Maman qui se lâche 1

Estelle est comme beaucoup de femmes abandonnées par des maris volages. Cela fait plusieurs années, qu'elle vit avec son fils Gilles qui a aujourd'hui 18 ans. Étudiant studieux, il poursuit des études à la fac. Les deux s'entendent parfaitement. Estelle trime pour pouvoir payer les études de son fils, elle ne compte pas ses heures comme femme de ménage, elle fait plusieurs entreprises pour pouvoir s'en sortir. Les deux sont très fusionnels et s'adorent.

Souvent Estelle baisse les bras, heureusement, elle tient le coup pour son fils. Un soir, sa maman, plus fatiguée que les autres jours, monte se coucher. Gilles étudie dans le salon depuis longtemps, il en a à assez, et décide de monter se coucher. Comme chaque soir, il entre dans la chambre de sa maman pour lui souhaiter une bonne nuit. Elle est allongée sur son lit, elle est nue sous sa nuisette. La tête enfoncée dans l'oreiller, elle sanglote doucement. Avant de s'asseoir sur le bord du lit, il admire les jambes aux galbes quasi parfaits de sa maman, que la courte nuisette ne peut cacher, il voit aussi le début des lobes fessiers, il peut distinguer en se baissant légèrement la fine toison. Il se penche et tire sur le fin tissu pour tenter de le faire descendre, mais en vain. Gilles s'assied au bord du lit et pose ses mains sur les frêles épaules de sa maman. Il se penche sur elle et lui demande tendrement :

-Qu'est-ce que tu as maman, il y a un problème !

Estelle se retourne en reniflant fortement, elle enlace son fils et le serre très fort contre elle. Elle répond entre deux reniflements :

-Je suis fatiguée mon chéri de cette vie de misère, j'ai honte, je n'en peux plus. Jamais un jour de vacances, jamais rien quoi, tu mérites mieux que cela mon chéri !

Gilles lui relève le menton avec deux doigts et la regarde droit dans les yeux, il lui dit en déposant un baiser sur les lèvres :

-Tu es une maman merveilleuse, que beaucoup rêvent d'avoir, mais c'est moi qui suis cette chance. Tu n'as rien à te reprocher, je te promets qu'une fois mes études terminées, tu auras une vie de princesse !


Il la regarde tendrement, ses yeux brillent de mille éclats. Il se penche sur son visage et lape les perles salées qui coulent sur ses joues. Souvent sa langue frôle les lèvres de sa maman qui soupire profondément. Il lui donne un baiser bruyant à la commissure des lèvres et dit en souriant :

-Bonne nuit ma maman d'amour !

Elle lui accroche le bras et lui dit :

-Reste encore un peu mon chéri, je me sens si seule, que ta présence m'est nécessaire !


Gilles lui sourit et dit :

-Je vais m'allonger près de toi maman chérie et passer une partie de a nuit près de toi, cela te va !


Estelle le regarde et répond :

-Tu es un enfant adorable mon chéri, merci !

Gilles retire tous ses vêtements, il entre dans le lit entièrement nu. Il se colle contre le corps de sa maman qui se blottit contre lui en ronronnant. La tête d'Estelle est au creux de l'épaule de son fils, qui machinalement lui caresse la cuisse. La main moite monte et descend sur la peau satinée d'Estelle qui frissonne au doux contacte de la main de son fils chéri sur sa cuisse. Elle ferme les yeux, Gilles pose sa jambe sur celle de sa maman tout en lui caressant délicatement l'autre. Il sent contre son torse la poitrine généreuse de sa maman, avec un peu de malice, il appuie plus fort son torse pour bien sentir les mamelons qui tentent de forer le fin tissu de la nuisette. Estelle pousse de gros soupirs, les souffles se mêlent, les regards se croisent.

La main de Gilles progresse sous la nuisette et atteint avec douceur le ventre, qu'elle caresse en faisant de petits cercles. Lentement, la main s'approche dangereusement de la toison pubienne, là frôle de nombreuses fois. La maman lucide sent le danger. Elle stoppe la progression de la main de son fils en l'enserrant fortement dans la sienne. Un peu déçu, il retire sa main et caresse habilement le ventre, le torse pour enfin buter contre les lobes mammaires. Estelle se cabre en poussant un long soupir. Très doucement, la main enveloppe un sein, doucement les doigts s'enfoncent dans la chair souple du sein. Quelques pressions sur le lobe font souffler Estelle qui doit serrer les poings. Mais étrangement, elle ne repousse pas l'agresseur. Les deux se regardent tendrement, les yeux d'Estelle s'emplissent de larmes, elle détourne la tête pour fuir le regard amoureux de son fils.

Un doigt se met à tourner autour du mamelon, en le frôlant constamment. Rapidement, le mamelon se met en érection. Avec deux doigts, Gilles le roule, le presse et l'étire doucement. La maman se met à trembler, honteuse, elle dit avec des trémolos dans la voix :

-Arrête mon chéri, c'est malsain !


Gilles lui murmure à l'oreille :

-Dis que cela ne te plait pas maman, et je cesse immédiatement !

Sa maman confuse répond :

-Ce n'est pas ça, mais c'est que je suis ta maman, et c'est mal ce que nous faisant mon chéri !


Il lui sourit et lui presse fortement le mamelon. Sa maman se cabre en gémissant :

-Tu es un monstre mon chéri, abuser ainsi de sa maman, c'est moche !


Gilles s'agite doucement, sa maman sent contre sa cuisse le membre de son fils prendre de l'ampleur. Elle murmure faiblement :

-Non mon chéri, il ne faut pas, je t'en prie, arrête, c'est de la folie !

Gilles ne l'écoute pas, il tente de remonter jusqu'au-dessus des seins la nuisette qui malheureusement se déchire. Les seins jaillissent, Gilles les regarde avec envie, il ne peut s'empêcher de poser ses lèvres sur un mamelon et de l'aspirer. Sa maman se cabre, elle se tend comme un arc en répétant :

-Gilles, Gilles mon chéri, non, non, c'est monstrueux !

Le fiston ne l'entend pas, il tète comme un enfant qui s'allaite. Estelle n'en peut plus, elle l'enlace et le serre fortement contre elle en gémissant :

-Oh mon chéri, mon chéri !

Le désir sexuel d'Estelle depuis bien longtemps éteint s'éveille enfin. La bouche vorace de Gilles change de sein, et fait subir au mamelon le même traitement que son compère. Les seins deviennent durs, les bouts ne cessent de grossir. Gilles les dévore comme un affamé, sa maman n'a pas la force de le repousser, elle le serre fortement contre sa poitrine en geignant comme une bête malade. Gilles, tout en dévorant les mamelons, fait glisser sa main sur le corps fébrile de sa maman. La visiteuse atteint le mont de Venus sans ressentir aucune résistance. Les doigts agiles s'enfoncent dans la petite crinière soyeuse, glisse plusieurs fois sur la fente humide, avant de s'insérer entre les grandes lèvres bien dessinées. Lentement, les doigts inspectent les lieux, montent jusqu'à la boule magique et s'en emparent. Estelle se cambre comme un pont, elle est vaincue. Ses mamelons sont douloureux, sa chatte en ébullition rejette son jus. Habilement Gilles branle la protubérance de chair, qui ne cesse de prendre du volume.


Estelle défaille, elle répète :

-Oh mon chéri, mon chéri, tu me fais mourir !

La bouche avide du fils amant, délaisse les mamelons, et descend sur le corps en embrassant chaque parcelle de peau. Le corps de la maman n'est que frissons et soubresauts. La langue taquine le nombril avant de plonger vers le temple de la jouissance. Gilles lâche le clito gonflé et l'aspire violemment. Estelle se cabre comme un cheval, en poussant un gémissement terrible. Sa chatte n'est qu'un ru de campagne, intarissable. Les succions sont terribles, Estelle pousse un long râle et jouit comme il y a bien longtemps qu'elle ne l'avait fait. Elle s'accroche à son fils en geignant :

-Oh mon chéri, c'est fabuleux, ça faisait très longtemps que je n'avais joui de la sorte, mon Dieu, je suis une chienne damnée que son enfant fait jouir, oh comme j'ai honte !


Gilles lui murmure à l'oreille :

-Ce n'est que le début maman chérie, tu mérites mieux !


Sans comprendre pourquoi, elle répond en s'accrochant à lui :

-Oui mon chéri, fais jouir ta salope de maman, donne-moi ta bite à sucer, j'en ai envie, donne, donne là moi !


Gilles se redresse et offre aux lèvres pulpeuses de sa maman, son manche gonflé de désir. Estelle le regarde un instant avant de le décalotter, elle donne quelques coups de poignets avant de prendre en bouche le gland large et épais. Il s'avère que la maman est une bonne fellatrice, elle s'évertue à faire gémir son fils de plaisir. La bouche maternelle fait des miracles, Gilles couine comme une truie que l'on égorge. Il saisit sa maman par les cheveux et lui baise la bouche comme un sauvage. Estelle subit une gorge profonde pendant de longues minutes avant de recevoir la décharge puissante qui lui remplit la gorge. Elle repousse violemment son fils, elle manque d'étouffer, l'éjaculateur lui suggère d'avaler. C'est avec difficultés, qu'elle avale la semence épaisse.