Baby sitter et le père de famille

Je me présente. Je m’appelle Sam, j’ai 22 ans, je suis brune aux yeux foncés, type italienne, et pour dire la vérité aucun homme n’a jamais résisté aux courbes parfaites de ma silhouette ultra féminine.

Ces vacances, pour me faire un peu d’argent facile, j’avais posté des annonces de baby sitter dans ma région, et je travaillais depuis deux semaines dans une famille assez fortunée dont le couple battait un peu de l’aile. Pour des raisons pratiques, je m’étais installée dans une des chambres d’ami très confortable. Ayant l’habitude d’avoir des rapports sexuels très fréquents, j’attendais la nuit pour m’adonner à ma masturbation quotidienne, et vitale. Dans l’obscurité, les jambes bien écartées, je dilatais mon vagin laissant étouffer mon orgasme dans l’oreiller.

Mais régulièrement je le savais, à travers la porte entre-ouverte, le père de famille me regardait agitant dans sa main son énorme queue. Ce petit jeu m’excitait terriblement. Et chaque matin, quand je débarquais dans la cuisine en petite culotte qu’il devinait bien humide, j’aimais lire l’excitation dans son regard plein de vice. Souvent même je passais tout près de lui en mini-jupe, et je sentais son sexe durcir à ces frôlements furtifs. Parfois quand l’envie le dominait, il me caressait les fesses et je me laissais faire avec plaisir. Mais je ne pensais pas qu’il dépasserait d’autre interdit que celui de la pensée.

Un soir, alors que sa femme était en déplacement quelques jours pour son travail et que je venais de coucher les nourrissons, j’appréhendais son retour et le fait que nous allions nous retrouver seuls. Après avoir dinée je m’allongeais alors sur le canapé du salon bien décidée à savourer une nuit de sommeil. Cependant la télé diffusait un film porno devant lequel je ne pus que me caresser frénétiquement. Après cet effort intense la fatigue me prit et je m’endormie sans mal sur le canapé.

C’est alors dans ce sommeil profond que je sentis une main caressait ma poitrine à l’air libre , et une respiration dans mon cou. Il était rentré. Encore dans mon sommeil, je réalisais mal ce qui se passait. Il léchait ma poitrine et mordillait mes tétons avec ardeur. Je commençais à pousser des gémissements. Soudain il glissa ma main dans ma culotte « tu t’es encore bien touchée ce soir, tu vas voir qu’à deux c’est mieux ».

Alors il retira ma culotte et appuya sa main sur mon sexe avant d’enfoncer ses doigts dans mon clitoris, puis il lécha ma chatte bien épilée et dégoulinante de cyprine. C’était si bon que je ne pus m’empêcher de jouir très fort. C’est à cet instant que je sentis quelque chose d’énorme, de dur et de chaud sur mon corps de jeune femme .. Son sexe. Il le fit glisser sur moi, encore et encore, de mes jambes à mes lèvres. Alors je me mis à sucer cette queue que j’avais aperçu tant de fois derrière ma porte, savourant ma victoire douce-amère. Il gicla dans ma bouche et j’avalai d’un trait ce jus d’homme mure qui m’avait donné tant de plaisir. C’était la première fois que je faisais l’amour avec un homme beaucoup plus âgé que moi, et j’adorais ça. Il me pénétrait maintenant violemment en m’insultant de « petite dévergondée qui l’a bien méritée » , j’hurlais de douleur et de plaisir à la fois. Il me pénétra encore 5 fois cette nuit la, évacuant la frustration encaissée derrière la porte. Nous continuâmes ainsi fréquemment, nous adonnant aux plaisirs partagés à chaque voyage de sa femme.