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10 kilomètres

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Lue : 3941 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/05/2021

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Ca s’est passé pendant le confinement. Il y en a eu plusieurs. Là je parle de celui qui limitait les déplacements à dix kilomètres.
J’habite dans un petit village, qui est lui-même proche d’autres petits villages, composé de hameaux. Des kilomètres de nature, qu’elle soit exploitée ou sauvage nous séparent. A partir du hameau d’une dizaine de maisons où j’ai ma maison j’avais le choix de partir vers ces hameaux en partant à gauche ou de descendre vers la droite, vers l’un des villages proches de chez moi. 3100 habitants. Son coeur s’était étendu au fil du temps, et la route qui conduisait vers chez moi se dessinait au coeur de villas, qui, sur la gauche et sur la droite, avaient avancé et dévoré la nature, même si celle-ci restait présente au-delà.
J’ai toujours fait beaucoup de sport, mais les clubs étaient fermés. Je faisais des exercices, à la maison. J’ai pris à ce moment-là, en plus, l’habitude de marcher. L’occasion de découvrir des paysages que j’avais jusqu’alors traversés en voiture uniquement, et qui prenaient un autre relief. Je pouvais m’appesantir sur un arbre le long de la route, sur une fleur sauvage.
En approchant du village de V…, je passais le long de villas, qui avaient chacune leur originalité et mon regard glissait sur une structure, sur un parc, sur des plantations…
C’est comme ça que je l’ai aperçue, elle, pour la première fois.
On arrivait, en ce mois d’avril, sur les premiers beaux jours, avec une chaleur qui n’avait encore rien à voir avec celle de l’été, mais qui permettait de retrouver de l’optimisme. Une chaleur suffisamment douce en tout cas pour qu’on puisse se risquer dehors en petite tenue.
La première fois où je l’ai vue, je ne l’oublierai pas…Pas plus que les autres, d’ailleurs. Elle était allongée sur un transat. J’ai aperçu deux jambes, longues et fines, bien dessinées, un slip de bain gris, échancré haut sur la cuisse, un tissu qui collait à son sexe suffisamment pour qu’on en voie nettement les grandes lignes, la bosse du pubis, le bombement du sexe lui-même, mais aussi la coupure qui tranchait celui-ci en deux.
Son torse, lui, était enveloppé par un pull-over violet, sans doute parce que la chaleur était encore douce, et mêlée de fraicheur en ce mois d’avril.
Elle était en pleine lecture. Un volume grand format qui masquait son visage, mais permettait par contre de voir une masse de cheveux blonds, brillants, qu’elle avait laissé croître et qui coulaient sur le pull.
Je me suis dit que c’était bien de ne pas voir son visage. J’aimais bien l’idée de voir une partie d’un corps féminin, pas son tout, et d’être troublé par celui-ci.
Je suis passé, l’image de ce corps gravé au fond de ma rétine. Un moment de légèreté, de satisfaction, d’apaisement peut tenir à peu de choses. A un regard posé sur la beauté d’une femme.
Je suis repassé, en sens inverse, une demi-heure plus tard. Sans grande surprise, s’il y avait encore le transat, elle avait disparu. Il faisait nettement plus frisquet.
Chaque jour, je me glissais ainsi hors de chez moi, et je reprenais cette route.
Que je me l’avoue ou pas, dès le deuxième jour, j’avais envie de retrouver cette silhouette, de la capturer pour quelques instants. En voir plus? Voir autrement, sans doute.
Il faisait très beau, ce deuxième jour. J’avais donc des raisons d’espérer que je l’apercevrais encore. Et ça a bien été le cas.
Elle était toujours sur le transat. Dans une position différente cette fois, allongée mais de profil. Toujours ces jambes vraiment fines et vraiment séduisantes, dont la position avait quelque chose de charmant, une jambe tendue et l’autre en dessous repliée. J’ai remarqué qu’elle avait coloré ses ongles d’un mauve qui devait être sa couleur favorite, proche du lavande du pull qu’elle portait ce jour-là. Son slip de bain était noir, enveloppant le profil d’une fesse ronde et haute.
Pas plus que la veille, je ne pouvais pas apercevoir son visage, car elle lisait et le gros bouquin masquait son visage. Une passionnée de lecture qui aimait prendre l’air et le soleil.
C’est devenu mon rendez-vous quotidien. Ca a été curieux comme elle a pris plus d’importance jour après jour. Je pensais de plus à plus à elle, attendant ce moment.Je n’espérais rien, je n’attendais rien, simplement la voir quelques minutes, emporter son image sur ma rétine, et y penser. C’était une présence pour moi qui étais actuellement seul. Qui restait avec moi en fin d’après-midi et en soirée.
C’est au début de la quatrième et dernière semaine que les choses ont changé.
Je suis passé le lundi sur le coup de quatorze heures. Elle était la fidèle à son transat. Allongée sur le dos. Elle devait avoir une sacrée collection de maillots de bains, le slip du jour était rouge, échancré, et même dans une certaine distance, il collait suffisamment à son sexe pour que je puisse en voir les détails, son mont de Vénus, le renflement du sexe proprement dit, et la fente qui le coupait en deux bien marquée. Au lieu d’un pull, elle avait ce jour-là un blouson en jean, qui entrouvert, laissait voir une ligne de peau, et un soutien-gorge de maillot de bain assorti, qui enveloppait, pour le peu que j’en voyais, deux seins ronds. Elle bouquinait, comme à l’accoutumée, ses cheveux magnifiques étalés autour d’elle.
J’ai songé avec tristesse que je n’avais pas encore eu l’occasion de voir son visage, car, quel que soit l’angle, j’étais toujours gêné par le livre.
J’aimais bien m’imaginer m’approchant d’elle, venant caresser son corps de mes mains et de ma bouche, pendant qu’elle continuerait à lire. Je ne savais pas jusqu’où j’irais. Simplement un contact sur les zones nues, ou bien aller plus loin, descendre le slip par exemple, et venir caresser son sexe. Glisser mes doigts et ma bouche dessus. Et elle, continuant à lire.
Ca ne resterait qu’un fantasme.
La surprise, je l’ai eue quand, une demi-heure plus tard, je suis passé en sens inverse.
Elle était debout près du bord du terrain, la route était légèrement surélevée, et elle m’a interpellé.
—Dis moi, c’est bien de mater, mais si on passait à l’étape supérieure?
Ca a été le premier moment où j’ai pu la voir de manière intégrale. Et ça valait le coup d’oeil. Elle était vraiment magnifique. Un corps élancé, pieds nus comme elle était à ce moment, elle devait mesurer un mètre quatre-vingt-cinq. Des jambes fines, une taille fine, des hanches marquées, et une poitrine elle bien charnue, bien ronde, qui tendait le soutien-gorge du slip de bain. un corps que j’avais plus ou moins aperçu jusqu’à présent. C’était par contre la première fois que je pouvais distinguer son visage, encadré par cette chevelure longue et soyeuse, et il ne déparait pas, fin, allongé, illuminé par deux grands yeux dans lesquels il y avait pas mal de malice.
—Viens passer un moment avec moi. Je suis toute seule. Ma tante et mon oncle sont partis en vacances pendant trois semaines au Maroc, et ils m’ont laissé la maison. Ca me change de mon petit appart à T…Je suis des cours de compta, on est en visio le matin, et l’après-midi je prends l’air.
Il y a des occasions qu’on ne refuse pas. J’ai contourné la clôture, descendant jusqu’au portail. Elle est venue m’ouvrir. On s’est trouvés tout proches l’un de l’autre, et j’ai senti, tout près de moi, la chaleur de son corps. Ca m’a troublé. Comme d’avoir son corps quasiment nu sous les yeux. Ses seins tendaient le tissu du soutien-gorge, et on voyait nettement se dessiner les aréoles, mais aussi ses tétons, qui, même sans être dressés, tendaient le tissu, et plus bas, son sexe se dessinait avec une très grande netteté, la double bosse de son sexe, fendue en deux, le tissu rentrant dans la fente. Le tissu collait aussi à son pubis, de telle sorte qu’on voyait nettement qu’elle avait gardé sa toison, dont l’enchevêtrement de poils de dessinaient contre le tissu.
—Viens, on va aller derrière. Il y a un salon de jardin qu’ont installé mon oncle et ma tante, on y sera à l’aise.
Effectivement, sous une grande terrasse, en avancée, il y avait un joli mobilier, une grande balançoire et des fauteuils du même tissu, une table…De quoi passer un bon moment en extérieur. Elle avait certainement prévu que je repasserais, et de m’interpeller, car sur la table étaient disposés un cake qui semblait fait maison, des jus de fruit ainsi qu’une théière.
—Je suis bien ici, mais un peu seule…Mais j’apprécie l’espace, la nature…Et comme tu l’as vu de bouquiner sous le soleil. J’ai fait un cake à la rhubarbe ce matin, j’adore cuisiner…Tu veux goûter?
Elle s’est déplacée pour me servir. Elle avait vraiment beaucoup de charme, belle, et gracieuse, et sa quasi nudité était une offrande.
Elle avait en tout cas le contact facile. Elle s’est mise à me parler d’elle, ses études, elle avait commencé par un BTS secrétariat, puis elle avait ajouté un BTS commerce, et elle finissait par un BTS comptabilité, ‘afin d’avoir toutes ses chances dans le monde du travail’. Elle profitait du moment, même si pour elle les cours en visio étaient parfois pénibles, fatigants, plus que les cours en présentiel.
—J’ai envie que tu me caresses les jambes, elle a lancé, passant du coq à l’âne. Tu crois que c’est possible?
J’ai posé mes paumes au niveau de ses chevilles. Ca s’est fait tout naturellement, sans blocage, sans retenue. Comme si on se connaissait depuis longtemps. C’était le cas d’une certaine manière. Sa peau était douce, et sa chaleur m’a envahi, remontant dans mes bras, puis dans tout mon corps. Je suis remonté très lentement le long de ses jambes, avec l’envie de profiter intensément de ce moment que je n’avais pas espéré.
Je n’avais pas imaginé que la caresser ainsi puisse lui procurer du plaisir. Dès les premières secondes, ça a semblé être très fort pour elle. Elle a amené ses doigts au niveau de son sexe, et elle s’est mise à se caresser à travers le slip. Une tâche est apparue, sombre, qui s’est agrandie. Elle a gémi, et a murmuré:
—J’avais envie des mains d’un homme sur moi…Je suis en manque de sexe. Ca aurait été trop bête qu’on n’en profite pas.
Deux minutes plus tard, alors que je remontais plus haut et que la tâche d’humidité s’était largement élargie, elle a tiré son slip dans son aine, me donnant la première vision de son sexe. Ouvert, ses chairs luisantes des sécrétions qui coulaient d’elle, lèvres gonflées et étalées à l’air libre, son clitoris pointant tout en haut de son ouverture. Elle avait effectivement gardé sa toison sur son pubis, j’en apercevais une partie qui confirmait bien qu’elle était effectivement blonde. Elle a fait tourner ses doigts sur son sexe. Ils sont devenus luisants de liquide.
— Quand tu seras plus haut, j’ai envie que tu mettes tes doigts pour remplacer les miens. Ou ta langue. Voire les deux.
Je n’ai pas obéi tout de suite. Ce qui était excitant, c’était qu’il y ait un temps de latence. Je suis remonté haut sur ses cuisses, ne me lassant pas du contact de sa peau contre mes mains, pendant qu’elle continuait de se caresser, ses doigts tournant sur elle, ses jus coulant avec plus d’abondance, mouillant ses chairs et sous elle, le tissu du siège. C’était vraiment troublant de voir ainsi une fille se caresser juste sous mes yeux. Discrètement, pour m’apaiser, j’ai dégagé ma queue, douloureuse, de mon pantalon, et je me suis mis à me frotter doucement.
C’est de la bouche que j’ai plongé sur elle. J’aurais pu utiliser ma main libre, mais j’avais envie que ce soit comme ça.
Elle a poussé un petit cri quand ma bouche est venue se poser sur ses chairs intimes, sans doute parce qu’elles étaient ultra-sensibles. Presque immédiatement, le goût de ses sécrétions vaginales m’a envahi, sucré et intense, alors que je baladais ma langue sur elle et que l’abondance de ses liqueurs intimes ruisselait en moi. J’ai tourné sur ses chairs, parcourant ses lèvres qui avaient pris du relief, venant caresser ce qui m’était accessible de sa muqueuse rose, révélée par l’ouverture de son sexe, remontant sur son clitoris dégagé de sa calotte de chair, et cela lui procurait du plaisir. Elle gémissait sans pudeur, cambrée contre le siège, entre le siège et le dossier.
—J’ai envie que tu viennes sur mes seins. Ils sont très sensibles, et j’adore qu’on les touche.
J’aimais l’idée d’être ainsi guidé. Ca évitait les malentendus. Je me suis glissé plus haut, elle s’est soulevée pour me permettre de dégrafer son soutien-gorge et de mettre à nu deux seins dont l’ovale promis par le soutien-gorge était bien réel. Ils étaient couronnés par deux aréoles très larges, qui servaient de support à deux tétons dont les capacités érectiles se sont affirmées dès qu’ils ont été à l’air libre. J’ai d’abord baladé mes mains dessus, et effectivement, cela a paru lui plaire. Elle s’est laissée aller au plaisir de ma caresse, ses tétons s’allongeant sans que ni elle ni moi ne les touchions. Cela ne l’a pas empêché, toutefois, parce que j’étais remonté contre elle, de descendre une de ses mains vers ma queue, de l’entourer de sa paume, chaude, et de la caresser doucement. Si elle éprouvait du plaisir, moi aussi j’en éprouvais, alors que doucement, elle faisait monter et descendre sa main autour de mon sexe que j’avais l’impression de sentir épaissir au contact de la douceur de sa main. ll y avait une sorte d’équilibre entre sa main contre ma queue ronde et la mienne sur ses seins, bientôt remplacée par ma bouche sur ses tétons, ma langue les enveloppant, avant que ce ne soit mes lèvres qui viennent esquisser un mouvement de va-et-vient sur l’un et l’autre des deux bouts de chair qui se sont encore épaissis dans ma bouche, prenant du volume et de l’épaisseur.
De toutes les filles dont j’avais croisé le chemin jusqu’à présent, elle était sans doute la première qui ait des tétons d’une telle capacité érectile, capables de prendre autant de volume.
On a été comme ça un moment avant que, presque comme par magie, elle ne fasse jaillir un préservatif dans sa main, encore enveloppé dans un emballage d’argent qu’elle a déchiré. Elle avait tout prévu, et il y avait une boite de capotes pas loin. Comme elle devait me le confier par la suite, elle m’avait vu passer, plongée dans un bouquin mais également guidée par un sixième sens, et je lui avais plu suffisamment pour qu’elle se décide à m’aborder, attendant d’abord de ma part un premier mouvement qui n’était pas venu.
Elle a défait l’emballage du préservatif et en a retiré une rondelle de latex enduite de produit qu’elle a faite glisser le long de ma queue. Je suis rentré en elle dans une position que je ne prenais pas souvent quand j’étais avec une fille, mais que j’ai vue sous une nouvelle perspective, et qui m’a plu, mon torse contre son dos, sa jambe soulevée pour me permettre de me glisser en elle. Mon sexe était tout proche de ses lèvres, elle m’a guidé en elle. Je me suis senti gainé par la soie délicate de sa vulve, une sensation incomparable et que le latex ne gênait pas. Accroché à elle, avec un sentiment de proximité d’être ainsi collé à elle, je me suis mis à bouger en elle. Cela faisait plus de deux mois que je n’avais pas eu de rapport avec une fille, et le plaisir était très fort, qui semblait partagé d’ailleurs. Je la sentais vibrer contre moi, et ruisseler autour de moi.
—Retiens-toi de jouir, je te ferai une surprise.
Si je me suis effectivement retenu de jouir, même si ça a été difficile, j’ai même senti que je lâchais du sperme dans le préservatif, elle, elle ne s’est pas retenue, venant frotter son clitoris du bout de ses doigts, traversée par plusieurs orgasmes, avant qu’elle ne m’expulse de sa vulve. Elle s’est redressée, a changé de position, a fait glisser le préservatif le long de ma queue, me mettant à nu. Je pensais qu’elle allait me prendre dans sa bouche, mais il n’en a rien été. Au lieu de cela, elle a attrapé un de ses seins, sa main en creux en dessous. Ses tétons avaient encore gonflé du fait de son excitation et de son plaisir. Elle l’a promené le long de ma queue avec un sourire. C’était son arme secrète et sans aucun doute, ce n’était pas la première fois qu’elle l’utilisait. C’était inédit, troublant, ça l’a été encore plus quand elle a ramené son téton sur mon gland, et qu’elle a tourné dessus. C’était une zone très sensible, et la caresse de son téton m’a poussé à bout. J’ai tenté de tenir, mais bientôt un torrent de sperme a jailli, jet après jet, arrosant ses seins, et même son visage.
Ca n’était que le début. On a fait l’amour tout l’après-midi, incapables d’apaiser notre soif de sexe mais aussi d’affection.
Elle m’a proposé de rester manger. Et ensuite de rester la nuit.
On avait une semaine devant nous. Ensuite, elle repartirait. On a voulu en profiter à fond, chez elle, enfin chez sa tante, ou chez moi. Ca n’aurait sans doute pas été aussi intense s’il y avait pas eu cette limite. Il y a eu beaucoup de sexe entre nous, mais pas mal de discussions aussi, et sans aucun doute le sentiment d’une réelle proximité.
On a eu du mal à se séparer le dimanche. Mais on était bien conscients que tout a une fin, y compris notre relation, et qu’il valait mieux au final, avoir vécu une semaine intensément heureuse que des mois vides.
—Je reviens en juillet, elle m’a dit.
—Moi aussi.
—Tu penses qu’on aura envie de se revoir?
—On ne le saura que dans deux mois.
Après le plein, je n’ai pas forcément bien vécu le vide. Comment une relation qui avait démarré de manière aussi bancale pouvait-elle avoir été si forte?
Le temps a passé.
On est arrivés au mois de juillet. Je n’espérais rien.
Quand on a sonné à ma porte, ce devait être le huit juillet, je n’ai pas pensé que c’était elle…Ca aurait été trop beau.
J’ai été ouvrir.
Elle était devant moi. Habillée tout en noir, grande, fine, magnifique.
Elle m’a souri.
—Je suis de retour. J’avais envie de te revoir.
Elle est rentrée, j’ai refermé la porte, et on s’est littéralement jetés l’un sur l’autre.
C’était il y a trois ans, et nos destins se sont rapprochés. On a compris qu’on avait du mal à s’éloigner l’un de l’autre, et nous sommes restés ensemble.
Heureusement que j’avais eu l’idée d’aller marcher pendant le confinement, et que mon regard avait accroché sa silhouette.
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Histoire de JamesB

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