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Auscultée et prise devant mon mari.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 08/12/2023

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Nous formons, Rémi et moi, un couple d’apparence normale. Nous sommes âgés de trente ans pour lui, et vingt huit pour moi. Inutile de vous dire, que sexuellement, ça devrais fonctionner. Mais voila, depuis quelques temps, mon mari est incapable de me faire jouir. Ni par de subtiles caresses, ni par pénétration.
Cela fait une éternité, que je n’ai pas connu l’orgasme. Le pire, il dit que ça vient de moi, alors que mes gâteries sous la douche, m’apportent plaisir, et jouissance.
Un jour, je décidais d’en parler à Rémi, et, d’un commun accord, je décidais de prendre un rendez-vous chez un généraliste, plutôt que du médecin de famille.
Je n’avais pas osé prendre rendez-vous avec mon médecin traitant, et l’idée de consulter un sexologue m’effrayait, pour évoquer les problèmes de sexes, que je rencontrais depuis quelques semaines déjà, avec mon mari. Il est vrai qu’il n’est pas le puissant étalon dont je rêvais, mais qu’à tout juste vingt huit ans, nos rapports aux lit s’essoufflent après seulement deux ans de mariage, il y a un gouffre.
Par contre, le docteur généraliste me conseillait vivement de consulter un sexologue, plus apte à régler ces problèmes. Justement, il me donnait l’adresse d’un praticien, récemment installé dans le coin.
Il est vrai qu’un sexologue est plus à même d’appliquer des travaux pratiques, pour me rassurer, et me convaincre que tout va bien. Si c’était le cas, mon mari serait là pour en témoigner.
Je cherchais son téléphone sur l’annuaire, et prenais donc rendez-vous.
Après un petit quart d’heure d’attente, le praticien m’appela. Je dû insister pour qu’il accepte la présence de mon mari. Une fois assise, et en regardant de plus près, je le trouvais plutôt beau gosse, et assez sexy.
Lorsque j’ai exposé mes soucis, il a paru surpris, comment une femme si belle, au corps sublime, avait besoin d’une thérapie.
Je croisais le regard de mon mari, qui devait penser la même chose que moi.
Que pouvait-il faire lui, un sexologue, face aux problèmes d’une superbe femme qui ne jouissait plus ? Après un temps de réflexion qui m’a semblé infini et devant l’air tout penaud de mon chéri, le doc a commencé par me bombarder d’une série de questions sur mon hygiène de vie, de ma santé physique et intime.
Je buvais ses paroles, l’imaginais un instant dans mon lit, à la place de mon mari. Son discours courtois, accompagné d’un regard coquin, mettait tous mes sens en émois, et ce malgré l’ambiance du cabinet médical.
Les questions devenaient de plus en plus intimes, se dirigeaient vers mon mari. Je le sentais gêné, et j’ai bien cru qu’il allait se lever, et quitter le cabinet.
Le docteur s’est excusé, et m’a demandé de me déshabiller, afin de m’examiner.
Je regardais mon mari, qui m’encourageait d’obtempérer.
Malgré la gêne et la chaleur qui m’envahissaient, j’ôtais mes vêtements, comme une docile patiente, moi pourtant si pudique. Je me trouvais debout, en culotte et soutien-gorge. Le docteur fit le tour du bureau et s’approcha de moi.
J’eus un léger sursaut quand ses mains se sont posées sur ma poitrine, et se sont mises à la palper. Ce simple attouchement provoquait en moi, des sensations qui me faisaient plus d’effet, que les rares coups de queues de mon mari.
Je sentais le désir montait en moi, et me sentais prête à m’abandonner. Seule la présence de mon mari allait m’en empêcher.
Je lançais un regard surpris à Rémi, quand sur un ton autoritaire, il me demandais de quitter ma culotte, et de me mettre à quatre pattes sur la table de consultation, pour m’examiner.
Je trouvais la position obscène, mon intimité étant totalement offerte et détaillée.
Il écarta légèrement les fesse, et enfonça un thermomètre. Je regardais mon mari installé tout près de moi, tandis que je me faisais introduite par un intrus, qui provoquais des frissons dans tout mon corps. Le doc alla plus loin. Sous prétexte de me maintenir écarté, il maintenait une main entre mes fesse, et jouait à gratter mon clitoris, avec l’ongle d’un doigt. Il fallait à tout prix que je me maîtrise, pour ne pas montrer mon excitation, suite à cette caresse, qui n’avait rien à voir, avec l’examen. Jamais je ne pensais être ainsi offerte à la vue d’un autre homme que mon mari, même d’un toubib. J’étais prête à l’impensable, mais mon époux était présent dans la pièce, et même si je dois avouer que sa présence augmentait mes désirs, jusqu’ici tombés dans l’oubli, je devais me maîtriser.
Mais ma fierté voulait lui montrer ce que j’attendais de lui, un plaisir qui, hélas, il ne pouvait m’offrir aujourd’hui. J’étais déjà tout à lui, quand le praticien m’a demandé de me mettre sur le dos, qu’il devait m’introduire une sonde métallique.
J’imaginais mon mari de plus en plus stressé, débitait des mots inaudibles. Il transpirait à grosse gouttes, et moi aussi commençais à bien mouiller, mais à un endroit différent. Depuis le temps que je me contentais de jouer le rôle d’épouse modèle, et que le sexe que me proposait mon mari, n’était qu’un lointain souvenir.
J’avoue que même si la situation et le cadre n’était pas forcément approprié, je sentais mon esprit se disperser, et ne retenir qu’une seule chose...le plaisir.
J’étais maintenant prise dans la tourmente du désir, la chatte imbibé d’une importante mouille, et les légers mouvement de va et vient que le généraliste effectuait avec son cylindre d’acier, étaient un pur délices.
Il souriait à mon mari, comme pour lui dire « vous voyez, c’est pas compliqué ». Mais à même temps, il lui fit un véritable cours d’anatomie sur le corps féminin, lui en expliquant le fonctionnement. Il demanda à mon époux de s’approcher, pour assister à la jouissance de sa femme, déclenchées par les caresses d’un habitué du sexe.
Visiblement possédé par un soudain degré d’excitation, le docteur décida de remplacer l’objet pénétrant mon corps par ses doigts, qui en plus de fouiller mon intimité, se portaient sur mon clitoris gonflé à l’extrême, et qu’il s’était permis de le faire sortir légèrement de son fourreau.
- Regardez comment je fais, c’est tout simple, expliquait-il à mon mari. Un seul doigt suffit. Vous faites tourner vôtre majeur sur le petit bouton, doucement...là comme ça. Vous entendez comme elle gémit ? Vous allez entendre comme elle va crier. Bien évidemment, si vous voulez la faire jouir d’avantage, vous pouvez aussi vous servir de vôtre la langue. Poussez-vous, je vais vous montrer.
Le docteur écarta littéralement mon mari, et enfouit son visage entre mes cuisses.
Sa langue, d’une habileté incroyable sur mon clitoris, ses lèvres qui l’aspiraient, me firent atteindre un mini-orgasme en un temps trop court pour le manque de plaisir auquel j’avais droit. Soudain…
- Oh oui...oh oui docteur...elle est bonne vôtre langue…
- Assez, hurla mon mari.
- Oh non mon chéri...c’est trop bon...oh mon dieu...je jouis...oui…
Je sens ma cyprine remplir la bouche du patricien, qui se relève, essuie ses lèvres d’un revers de manche.
Mon époux reste scotché devant cette scène irréelle, réalise peut-être que c’est un incapable. Lui, qui ne pense qu’à son plaisir, et qui me bouffe la chatte avec autant d’appétit que s’il était au régime, découvre enfin les besoins physiques que sa femme est en droit d’espérer.
Quand assis sur une chaise, le visage entre les mains, il aperçut le médecin quitter sa blouse, baisser son pantalon, et son slip. Je vis jaillir alors, une queue d’un calibre plus que respectable. De quoi satisfaire une femme en manque.
Il s’approcha de ma fente, et fit glisser son mandrin sur ma chatte trempée, avec son gros gland. Mon mari posa une main sur l’épaule du praticien de baise.
- Mais je vous permets pas de baiser ma femme, dit-il dans un élan de jalousie.
- Regarde au lieu de te plaindre, lui dis-je...seras-tu faire ce qu’il me fait.
La queue entre les jambes, il est retourné s’asseoir, et n’est plus intervenu, forcé d’assister à la scène de sa femme allant se faire baiser par son docteur. Je n’ai pu retenir un petit gémissement, quand la bite a pénétré ma chatte. Je resserrais mes muscles pur la retenir en moi, qu’elle me possède jusqu’à ce que j’atteigne enfin l’orgasme que je mérite.
Enfin, après tant de mois d’abandon, mon corps s’ouvrait à nouveau au plaisir de la chair. Je décidais de m’offrir, tout entière, sans retenue, ses mains caressant mes seins, mon petit bouton, sa queue pilonnant ma chatte...je voulais tout ça.
Avec toute la lucidité qu’un jeune docteur peut avoir dans ces conditions, et malgré mon corps qui frémissait sous ses doigts, il poursuivait ses minutieuse explications anatomiques, tout en apprenant à mon mari, tout ses secrets.
Sa crise de jalousie, et sa colère passées, mon époux s’est approché au plus près de la table. Il observait du plus près qu’il pouvait, les moindres fait et gestes du docteur, qui s’activait de plus en plus rapidement au fond de ma chatte. Je regardais en gémissant d’un plaisir non simulé, cette énorme et belle queue, qui s’enfonçait profondément en moi. J’éprouvais des sensations qui, je croyais, avaient disparus. Ce que je ressentais actuellement, semblait tomber d’un rêve, semblait surréaliste pour moi. Seul la queue, et les doigts pervers du docteur me ramenèrent à la réalité. L’orgasme qui s’en suivit fut terrible.
Satisfait, et afin de terminer le visite de mon petit trou, et en vérifier la réactivité, le médecin décida de remplacer ses doigts par son imposant calibre.
Il trouva le moyen pour que mon mari ne se mette pas à hurler, en voyant son épouse se faire sodomiser par une étranger.
Il se positionna de façon que mon mari ne s’aperçoive de rien. Il déposa du gel sur ses doigts, et massa mon petit trou, le pénétrant de son majeur, me donnant des frissons le long de mon échine.
Mon mari, ni personne n’avait jamais eu droit à mon petit orifice. Mais là, je me sentais prête à tous les caprices de mon toubib. C’est dans ce but qu’il ne voulait pas que mon mari assiste à cette faveur, que lui n’avait pas eu.
Le doc s’activait de plus en plus rapidement entre mes fesses largement offerte, me limant l’œillet, qui se demandait quel était cet objet inconnu qui s’enfonçait au plus profond de lui, lui chauffant les parois. Ses mains ne restaient pas inactives, couvraient mon corps de divers attouchements, qui ne faisait qu’accélérer les sensations de cette pervers pénétration anale.
Mais ne donner qu’un simple signe de plaisir, de ma part, devenait pour mon mari insupportable, sous peine de prendre rendez-vous pour une séance thérapeutique supplémentaire, en compagnie de mon cher médecin, que je trouvais bien monté.
Pris par sa prodigieuse sodomie, mon toubib prodiguait quelques conseils à mon mari, de toutes évidence surpris par les gémissements de sa ravissante épouse.
- Pensez à rester actif avec vos mains. Pincez-lui les seins, écartez-lui les fesses, doigtez sa petite pastille. Il n’y a pas que le sexe dans le sexe. Apprenez çà.
Quelle courtoisie. Mon mari fut surpris par la classe de ce toubib.
Pourtant, le traitement qu’il faisait subir, à mon petit orifice, m’excitait, me plongeais dans des jouissances extrêmes, et j’avoue avoir perdu conscience, de se que j’étais en train de subir.
Le souffle de plus en plus saccadée de mon vicieux soigneur m’a indiqué que, malheureusement, la séance thérapeutique touchait à sa fin.
Dans un dernier sursaut, la praticien se retira, présenta sa queue devant ma bouche. Il voulait conclure son traitement en déposant son sperme sur ma langue et mon palais, pour que j’en retrouve le goût
Quelques instants plus tard, nous nous sommes rejoints dans un orgasme d’une incroyable puissance, lui hurlant alors que sa semence tiède coulait dans ma bouche, et moi quand ses doigts branlaient ma chatte et doigtaient mon clitoris.
Mont mari, ébahi, me vit avaler l’abondante semence du toubib. Il regardait le jus couler sur mes lèvres. Il fixait ma gorge en train de déglutir, se demandant pourquoi il n’avait eu droit à une telle faveur.
Le médecin lui ordonna de prendre une serviette, et lui demanda d’essuyer le sperme qui souillait ma peau, de même celui qui suintait au bout de son gland.
Après avoir pris en charge la visite, nous nous sommes rajustés, et sans que mon mari nous voit, nous somme donnés un tendre baiser. Le toubib du sexe, m’a prescrit une ordonnance de gel lubrifiant. Puis il s’adressa à mon mari, lui précisant.
- J’espère que vous aurez retenu deux ou trois astuces, pour emmener vôtre épouse à l’orgasme qu’elle attend depuis trop longtemps maintenant. Allez, je suis là au cas ou…
Malgré cette séance riche en connaissances sexuelles, le docteur me proposa un autre rendez-vous. D’entrée, mon mari déclina l’invitation de m’accompagner.
Une quinzaine est passé, et aucune amélioration n’est venu relancé nôtre couple. Rémi me baisait, se tournait pour s’endormir, me laissant le soin de finir moi-même à la salle de bain, ce qu’il avait été incapable d’assumer.
Devant les maigres performances de mon mari, je décidais de consulter, et prenez rendez-vous pour le semaine prochaine, ou mon mari était en déplacement.
Le praticien me confirma le rendez-vous, me précisant que cette après-midi là, j’étais sa seule patiente. Tiens...tiens
Pour cette séance, et en l’absence de mon mari, je m’était habillé un peu plus sexy. Jupe courte, débardeur.. J’avais zapper le soutien-gorge.
Effectivement, j’étais seule dans la salle d’attente, mais n’y resta pas longtemps. Quand la porte s’ouvrit, je ne reconnus pas le docteur. C’était un remplaçant. Je le trouvais aussi séduisant que le premier.
Le sexologue me fit rentrer de suite. Je remarquais un détail sur lui. Il ne portais qu’une blouse, sans rien dessous probablement.
- Je m’appelle Lucas, dit-il, je remplace Daniel.
- Bonjour...moi c’est Sylvie...
D’entrée, il me colla à la porte, et me donna un baiser, auquel je répondais. Je sais pas si c’est une idée, mais je trouvais que la teneur du baiser devenait de plus en plus fougueuse, voire violente. L’absence de mon mari peut-être ?
Toujours est-il que ses intentions étaient claires. La table de soins était prête, les serviettes pliées sur un tablette, à boire...rien n’était laissé au hasard.
D’entrée il me demandant de me déshabiller, ce que je fis avec un certain plaisir. Je m’allongeais sur la table de soins, le laissa m’écarter les jambes. Il tira un petit tabouret, se mis face à mon sexe.
Il approcha son visage, et je sentis la douce caresse de sa langue sur ma chatte. Avec deux doigts, il tirait sur ma peau pour extraire mon clitoris, se mit à l’aspirer de ses lèvres expertes. Il est clair que Daniel avait passé le message, que la patiente qu’il allait recevoir, insatisfaite, avait besoin de sexe...de sexe fort.
Et il l’était. Le sexologue s’avérait être plus violent que Daniel. Je devait me plier à ses caprices. Quand il s’allongeait sur moi, je gémissais en sentant le poids de son corps athlétique et chaud sur le mien. Je ne voulait pas trahir mon mari ainsi, mais ne pouvais m’empêcher d’aimer les pectoraux virils de mon praticien, contre mes superbes seins. Je sentais mes bouts se tendre, comme s’ils voulaient repousser l’assaut. Et sa queue en érection, à la recherche de ma douce fente humide. Quand il pénétra ma chatte, c’est lui qui imposait le rythme de toute la grosseur de sa bite.
- Je ne prends pas la pilule, dis-je en haletant, et on est pas protégé.
- Et alors, ta chatte est à moi à présent, dit-il d’un ton autoritaire.
- Mais docteur...c’est risqué...imaginez si je tombais enceinte de vous…
- C’est ton problème...je vais éjaculer en toi...te féconder, tu porteras mon enfant.
- Non...ne faites pas ça...oh mon dieu…
- Tu aimes sentir ma queue en toi ?
- Oh oui…c’est bon docteur, mon mari ne m’a jamais baiser comme ça…
- Oui...tu est en train d’offrir ta chatte à un autre que lui. Tu aimes n’est-ce pas ?
- Oh oui…encore docteur...encore...enculez moi aussi...
Il me défonçait, mais j’étais inquiète. Imaginez s’il me remplissait, et que ça prenne. Que dirai mon mari. Ce serai certainement la fin de nôtre couple.
Alors que Lucas me prenait en levrette sur la table de soins, je vis soudain devant moi, un belle queue en érection. Je levais mon visage, et reconnu Daniel.
Je pensais au complot, mais me rappelais aussi le goût de sa bite lorsque je l’avais sucée. Je n’hésitais pas une seconde, et la pris en bouche.
J’étais aux anges, une queue qui alternait entre ma chatte et mon petit trou, et une dans la bouche. Je pensais en souriant, que mon mari avait bien fait de pas venir.
Finalement, Lucas finit par se retirer, et rejoint Daniel dans ma bouche. Ils ont jouis ensemble. J’ai failli m’étouffer par l’abondance de leur sperme. Après un effort surhumain, je parvint à tout avaler. Puis Daniel s’allongea sur le sol, la bite toujours dressée. Il me força à m’y empaler dessus, tandis que Lucas pénétrait mon œillet.

















































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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Auscultée et prise devant mon mari.

Le 13/12/2023 - 19:49 par Grosse queue de 21 cm
Moi j'ai toujours été chez le docteur mais je suis jamais tomber sur une bonne chienne malheureusement et sincèrement je n'ai jamais eut l'occasion de sodomiser une femme 😭😭 mais très belle histoire J'ADOOOOOORRRRREEEEEE sincèrement
Le 11/12/2023 - 13:49 par linsee
Je veux l'adresse de ce docteur
Le 09/12/2023 - 21:57 par OlgaT
Une superbe découverte!
Le 08/12/2023 - 16:03 par valeriane
J'adore

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