Aurore une belle-mère merveilleuse 2

Le coquin de Sylvain fait du pied à sa belle-mère, son pied monte le long du mollet, et arrive aux genoux qu'Aurore serre très fort. Sylvain pousse en agitant son pied, lentement les genoux cèdent, le pied avance entre les cuisses, et atteint son but. Aurore serre les dents, elle voudrait hurler, mais le courage lui manque, elle ne veut pas faire de scandale. Les doigts de pied agacent la fente qui rapidement se met à transpirer. Aurore se pince les lèvres, c'en est trop, discrètement, elle passe sa main sous la table et repousse l'agresseur. Déçu, Sylvain retire son pied, et dévisage sa belle-mère qui en croisant son regard se met à rougir.

Entre deux bouchées, elle regarde son beau-fils en soupirant. Une fois le repas terminé, elle va s'allonger au soleil, Michel lui préfère le confort d'un hamac à l'ombre. Sylvain, avant de bouger, boit une rasade et se lève, et va rejoindre Aurore. Il s'allonge à côté d'elle, et commence à chahuter avec elle, les deux s'empoignent et roulent sur le sol en riant. Michel à moitié endormi dit en poussant un gros soupir :

-Eh les enfants, faites moins de bruits, j'ai besoin de faire ma sieste !

Sylvain et Aurore se regardent, en faisant une moue, ils s'étendent l'un près de l'autre en promettant de faire moins de bruit. Aurore est sur le dos, Sylvain sur le ventre. Tout en papotant, il pose sa main sur la cuisse de sa belle-mère qui sursaute de surprise. Doucement la main voyage sur la peau légèrement brunit par le soleil, elle passe sur le ventre plat en faisant de petits cercles. Lentement, l'intrépide, s'avance vers l'entrejambe. Aurore stoppe l'agresseur en disant :

-Pas touche, ce n'est pas à toi petit coquin !

Sylvain se redresse, regarde sa belle-mère et lui dit en approchant son visage du sien :

C'est fou ce que je te désire, oh toi, tu me rends fou !

Tout en la draguant, il se caresse le bas-ventre, son engin prend des proportions qui étonnent Aurore. Il baisse son caleçon et exhibe sa bite dressée comme un mât. Aurore ravale sa salive et dit un peu affolé :

-Mais tu es fou Sylvain, qu'est-ce qui te prend !


En grognant, il répond, je te veux, regarde comme je bande, soit à moi Aurore !

Un grand trouble s'empare d'elle, elle se redresse aussi, et avec elle des trémolos dans la voix répond :

-Mais je ne peux pas coucher avec toi, je suis mariée à ton père et je l'aime, tu divagues mon petit bonhomme !

Sylvain lui prend la main et la pose sur son engin hyper gonflé, Aurore enserre l'engin inconsciemment. Puis prend conscience de ce qu'elle fait, elle veut retirer sa main, mais Sylvain la presse fortement contre la hampe. Il commence à faire un petit branlage, sans lâcher la main de sa belle-mère. Les deux mains soudées l'une sur l'autre agitent doucement la verge qui se tend davantage. Aurore regarde le mandrin en écarquillant les yeux, elle suit le rythme qu'impose son beau-fils. Lentement, Sylvain desserre la main qui emprisonnait celle de la belle-mère et la lâche. Sans savoir pour quoi, Aurore continue de branler la manche. Michel dort profondément dans son hamac.


À chaque descente de son poignet, Aurore décalotte le gland, elle l'observe sans cesser de branler le membre bien vivant qui bat dans sa main. Elle accélère, en serrant les dents. Le beau-fils se met à geindre comme une bête. Il agite son bassin puis, en poussant un grognement de fauve, envoie dans les airs plusieurs giclées de sperme bien épais, qui retombent sur les doigts d'Aurore qui continue d'agiter l'engin. Sylvain en haletant lui dit :

-Suce-moi ma chérie, suce-moi !

Aurore regarde du côté de son mari, rien à craindre, il dort, en hésitant un petit instant, elle gobe le gland gluant, et se met à le sucer comme une vorace, sa langue monte et descend sur la hampe visqueuse, lape les perles qui s'échappent encore du méat. Sylvain est aux anges, jamais, il n'aurait pensé que sa belle-mère lui sucerait la bite un jour.