Il sait que je suis une salope. Mais une bite de plus, ne se refuse pas.

Il est dix neuf heures, quand Hervé et Sergio ramènent Audrey chez elle. Elle leur propose de rentrer prendre un verre. Laurent est de garde toute la nuit, et Audrey ne tient pas à la passer toute seule. Ce qui laisse largement le temps à la jeune femme de se faire baiser, et finir par une double pénétration.

Il est six heures du matin. C’est tout juste si Hervé et Sergio ne croisent pas Laurent, quand ils quittent la villa.