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Axelle. Pourquoi j'adore l'exhiber

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Lue : 834 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/07/2021

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Voilà une question qu’elle est bonne, aurait-dit le regretté Coluche ! Et je n’en sais rien, en fait. C’est vers 35 ans que je me suis rendu compte de ce bizarre état d’esprit. Pendant les deux premières années de mariage avec celle dont j’ai tout de suite su qu’elle était la femme de ma vie, j’étais beaucoup trop occupé à la sauter de toutes les manières possibles ! Puis il y a eu les deux enfants, l’évolution professionnelle, plein de trucs… Quand les mômes sont devenus ados, nous avons retrouvé une vraie vie de couple, plus pleine encore, parce que débarrassée des timidités des débuts. Axelle était toujours aussi belle – j’en fus presque surpris – plus attentive à plaire, aussi. Plus mûre, également : elle faisait des trucs qu’elle n’aurait jamais osés 20 ans plus tôt, assumait bien plus complètement ses désirs.

C’est à ce moment que je me rendis compte à quel point j’étais fier d’être « l’homme » d’une aussi jolie femme, en voyant la façon dont les copains de notre fils la regardaient. Je l’avais beaucoup photographiée, vingt ans plus tôt. Les négatifs en noir et blanc dormaient dans un classeur. Je les tirai à nouveau. Les lui montrai, ce qui la fit sourire. Lui proposai de refaire des séances de pose. Elle se trouvait bien trop vieille pour ça. Je parvins, non sans mal, à la convaincre de faire un essai. Le passage au numérique facilitait bien les choses. Elle dut admettre « qu’elle n’était encore pas si mal ». Elle me prit des poses que je n’aurais jamais osé lui proposer. Devant mon étonnement, elle me dit simplement : « Il faut le faire pendant qu’il est encore temps », comme elle m’avait dit quinze ans plus tôt « Si tu veux une voiture rapide, c’est maintenant !». Elle devait avoir peur du temps qui passe, et de ses ravages annoncés… J’en abusai sans doute, mais après chaque séance, nous baisions comme si la survie de l’humanité en dépendait.

Pendant une période quelques mois, nous fûmes tous les deux comme fous. Nous élaborions des scénarios, imaginions des histoires, faisions les photos, baisions en les regardant sur l’écran. Jusqu’au jour où l’idée me vint. La photo avait évolué, certes, mais un autre changement était intervenu : internet avait remplacé l’improbable minitel ! J’étais si fier d’elle, que le désir me consuma brutalement de la partager. Ses images, du moins, de manière virtuelle. Quand je lui en parlai, la réponse claqua : « T’es pas fou ? ». Je n’insistai pas, mais l’idée fit son chemin. Elle abordait régulièrement le sujet, développant les raisons de son refus : trop vieille, trop dangereux (et si on la reconnaissait, et si on la faisait chanter, et si, et si…), pour que des obsédés se branlent sur elle, beurk ! Je laissai venir. Jusqu’au jour de mes quarante ans où elle m’offrit le plus beau cadeau que j’ai jamais reçu : elle nous avait inscrits sur un forum candauliste ! Elle ne voulut jamais me dire comment elle l’avait trouvé, mais je finis par savoir que c’est ma sœur qui le lui avait indiqué !

Le soir même, nous étions tous les deux sur l’ordi, excités comme des puces, à apprendre le fonctionnement du site. Il nous apparut rapidement qu’il valait mieux avoir chacun notre identifiant, ce qui ouvrirait le champ des possibles. Sélectionner les photos « montrables » nous prit plusieurs soirées. Ce qui nous amusa beaucoup, ce fut l’écriture d’une charte de bonnes pratiques : c’est Axelle seule, par exemple, qui maîtrisait la diffusion des photos. Il y eut rapidement deux fichiers : les photos sans visage reconnaissable, qui pouvaient rester sur le site, et celles « visage apparent » qui ne faisaient que des apparitions fugaces ou des diffusions réduites à nos « amis ». Au bout de quelques semaines, nous étions devenus de vrais pros ! Axelle avait des dizaines « d’amis (et amies, d’ailleurs) », elle avait un post sur lequel elle mettait en ligne des photos « à la demande », en échange de « dédicaces ». Son album de « tributes » comportait des dizaines d’images, y compris de couples et de dames, à ma grande surprise. Quant à moi, je n’avais pas grande existence, puisqu’on voyait rarement plus que mon sexe – que je trouvai plutôt pas mal, ma foi.

Voir des mecs se masturber sur ses photos m’excitait de manière incroyable. Nous avions établi un podium des meilleurs tributes, et je la prenais souvent devant ces vidéos. J’étais également surpris de voir la sorte de camaraderie s’établissant entre ses admirateurs et moi. Certains préféraient me demander, A MOI, de l’exhiber, plutôt que de le demander à elle… D’autres au contraire, moins nombreux, adoraient échanger des propos coquins avec elle. Elle refusait toute proposition de contact réel. Cette période du « virtuel » dura près de trois ans, puis… vint le moment où l’exhiber ne me suffit plus. Je voulais maintenant la voir se faire prendre par d’autres ! Et probablement le souhaitait-elle aussi. Alors la charte fut amendée, et une nouvelle clause : jamais l’un sans l’autre, ajoutée. C’est ce désir partagé qui nous conduisit à Barcelone, mais c’est une autre histoire (Axelle. Première expérience de groupe).

Maintenant qu’Axelle m’a quitté pour partir vivre avec UNE jeune, je n’ai toujours aucune explication à ce désir profond d’exhiber, voire de partager, la femme que l’on aime. Seulement des hypothèses : fierté d’être aimé par la déesse qu’est toujours la femme de sa vie, excitation de la voir admirée, plus encore honorée pas d’autres, homosexualité latente – pourtant, je vous assure n’avoir jamais eus aucun goût pour les hommes qui l’ont fait jouir. Aucune envie non plus d’avilir ma partenaire, bien au contraire : ce qu’à fait Axelle devant moi, et elle en a fait beaucoup, m’a toujours rempli d’admiration et de fierté. Rares sont les femmes capables de donner – de se donner – avec autant d’abandon.

Et mon seul regret est que cette période bienheureuse soit terminée…
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