ACCUEIL > En groupe > Récit : La vengeance de Greg 4

La vengeance de Greg 4

+24

Lue : 1062 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 17/02/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Audrey et Carole, les amies de Margot et Sabine, rentrèrent chez elles, elles allèrent dans leur chambre pour choisir leurs tenues pour la soirée de Bruno, elles se doutaient de ce qui allait s’y passer, et étrangement elles avaient hâte, toutes leurs copines s’étaient fait baiser par Greg, elles étaient les dernières de la bande, alors elles cherchèrent une tenue des plus sexy.
Malheureusement pour elles, leurs garde-robes n’étaient pas encore fournies en tenue de salope, alors elles firent de leur mieux pour s’habiller aussi sexy que leur permettait ce qu’elles avaient dans leur placard.
Pour ne pas éveiller les soupçons de leurs parents, elles eurent l’idée de camoufler leur tenue sexy, sous un longue manteau, afin de paraitre le plus chaste possible.
Elles annoncèrent à leurs parents qu’elles sortaient pour la soirée, et comme elles étaient toutes majeures, et que, jusqu’à aujourd’hui, elles avaient toujours été des filles sages et raisonnables, leurs parents ne s’inquiétèrent pas le moins de monde et leur souhaitèrent de passer une bonne soirée.
Audrey et Carole se retrouvèrent pour aller ensemble chez Bruno, et examinèrent la tenue de leur amie, elles furent surprises de se voir habiller si sexy, et Audrey demanda :
- Tu crois qu’on va faire une bêtise ?
- Surement, mais les autres l’ont déjà faite, alors pourquoi pas nous ?
- C’est sûr, mais quand même, coucher avec ce boloss de Greg, c’est aberrant.
- Je ne les comprends pas non plus, mais allons à cette soirée, et on n’est pas obligé de coucher avec lui, on essaiera juste de comprendre pourquoi elles l’ont fait.
- Oui, tu as raison, il faut qu’on comprenne pourquoi elles sont devenues si salopes.

De son coté, Greg était sorti du lycée en compagnie de Sabine, il avait complètement oublié Aurélie, sa superbe voisine, qu’il avait dévergondé la veille, elle était tellement accroc à sa grosse queue, qu’elle était venue le chercher au lycée.
Elle fut un peu jalouse de le trouver en charmante compagnie, mais dans sa tenue, limite prostituée, elle ne laissait aucun garçon indifférent, Denis et Antoine, qui l’avaient d’ailleurs baisé le matin dans sa voiture, et qui suivaient Greg en compagnie de Margot, en lui pelotant les seins et le cul, sans aucune honte.
Aurélie approcha de son jeune amant, et lui demanda :
- La journée semble s’être bien passée ?
- Oh oui, tu n’imagines même pas,
- Raconte un peu, pour voir.
- Eh bien si on met de côté la baise dans l’infirmerie avec Sabine, ici présente, et Lucie, l’infirmière…
Sabine salua Aurélie en lui jetant des regards de femelles possessives, tout en caressant la queue de Greg par-dessus son pantalon.
Aurélie comprit très bien que la jeune salope, la mettait au défi de pouvoir de nouveau baiser avec son male.
Mais celle-ci avait suffisamment d’expérience, pour savoir comment traiter ce genre de petite salope, fraichement dépucelée, alors elle la salua à son tour en lui disant :
- Bonjour, Sabine, je suis Aurélie, la voisine de Greg, il m’a fourré sa bite par tous les trous hier, et il m’a encore défoncé le cul, ce matin, j’ai encore l’anus hyper sensible.
Sabine comprit parfaitement l’allusion de cette vieille pute, alors même si elle venait à peine de perdre son pucelage vaginal, elle lui dit :
- Oh moi, j’ai encore le cul vierge, mais ce sera Greg qui me mettra sa grosse bite en premier dans le cul, et pas n’importe quelle bite.
Aurélie sourit intérieurement, elle avait réussi son coup, et se dit que si elle se faisait vraiment dépuceler le cul par Greg, elle allait avoir du mal à s’en remettre pendant un bon moment.
Greg mit fin à leur petite joute de salope en chaleur, et dit à Aurélie :
- On va à une soirée ce soir, tu nous accompagnes avec Gilles ?
Aurélie fut particulièrement enthousiaste à cette proposition et sans même avoir demander à son mari, elle répondit :
- Oui, bonne idée, ça nous changera des soirées télé.

Elle ramena Greg chez lui, accompagné par Sabine, qui monta à l’arrière, et pendant que celle-ci appelait ses parents pour les prévenir qu’elles passaient la soirée chez une amie, Aurélie ouvrait ses cuisses pour permettre à Greg de venir lui fouiller la chatte.
Celui-ci prenait de plus en plus confiance en lui, en quelques jours seulement, il était passé de souffre-douleur de la classe, à une sorte de pacha, ayant sous sa coupe un superbe harem à sa disposition.
Il doigta la chatte d’Aurélie tout le long de la route, et celle-ci ne se retint pas de gémir de plaisir afin de rendre jalouse la jeune salope à l’arrière.
Ils arrivèrent enfin chez Greg, mais avant de rentrer chez lui, il demanda à Aurélie :
- Tu veux un coup de main pour convaincre Gilles de venir à la soirée ?
- Non, même s’il n’est pas chaud pour y aller, j’irais sans lui, donc, il n’y a pas de soucis.
- Ok, alors, venez dès que vous êtes prêts.

Aurélie rentra chez elle et sans perdre de temps, elle annonça à Gilles :
- Bonsoir chéri, Greg et ses amies, nous invite à une soirée ce soir, tu m’accompagnes ?
Gilles fut complètement pris au dépourvu, toute la journée, il n’avait cessé de repenser à leur soirée de débauche avec Greg et sa sœur, et surtout, au plaisir qu’il avait ressenti en regardant sa femme offrir son corps à son jeune amant, alors même s’il se sentait prêt à laisser sa femme avoir des relations sexuelles débridées, l’annonce de l’invitation à la soirée, le laissa sans voix.
Le sentant un peu perdu, Aurélie se rapprocha de lui et lui fit son petit numéro de charme, elle se colla contre lui, et lui caressa la bite à travers son pantalon, en lui disant :
- Allez, mon chéri, je suis sûre que tu pourras fourrer ta bite dans plein de jeune chatte en chaleur.
Mais même si l’idée l’excitait énormément, il imaginait déjà sa femme se faire prendre par plusieurs hommes et cela finit de le faire bander bien dur.
Aurélie avait très envie d’une bite bien dure, mais ce n’est pas avec celle de son mari qu’elle avait envie de se faire remplir la chatte, alors elle lui dit :
- Eh bien, ça t’excite, mon cochon, alors allons-nous préparer, il ne faudrait pas faire attendre les petites salopes.
Bien entendu Aurélie s’incluait dans le lot, et Gilles suspecta également que sa femme était, elle aussi, très pressée de se faire baiser par plusieurs hommes.

Pendant qu’ils se préparaient, Greg et Sabine étaient rentrés, ils furent accueillis par des gémissements de plaisir féminin, provenant du salon, naturellement ils se rapprochèrent, et Greg ne fut pas du tout surpris de voir sa sœur chevaucher la bite de leur père.
Il lui bouffait ses gros seins, et Isa gémissait tellement fort, qu’ils ne les avaient pas entendu rentrer.
Sabine avait déjà aperçu le père de Greg au lycée, et elle fut troublée de voir le père et la fille baiser ensemble, alors elle demanda à Greg :
- Ça fait longtemps qu’ils baisent ensemble ?
- Oh à mon avis, c’est la première fois, ils profitent que ma mère soit absente, et ils ont bien raison, j’ai bien envie de les rejoindre.
Sentant sa chatte frétiller d’envie, Sabine se laissa entrainer à coté de ce couple incestueux, lorsqu’ils arrivèrent près d’eux, Isa continua sa chevauchée incestueuse sur la bite de son père, sans leur prêter attention, tandis que celui-ci fut troublé de s’être fait surprendre en train de baiser sa propre fille.
Mais le plaisir qu’il ressentait avec sa bite qui coulissait dans la chatte brulante d’Isa, l’empêcha d’interrompre quoique ce soit, et lorsque Greg lui dit :
- Continue papa, ne te gêne pas pour nous, et si tu as encore un peu de force, tu pourras fourrer Sabine, c’est une sacrée salope, elle aussi.
Leur père regarda Greg s’installer à côté d’eux, sortir sa grosse queue et vit Sabine prendre la même position qu’Isa et empaler sa chatte sur la grosse bite de son fils.
Bientôt les deux salopes se mirent à chevaucher les bites qu’elles avaient au fond de leurs chattes et se mirent à gémir en duo.
Tandis que Greg s’amusait à peloter les gros seins de sa sœur en baisant Sabine, son père pelotait ceux de la salope de son fils, tout en baisant sa fille.
Les deux filles se roulaient une pelle en jouissant sur les bites qu’elles faisaient coulisser au fond de leurs chattes.

Ils baisèrent tous les 4 pendant un bon moment, Isa profita que Sabine vienne d’avoir un puissant orgasme et reprenait doucement son souffle, pour demander à son frère :
- J’ai envie de sentir vos deux bites en moi, viens me la mettre dans le cul, frangin.
Depuis qu’elle avait baisé avec son frère et sucer son père dans la cuisine, Isa avait pleinement accepté d’avoir des relations incestueuses avec les males de sa famille, et vu le plaisir qu’elle y prenait, elle n’était pas près de retrouver un semblant de moralité.
Son esprit lubrique était en pleine ébullition lorsqu’elle vit Greg se dégager de Sabine et venir se placer derrière elle, tandis que son père lui léchait les tétons, elle vint s’écarter les fesses avec les mains et complètement ivre de plaisir, elle dit à son frère :
- Vas-y, encule-moi, je veux ta grosse bite au fond de mon cul.
Ce n’était pas la première fois qu’il enculait sa sœur, ni qu’elle se prenait deux bites en même temps, mais c’était la première fois d’une longue série qu’elle allait avoir la bite des deux males de la famille dans la chatte et dans le cul.
Alors lorsqu’il lui enfonça son énorme bite dans le cul, elle poussa une longue plainte, où le plaisir et la douleur se mélangeait parfaitement.
Mais elle gardait ses fesses bien écartées, permettant à la bite de son frère de s’enfoncer jusqu’au fond de ses intestins.
Elle avait stoppé ses mouvements de bassin sur la bite de son père, et lorsqu’elle sentit les poils pubiens de Greg lui chatouiller les fesses, elle sentit les deux bites vibrer dans ses orifices, cela lui procura un plaisir incroyable.
Ils commencèrent se mettre en mouvement, Isa s’agrippa au dossier du canapé, et les laissa jouer avec son cul et sa chatte, son père continuait de lui bouffer les seins, en lui fourrant la chatte, Greg s’agrippa à ses hanches et commença à l’enculer sauvagement.
Elle ne mit pas longtemps à crier de plaisir, elle jouit plusieurs fois sous leurs coups de queue, avant de sentir son père lui remplir la chatte avec son sperme chaud, elle eut un orgasme violent en sentant ce sperme incestueux lui fourrer la chatte, ce sperme qui l’avait fait naitre, risquait de la mettre enceinte. Etrangement, cela décupla son plaisir, elle sentit son vagin se contracter autour de la queue de son père, elle passa ses bras autour du cou de son père et lui dit :
- Vas-y, papa, fourre-moi la chatte avec ton sperme, vide-toi les couilles au fond de ma chatte, je veux tout ton sperme.
Celui-ci était tellement fou de plaisir, qu’il n’était pas en état de réfléchir aux risques qu’il prenait en éjaculant dans la chatte de sa propre fille, et tout en se vidant les couilles, il l’attrapa par le cou et lui roula une pelle emplie de débauche.
Elle s’effondra sur son père, lorsqu’il eut fini de se vider les couilles au fond de son vagin, faisant sortir la bite de Greg de son cul.
Mais alors qu’Isa partait dans un pays empli de songes érotiques et incestueux dans les bras de son père, Sabine, en ayant vu jouir Isa, si fort, en se faisant enculer, et après sa joute verbale avec Aurélie, se dit qu’elle devait essayer, elle devait se faire dépuceler le cul avec la grosse bite de Greg.
Alors dès qu’il fut libérée, elle l’attrapa par la bite et lui dit :
- Viens me la mettre dans le cul, je veux que tu sois le premier à m’enculer.
Greg avait maintenant un peu d’expérience, au niveau sodomie, il savait que cette pratique pouvait être assez douloureuse, surtout pour les filles qui se prenaient une bite dans le cul, pour la première fois.
Comme il commençait à ressentir quelques sentiments pour Sabine, même si c’était une sacrée salope, et que n’importe quel garçon aurait sauté sur l’occasion d’enculer cette superbe fille, il ne tenait pas à la faire souffrir plus que nécessaire.
Alors il lui répondit :
- Très bien, ma belle salope, mais pour ta première sodomie, il faut bien préparer ton trou de bal, afin que tu prennes ton pied quand tu auras ma bite dans le cul.
- Je suis toute à toi, fait ce que tu veux avec mon cul.
Depuis qu’il avait enculé Aurélie, Greg avait découvert que l’usage de lubrifiant pouvait grandement faciliter l’exploration anale, et il avait donc gardé le tube d’Aurélie avec lui.
Maintenant qu’il avait une nouvelle pucelle du cul à fourrer, il la fit mettre à 4 pattes sur le canapé, les fesses en l’air, bien cambrées, il commença à lui badigeonner l’anus avec le lubrifiant, et Sabine trouva cela plutôt agréable comme sensation.
C’était la première fois, qu’elle sentait des doigts jouer autour de son rectum, et lorsque Greg lui enfonça un doigt bien lubrifié dans le cul, elle ne ressentit aucune douleur, simplement un plaisir incroyable, jusqu’alors inconnu.
Greg fit coulisser son doigt dans le cul de Sabine, en le faisant tourner lentement, afin de lui dilater doucement l’anus.
Celle-ci se tenait les fesses écartées, et elle ne put se retenir de lui dire en gémissant :
- Oh putain, c’est bon ce que tu me fais, continue, j’adore sentir ton doigt dans mon cul.
- Ne t’inquiète pas, ma petite salope, bientôt ce sera ma bite qui te défoncera le cul.
Sabine regarda la grosse queue de Greg qui bandait toujours, et s’imaginait déjà sentir cette énorme queue lui fourrer les intestins.
Cela l’excita énormément, alors lorsque Greg tenta de lui enfoncer un deuxième doigt dans le cul, celui-ci rentra sans problème, et elle se mit aussitôt à gémir de plaisir en sentant les deux doigts coulisser dans son cul.
Elle ressentait un plaisir incroyable, jamais elle n’aurait pu imaginer pouvoir un jour, jouir du cul, mais plus les doigts de Greg coulissaient entre ses fesses, plus elle prenait son pied, et n’en pouvant plus d’attendre, elle s’estima prête à recevoir la grosse queue de Greg dans le cul, alors elle lui dit :
- Vas-y, maintenant, mets-moi ta grosse bite.
Mais Greg n’était pas du même avis, il lui dit en lui enfonçant un troisième dans le cul :
- Attends encore un peu, il faut vraiment bien t’ouvrir le cul, avant de pouvoir y fourrer ma bite.

Sabine crut que son anus allait se déchirer, jamais il n’avait reçu autant de visiteurs dans cet orifice, mais la douleur s’estompa rapidement, laissant de nouveau place au plaisir pur, elle sentait ses sphincters s’ouvrir et se refermer au rythme des doigts qui rentraient et sortaient de son cul, la sensation était fantastique, elle se faisait ouvrir le cul, et étonnamment, elle adorait ça.

Après plusieurs minutes de doigtage anal, elle commença à partir sur son petit nuage de jouissance, Greg finit par se déplacer derrière elle, et lui dit :
- Je crois que ton cul est prêt, maintenant, je vais pouvoir te dépuceler le trou de bal.
Quand les doigts de Greg quittèrent son cul, Sabine revint doucement sur Terre, elle sentit son gros gland venir lui caresser l’anus, et contrairement à tout ce qu’elle aurait pu imaginer, encore ce matin, elle avait hâte de sentir la grosse bite de Greg s’enfoncer dans son cul encore vierge.
Elle le sentit pousser sa grosse bite contre son anus, lorsque le gland força l’entrée de son cul, lui étirant les sphincters, comme jamais ils ne l’avaient été, elle en eut le souffle coupé, elle avait l’impression de se faire couper en deux, la bite de Greg lui déchirait le cul.
Mais aucun son n’arrivait à sortir de sa bouche, elle se tenait toujours les fesses bien écartées, et bien cambrée, totalement offerte à son amant, elle n’osait pas bouger de crainte d’accentuer la douleur.

Greg réussit à lui enfoncer son gland et resta un moment, immobile afin que son cul s’habitue à sa grosse bite.
Sabine réussit à reprendre son souffle, mais elle sentait ses sphincters se contracter autour de cet imposant visiteur et tenter de l’éjecter de son cul.
Isa s’était remise de son dernier orgasme, et en voyant Sabine avec la grosse bite de son frère plantée dans le cul, elle devina que c’était sa première sodomie.
Elle se dégagea de la bite de son père et se pencha sur elle pour lui dire :
- Détends-toi, Greg ne va pas bouger, c’est toi qui bougeras ton cul quand tu te sentiras prête à te prendre toute sa bite dans le cul.

Sabine prit de profondes inspirations, pour essayer de se détendre le plus que le lui permettait cette énorme bite plantée entre ses fesses.
Après plusieurs inspirations et de longues minutes d’immobilisme, Sabine commença à se détendre, la douleur qu’elle ressentait autour de son anus, commença à s’estomper.

Son anus commençait à s’habituer à ce visiteur hors norme, alors mûe par le désir impensable de sentir la bite toute entière de Greg au fond de son cul, Sabine se mit à reculer ses fesses le long de la grosse queue de son dépuceleur.
Elle serrait les dents pour réprimer la douleur au maximum, elle avait les larmes aux yeux, et pourtant elle continua de reculer ses fesses sur l’énorme bite qui s’enfonçait doucement dans son cul.
Isa lui dit :
- Doucement, ne va pas trop vite, sinon tu vas te déchirer le cul avec sa grosse bite.
Lorsque Sabine sentit, enfin, les poils pubiens de Greg lui chatouiller les fesses, elle sut qu’elle avait réussi à se prendre toute la bite de Greg dans le cul.
Elle poussa un long soupir où se mêlait soulagement et fierté.
Greg regardait l’anus dilaté de Sabine avec sa grosse bite plantée à l’intérieur, il sentait toujours ses sphincters se contracter autour de sa queue et cela lui procurait un plaisir énorme.
Il resta toujours immobile, et lui dit :
- Eh bien, ma salope, tu as réussi à te prendre toute ma bite dans le cul, après ça, tu vas pouvoir te faire enculer pas n’importe quelle bite.
Mais Sabine n’avait pas spécialement envie de se faire prendre le cul par n’importe quelle bite, elle voulait simplement offrir son dernier pucelage à Greg, et malgré la douleur qu’elle avait ressentie, elle était heureuse d’avoir réussi à lui offrir son pucelage anal.
Contrairement à la douleur intense qu’elle avait ressentie, lorsque l’énorme gland de Greg lui avait ouvert l’anus, comme jamais il ne l’avait été, cette fois, en sentant cette bite hors norme, plantée, toute entière, entre ses superbes fesses, commencer à palpiter et à s’agiter, elle sentit monter en elle, une toute nouvelle sensation.
La douleur finit par complètement disparaitre, laissant place à ce plaisir nouveau.
Greg n’osait toujours pas bouger, il attendait patiemment un signe de Sabine, lui indiquant qu’il pouvait l’enculer comme il en avait envie.
Mais lorsqu’il sentit les fesses de Sabine commencer à bouger, il fut surpris de l’entendre lui dire :
- Ne bouge pas, je vais bien m’occuper de ta grosse bite avec mon cul de salope.
Sabine avait été submergée par cette sensation nouvelle, durant les longues secondes, où elle sentait la bite de Greg plantée toute entière, au fond de son cul, elle sut qu’elle était sur le point de prendre une décision cruciale pour le reste de sa vie.
Mais après tout ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, et le plaisir qu’elle y avait pris, elle se sentait totalement prête à devenir la salope que Greg voulait faire d’elle, alors en commençant à faire coulisser son anus le long de sa grosse queue, elle renia toute son éducation et sa morale pudibonde pour plonger corps et âme dans ce monde de luxure et de débauche.

Greg la laissa faire quelques va-et-vient avec son cul, et en l’entendant gémir de plaisir, il posa ses mains sur ses fines hanches et l’accompagna dans les enculades.
Sabine se mit rapidement à crier de plaisir, Greg lui envoyait maintenant de puissants coups de queue dans le cul, elle le laissait l’enculer sauvagement, en criant son plaisir :
- OUIIIII, ENCORREEEE, DEFONCE-MOIIIII LLEEEEE CCCUUUULLLLL, ENCULLLLEEE MOIIII BIENNN FOOOORRTTTT

Les fesses de Sabine se mirent à claquer à chaque coup de queue, elle hurlait maintenant de plaisir, elle n’avait jamais ressenti un tel plaisir, si lubrique et obscène, sentir cette grosse queue lui fourrer le cul sauvagement, finissait de la transformer en grosse salope, si elle avait eu encore un petit doute lorsqu’elle s’était fait dépuceler la chatte dans l’infirmerie, ou baiser par son prof de sport, à cet instant précis, elle désirait plus que tout, devenir une belle et grosse salope, une chienne en chaleur, prête à se faire fourrer par tous les trous.
Si Greg le voulait, elle se prendrait n’importe quelle bite par n’importe quel orifice, elle était devenue sa chose, sa pute.
Après plusieurs minutes d’une incroyable sodomie, et même si Greg prenait un plaisir fou en sentant sa grosse bite si serrée par l’anus de Sabine, coulisser de plus en plus vite dans son cul, il fut rapidement au bord de l’orgasme, il s’immobilisa au fond de son cul, et lui éjacula tout son sperme dans les intestins.
Sabine ressentit l’extase totale, elle sentait le sperme chaud lui remplir le cul, c’était comme un coup de tampon qu’on apposait sur un document pour dire : Approuvé, mais la grosse bite de Greg servait de tampon et son sperme était l’encre, et dans une dernière giclée de sperme, la jeune fille sage et vertueuse disparut à jamais pour laisser placer à une grosse salope qu’elle désirait tant devenir.
Elle eut un orgasme puissant, et finit par s’effondrer sur le canapé, en s’endormant le cul débordant de sperme.
Greg s’écroula à son tour sur le canapé, il était en sueur, il reprit doucement son souffle, ce n’était pas la première fille qu’il enculait, mais en regardant son forfait sur l’anus de Sabine encore bien ouvert avec son sperme suintant doucement, il se dit qu’il allait se faire plaisir en dépucelant le cul de toutes les copines de cette salope.

Mais Isa entendit la voiture de leur mère se garer dans l’allée, alors ne voulant pas créer un scandale familial, elle ordonna à son père et à son frère, d’emmener Sabine dans la chambre de Greg, pendant qu’elle récupérait leurs affaires et qu’elle aérait le salon, qui sentait la baise et le sperme à plein nez.
Lorsque leur mère entra dans la maison, tout était étrangement calme, elle fut étonnée que la fenêtre du salon soit ouverte, mais ne soupçonna pas le moins du monde que quelques minutes auparavant, se déroulait une scène des plus lubriques au milieu de son salon.
Son mari et ses enfants se dépêchèrent de se rhabiller et de retrouver un semblant de normalité, dans la chambre de Greg.
Mais alors qu’ils finissaient de se rhabiller, la sonnette retentit, Greg regarda par la fenêtre, qui pouvait bien sonner à cette heure, en voyant Aurélie, habillée comme la dernière des putes, et Gilles à la porte d’entrée.
Il se souvint de la fameuse soirée, alors il prit la main de sa sœur, et lui dit :
- Toi, tu m’accompagnes à la soirée, et toi, papa, tu t’occupes de Sabine, il ne faut pas que maman la trouve ici.
Sous le regard ahuri de leur père qui découvrait chez son fils, un étonnant talent de mâle dominant, mais en regardant les superbes fesses de Sabine, il se dit qu’il allait vite mettre sa femme au lit, pour venir s’occuper de ce charmant petit cul.
Greg et Isa se dépêchèrent de descendre les escaliers, avant que leur mère n’ouvre la porte, mais ils arrivèrent trop tard, leur mère découvrait leur charmante voisine dans une tenue outrageuse.
Elle fut surprise, elle n’osa pas lui dire qu’elle était habillée comme une grosse pute, mais lui dit plutôt :
- Eh bien Aurélie, tu es habillée sacrément sexy
Gilles fut gênée que leur voisine découvre sa femme dans une telle tenue, mais il faillit s’étouffer quand Aurélie lui répondit :
- Oui, je vais à une partouze ce soir, alors je m’habille en conséquence.

Monica, la mère de Greg et Isa, fut tellement choquée par la réponse de sa voisine qu’elle ne réagit pas en laissant sortir ses enfants et en les voyant partir avec les voisins.
Elle referma la porte, toujours abasourdie par la phrase s’Aurélie.
Ce n’est que lorsqu’elle entendit la voiture partir, qu’elle réalisa, elle ouvrit la porte pour demander à ses enfants où ils allaient avec les voisins, mais il était trop tard.
Alors elle appela son mari, qui se dépêcha de la rejoindre avant qu’elle ne découvre Sabine, complètement nue, dans le lit de leur fils.
Mais n’arrivant toujours pas à croire à la phrase qu’elle avait entendu, et ne voulant pas inquiéter son mari en lui parlant d’une partouze, où se rendrait probablement leurs enfants, elle lui demanda :
- Tu sais où est-ce que Isabelle et Greg vont avec nos voisins ?
Patrick savait très bien, où ils allaient et les auraient bien accompagnés, mais il n’osa pas l’avouer à sa femme et inventa une excuse bidon en lui répondant :
- Ils vont à une soirée chez des amis.
Mais de plus en plus inquiète, Monica lui demanda :
- Quel genre de soirée ?
Patrick craignit que sa femme n’en sache trop ou pas assez, alors il lui demanda :
- Comment ça, quel genre de soirée ?
Monica ne savait pas comment demander à son mari, si ses enfants se rendaient à une partouze ou si elle n’avait pas bien compris la réponse d’Aurélie, alors elle lui dit :
- Eh bien, je n’ai pas l’habitude de voir Greg sortir avec sa sœur et encore moins avec les voisins, alors je me demandais où ils pouvaient bien aller.
Sentant que la voix devenait dangereuse, Patrick voulut changer de sujet et lui dit :
- Oh ne t’inquiète pas pour eux, ils sont majeurs, et ce n’est pas plus mal que Greg sorte un peu, ça change de le voir s’enfermer dans sa chambre.
Monica admit que c’était une bonne chose que son fils sorte, mais de là, à se rendre dans une partouze, et puis elle imagina son fils, un garçon bedonnant au milieu d’une partouze, et même si elle n’avait jamais participé à ce genre de soirée, elle se dit qu’elle avait forcément mal entendu, son fils n’était pas le genre de garçon à aller dans ce genre de soirée, et encore moins avec sa sœur.
Elle partit dans la cuisine, soulagée par cette évidence.
Elle commença à cuisiner, et se mit à sourire en s’imaginant son fils au milieu d’une partouze, il n’aurait pas été du tout à sa place.
Mais pourtant, elle repensa à la tenue d’Aurélie, qui était franchement un appel au viol, son décolleté était si ouvert qu’on pouvait voir le bord de ses aréoles, et sa minijupe, tellement courte, qu’elle se rappelait avoir aperçu ses fesses lorsqu’elle se dirigeait vers la voiture.
Monica était, de nouveau, en proie aux doutes, si elle avait mal entendu la phrase d’Aurélie, elle n’avait pourtant pas imaginé sa tenue de putain, et maintenant qu’elle se remémorait ce moment de confusion, est-ce qu’elle n’avait pas vu son fils, mettre la main aux fesses d’Aurélie, sans que son mari ne dise rien.
Elle était tellement préoccupée qu’elle s’arrêta de cuisiner, il fallait qu’elle en ait le cœur net, mais comment faire, sans passer pour une folle devant son mari.
Elle commençait, elle-même, à penser qu’elle était folle, elle ne pouvait pas lui en parler, il fallait qu’elle découvre la vérité toute seule.
Elle se dit qu’elle pourrait peut-être trouver un indice dans la chambre de son fils, mais ne voulant pas éveiller les soupçons de son mari, elle fit mine de se diriger vers le garage où était stocké quelques ingrédients de cuisine.
Même si Patrick la surveillait du coin de l’œil, il était loin d’imaginer que sa femme allait monter discrètement à l’étage, et encore moins d’aller dans la chambre de son fils où dormait paisiblement Sabine, le cul rempli du sperme de Greg.
Mais lorsque Monica tomba sur cette superbe jeune fille, complètement nue, allongée sur le lit de son fils, elle sut qu’elle n’avait pas rêvé, et fut encore plus troublée, lorsqu’elle entendit, cette jeune fille parler dans son sommeil et dire :
- Mmmm, Greg, mmmm mon cul, tu pourras m’enculer quand tu veux, maintenant.

Monica se sentit défaillir, elle se retint au mur, et se dépêcha de refermer la porte de la chambre, elle était complètement perdue, son fils avait apparemment enculé cette fille ravissante, et elle en redemandait, alors les images qu’elle avait de Greg au milieu d’une partouze ne la faisait plus vraiment sourire, elle l’imagina enculer Aurélie, et d’autres filles, et d’un seul coup, elle se souvint qu’Isa était partie avec lui, une image totalement immorale de son fils enculant sa propre sœur lui traversa l’esprit.
Elle commença à paniquer, mais elle entendit son mari l’appeler, il fallait qu’elle trouve une raison valable de sa présence à l’étage, elle se précipita dans la salle de bain et fit couler l’eau de la douche, et lui cria :
- Je suis en haut, je vais prendre une douche.
Patrick paniqua à son tour, il se dépêcha de monter, et vérifia que Sabine n’avait pas bougé, il fut soulagé de la voir toujours dans la même position, avec son joli cul nu.
Il entendit l’eau de la douche couler et redescendit, en gardant une oreille tendue, pour savoir quand sa femme sortirait de la douche.
Monica était totalement perdue, des images de son fils baisant et enculant plusieurs filles, ne cessait de lui traverser l’esprit, mais celles qui la perturbaient le plus, c’était celles où elle imaginait son fils et sa fille baisant ensemble.
Elle essaya de rendre l’eau plus froide pour s’éclaircir les idées, mais rien n’y faisait, et d’un seul coup, elle se surprit même à se caresser le clito en imaginant ses enfants coucher ensemble.
Elle imaginait Isa se faire enculer par son frère, tandis qu’elle suçait la queue de Gilles, et qu’Aurélie se faisait enculer par un clone de Greg.
Monica ne put s’empêcher de se fourrer la chatte avec deux doigts, elle gémissait de plaisir, sans comprendre pourquoi, elle aurait voulu être à leur place, elle s’imaginait offrir son cul à son fils et le laisser lui fourrer sa bite dans le cul, alors qu’elle ne l’avait jamais fait avec Patrick.
Elle se fit jouir intensément en s’enfonçant un doigt dans le cul, sous la douche froide, après un long moment d’extase, elle finit par sortir de la douche, espérant avoir apaiser ses sens.
En se rhabillant, elle se posa plusieurs questions :
- Qui pouvait bien être cette fille nue sur le lit de son fils ?
- Quand est-ce qu’il l’avait enculé ?
Son mari était là avant qu’elle ne rentre
- Est-ce que Patrick connaissait cette fille ?
- Est-ce qu’il était présent quand Greg avait enculé cette fille ?
Et d’un seul coup, elle eut une révélation et se demanda :
- Est-ce Patrick couche avec Isa, sa propre fille ?
Il fallait qu’elle en ait le cœur net, et si son salaud de mari couchait avec sa propre fille, oubliant toute morale, elle se dit :
- Si ce salaud ose baiser avec sa propre fille, je ne vois pas pourquoi, je n’en ferais pas autant avec Greg.
Elle redescendit sous l’œil attentif de Patrick, mais Monica était certaine d’avoir tout découvert, et pour lever les quelques doutes qu’elle avait encore, elle dit :
- Oh je suis bête, j’aurais dû fermer les volets de la chambre de Greg, quand j’étais là-haut.
Patrick paniqua, et fut presque soulagé que sa femme ait oublié ça, il se leva d’un bond et lui dit :
- Laisse, je vais m’en occuper.
Lorsqu’il redescendit, Monica n’eut plus aucun doute sur la culpabilité de son mari, s’il n’avait pas été au courant pour la fille qui était dans la chambre de leur fils, il l’était maintenant, et il ne semblait pas le moins du monde, perturbé.
Monica finit de cuisiner en imaginant comment elle pourrait se venger de son mari.
Ils dinèrent ensemble, dans un silence étrange, jamais la maison n’avait été aussi calme, mais Monica programmait déjà sa vengeance, tandis que Patrick espérait que Sabine reste sagement dans la chambre comme il le lui avait demandé en allant fermer les volets.
Mais cette dernière avait encore l’anus très sensible de son dépucelage anal, elle se remettait doucement de son dernier orgasme, et n’était pas du tout contrariée que Greg soit parti sans elle, à la soirée chez Bruno.
Après ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, elle avait besoin de repos, et elle suivit les consignes de Patrick sans broncher.
Etrangement, elle ne ressentit aucune honte à se retrouver complètement nue devant son nouveau beau-père, après s’être fait enculer devant lui, elle se dit qu’elle n’avait plus grand-chose à lui cacher, alors elle le laissa la manger des yeux en fermant les volets, et lorsqu’il la quitta en lui disant :
- Reste ici, je vais m’occuper de toi, quand ma femme sera au lit.
Sabine comprit aussitôt l’allusion, et même si elle espérait qu’il lui ramène de quoi manger, elle savait qu’il allait surement vouloir abuser d’elle, mais maintenant qu’elle avait vu Isabelle baiser avec son père et son frère, elle se dit que si elle voulait faire partie de la famille, elle allait devoir se soumettre aux traditions familiales.
Pour la première fois de la journée, elle pensa à sa famille, et surtout à son père, comme beaucoup de fille, elle avait nourri pour lui, des désirs interdits par la morale, mais avec ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, et surtout depuis qu’elle avait joui avec la grosse bite de Greg dans le cul, son sens moral avait disparu.
Elle se surprit à s’imaginer en train de coucher avec son père, elle se caressa le clito, en s’imaginant à 4 pattes, comme une bonne petite chienne en chaleur, et en enfonçant ses doigts dans sa chatte trempée, elle imagina la bite de son père s’enfoncer dans son vagin brulant.
Elle jouit doucement en plongeant corps et âmes, dans ses délires incestueux.
Si bien que lorsque Patrick, pensant sa femme endormie, revint dans la chambre, avec de quoi nourrir Sabine, il la trouva les cuisses grandes ouvertes avec 2 doigts fourrés dans la chatte.
Il ne perdit pas de temps, posa l’assiette sur le bureau de son fils, se déshabilla et se glissa entre les cuisses de Sabine, celle-ci l’avait entendu rentrer, et encore dans son délire, elle lui dit :
- Viens, papa, prends-moi, baise-moi, je veux ta bite en moi

Il commença par lécher sa chatte trempée, et celle-ci en sentant une langue chaude sur son clito sensible, se mit à gémir de plaisir en passant ses mains dans les cheveux de son beau-père, pour lui plaquer la bouche contre sa chatte, en gémissant :
- Mmmmmm, ouiiii, vas-yyyy, bouffe-moiiii la chaatteeeeee
Mais contrairement à ce que Patrick pensait, Monica ne dormait pas, elle se doutait que son salaud de mari ne résisterait pas à l’envie d’aller baiser la jeune fille, qu’elle avait vu sur le lit de son fils.
Elle avait donc simulé une fatigue importante, et était partie se coucher, étrangement elle s’était surprise à espérer que Patrick rejoigne la jeune fille, dès qu’elle serait au lit, mais même s’il avait très envie de baiser Sabine, il avait su être patient, et avait attendu plusieurs minutes après que Monica soit au lit, pour se diriger vers la chambre de son fils.
Mais Monica avait l’ouïe fine, et avait entendu les marches de l’escalier grincer lorsque Patrick était monté à l’étage.
Elle s’était tout de suite levée, et avait entrouvert la porte, elle avait donc pu voir son mari, une assiette à la main, se diriger vers la chambre de son fils.
Elle se dit que, jusque-là, elle n’avait pas grand-chose à lui reprocher, elle le vit ouvrir la porte, et sembla entendre des gémissements féminins.
Elle s’imagina parfaitement la jeune salope nue, se caresser la chatte devant son mari, et elle sut qu’il ne pourrait pas résister à l’envie de la baiser.
Mais alors qu’elle ouvrait doucement la porte de sa chambre, elle perçut une certaine impatience chez elle, elle avait hâte de surprendre son mari entre les cuisses de cette jeune salope, afin d’avoir une excuse pour coucher avec son fils.
Elle se rapprocha de la chambre de Greg et comme Patrick n’avait pas refermé complètement la porte, Monica put jouer les voyeuses.
Elle regarda son mari, bouffer la jeune chatte de cette salope, elle l’entendait gémir sous les coups de langue de son mari.
Sans pouvoir s’en empêcher, elle s’imagina à sa place, les cuisses grandes ouvertes, avec son fils en train de lui bouffer la chatte, elle glissa une main entre ses cuisses et se mit à se caresser. Elle regarda son mari remonter doucement sur le ventre plat de la jeune nymphette, lui lécher les seins et lui bouffer les tétons, tandis que cette jeune garce, attrapait la bite bien dure de son mari, pour se l’enfoncer dans la chatte en lui disant :
- Vas-y, fourre-moi avec ta bite, baise-moi, défonce-moi.
Patrick était ivre de plaisir, cette superbe fille s’offrait à lui sans résister, il enfonça sa bite au fond de sa chatte d’un puissant coup de rein, la faisant crier de plaisir.
Il oublia complètement sa femme qui était censé dormir à côté, et il commença à envoyer de puissants coups de bite au fond de la chatte brulante de Sabine.
Celle-ci ne se retint aucunement de crier son plaisir et s’imaginant se faire défoncer par son propre père, lui cria :
- OUIIII, ENCOOOREEE, PLUUUSSSS FORRRRRTT, OUIIIII, DEFONCEEEEE-MOIIII, BAISEEEE MOIII, PAPAAAAA

Monica se dit que même si elle ne s’était pas levée, elle aurait été réveillée par les cris de jouissance de cette jeune garce en chaleur.
Mais elle avait maintenant deux doigts au fond de sa chatte, et alors que son mari se déchainait dans la chatte de Sabine, elle se dit qu’elle n’aurait plus aucun scrupule à le faire cocu, et si elle découvrait que son salaud de mari baisait leur fille, elle se vengerait alors avec la bite de son fils, et d’un seul coup, elle s’imagina se faire baiser par Greg devant son mari, alors elle alla chercher son téléphone et immortalisa la scène lubrique qui se déroulait devant elle.
Elle resta jusqu’à ce que son mari jouisse au fond du vagin de la jeune salope, et que celle-ci finisse par lui nettoyer la bite avec sa langue.
Patrick était en sueur, il s’allongea sur le lit de son fils et laissa la langue vicieuse de Sabine lui nettoyer la bite, il était au comble du bonheur.
Il n’avait pas du tout remarqué la présence de sa femme, et l’avait même totalement oublié, trop concentré sur les sensations exquises que provoquait la langue de Sabine sur sa bite.
Monica se dépêcha de retourner dans son lit, rangea son téléphone et passa une bonne partie de la nuit à élaborer un plan lubrique pour se venger de son mari.




Pendant ce temps, Greg, Isa, Gilles et Aurélie, se dirigeaient chez Bruno pour la fameuse soirée, Aurélie était montée à l’arrière de la voiture avec Greg, tandis qu’Isa était montée à l’avant à coté de Gilles
Aucune des deux ne perdit de temps, la voiture avait à peine démarré, qu’elles avaient déjà toutes les deux, une bite dans la bouche, tandis que les garçons leur fourraient la chatte ou leur cul avec leurs doigts.
Gilles eut un peu de mal à conduire jusqu’à l’adresse indiquée par Greg, mais il arriva devant la maison, au moment où il éjacula au fond de la gorge d’Isa, qui lui avait avalé sa bite tout entière.
Tandis qu’à l’arrière, Aurélie chevauchait la grosse bite de Greg et gueulait comme une chienne en chaleur du plaisir qu’elle prenait à se faire fourrer la chatte par cette grosse bite.
Mais elle n’eut pas le temps de vider les couilles de son jeune amant, qu’ils durent sortir de la voiture pour se diriger vers la maison.
Elle remit sa micro-jupe en place, cachant à peine ses fesses et recouvrit un peu ses seins avec son mini top.
Il y avait déjà du monde d’arrivé, Bruno semblait un peu débordé par cette soirée, mais les tenues des filles ne laissaient aucun doute sur la raison de leur présence, mis à part Audrey et Carole, elles avaient toutes les seins ou les fesses à moitié à l’air.
Bruno, ne voulant pas se faire trop remarquer par le voisinage, afin que ses parents ne soient pas au courant de ce qu’il se passait chez eux en leur absence, avait fait entrer tout le monde dans la grande villa, et une fois dans le salon, Isa présenta Gilles et Aurélie au reste de la bande.
Il ne manquait plus que Margot, mais la sonnette retentit et Bruno alla ouvrir, il fut tellement surpris de la trouver avec ses parents, que Margot lui dit :
- Ne fais pas ta tête d’abruti, mes parents sont au courant de ce que je viens faire ici.
- Ok, mais …
Il ne put finir sa phrase, Margot le poussa et rentra avec ses parents.
Toujours déconcerté, Bruno découvrit le dos de la robe d’Anne, la mère de Margot, qui descendait jusqu’à la moitié de ses fesses et indiquait qu’elle ne portait pas de culotte.
Même si les autres filles étaient habillées très sexy, la vision des fesses de cette superbe femme finit de faire bander Bruno.
Il referma la porte et les accompagna jusqu’au salon, tout le monde faisait doucement connaissance, et Margot finit de présenter ses parents aux invités.
Mis à part, la petite bande de salope de Greg, tout le monde trouva étrange que les parents de Margot soient là.
Audrey et Carole s’étaient isolées dans un coin et analysaient la soirée :
- Non mais, elle a ramené ses parents, à cette soirée !
- Elle est vraiment complètement folle !
- Tu as vu comment sa mère est habillée ?
- Apparemment la mère et la fille sont aussi salopes l’une que l’autre.
Impatiente de gouter encore une fois à la grosse bite de Greg, Anne le chercha rapidement du regard, mais elle ne le trouva pas, et profitant qu’Augustin soit occupé avec Isa, Bruno osa poser une main dans son dos, elle oublia alors son jeune amant et discuta avec son hôte, laissant sa main lui caresser le bas du dos et ses yeux lui dévorer les seins à peine cachés dans son décolleté plongeant.
Tandis que Bruno descendait doucement sa main sur les fesses d’Anne en discutant, les autres participants ne perdaient pas leur temps non plus.
Isa avait remarqué qu’Augustin semblait très intéressé par Blandine et sa minijupe au raz des fesses, il l’avait souvent vu chez eux, lorsqu’elle venait réviser avec Margot, mais il ne l’avait jamais vu habillé aussi sexy.
C’est avec une certaine hâte, qu’il abandonna donc sa femme entre les mains de Bruno et se laissa emmener par Isa jusqu’à la ravissante Blandine.
Celle-ci fut un peu troublée de revoir le père de Margot dans cette soirée un peu spéciale, mais lorsqu’il lui dévora les seins des yeux, elle sentit son entrecuisse se mettre à frétiller, sans le vouloir, elle gonfla la poitrine, comme pour les lui offrir, Isa remarqua son petit manège, elle se colla à elle, et dit à Augustin, en glissant sa main dans le décolleté de Blandine :
- Je suis sûr que vous ne l’avez jamais vu aussi sexy, la jolie Blandine.
Celle-ci laissa la main d’Isa se glisser dans son soutien-gorge et commencer à la peloter devant le père de Margot.
Augustin regardait Isa caresser les seins de Blandine et réussit à répondre :
- J’avoue, tu es vraiment ravissante ce soir.
Elle était tellement troublée de se faire peloter devant Augustin, qu’elle ne trouva rien à dire, elle laissa Isa lui ouvrir complètement son chemisier et dégrafer son soutien-gorge, pour dévoiler ses seins et ses tétons bien durs aux yeux d’Augustin.
Isa lui dit :
- Regardez, elle a des seins si mignons et si fermes, on aurait envie de les manger.
Joignant le geste à la parole, Isa se mit à lécher un téton de Blandine qui poussa un râle de plaisir, Augustin bandait comme un taureau dans son caleçon, et il se laissa tirer vers l’autre sein, lorsque Blandine passa sa main derrière son cou, en lui disant :
- Vous voulez y gouter, vous aussi ?

Bruno avait la main entière dans l’ouverture de la robe d’Anne, et caressait ses fesses nues, en discutant avec elle, lorsqu’ils virent Augustin se pencher sur les seins de Blandine et commencer à lui lécher le téton, Bruno lui dit :
- Ah, on dirait que votre mari à trouver de quoi s’amuser.
Anne souleva les pans de sa robe pour dévoiler ses seins nus à Bruno, et lui répondit en posant sa main sur la bosse que formait sa bite dans son pantalon :
- Tu voudrais t’occuper des miens, ou tu préfères que je m’occupe de toi ?
Bruno avait deux superbes seins sous les yeux, et avant qu’il ne trouve quoi répondre, il avait la bite à l’air, emprisonnée dans une douce main qui le branlait lentement.
Bruno était tellement surpris, qu’Anne prit la décision pour lui, et lui dit en s’agenouillant devant lui :
- On peut essayer de les faire se rencontrer, tu ne crois pas ?
Anne plaça alors la bite raide de Bruno entre ses superbes seins et commença à la faire coulisser entre.
Elle lui léchait le gland quand il était à portée, et Bruno la regarda faire, en prenant un plaisir fou, il n’avait jamais eu l’occasion de faire ça avec Sabine, la sensation était si agréable, se faire branler la queue entre ses deux magnifiques seins, c’était tout simplement fabuleux.

Pendant ce temps, les autres invités n’avaient pas perdu de temps, après l’avoir baisé le matin dans sa voiture, Denis avait très envie de retrouver le cul serré d’Aurélie, il l’avait donc emmené à l’écart et lui avait vite mis une main entre les cuisses, elle l’avait laissé faire, alors que Gilles la regardait s’offrir sans pudeur à ce jeune homme, Margot était venu près de lui et lui avait demandé :
- C’est votre femme qui se fait fouiller la chatte par Denis ?
- Oui, j’ai du mal à la reconnaitre depuis hier.
- Elle aussi, et bien, on dirait que la journée d’hier a bouleversé beaucoup de vies.
Margot posa sa main sur la bosse que formait la bite de Gilles, et lui dit :
- Mais apparemment, vous ne le regrettez pas.
Gilles laissa Margot lui sortir la bite et le branler, tout en regardant sa femme attirer la bite du jeune homme entre ses cuisses, pour qu’il la baise.
Margot continua de le branler, en lui disant :
- Vous savez, ce soir, il n’y a que des salopes, ici, votre femme va se faire baiser plusieurs fois, alors vous devriez en profiter, vous aussi.
Gilles se tourna alors vers Margot, le visage rougi par l’excitation, et la bite bien dure qui palpitait entre des mains douces, il attrapa Margot par la taille, la souleva du sol. Celle-ci eut le réflexe de croiser les jambes autour de la taille de Gilles, et sans avoir besoin de guider sa bite bien raide, il empala sa chatte trempée sur sa queue.
Elle poussa un long râle de plaisir à se faire embrocher de la sorte, debout sans toucher le sol, Gilles la plaqua contre un mur, et se mit à lui défoncer la chatte.
Ils se roulèrent une pelle passionnée, tandis qu’il lui pétrissait les seins avec force, elle se rendit compte qu’elle adorait le sexe violent, et Gilles lui procura de nombreux orgasmes en la défonçant contre le mur.

Tout le monde commençait à baiser un peu partout, Nathalie avait suivi Antoine dans une chambre, et se faisait prendre en levrette, Anne continuait de branler la bite de Bruno avec ses superbes seins, Isa et Blandine pompaient maintenant la bite d’Augustin, Denis avait retourné Aurélie sur la chaise haute du bar, pour lui ouvrir les fesses, et lui enfoncer sa bite au fond de son cul.
Ça commençait à gémir et crier de plaisir un peu partout dans la villa.
Même si Anne l’avait un peu cherché, tout le monde avait oublié pourquoi cette soirée avait lieu, comment toutes ces filles étaient devenues de si grosses salopes, qui était à l’origine de la débauche de ces femelles en chaleur, même Audrey et Carole l’avait oublié, elles s’étaient cachées derrière le piano du salon, et regardaient les invités s’adonner aux pires vices, en réprouvant de tels comportements.
Mais Greg les avait repérés, il s’était caché afin de ne pas être tenté de baiser d’autres salopes, et une fois la soirée de débauche commencée, il s’était rapproché d’elles discrètement.

Alors qu’elles jouaient les scandalisées, accoudées au piano, Greg, qui était à genou derrière elles, pouvait sentir les effluves de leur chatte en chaleur, tellement elles auraient voulu être à la place d’une de ses salopes.
Greg décida de commencer par Audrey, comme elles avaient mis chacune une minijupe souple, il souleva délicatement le bout de tissu, et découvrit sa mignonne petite culotte.
Audrey ne sembla pas avoir remarquer qu’elle avait la jupe retroussée complètement, alors Greg entreprit d’attraper les élastiques de sa petite culotte et la tirer vers le bas.
Audrey sentit qu’on lui retirait sa culotte, mais ne voulant pas révéler ce secret à sa complice de médisance, elle ne retourna pas et fit celle qui ne sentait rien, sa culotte se retrouva vite à ses pieds, et suivant les injonctions de Greg, elle les souleva pour abandonner sa petite culotte à celui dont elle sentait le souffle chaud sur ses fesses et sur sa chatte trempée.
Greg la laissa les fesses à l’air, et entreprit la même chose avec Carole, il se passa à peu près la même chose, leur discussion sembla tout de même s’adoucir lorsqu’il tira sur la culotte de celle-ci, elles eurent bientôt les fesses à l’air toutes les deux, et Greg fut ravi de voir Carole soulever les pieds pour retirer sa culotte elle-même.
Il sourit et commença à glisser une main sur chacune de leurs petites chattes, elles étaient si trempées, qu’il n’eut aucun mal à leur enfoncer un doigt à l’intérieur, cette fois leur persiflage s’était arrêté, elles faisaient leur possible pour se retenir de gémir à coté de leur amie et conserver une posture correcte.
Mais Greg sentit Carole se cambrer d’avantage et lui offrir sa chatte en feu, il leur enfonça donc un deuxième doigt au fond de la chatte, et cette fois, elles ne purent se retenir de pousser un long soupir de plaisir.
Elles furent chacune surprise par le soupir de leur amie, et tandis que Greg commençait à faire coulisser ses doigts au fond de leur chatte, elles tournèrent le visage toutes les deux, vers lui.
Elles ne bougèrent pas, offrant leur chatte trempée à ses doigts indiscrets, et sous les cris de jouissance des autres salopes dans le salon, elles se mirent à gémir à leur tour, en le regardant se relever et se léchèrent les lèvres d’envie lorsque leurs yeux tombèrent sur sa bite énorme.
Aucune d’elles n’étaient plus vierge, elles avaient couché avec un garçon lors de leurs dernières grandes vacances, mais elles n’avaient jamais gouté à une bite de cette taille.
Alors lorsque Greg leur demanda :
- Par laquelle je commence ?
Elles répondirent en chœur :
- Moi !!
Alors pour les départager, il leur demanda :
- Laquelle de vous deux à une sœur que je pourrais baiser aussi ?
Audrey fut la seule à répondre :
- J’ai une grande sœur, mais elle est mariée.
Alors que Greg retirait ses doigts, pour placer sa grosse queue à l’entrée de sa chatte, il lui dit à s’enfonçant en elle :
- Et alors, tu crois que parmi toutes ses salopes, il n’y a pas de femmes mariées.
Audrey ne put répondre qu’en poussant un long gémissement de plaisir, elle sentait son vagin se faire remplir comme jamais, elle s’agrippa au piano et laissa Greg lui défoncer la chatte.
Alors qu’elle devenait aussi salope que les autres femmes présentes à la soirée, elle entendit Greg lui dire :
- Putain, ta chatte est bien chaude, j’espère que celle de ta sœur le sera autant.
Tandis qu’elle jouissait de plus en plus fort sous les coups de queue de Greg, elle se mit à imaginer sa sœur si gentille et si douce, succomber à cette énorme bite, et alors qu’elle criait de jouissance, elle voyait sa sœur tromper son mari avec Greg et devenir une de ses salopes, tout comme elle était en train de le devenir, et dans un ultime orgasme, elle entendit Greg lui dire :
- Tu feras tout pour que ta sœur m’ouvre ses cuisses, salope.
Elle ne put que lui crier :
- OOUUUIiiiiiiiii
Elle s’effondra sur le piano et Greg se plaça derrière Carole qui attendait avec impatience son tour, et tout en lui enfonça sa grosse bite, il lui demanda :
- Tu connais sa grande sœur ?
Carole ressentit la même sensation que son amie, un sentiment de telle plénitude, qu’elle s’abandonna complètement, et répondit en gémissant :
- Ouiiiii, je la connais, mais baise-moi comme tu l’as baisée.
Greg prit son temps avant d’accélérer les va-et-vient, et lui dit :
- Si tu veux que je te défonce, il va falloir aider ta copine.
Il lui envoya un grand coup de rein, la faisant pousser un long gémissement de plaisir et elle lui dit :
- Ouuiii, encore, je ferais tout ce que tu voudras, mais défonce -moi.
Greg reprit les va-et-vient de plus en plus rapide et lui dit :
- Très bien, salope, alors tu vas aider ta copine à ramener sa sœur sur ma bite.
- Oui, oui, oui, tout ce que tu voudras, mais DEFONCE-MOIIIIIII

Greg faisait maintenant claquer les fesses de Carole à chacun de ses coups de queue, elle criait de plaisir, et alors qu’il sentait l’éjaculation approchée, il retira sa bite de sa chatte, et leur dit :
- A genou, mes petites salopes, je vais vous baptiser avec mon sperme.
Carole et Audrey étaient encore amorphes du plaisir qu’elles venaient de prendre, alors elles obéirent et se laissèrent glisser sur le sol.
Greg leur dit :
- Ouvrez vos bouches de salopes.
Encore une fois, elles obéirent et alors qu’elles n’avaient jamais gouté à du sperme, elles reçurent une quantité impressionnante dans la bouche, dans les yeux, dans les cheveux, elles en avaient partout sur le visage.
Greg finit de leur jouir dessus, et leur dit :
- Allez, avalez-moi tout ça, petites putes, et nettoyez-vous le visage avec vos langues.
Elles déglutirent simultanément, et même si elles ne pouvaient plus ouvrir les yeux, couvert de sperme, elles se mirent à lécher le visage de leur amie, elles récupérèrent le sperme de Greg avec un féroce appétit, elle n’avait jamais gouté à un tel nectar, elles avalèrent tout ce qu’elles purent récupérer, et une fois leur visage nettoyé, elles se redressèrent.
Ça baisait de partout dans le salon, tout le monde était à poil ou pas loin de l’être.
Greg finit de déshabiller complètement Carole et Audrey, elles le laissèrent faire, et le laissèrent les emmener au milieu du salon complètement nues.
Une fois, sur place, il dit aux autre males :
- Messieurs, ces femelles sont chaudes comme la braise, et elles ont très envie de gouter à vos queues.
Alors qu’Augustin venait de reprendre des forces après avoir baisé la belle Blandine, il se rapprocha de Carole et lui caressa les fesses, et lui dit :
- Suis-moi, petite salope.
Elle lui obéit, et le suivit dans un fauteuil, pour s’empaler la chatte sur sa queue.
Ce fut Gilles qui vint s’occuper d’Audrey, il ne lui parla même pas, il la tira par la main, et la plaqua contre le bar, pour la baiser.
Les autres salopes furent heureuses de pouvoir profiter de l’énorme queue de Greg à leur tour, et tout ce petit monde baisa jusqu’au petit matin.

En se réveillant le matin, Greg, dont la bite était encore dans la bouche vorace d’Aurélie, se dit que la vie au lycée allait devenir très intéressante.
Ça sentait la baise partout dans la maison, mais Bruno semblait être le plus heureux des hommes, il venait de participer à une partouze, et même si ses parents rentraient dans quelques jours, il s’en moquait, il venait de perdre son pucelage avec de superbes salopes.
Alors plus rien n’importait.

Greg et sa petite bande finirent par rentrer chez eux.
Se rappelant que Sabine l’attendait dans sa chambre, il se dépêcha de rentrer chez lui, avant que ses parents ne se réveillent, et sans faire trop de bruit, Isa partit dans sa chambre, tandis que Greg retrouvait Sabine qui dormait encore profondément et d’après le sperme qui suintait encore de sa chatte, elle devait s’être bien fait baiser par Patrick.

Mais la vie familiale de Greg allait bientôt prendre encore une fois, un nouveau tournant.




A SUIVRE.
24 vote(s)


Histoire de bobby28

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La vengeance de Greg 4

Le 23/02/2021 - 08:05 par bobby28
bon je suis bloqué au chapitre 7 de Greg, ça fait 4 fois que je le réécris et ça ne me convient toujours pas, le chapitre 5 devrait être dispo bientôt, je relis le 6 et je l'envoie à la validation. Par contre, je bloque sur le 7
Le 18/02/2021 - 08:53 par Thierry
De mieux en mieux,& pour les autres histoires rien génial ton cerveau fertil. Misanthrope

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :